jeudi 19 juin 2008

Lettre au Recteur de l'académie de Rouen

De Julie Amadis,

assistante pédagogique

collège Eugène Varlin Le Havre



A l'intention de Monsieur le Recteur de Rouen,


PJ :

- Chronologie du déroulement des faits

- Contrat de travail

- Lettre de mission 2006/2007

- Lettre de menace de retenue sur salaire

- Mail de Mr Deplanque

- Lettre remise à l'Inspecteur d'académie


Objet :

Affaire de fessées dénoncées (faits étouffés)

Le Havre,

Le 19 avril 2008


Monsieur le Recteur,


Je vous rappelle brièvement les faits évoqués à la personne chargée des affaires juridiques au rectorat lors de mon appel du Jeudi 27 Mars.

Le 22 mars, j'ai reçu en accusé de réception une lettre de mise en demeure avec menace de retenue sur salaire suite à mon refus de travailler dans une école ou j'avais dénoncé une fessée auprès de la directrice de maternelle Mme Véronique Combret qui a couvert son ATSEM en avouant avoir déjà agi de manière similaire : ""par exemple Luciano, ça m'est déjà arrivé de lui mettre une fessée et je n'ai pas pour autant culpabilisé car à ce moment là, il y a que comme ça qu'il pouvait comprendre"".


Cette affaire a été étouffée par toute la hiérarchie.


Lors de mon entretien avec Mr Deplanque vendredi 14 Mars, j'ai clairement exprimé ma position : "je ne retournerai pas dans cette maternelle tant qu'aucune sanction ne sera prise contre les personnes qui ont tapé les enfants". Rien n'a été fait qui aille dans ce sens. L'enquête n'a même pas été menée. Les parents du petit Kevin n'ont pas été mis au courant de cette affaire. (j'ai rencontré, par hasard, sa mère, il y a un mois). Je suppose qu'il en est de même pour le petit Luciano (je n'ai pas vu ses parents depuis).


J'attends de vous que vous meniez enfin l'enquête concernant ce qu'ont subi Kévin et Luciano et que vous fassiez le nécessaire pour protéger les enfants de cette école.

Aussi, j'espère que les mesures nécessaires pour qu'à l'avenir de tels évènements ne se reproduisent plus, seront prises. Le personnel de l'éducation nationale ne doit à aucun moment lever la main sur un enfant.


Depuis mon appel téléphonique au rectorat, l'ignominie envers ceux qui combattent la violence envers les enfants a atteint un degré supplémentaire. Il ne 'agit plus ni de harcèlement, ni de menace de retenue sur salaire mais de plainte en diffamation.

Mme Carole Hervieu, principale du collège Eugène Varlin et Mme Véronique Combret, directrice d'école porte plainte parce que mon ami Yanick Toutain a rapporté, tel un journaliste, les faits dont elles sont protagonistes, sur Internet, en y ajoutant le qualificatif de "brute" pour Véronique Combret qui avoue avoir fessé Luciano, 4 ans et d'"incapable" Carole Hervieu qui a étouffé cette affaire, qui m'a harcelé et menacé de retenue sur salaire et de licenciement. Mme Véronique Combret ose me traiter de menteuse.

Je tiens à vous préciser, monsieur le Recteur, que personne ne m'avait jamais avant ces dames traité de menteuse (cf. lettre de Véronique Combret intégrée au dossier de plainte qui ose prétendre "Julie Amadis a donc menti")

Ce n'est certainement pas concernant les brutalités subies par deux petits de trois et quatre ans que je vais laisser de pareilles insultes calomniatrices se répandre.

Les menaces pour faire taire les témoins de violence contre des petits sont véritablement des méthodes scandaleuses.

Je ne commencerai pas une carrière d'enseignante en cautionnant tout cela par mon silence. Je ne cèderai devant aucune intimidation.

Je précise que l'inspecteur d'Académie en résidence au Havre qui s'était engagé, devant une délégation de plusieurs syndicalistes, à me convoquer, ne l'a jamais fait.


