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vendredi 30 janvier 2009

LETTRES A JEAN BRICMONT n° 3


LETTRES A JEAN BRICMONT : "Les imposteurs "scientifiques"

De Yanick Toutain

Présentation... lettre n° 1 ..... lettre n° 2 .... lettre n° 3 .... lettre n° 4 ... lettre n° 5 .... lettre n° 6

Lettre n°3

Matérialisme, Aphélie, Périhélie, Kepler, observation et réalité

(0510192349)

Monsieur Bricmont,

Dans le but de vous convaincre de participer à cette nouvelle révolution scientifique matérialiste que j'appelle de mes vœux et dont les travaux de Alan Sokal, les vôtres et ceux de vos collaborateurs ont initié le début, je vais tenter de vous convaincre que les pseudo concepts d'aphélie, de périhélie n'ont de sens qu'à condition de distinguer absolument réalité et perception.

Pour Kepler, la Terre parcourt une ellipse. Comment le sait-il ? Simplement par le fait que le 3 juillet le diamètre angulaire du Soleil apparaît plus petit que le 2 janvier.

Si l'on se représente un quadrilatère formé des 4 côtés suivants :

Premier côté allant de l'observateur terrestre à l'endroit de la couronne d'où sont partis un groupe de photons (ct1)

Deuxième côté joignant le point précédant au centre du Soleil (rso1)

(on a défini un plan)

Troisième côté, on trace un autre rayon, de façon telle que, appartenant au plan défini, ce rayon solaire soit perpendiculaire au

Quatrième côté (ct2) joignant un point de la couronne solaire à l'observateur terrestre.

En traçant une bissectrice M à l'angle ct1 ct2, on joint le lieu de l'observateur au centre du Soleil. On a maintenant 2 triangles rectangles égaux: M ct1 rso1 et M ct2 rso2.

Si l'angle par lequel j'observe le Soleil est appelé angle sigma, et i la moitié de l'angle sigma, on a rso1 divisé par ct1 qui est égal à tangente (i) et rso2 divisé par ct2 donne le même résultat. En fait, un Soleil sphérique donnera rso1=rso2 et ct1=ct2.

Le 3 juillet, on peut donc supposer que Kepler (ou Tycho Brahé) observe le Soleil dans le ciel sous un angle sigma = 31.46 secondes.

Il le divise par 2, le convertit en degrés (0.262171 degrés) et calcule tangente i = 0.004575

Pour le 2 janvier, la même logique donne tangente j=0.004731

Tangente j divisé par tangente i donnera le rapport entre ce que Kepler appelle l'aphélie et le périhélie.

Pour faire court: avec un rso=696 000 km on aura l'aphélie =152105142 (km)

Et le périhélie = 147103311 (km)

Voilà un bel exemple de "science" relativiste. Pourquoi "science" avec des guillemets ? Pour une raison simple : cela faisait, à l'époque de Kepler, 11 siècles que les humains savaient - n'en déplaisent aux calotins ignifugeurs - que tout bouge, tout passe, tout coule, rien n'est immobile et cela grâce aux Grecs de Turquie !

En conséquence, le raisonnement de Kepler pêche par ignorance cléricale : le Soleil NE PEUT PAS RESTER IMMOBILE !

Je ne nie certes pas que le photon de l'été français (de l'hiver austral) a bel et bien parcouru, le 3 juillet un TRAJET plus grand que son cousin 6 mois plus tard. L'aphélie observé est bel et bien PLUS grand que le périhélie observé.

Ce que NOUS VOYONS, le diamètre angulaire correspond au trajet des photons, à rien d'autre.


Cessons de jouer à cache-cache : Prenons comme supposition (provisoire et fausse) que le Soleil se déplace sur le plan écliptique et bien plus, qu'il se déplace le long du trajet du photon aphélique.

Au moment où le Soleil émet le photon la Terre se trouve REELLEMENT à une distance R1.

Après un délai t, le photon va atteindre l'observateur terrestre. Mais celui-ci n'est PLUS au même endroit ! Comment cela serait-il donc possible ? La Terre aura avancé pendant ce délai t. En première approximation, elle aura avancé d'une vitesse S le long de l'axe directionnel donné au-dessus. Et a atteint une position T2. Elle a parcouru un trajet St ( t fois S). Le trajet ct que le photon a parcouru est donc égal à R1+ St.

Tout cela se résume de la façon suivante : lorsqu'un récepteur fuit l'émetteur, le signal photon aura une distance supplémentaire à parcourir, de surcroît à l'écart absolu entre les deux corps, à leur position initiale, distance supplémentaire égale au produit de la vitesse absolue du corps récepteur fuyant et de la durée du trajet du photon pour atteindre le récepteur sur sa nouvelle position.

