samedi 16 mai 2009
Ben moi, j'aime bien Orelsan
Je lui réponds sur son blog CSP.
J'ai trouvé le lien du rap donné par Floréal et signé Moi j’suis cap ! réponse de la rappeuse au rappeur ICI
1er rap de Pitbulle !
Si je bloquais sur les ultra-féministes castratrices des années 70 - qui n'étaient qu'une variété agressive de formoises qui pratiquaient un lobbyisme hétérophobe - pour le reste, entre le crétin formois fils d'enseignant Orelsan et le camp féministe, mon choix est fait.
Je pratiquerai, en 1973 (ou en 1933) , une défense commune avec le BETAR contre les abrutis fascistes (défense commune <> front commun)
Ici, idem, entre le camp des cogneurs de femmes et celui de leurs adversaires, je n'ai pas à réféchir longtemps.
Idem pour les cogneurs d'enfants de moins de 7 ans dont je préconise la caractérisation judiridique de "crime".
Ce qui leur arrivera après la révolution.
Idem pour le procureur qui a osé nous convoquer Julie Amadis et moi suite à la plainte en diffamation de deux barbares qui étaient dérangées par l'affichage de leur nom sur Internet.
Tous les noms de cogneurs de femmes, des cogneurs d'enfants doivent être publiés sur Internet par les témoins et les victimes (en signant de leurs noms véritables : on n'est pas à Venise ni "en Vichy 40".)
la brutte soutient la brute
Quant au procureur qui a osé nous convoquer dans un commissariat de police, qu'il sache bien que celles qui ont cogné Kévin, Luciano et Houssine, elles seront condamnées après la révolution !
Et que, lui aussi, il sera condamné pour sa complicité ACTIVE !
Convoquer un témoin pour tenter de l'impressionner par une inculpation imaginaire (nous n'avons plus de nouvelles depuis juin 2008) est un acte DELICTUEUX que la révolution inscrira de façon RETROACTIVE dans ses textes juridiques.
Quant à l'abruti Orelsan, il lui pend au bout du nez une inculpation à venir pour incitation à actes barbares.
Il suffit qu'un cogneur de femme en vienne à utiliser comme argument justificatoire le fait d'être un fan d'Orelsan et le délit sera constitué !
Les violences domestiques sont une barbarie que la révolution fera cesser !
Même si les cogneurs doivent recevoir les méthodes les plus médiévales d'exposition publique !
floreal dit :
17 mai 2009 à 23:00@ Toutain
Qu’est-ce que vous voulez que ça me foute, ce que pratique CSP envers vos “positions”? Et puis vous vous croyez peut-etre aussi sorti du cuissot de Jupiter, pour avoir certaines prétentions plus absurdes qu’ineffables?
Un bon conseil humaniste: inscrivez-vous à la maternelle… quoi que la nursery, c’est peut-etre mieux pour vous.
et sur un autre texte
floreal dit :
17 mai 2009 à 22:49Ah ouais? Bein y en a qu’on un Toutunkamion, CSP il a un Toutunkékon. On a ce qu’on mérite, au bout du compte.
EN COMPLEMENT : Un florilège des textes de l'abruti trouvé sur le site Elu/es Contre les Violences faites aux Femmes » (ECVF)
"Il a beaucoup été question, dans la presse, de l’une des chansons de ce chanteur, « Sale Pute », dont vous avez sans doute déjà pu apprécier les paroles. Les programmateurs semblent ne pas comprendre les raisons pour lesquelles la présence de ce chanteur dans des salles financées par des institutions publiques pose problème. Ainsi, il est répondu que la chanson incriminée, « Sale Pute », ne fait pas partie de l’album d’Orelsan et qu’il ne la chante plus sur scène. Cela devrait suffire…, mais à la seule condition d’oublier l’existence de « Suce ma bite pour la Saint-Valentin » qui n’a rien à envier à « Sale Pute » :
Suce ma bite pour la Saint-Valentin (extraits) (…) (Mais ferme ta gueule) ou tu vas t’faire marie-trintigner / J’te l’dis gentiment, j’suis pas là pour faire de sentiments / J’suis là pour te mettre 21 centimètres / Tu seras ma petite chienne et je serai ton gentil maître
(…) Excuse-moi miss, laisse-moi dégrader tes p’tites fesses
(…) J’bois, baise, jusqu’à c’que t’en sois mal en point
(...) J’aime pas celles qui avalent, j’aime celles qui font des gargarismes / Celles qui ont su rester enfants, j’les soutiens dans leur combat d’femmes / Vis le sexe comme un conte de fées, depuis qu’j’ai mon BAFA / J’respecte les shneks avec un QI en déficit / Celles qui encaissent jusqu’à finir handicapées physiques
(...) Viens bébé on va tester mes nouvelles MST !
Si cette chanson ne fait pas partie de son album, nous ne savons pas s’il la chante toujours sur scène ou non. Quant à ses autres chansons, nombre d’entre elles sont du même acabit que « Sale Pute » qui est loin d’être la seule chanson indéfendable de ce chanteur. En voici quelques extraits pour que vous puissiez vous en faire une opinion personnelle.
Etoiles invisibles : C’est pas en insultant les meufs dans mes r’frains que je deviendrais quelqu’un mais j’aime bien.
Sous influence : J’rêve de péter les dents d’l’autre pétasse des Pussycat Dolls
Changement : Maintenant les meufs portent du Vuitton, des grosses lunettes dorées / Avant c’était qu’pour les vieilles putes blondes décolorées / Les gars s’habillent comme des meufs et les meufs comme des chiennes / Elles kiffent les mecs effeminés comme si elles étaient lesbiennes
Différent : J’finirais par acheter ma femme en Malaisie / Les putes à blog sont plus bonnes en photos qu’dans la vrai vie / Nan, j’suis pas un produits marketing / J’suis sensible, j’me sens sale après avoir été voir les filles
(...) Renseigne toi sur les pansements et les poussettes / J’peux t’faire un enfant et te casser l’nez sur un coup de tête / Poulette pourquoi tu veux pas sortir avec moi ? / J’adore passer par les p’tits trous j’adore me sentir à l’étroit
Courez courez : Petite, essaie pas de me fréquenter / Ou tu va perdre ton pucelage avant d’avoir perdu tes dents de lait
(...) J’suis pour de vrai de vrai, j’dis c’que j’pense, j’pense c’que j’dis / Tout ce que j’écris c’est du premier degré, hé !
(...) Les féministes me persécutent, me prennent pour Belzebuth / Comme si c’était d’ma faute si les meufs c’est des putes / Elles ont qu’à arrêter de d’se faire péter l’uc / Et m’dire merci parce que j’les éduque, j’leur apprend des vrais trucs
Des fois j’sais plus si j’suis misogyne ou si c’est ironique / j’serai peut-être fixé quand j’arrêterais d’écrire des textes où j’frappe ma p’tite copine / Tous les jours mon boss menace d’me virer d’mon taf / ma voisine me casse les couilles alors j’menace de tuer son chat
(...) Cherche pas, la mienne est plus grosse que la tienne ! / J’parle de la chienne que j’ai fait aboyer la veille / J’me rappelle plus de sa tête, j’sais juste qu’elle était dégueulasse / J’ai mal au dos j’ai dormi par terre, parce qu’elle prenait 2 places"