En conséquence, et comme votre responsable des affaires juridiques joint au téléphone me l'avait conseillé, je vous écris le déroulement des faits sous une forme chronologique (voir ci-joint la chronologie).


Je vous remercie d'étudier avec sérieux ce dossier.


(Naturellement, au vu de l'ampleur des pressions inqualifiables dont je suis l'objet, je rends ce courrier public.)


Veuillez recevoir, Monsieur Le Recteur, mes meilleures salutations


Julie Amadis

Assistante pédagogique au collège Eugène Varlin, le Havre


PS : il y a un troisième cas de violence, parentale celle-là, avec refus de signalement sur cette école maternelle Varlin. (menton recousu à l'hôpital). Le petit Jordan (4 ans) m'a déclaré "Ma mère m'a claqué par terre". Plusieurs enseignantes l'avaient déjà entendu leur dire. Sans aucune réaction. Elle se sont moquées de moi. Je l'avais aussi signalé à madame Hervieu ainsi qu'à l'infirmière de l'école et l'assistante sociale du collège.


PPS : J'ai découvert hier que mon travail avec des petits élèves de CP (mise en ligne de 6 histoires écrites entièrement et illustrées par 60 petits enfants de cours préparatoire) a été effacé du site du collège Varlin.

Je trouve, là encore, ces méthodes scandaleuses : quand on veut accuser son chien on dit qu'il a la rage. Il s'agit pour les protagonistes de cette affaire d'effacer toute preuve de mes compétences professionnelles.

Cette fois-ci, encore, au détriment des enfants : tous les travaux des élèves devront être archivés pour qu'ils puissent les consulter tout au long de leur vie et les montrer à leurs propres enfants et petits-enfants.

Je réclame de vos services que ces textes soient remis en ligne aux mêmes adresses télématiques que précédemment : Je ne suis pas dupe du fait qu'il s'agit de déclencher des erreurs pour celles et ceux qui voudraient suivre les liens que j'ai déposés sur Internet depuis deux ans pour faire connaître mon travail et celui des petits élèves de cours préparatoires.

Sachez que si vos services persistaient à censurer ces travaux, je mettrai en ligne moi-même les histoires des petits écrivains.(De toute façon Google a archivé la preuve de ces effacements)

Violence contre les enfants : C'est le témoin qui est sanctionné !

Le contrat reconductible de Julie Amadis n'est pas renouvelé


Voilà la punition contre le témoin de violences contre les enfants.

L'incapable Carole Hervieu, principale du collège Varlin Le Havre, laisse ses enseignants prendre le risque de recevoir un coup de compas dans le dos (nous reviendrons sur ce scandale qui s'est produit lundi 19 juin, il y a 3 jours : une professeur débutante qui a la pagaille dans sa classe depuis janvier a été laissée à l'abandon par sa hiérarchie, sa principale Carole Hervieu : en punition Julie Amadis avait été nommée dans cette classe (de façon délibérée et réitérée )

Mais cela ne suffit pas : elle vient de pratiquer au licenciement déguisé de Julie Amadis.

Le comité directeur du plan ambition réussite (ambition de taper les petits ? réussite d'étouffer le scandale ?) vient de se réunir cet après-midi. Il a avalisé le non renouvèlement du contrat d'assistante d'éducation de Julie Amadis.


Les coupables de violence, l'Atsem, femme de ménage et la directice de la maternelle Varlin n'ont eu aucune sanction, la principale du collège Varlin qui a étouffé le scandale et l'inspecteur Patrick Deplanque n'ont eu aucune sanction pour cela.


Bien au contraire : ils conservent leur pouvoir de nuisance contre le témoin principal et cautionnent le licenciement déguisé de Julie Amadis.


Combien de temps l'inspecteur d'académie du Havre va-t-il continuer à soutenir ce scandale : Il a promis aux délégués syndicaux de convoquer le témoin, Julie Amadis, il y a plusieurs mois. Celle-ci attendait depuis cette convocation.*


Mais, est-ce qu'il a craint d'entendre la vérité ? Est-ce qu'il a craint d'entendre l'exposé détaillé des coups qu'a reçu le petit Kévin ?