Il ne s'agit pas là d'effet Doppler : on ne regarde pas les différences entre les PERIODES d'émission et les PERIODES de réception.

Ainsi, le 2 janvier, au moment de la prétendue périhélie, la Terre est, dans notre hypothèse provisoire initiale, DERRIERE, le Soleil, derrière le corps émetteur. De ce fait, elle va à la rencontre du signal photon qui aura donc UN TRAJET PLUS COURT à faire.

On aura donc

Ct(péri) = R2 - St (péri)

A comparer au précédent

Ct(aphé) = R1 + St(aphé)

(Concédez-moi, à cette étape, Monsieur Bricmont, que RIEN, absolument rien ne m'interdit de considérer que ni vous ni moi ni personne d'autre n'a une quelconque idée de la valeur de R1 et de R2, ni d'ailleurs de S)

La curiosité matérialiste étant ce qu'elle est, je me suis évidemment interrogé sur la valeur que S prendrait dans le cas où R1 serait égal à R2, c'est à dire dans le cas où la distance matérialiste, la distance absolue entre le Soleil et la Terre serait LA MEME en janvier qu'en juillet.

Ct(péri) + St (péri)= R2

Ct(aphé) - St(aphé) = R1

Ct(péri) + St (péri)= Ct(aphé) - St(aphé)

St (péri) + St(aphé) = Ct(aphé)- Ct(péri)

S (t (péri) +t(aphé) ) = c (t(aphé)- t(péri) )

S = c (t(aphé)- t(péri) ) / (t (péri) +t(aphé) )

Cela revient au même que d'écrire

S= c * excentricité

Avec excentricité = (A-P) / (A+P) avec A, aphélie et P, périhélie

S= c * 0.016716877

On obtient

S = 5011593,73993554252960894791297892

Résumons nous : Nous pensons vous et moi que le réel matériel est absolu. Vous me concédez, je le pense à l'avance, que le centre de la Galaxie n'est pas immobile et que la Voie Lactée se déplace dans le vide absolu, dans l'espace de Newton, à une vitesse considérable.

Je fais l'hypothèse que

1° le vecteur translation du Soleil appartient au plan écliptique et que

2° La distance absolue du Soleil à la Terre ne varie pas et donc, qu'elle reste constante.

Dans ce cas, notre vitesse absolue est de 5011 kilomètres par seconde ! ( un soixantième de la vitesse de la lumière)

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Voilà ce que Einstein, Mach et Berkeley nous on empêché de comprendre jusqu'à ce jour.

Je précise que je suis convaincu que les 2 hypothèses sont fausses, et que nous n'allons pas à 5011 kilomètres par seconde dans le vide absolu. Mais, je suis totalement persuadé que la solution est très proche de cela.

Cette hypothèse de travail m'a permis pendant presque cinq ans d'explorer beaucoup d'aspects du matérialisme : avoir une vitesse, même fausse contraignait de regarder les choses sous un angle véritablement matérialiste.

A titre d'exemple : le 3 juillet, au moment de l'aphélie, l'axe Soleil Terre se prolonge en direction de l'étoile Ain Al Rami.

Cette étoile se trouve dans un axe directionnel (Sagittaire) assez proche du centre reconnu de la Galaxie ( la bande blanche observable les nuits d'été). Si donc, notre mouvement absolu nous entraîne dans cette direction, cela a pour conséquence que nous sommes DERRIERE le centre de la Galaxie.

En conséquence, que le dit centre va lui aussi à une vitesse approximativement égale à 5011 kilomètres par seconde. Considérons alors la Galaxie comme un disque (ou un freesbee) Ce disque avance dans le vide. Il a une inclinaison inconnue pour l'instant. Si nous sommes sur l'arrière (de son vecteur translation), cela signifie que dans un quart de période de révolution sidérale du Soleil, notre vitesse, celle du Soleil aura AUGMENTE de la valeur donnée actuellement à la "vitesse" orbitale du Soleil dans la Galaxie (soit 250 km s-1 [certains donnent 216 d'autres 280])

On passera donc de 5011 km s-1 à 5261 km s-1 (à un facteur cosinus inclinaison près)

Et cela en 50 millions d'années. (la période de révolution est officiellement de 200 millions d'années)

Il y a 50 millions d'années, la vitesse absolue du Soleil était donc plus petite que de nos jours : 5011 - 250 = 4761 km s-1

Il y a là un pan entier de recherche qui s'ouvre aux matérialistes : Il apparaîtra un jour aussi absurde d'avoir négliger de prendre en compte ce facteur modification de la vitesse absolue du Soleil et de la Terre qu'il vous apparaît, à vous, absurde que des cléricaux cherchent à empêcher l'enseignement de l'évolutionnisme. Je subodore qu'une telle variation de vitesse absolue a eu des conséquences quant aux climats, quant aux précipitations, aux phénomènes de rupture de plaques, aux phénomènes volcaniques etc.

Il en va de même de l'analyse des étoiles : l'effet redshift nous donne des "vitesses" radiales, le long de la ligne de visée. Mais que sont ces "vitesses" radiales ? Pour prendre la "fameuse" étoile Ain Al Rami, celle qui se trouve dans le prolongement de l'"axe aphélie". Le logiciel Redshift IV, donne -12 km s-1 comme vitesse radiale. Est-ce à dire que cette étoile avance vers nous à 12 kilomètres par seconde ?

Quelle absurdité !

Dans la mesure des deux hypothèses précédemment énoncées, un matérialiste peut dire : " Nous qui allons dans la direction de Ain Al Rami à la vitesse absolue de 5011 kilomètres par seconde, voyons cette étoile se "rapprocher" de nous à la "vitesse" de 12 kilomètres par seconde. DONC, la vitesse de cette étoile est de 4999 kilomètres par seconde." (5011-12)

Il en va de même concernant la Galaxie d'Andromède : Science et Vie & c° collectionnent les titres alarmistes : "Andromède se dirige vers nous ! " Quelle stupidité : nous suivons quasi certainement des trajectoires presque parallèles et nos trajectoires se rapprochent très légèrement d'une façon bien plus petite que nos vitesses respectives. Mais seule la connaissance de notre vecteur vitesse absolue nous permettra de connaître la vérité.

La loi générale pour un observateur matérialiste devient donc, de façon généralisée, la suivante : pour connaître la position, la vitesse et la trajectoire d'un autre corps dont nous connaissons l'existence par le trajet des photons qu'il a émis et que nous recevons, il est strictement indispensable de connaître notre propre vitesse ainsi que notre trajectoire.

Cela peut aussi se résumer de la façon suivante : le seule repère scientifique consiste en 3 photons émis de façon perpendiculaires. Ces trois photons définissent 3 axes. Mais il faut prendre en compte le fait que l'émetteur de ces 3 photons ne se trouve pas, une seconde plus tard, au lieu de l'émission, mais a parcouru un vecteur S t qu'il faut donc prendre en compte pour déterminer la position (dans ce repère absolu) des autres corps dont nous recevons les signaux à cet instant.


Je considère que le critère premier définissant un scientifique matérialiste est cet accord sur un repère absolu. En conséquence de quoi, il est totalement contradictoire de se réclamer de la Relativité et du Matérialisme conjointement : si le monde réel existe, les mesures doivent impérativement se faire par rapport à ce monde réel. Prétendre faire des mesures relatives en les prenant pour des absolus, en ralentissant le temps, en accordant de l'élixir de jouvence aux jumeaux qui a les moyen de se payer des voyages en fusée pendant que l'autre reste - quelle crédulité - IMMOBILE sur Terre, c'est agiter de la poudre de perlimpinpin en criant abracadabra ! La Relativité a été une imposture qui a transformé les 3 derniers quarts du 20° siècle en une période de stagnation scientifique. Il n'est pas étonnant que les filières scientifiques aient des difficultés à recruter actuellement, il n'est pas étonnant que le bouddhisme et autres sectes malfaisantes réussissent à recruter au sein de la "communauté" "scientifique". Au 19° siècle, personne ne croyait aux infinis plus grands les uns que les autres (les aleph du fou furieux mystique Cantor qui voulait prouver l'existence de Dieu par les mathématiques infinitistes), leur infini était même parfois assez proche de celui d'Archimède : juste un très grand nombre. Au 19° siècle, la position de Laplace était encore assez largement partagée parmi les chercheurs. L'Ether n'avait d'ailleurs pas encore produit tous ses ravages : les astronomes étaient assez largement encore newtoniens : les probabilités de Laplace n'avaient rien à voir avec les foutaises mystiques européennes du fasciste Heisenberg véritable responsable de la folie atomique militaire. Même si Boltzmann connaissait un isolement orchestré par les fidéistes (chamaniste) Ostwald et Mach, le matérialisme était encore probablement largement majoritaire parmi les étudiants. Mais qu'attendre de structures de formation qui font la propagande des Aleph, de la Relativité et de la mécanique quantique de Copenhague. Depuis 5 ans j'ai discuté avec quelques centaines d'étudiants en sciences (principalement de la première à la Licence). La quasi-totalité a compris la validité de mes arguments et une très grande majorité ont été convaincus. Que croyez vous qu'il en advint ? La puissance des enseignants conformistes est telle que les "hérétiques", c'est à dire les élèves intelligents CRAIGNENT de défendre leur point de vue. De toute façon, pour obtenir leurs examens, qu'ont-ils à gagner à faire preuve de créativité, d'intelligence, d'innovation, de logique, de matérialisme. Nous sommes encore aux portes d'un 1789 : au 18° siècle les élèves intelligents ne pouvaient pas accepter de répéter comme des perroquets les foutaises des déistes. Il en va encore de même concernant les foutaises relativistes, probabilistes sans causalité, infinitistes. Les meilleurs ne sont probablement plus dans les universités de la même façon que les meilleurs du 18° siècle avaient déserté les séminaires ou en avaient été expulsés. J'attends de vous, Monsieur Bricmont, comme de vos collègues, que vous soyez un Voltaire - issu de la forteresse du conformiste - pour ouvrir les portes de l'avenir révolutionnaire.