Est-ce que l'inspecteur d'académie du Havre a craint d'entendre Julie Amadis lui relater les propos de la directrice Véronique Combret qui s'est vanté d'avoir tapé le petit Luciano, sans éprouver de sentiment de culpabilité ?


Pour l'instant, il est devenu le nouveau maillon de responsabilité.


Julie Amadis, a posté, aujourd'hui, la chronologie complète, au recteur de l'académie de Rouen.


Combien de temps ce scandale va-t-il continuer ? Combien de temps, ce seront les témoins qui seront menacés, qui seront sanctionnés ?

Ces gens croient nous impressionner ? Mais il se trompent radicalement !

La question qui se pose est : faudra-t-il la révolution pour faire cesser les coups contre les petits de trois ans.


Cette Véronique Combret, cette Carole Hervieu, ce Patrick Deplanque prennent les petits enfants pour des animaux, ils prennent les petits enfants de trois et quatre ans pour des chiens qu'il faut taper.


Ils se soutiennent mutuellement dans l'abjection de leur position ! Ils essayent de construire une omerta, une loi du silence. Ils cherchent à menacer les témoins, ils cherchent à sanctionner les témoins.


Après la plainte en diffamation déposée par Combret-la-brute, après la plainte en diffamation déposée par Hervieu-je-vire-le-témoin, de quoi ces gens-là sont-ils capables.


Ils ne réussiront jamais à baillonner Julie Amadis, ils ne réussiront jamais à me faire taire. Et tous ceux et celles qui oseront soutenir les coupables, tous ceux et celles qui oseront prendre le parti de brutes qui prétendent trouver normal de taper les petits enfants comme des animaux seront démasqués et dénoncés leur tour.


Il est temps d'en finir avec l'omerta


Et ce tribunal qui instruit une plainte en diffamation contre moi, quel est son degré de complicité avec les deux brutes ?

Car il s'agit d'y voir clair : ce tribunal est saisi d'une plainte en diffamation concernant des coups contre des petits de trois et quatre ans.

Et que fait-il ?


Va-t-il interroger les témoins sur les coups contre les petits ?

Que nenni !!

Va-t-il instruire en urgence ?

Va-t-il, le jour même dépécher du personnel pour protéger les petits et leur témoignage ?

Que non !


L'urgence est la diffamation !

De qui se moque-t-on ?


Nous saurons, un jour, le nom du fonctionnaire qui a commis cette forfaiture ; ne pas instruire une enquête pour protéger ces deux enfants !

Il y avait urgence à déplacer ces responsables de coups, il y avait urgence à instruire concernant la véracité des faits, pour protéger les enfants.

La diffamation éventuelle aurait été éclairée dans la procédure!


Mais non ! Ce tribunal se moque des enfants ! Il fait comme l'inspecteur d'académie du Havre : l'autruche sur le principal du dossier.


UN TRIBUNAL QUI POSTE DES FAUX EN ECRITURE PUBLIQUE


L'explication est là : ce tribunal se contre-fiche des petits enfants qui sont tapés comme des chiens de la même façon que depuis 20 ans il se contrefiche de la légalité.

J'ai déjà écrit, plusieurs fois que ce tribunal a une caisse noire et de quelle façon je reçus, il y a près de quinze ans, un chèque provenant de ce tribunal d'instance.


Une caisse noire bien pratique : ce tribunal, sur la base d'une absence de contenu juridique s'était cru autorisé à ordonner une saisie sur mon salaire. Cette saisie de 194F91 faisait suite à une demande (illégale) des services financiers du rectorat de Rouen.

Je passe sur les détails que je relaterai plus tard: pour couvrir ses illégalités, il finit par me rembourser la somme sur la caisse noire (avec un chèque du tribunal !!!) . Seulement, j'exigeai du procureur (il fallut deux courriers en accusé de réception) le texte qui validait ce remboursement.