(0510200353)

Dans l'attente d'une réponse de votre part, je vous prie d'agréer mes meilleurs salutations absolues.

Yanick Toutain

Copies aux auteurs de "Intrusion.." dont j'ai trouvé les mails

Hervé Chuberre chuberre@enssat.fr

Jean-Pierre Garcia Jean-Pierre.Garcia@u-bourgogne.fr

Valérie Lécuyer VJ.LECUYER@wanadoo.fr

Marc Silberstein edition@syllepse.net

Si vous le pouvez, veuillez transmettre copie aux autres auteurs. Merci.

Jacques Bouveresse

Jean Dubessy

Michel Kerszberg

Guillaume Lecointre

Ian Plimer

Yvon Quiniou

Patrick Tort

François Vernotte

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Annexe :

A = 152105142 km

i(aphé) = 0.262171 degrés = 15.73 secondes

le double 31.46 secondes

P = 147103311 km

j(péri) = 0.271085 degrés = 16.265 126 secondes

le double fait 32.53 secondes

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dimanche 25 janvier 2009

Le charlatan Bernard d'Espagnat n'aime pas la réalité en soi.

Abstract : réalité, « en soi », Newton, Bohr, Heisenberg.
Faire de la science, c'est prendre connaissance des relations causales qui fonctionnent « en foi ». Nier cela est dupliquer les charlataneries mystiques de l'évêque Berkeley - l'ennemi de Newton - adversaire du matérialisme, stupide crétin dont Lénine démolit la statue en
1908.
La connaissance des vitesses en soi, des vitesses objectives est la clé de la victoire finale du matérialisme.


par Yanick Toutain
25/01/09
16:14:35



Le charlatan Bernard d'Espagnat n'aime pas la réalité en soi.

(à propos d'un texte de Espagnat trouvé sur le blog de Jean Staune : un "Article de Bernard D’Espagnat, paru dans le Monde du 17 avril 2006."

D'Espagnat prétend utiliser le titre de physicien mais se révèle inférieur à certains alchimistes du 17e siècle.
Derrière son jargon pseudo-scientifique, ce qu'il nous propose n'est ni plus ni moins qu'un retour aux imbécillités de l'évêque Berkeley.



Il se revendique « membre de l'Institut » ; c'est certainement l'Institut des clowns de France.



Et il annonce être « professeur émérite de l'Université Paris-Orsay ». Lénine avait réglé
le compte des « clowns titrés professeurs », les Bernard d'Espagnat de 1908.

Ce charlatan n'est ni physicien ni philosophe, tout juste bon à encaisser les prébendes de la bourgeoisie imbécile dont il est le petit larbin servile.



Ce crétin prétend avoir des arguments.



"Si les faits relatifs au comportement des objets physiques sont aujourd’hui bien expliqués, les physiciens reconnaissent tous que ces explications ne font nullement intervenir la notion de
"matière", qui demeure insaisissable.
"

Examinons cette phrase stupide.
D'Espagnat nous parle d'objets physiques. Ce sont donc des objets. Ces objets sont physiques.
Ces objets, qui sont physiques, ont un comportement.
Et ce comportement - des objets physiques - induirait des faits qui leur seraient relatifs.
Ces "faits relatifs", aujourd'hui, d'après le charlatan d'Espagnat, sont " bien expliqués".

L'inanité et la vacuité de l'argumentaire du clown d'Espagnat se révèle dans ce jargon informe.
Mais le Achille Zavatta d'Orsay ne s'arrête pas en si bon chemin. Pour faire rire petits enfants
et grands, il s'en va chercher et ses amis les « physiciens ».

« Les physiciens reconnaissent »

Ses amis les physiciens ont de la reconnaissance.
Et c'est certainement celle du ventre.
Et que cette reconnaissance les amène à accréditer le clown d'Espagnat.

Les explications – mystérieuses - auxquelles le charlatan a fait allusion plus haut concernant 'les faits relatifs au comportement des objets physiques" ont une particularité spéciale : Elles
pourraient faire intervenir une notion.

Naturellement, dans les hautes sphères, on en a souvent l'occasion de faire intervenir un ami, une relation ou un subalterne pour obtenir, par exemple, l'annulation d'une contravention, ou encore pour une promotion spéciale pour un client romain.
Les explications, elles, ne font intervenir personne. Et encore moins "une notion".

C'est dommage !

Car, ces explications
- concernant les faits,
- relatifs
- au comportement des objets
- objets de nature physique.

.... ont failli faire intervenir la notion de " matière" !

Quel dommage !
Nous sommes marris !
Nous sommes extraordinairement désappointés !
Nous qui rêvions tellement de voir la notion de matière venir faire une intervention.
Il y a longtemps que nous avions ce rêve de voir une telle intervention.

Quel dommage !



Il est vrai que la reconnaissance - du ventre - des amis physiciens d'Espagnat pouvait être de nature à les dissuader de laisser cette mal élevée de notion de matière venir faire une
intervention.

Je connais un docteur en astrophysique diplômé de Strasbourg qui sait - il l'a parfaitement compris - que Newton a raison, mais qui a acquis la politesse de la reconnaissance du ventre.
Les beaux voyages - à lui accordés - par ses charlatans de professeurs l'ont rapidement dissuadé de faire fonctionner sa belle intelligence.

Tant mieux pour lui, le contenu de sa thèse d'astrophysique ne nécessitait que 0,5 % de son potentiel intellectuel.
S'il fallait qu'il revendique son newtonisme et sa compréhension des vitesses absolues, il prendrait le risque de voir son salaire multiplié par 200 ou ... de se retrouver à la rue !

Comme il craignait déjà des représailles en arrivant à Strasbourg – il l'avoua - , au cas où son hétérodoxie y aurait été connue, il eût vite fait de rentrer dans le rang du conformisme imbécile et de satisfaire aux critères de ses crétins de professeurs et d'oublier que son intelligence lui permettait de comprendre l'imbécillité du relativisme.
Il fut récompensé, fit un minable catalogue d'étoiles, et obtint sa thèse de doctorat.

Ce sont ses jumeaux larbins d'Orsay qui se gardèrent bien de laisser intervenir la notion de matière quant aux faits relatifs, etc etc..
Que d'Espagnat et sa clique de gangsters charlatans y fasse régner la terreur relativiste et heisenbergiste n'est une excuse pour personne !

Précisons, à ce stade, que la phrase imbécile d'Espagnat contient, néanmoins, une part de pseudo logique. Les " objets physiques" dont il parle ne sont, pour lui, ni objets, ni physiques.
Mais, le fait que ce charlatan n'éprouve pas le besoin, dans un article pour Le Monde, de préciser cela, n'est qu'un nouveau symptôme du délire autiste de cette bande de gougnafiers !

Tout cela n'empêche pas le guignol de ne s'en prendre, sous forme consécutive, à Yves Quiniou :

"On doit alors se demander ce qu’est cette "nature matérielle" dont Yves Quiniou fait grand cas (Le Monde du 4 mars) et dont il pose que l’homme tout entier est un produit.
L’adjectif "matériel" serait-il ici un mot creux ?"

Il n'a pas rien démontré. Il n'a pas rien prouvé.
Il n'a même rien exposé.
Cela ne va pas l'empêcher de tirer argument... du néant.

Il refuse la "nature matérielle" - qui se voit, tout à coup, pourvue de guillemets.
Il la refuse en s'interrogeant, lui-même, depuis l'intérieur de son petit bocal d'autiste.
Il la refuse en invoquant un "on" dont on peut se demander qui il recouvre vraiment. Ce "on"
doit être la bande de courtisans rieurs dont la carrière d'Espagnat dût être entourée agréablement.