Qu'à cela ne tienne, la responsable (PCF) de la recette perception d'Harfleur (elle devait faire partie de la bande ou avait des services à leur rendre) leur rédigea un FAUX EN ECRITURE PUBLIQUE justifiant ce reboursement par cette caisse noire sous un prétexte bidon : je leur aurais (faux) payé en liquide (faux) la somme à leurs caisses (tout faux : ce fut un prélèvement sur salaire).

Et ce faux en écriture publique, dont la fonction était de jouer à saute-mouton par dessus les textes et de truquer le déroulement du contentieux, me fut transmis par le tribunal d'instance du Havre.(J'ai toujours 3 mois de salaire à récupérer depuis 1988 et un an pour 1991 : la révolution me les remboursera s'il faut attendre jusque là !)

Comme je me suis aperçu, il y a peu de temps, qu'il n'y avait pas de prescription concernant ce type de faux, je l'ai rappelé sur Internet : j'allais, enfin, être interrogé sur ces accusations.


Mais non !

Ce tribunal laisse les citoyens écrire, paisiblement, qu'il a une caisse noire sortant de la légalité et qu'il transmet (PCC juge Paillette) des faux en écriture publique à ceux qui portent réclamation au procureur du lieu.


L'état actuel de dégénérescence de l'Etat bourgeois prend des proportions ahurissantes !

Il est évident que derrière l'affaire de la fessée, il n'y a pas seulement que des barbares qui considèrent les petits enfants de trois et quatre ans comme des animaux qu'il faut punir avec des coups, avec des fessées, il y a aussi des groupes organisés qui ont pratiqué le harcèlement et la calomnie à grande échelle à mon égard depuis 1987 et mon projet de logiciel Bizouk : syndicalistes, jaloux et dévoyés, fonctionnaires dans l'illégalité absolue, politiciens renégats ayant abandonné les idéaux de leur jeunesse, politiciens cyniques défendant des puissants.

Drogue (en partie celle vendue par deux employés municipaux sur la plage), secte (temple solaire) coups contre des jeunes, j'eus, à plusieurs reprises, au Havre, l'occasion de mettre mon grain de sel dans des affaires fort dérangeantes pour plusieurs.

Qu'ils souhaitent profiter de cette affaire pour me baillonner, l'agression verbale dont je fus l'objet par l'ex militant de la ligue communiste révolutionnaire le premier mai – Dominique Delahaye – 'avec menace de plainte devant les tribunaux) et de ses complices dans leur campagne de calomnie depuis 20 ans, Sylvie Vérin (candidate LCR aux municipale) et son mari-complice Patrice Vérin – le prouve.

Ces gens-là ont feint la commisération pendant 20 ans pour débiter leurs saloperies sur mon dos.


Qu'ils sachent tous que ce sera crédibilité contre crédibilité.

Mais maintenant, cela n'a plus lieu dans les couloirs et les recoins des sycophantes patentés, dans les réseaux de leurs mandes de calomniateurs organisés. Cela aura lieu en pleine lumière.


Et ce seront les libres citoyens, les libres lecteurs de l'Internet qui pourront juger sur pièce, qui pourront lire les arguments des uns et des autres.


Argumenter ?

On a vu comment les brutes et leurs soutiens ont procédé : un licenciement déguisé !


Mais tout cela sera su, mis en lumière : aucune plainte en diffamation ne permettra de retrouver l'honneur perdu par ces gens-là.


mercredi 18 juin 2008

violence contre les enfants :Chronologie des faits

Cette chronologie va être postée pour le recteur de l'Académie de Rouen demain matin

Chronologie des évènements



Le 22 Janvier 2008 : Dans l'école maternelle Varlin, Le Havre suis témoin d'une fessée donnée par une ATSEM, Françoise, sur un enfant de 3 ans nommé Kévin. Ca s'est passé dans les sanitaires au premier étage, pendant l'heure du midi. L'enfant a été attrapé, soulevé puis fessé. La fessée a été violente. La porte étant entrouverte, j'ai pu voir la scène. L'enfant a crié très fort et a pleuré longtemps après.(Je l'entendais pleurer, depuis la BCD où je me trouvais ensuite.)