Les gens qui instrumentalisent ce type de "on" puent fréquemment du cerveau. Ce d'Espagnat n'avait pas besoin de cette caractéristique supplémentaire : l'odeur nauséabonde des Berkeley et autres évêques (ou cardinaux) Bellarmin lui fut suffisamment transmise en héritage !

Et ses fausses questions !!!

"L’adjectif "matériel" serait-il ici un mot creux ?"

Tout l'envergure du minable dépourvu d'intelligence se révèle ici.
Il n'a aucun argument, et va se contenter de jouer sur les mots. Pour impressionner les gogos.


Ce crétin absolu met en doute le bout de ses pieds : selon lui, qu'il existe une "nature" , le fait qu'elle soit "matérielle", le fait que cette nature matérielle aurait des "produits" et que, parmi ces produits, on y dénombre "l'homme tout entier", ce n'est pas faire un simple constat.Non !L'abruti d'Espagnat accuse Quiniou à deux le "poser". Il faudrait que Quiniou le pose, sinon l'homme cesserait d'être un produit de la nature.
Ignorantus, ignoranta, ignorantum !
Il paraît que cet homme touchait un salaire !Décortiquer un abruti pareil finit, à la longue, par faire atteindre un tel seuil de lassitude, qu'on laissera le lecteur s'y exercer à son tour.


"Et quant à l’idée que la pensée est sécrétée par la réalité empirique que révèlent biologie, neurologie, etc., elle n’a manifestement de sens qu’à la condition que cette "réalité" soit autre chose qu’une interprétation du perçu par la pensée elle-même, autrement dit, soit un "en soi". Or, selon les sciences en question, les choses sont faites de molécules, électrons, etc., bref d’objets obéissant à la physique quantique, et il se trouve qu’interpréter celle-ci comme portant sur des "en soi" soulève d’énormes difficultés.. "


En résumé, le crétin sous-entend que la "réalité" ne serait pas telle mais "une interprétation du perçu par la pensée elle-même".
Pauvre imbécile qui ne se rend pas compte que le démontage complet de sa pathologie se trouve in extenso chez Lénine et que l'affirmation de son imposture fut révélée par le concept de "vitesse absolue" chez Newton.
Il ne fait que redite sur redite.
Quant aux "objets" qui obéiraient à la "physique quantique", l'absurdité de ce propos est telle que le lecteur béotien s'y trouvera piégé.
Quantique signifie "UN PAR UN".
Depuis les Grecs et Democritos (et Puthagoras) les scientifiques savent que TOUT doit se compter en NOMBRES ENTIERS, en NOMBRENTIERS, et que le continuisme est une absurdité.
Planck, en décembre 1900, tigonna une équation écrite par un autre – Wien.
Il se trouva que son équation contenait les photons de Newton : petits grains comptabilisables UN PAR UN.Planck mit des années à comprendre cela !
La (nouvelle) physique quantique (re)naquit de cette équation incomprise de son auteur.Elle se résume à : « on a la preuve que tout se compte UN PAR UN ».
L'imposture d'Espagnat consiste a semer la confusion avec autre chose qui s'appelle la mécanique quantique ou encore mécanique ondulatoire. Cette stupidité théorique a vaincu 27 ans plus tard ce fut la victoire de Bohr et de Heisenberg, la victoire du charlatanisme probabiliste, la défaite du déterminisme scientifique.
Ce fut même la défaite de la physique quantique !


La seule "énorme difficulté" consiste à compter les molécules UNE PAR UNE est à compter les électrons UN PAR UN !
Le magouilleur intellectuel enchaine - sans avoir, encore, rien démontré :
Peut-être est-ce là la raison qui fait que les matérialistes d’aujourd’hui (et, en un sens, Yves Quiniou lui-même) préfèrent défendre, plutôt qu’un rigide "matérialisme ontologique", un matérialisme atténué, présenté comme étant l’indispensable présupposé méthodologique de la science mais comme laissant ouvertes les grandes questions métaphysiques.
Un tel "matérialisme méthodologique" n’a, dans son principe, rien qui puisse heurter les "spiritualistes" de notre temps, qui, au contraire, se rendent compte que son acceptation est très utile dans la plupart des disciplines scientifiques. "
Ici, par contre, il commence à marquer des points !
Mais il les marque en dénonçant la lâcheté absurde des faux demi-matérialistes de l'école Syllepse. Toute cette bande Bricmont qui se revendiquent de Lénine tout en faisant le jeu des ennemis du matérialisme.

"Mais est-il véritablement un présupposé de la recherche, indispensable au développement de quelque discipline que ce soit ? Ici, je prétends qu’il n’en est rien. Il y en a une, et non des moindres, qui a échappé à la règle, c’est la physique quantique. On peut certes ne pas partager les vues de Niels Bohr. Mais il est factuellement vrai que M. Bohr et ses élèves furent à l’origine des développements de la physique du XXe siècle, qui se sont avérés, en tous domaines, les plus féconds. Aucun physicien ne niera ce fait historique. Or, selon Niels Bohr, un instrument de mesure doit être considéré comme obéissant à la physique classique (par opposition à "quantique"), non du tout en vertu de ses propriétés physiques, mais seulement en raison du fait qu’il nous sert, à nous, d’instrument. De plus, alors que le choix (humain) de cet instrument définit, entre autres conditions expérimentales, celles qui déterminent quels types de prédictions l’on pourra ultérieurement faire, ces dernières conditions sont, selon M. Bohr, "un élément inhérent à la description de tout phénomène auquel le terme de "réalité physique" peut être attaché" (Physical Review 48, 1935).
Il serait absurde de qualifier de matérialiste, même sur le seul plan méthodologique, une conception de ce genre selon laquelle, comme on le voit, en tant qu’objet de science la "réalité physique" est un phénomène auquel l’action et l’expérience humaine sont "inhérentes". Il faut en dire autant des vues d’Heisenberg, de Pauli, de Born, bref des principaux artisans de la physique de notre temps. Ils ont pris pour assise conceptuelle de leur recherche non pas le matérialisme, mais bien, tout au contraire, un certain pragmatisme philosophique, dans lequel la conception matérialiste est vue comme une "métaphysique" externe à la science."

Tout l'édifice est basé sur une imposture : Le 20° siècle fut un siècle de stagnation intellectuelle absolue pour les trois quarts.
Le renoncement au matérialisme implicite et honteux des Boltzmann sonna le glas de la science : Nous ignorons toujours notre vitesse absolue (vitesse objective, vitesse "en soi") , nous ignorons de quoi sont faits les photons (combien d'atomos dans le photon rouge, dans le photon violet), nous ignorons quels chocs précis déclenchent la gravitation, la fusion conceptuelle entre la température et la gravitation n'est toujours pas faite etc etc ...
Après la victoire du fasciste Heisenberg et de son roquet Bohr, après la défaite des matérialistes en URSS, minuit sonna dans le siècle de l'intelligence.
Et nous n'en sommes pas encore revenus.
Le charlatan prétend à des victoires qui ne sont que des imposteurs. Ils cataloguent les particules minuscules sans rien y comprendre. Sans même rien comprendre à leurs trajectoires, à leurs vitesses.
Sa thèse est : "nous les autistes, avons compris des trucs", c'est la preuve que la réalité n'existe pas.
Et pire encore, contre les ex matérialistes renégats de la bande Syllepse, il ose prétendre que même le "matérialisme utilitariste" ne sert à rien.

Et les autres idiots qui ne savent même pas se défendre.
Ces crétins, les Bricmont et tous les autres n'ont même pas encore compris qu'il fallait, pour commencer, passer par dessus bord la TOTALITÉ de la relativité.
Mais il est vrai que les REVENUS DES ORTHODOXES sont CONFORTABLES.
Tous ces Bricmont et tous les autres FAUX MATÉRIALISTES sont devenus des charlatans corrompus, grassement payés par la bourgeoisie pour NIER le contenu du "MATÉRIALISME ET EMPIRIOCRITICISME" de Lénine, pour nier le temps absolu, pour nier l'espace absolu.
Ils ne l'emporteront pas au paradis.
L'apôtre du mysticisme, le négateur de la réalité d'Espagnat peut même se payer le luxe de se payer leur tête. C'est tout juste s'il ne les traite pas d'incapables :

"Depuis, des efforts furent déployés, visant à rendre la physique quantique "ontologiquement interprétable". J’en vanterai seulement l’utilité, notant qu’ils nous éclairent sur la problématique en jeu. Cependant, en ce qui concerne la méthode, ce n’est pas à partir de la notion de réalité en soi - ou de "matière" - que la physique actuelle se développe. »


La "réalité en soi" elle sera révolutionnaire et va botter le cul de tout ces charlatans et demi-charlatans.
Les 6 révolutions qui se préparent vont remettre de l'ordre à tout cela. Elles vont réaliser les rêves de Lénine et surtout , le rêve de Newton : la connaissance de notre vitesse absolue. Les crachats de ceux qui nous insultent - en nous traitant (ainsi que Lénine le supportait déjà) de "'métaphysiciens" .... leurs crachats sont nos médailles.