Le 4 Février : Après m'être renseigné auprès de l'assistante sociale sur la démarche à suivre, j'ai prévenu la directrice de l'école, Mme Véronique Combret.

Mon témoignage n'a pas du tout été bien perçu.


Elle m'a expliqué que si elle concevait que ça ne devait pas être une habitude, elle n'y était pas pour autant hostile.


Dès le départ, lorsque je lui fais cette révélation, elle montre son énervement envers moi, me reproche d'avoir été voir l'infirmière et l'assistante sociale. Alors que je lui dis que c'est interdit dans l'éducation nationale, elle m'explique qu'elle n'est pas hostile aux fessées.


Et elle me dit avoir déjà utilisé ce procédé : "par exemple Luciano, ça m'est déjà arrivé de lui mettre une fessée et je n'ai pas pour autant culpabilisé car à ce moment là, il y a que comme ça qu'il pouvait comprendre".

Et elle argumente sur le fait que une fessée ça arrive à tout le monde. Je lui répond : "moi, je sais que ça ne m'arrivera jamais parce que je trouve cela trop grave". Elle riposte : "tu verras quand tu seras plus vieille".


J'insiste sur le fait que ce soit interdit dans l'éducation nationale et sur le fait que l'assistante sociale et l'infirmière me l'aient bien répété. Elle va finir par proposer de faire quelque chose : "je vais discuter avec Françoise pour connaître le contexte", et "si tu veux toi aussi, tu pourras en parler avec elle". Je lui réponds que l'assistante sociale et l'infirmière m'ont conseillé de ne pas gérer cette affaire seule et elles m'ont dit que c'était à vous de vous en occuper.


Je lui demande, aussi, si quelque chose a été fait concernant le petit Jordan à qui j'avais demandé, voyant son menton recousu "ce qu'il s'était fait "et qui m'avait répondu "c'est ma mère qui m'a claqué par terre". J'avais prévenu son institutrice, Marielle, qui m'avait dit que ça pouvait arriver et qu' il ne fallait pas s'inquiéter outre mesure, et que ça pouvait arriver à tout le monde, que des fois les enfants nous poussaient à bout (elle a fait un signe avec les mains) . Les autres institutrices du premier étage étaient présentes et à tour de rôle, elles prenaient la parole pour "relativiser" ce qui me semblait grave. J'avais pourtant été voir sans leur en parler l'infirmière juste avant pour lui demander son avis et ce qu'il fallait faire. Sa réaction avait été de dire que c'était grave, qu'il fallait faire un signalement (mais que ce n'était pas à moi de le faire) et qu'il fallait en faire part à son institutrice.


Aucun signalement n'a été fait pour cet enfant là non plus. Lorsque j'ai relaté cet épisode à l'assistante sociale, sa réaction a été de dire : "ils ne vont pas bien là bas, la mère ne va pas leur dire ce qu'elle a fait".


La banalisation et l'étouffement des coups que reçoivent les enfants est flagrante dans cette école.


A 17 h 30, ce même jour, je préviens Madame Hervieu de cette situation et de ma crainte de représailles ayant déjà fait l'expérience de dénonciation similaire dans un autre collège (Léo Lagrange) et ayant vu mon contrat ne pas être renouvelé (sous un prétexte absurde).

Je tiens à mettre l'accent sur les faits suivants : alors que rien ne m'y obligeait, j'avais, avant mon embauche, signalé à madame Hervieu, les faits graves qui s'étaient produits au collège Léo Lagrange. Elle utilisera cela, lors de l'entretien du lundi 3 Mars suivant, quand elle aura modifié sa position : elle se crut, alors, autorisée à me dire : "c'est une récurrence chez vous ...".


Madame Carole Hervieu m'a entendu. Et m'a dit qu'elle était d'accord avec moi lorsque je lui ai exposé mon point de vue concernant les conséquences éducatives catastrophiques à banaliser la fessée. Et a même ajouté : "qu'elle ne sait pas comment son fils aurait réagi si sa fille recevait une fessée à l'école". Mais elle a minimisé les propos de Mme Combret : "elle a dit ça parce qu'elle n'a pas envi de perdre son ATSEM" m'a-t-elle répondu. Mais elle a tenu à se démarquer de la réaction de Mme Combret en indiquant que : "ce genre d'acte s'était déjà produit au collège; qu'elle avait fait le nécessaire et que pour les personnes visées, ça ne s'était plus jamais reproduit"

Lorsque je lui ai dit "que je me posais la question d'aller plus loin dans cette affaire", elle m'a répondu que "si un tel acte se renouvelait, on irait plus loin".

Elle a évoqué, ce jour-là, le cas de José Laboureur - sans citer son nom - en expliquant alors la position de son fils.


Du 11 février au 25 février (les vacances) : J'étudie un document sur les droits de l'enfant que l'assistante sociale du collège, Mme Cognet m'a passé. Je réfléchis aux solutions pour dénoncer cette affaire.


La semaine suivante, (le 25 février, après les vacances) : l'ensemble des enseignantes m'impose de travailler sur "le petit chaperon rouge" pendant 8 semaines alors qu'en début d'année scolaire, je leur ai fait connaître mon désaccord formel avec ce que véhicule ce conte (meurtre , cannibalisme) et mon refus absolu de le raconter. J'ai donc considéré cet ordre comme une provocation suite à l'histoire de la fessée.


(J'ai envoyé un courriel avec ces faits à Monsieur Deplanque le 10 mars).


Du mardi 26 février au lundi 3 mars : Je suis arrêtée. Le Jeudi 28 février, je téléphone à Mme Hervieu, ma principale et la préviens de mon refus de retourner à la maternelle dans ces conditions. Le même jour, je l'informe des textes sur Internet : "mon ami , ça l'a tellement énervé cette histoire qu'il a mis des textes sur Internet" lui dis-je.


Le lundi 3 mars : Je suis convoquée au bureau de la principale. Mme Loiseau, secrétaire du réseau Ambition réussite est aussi présente. A la fin de l'entretien, alors que je refuse de retourner en maternelle, Mme Hervieu me dit : "bon, pour l'instant vous restez au collège. Demain, je vois Mme Combret et on verra ce qu'on fait".

Le lendemain, mardi 4 mars, je demande à ma principale un emploi du temps pour le collège, elle refuse et me menace : "c'est un refus de mission".


Par ailleurs, Mme Hervieu ne m'a pas demandé d'être présente lorsqu'elle a reçu Mme Combret. La seule information que je possède concernant cet entretien me vient de Mme Loiseau, secrétaire du réseau : "Mme Combret a dit que si je ne voulais pas faire les contes traditionnels. Elle souhaitait avoir une autre assistante pédagogique".


Il semble que Mme Hervieu choisisse délibérément d'insister sur mon refus de raconter le petit chaperon rouge afin de relativiser l'essentiel du différent : les fessées données sur le petit Kévin, 3 ans et le petit Luciano, 4 ans.


Du lundi 3 mars au mercredi 2 Avril : N'ayant pas d'emploi du temps au collège, je travaille en collaboration avec les enseignants. J'aide aussi les employés du CRED. Ils font les études dirigées et se retrouvent parfois seule avec une classe entière (c'est le cas pour la classe de 4ème 4). Je prends donc la moitié de la classe en charge.


Je peux prouver mon travail grâce à des feuilles de présence que j'ai fait signées et que j'ai données régulièrement à ma principale. (Mme Hervieu considère ces feuilles comme n'ayant aucune valeur, elle me l'a répété maintes et maintes fois. Sous ce prétexte, elle a interdit aux professeurs de m'accepter dans leur salle (propos répétés par Mr Said et Mme Ferro, tous deux professeurs référents).


On a continué pendant tout ce temps à me harceler pour que j'aille en maternelle alors que j'avais été remplacée par une collègue assistante pédagogique et que mon contrat (Mme Hervieu le savait) interdisait que j'y aille puisque le seul lieu d'exercice inscrit est le collège Eugène Varlin.


Le lundi 10 Mars : J'envoie un mail à l'inspecteur, Mr Patrick Deplanque, relatant les faits. Je reçois un accusé de réception le mardi 11 Mars.