IL EST IMPERATIF DE LIRE, EN COMPLEMENT DE CE TEXTE, CET EXTRAIT DE "MATERIALISME ET EMPIRIOCRITICISME" DE VI LENINE :

La "chose en soi" expliquée par Lénine dans son livre Matérialisme et empiriocriticisme

PS : CE TEXTE A DECLENCHE UNE TRES ENERGIQUE PROTESTATION DE JEAN STAUNE. CETTE PROTESTATION A INITIE UN DEBAT QU'IL EST POSSIBLE DE SUIVRE EN CLIQUANT SUR CE LIEN.


mardi 29 avril 2008

PROBLEMES FINAUX contre la relativité (Newtonistes contre einsteinistes) Présentation

en, , de, it , es , pt , el , en

Pour en finir avec la relativité et l'escroquerie des einsteinistes, la raison seule ne suffit pas.

Cette secte malfaisante nie l'existence objective de l'univers.

Pour ces charlatans, le monde n'existe pas en soi, il n'existe pas indépendamment de notre perception
.

Ce sont des solipcistes honteux : ils n'osent pas avouer que leur refus acharné du monde véritable revient à nier la réalité.


Le solipciste se croit seul au monde (solo ==> solipciste).
Il reçoit des impressions. Il ne se demande pas d'où elles viennent.

Le solipciste honteux va "noyer le poisson" car il sait qu'il ment.
Il prétend se poser les mêmes questions que Descartes, mais, comme lui, quand il sort de son bureau - et de ses élucubrations -, il fait attention en traversant la rue : un si fier génie pourrait être écrasé par un carrosse - sorti de son imagination, sans doute !!!


Pour ces disciples inavoués de l'évèque Berkeley, "Puisque le monde objectif n'existe pas, il ne contient pas de règles de causalité".

Pour le relativiste, les lois de causalité ne sont pas contenues dans la réalité de l'univers.

Ces crétins ne comprennent pas que la causalité provient du choc des atomOs les uns contre les autres.

La façon dont les atomOs se cognent est la règle fondamentale de l'univers.


Nous ignorons, pour l'instant, comment cela se passe. Mais cela viendra prochainement.

Toutes les autres lois proviennent de cette loi fondamentale.
Elles sont la conséquence de la Transformation Quantité Qualité (TQQ)

Il faut préciser que la connaissance des lois supérieures ne sera pas donnée iso facto par la connaissance de la loi de base.(De même, la biologie ne se résume pas à la physique : cf. Manifeste matérialiste).

Et donc le relativiste einsteiniste peut "librement" inventer des "lois" "scientifiques" issues de son cerveau fertile et halluciné.

On épargnera au lecteur les délires fumeux de "temps qui ralentit" de "longueurs en chewing-gum" et de masse "au repos"
(Repos !" dit le lieutenant colonel à la Terre qui obtempéra !!)
Les trous de ver des sucesseurs, les univers jumeaux ou parallèles sont la suite logique - logique dans l'asile d'aliéné qu'est devenue la physique einsteiniste - des espaces qui se creusent comme des draps pour que la Terre aille tout droit tout en tournant !!

Accumulations de délires fous furieux d'une secte de minables cinglés 'et méchants) minables totalement inutiles et parasitaires depuis 1905 !

Leur unique exploit industriel (les cellules photo-électriques ne relèvent pas de la relativité) : les GPS ! Cela relève de la farce la plus absolue : ils cachent soigneusement toutes leurs prétendues preuves !!!

D'autant que certains y voient l'application de la relativité restreinte et d'autres , la preuve de la validité de la relativité générale !!

La façon dont ils inventent des règles empêche tout dialogue avec eux !

Il n'y a que quelques exemples maïeutiques qui soient susceptibles de pousser les rares gens honnêtes parmi eux à tenter de résoudre les contradcitons insolubles entre leurs croyance et ces exemples.

Le "miroir taquin" fut le premier que je plaçai sur Internet en avril
2002.
Il les laissa sans aucun argument intelligent.

Ces poblèmes finaux qui sonneront le glas de la crédulité du public pour ces agressifs sectateurs ne sont que des à-côté des véritables textes scientifiques fondamentaux que j'ai déposés dans les forums de science.
- Véritable équaton de la gravitation hélio planétaire
- vraie loi (matérialiste) de composition des vitesses objectives et des phi-vitesses.
- etc ....

Mais tous ceux-ci furent ignorés.




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