Le Vendredi 14 Mars : Je suis convoquée par Monsieur Patrick Deplanque, inspecteur de circonscription et Mme Hervieu, principale du collège et pilote du réseau ambition réussite Eugène Varlin.

Mr Deplanque ne compte rien faire concernant cette affaire et soutient l'attitude de la directrice Mme Véronique Combret. Il en fait un portrait élogieux.


Monsieur Patrick Deplanque me reproche d'avoir été voir l'assistante sociale : "mais pourquoi êtes vous allez voir l'assistante sociale ?".

Il y a là une volonté délibérée d'étouffer l'affaire.

S'ensuit une série de reproches qui n'ont aucune logique à part celle qui se résume à ce proverbe "quand on veut tuer son chien, on dit qu'il a la rage".


Entre autres, on me reproche de ne pas rester le midi avec mes collègues de la maternelle. Et, Monsieur Deplanque se dit "inquiet qu'une personne comme moi puisse devenir professeur des écoles" et "quand on ne partage pas les valeurs de l'Éducation Nationale, il ne faut pas y entrer"... Je lui réponds du tac au tac : " Ah bon parce que les valeurs de l'Éducation nationale, c'est de taper les enfants !!"


Le Mardi 18 Mars : C'est une journée de grève. A l'Assemblée Générale réunissant une centaine d'enseignants du second degré, je relate la chronologie des faits qui débouche sur une menace de mise en demeure et un licenciement consécutif. Les professeurs présents sont révoltés et vont jusqu'à l'Inspection académique pour demander un rendez vous avec l'Inspecteur d'académie en résidence au Havre.


Le Mercredi 19 Mars : Une délégation de 4 représentants syndicaux, deux du SNES, un de FO et un de la CGT sont reçus par l'Inspecteur d'Académie. Ma présence est refusée. Je ne peux que retranscrire ce qui m'a été répétée par les syndicats.

Encore une fois, la même technique est utilisée. L'inspecteur ne trouve qu'à me faire des reproches. Celui qui revient le plus : je ne dois pas me substituer aux professeurs (on m'a pourtant bien demandé de donner des cours (ATP Français et Maths) pendant l'année 2006/2007.


J'ai pourtant bien réalisé le projet de création d'histoires avec les CP, qui était visible sur Internet il y a un mois (Les 60 pages personnalisées des enfants ont été effacées !!!), seule et ça arrangeait bien tout le monde, ma principale comme les professeurs qui n'avaient pas de préparations supplémentaires à faire !!


Aussi, cet inspecteur ment effrontément en affirmant que la lettre de mission datée de 2006/2007 serait toujours valable en 2007/2008 (pour cette année, je n'en ai pas reçue et c'est le cas pour toutes les assistantes pédagogiques !).


Concernant les fessées données, Alain Ponvert, délégué du SNES, me dit que "concernant la fessée donnée par l'Atsem (on ne s'occupe pas de celle que la directrice, V. Combret avoue avoir donnée sur Luciano !!!) l'affaire va remonter jusqu'à Rouen".

Mais l'Inspecteur d'académie avait promis aux syndicats qu'il me convoquerait prochainement. Je n'ai -depuis - jamais reçu de convocation.


Même à ce niveau de hiérarchie, on étouffe l'affaire des fessées.


Les syndicats m'ont dit que "l'inspecteur était très en colère, et que grâce à eux je ne serais pas licencié de suite."

Je rapporte des violences contre des enfants, en tant que témoin, je suis l'objet de menaces, et l'Inspecteur d'académie est en colère contre le témoin !


Le Jeudi 20 Mars : deux professeurs avec qui je travaillais auparavant, Mme Ferro et Mr Said me préviennent : "Mme Hervieu nous a interdit de t'ouvrir la salle, c'est notre supérieur hiérarchique, nous devons lui obéir".

Elle cherche à m'isoler et à m'empêcher de travailler.

Et renforce son harcèlement.

Le Samedi 22 Mars : Je reçois une lettre accusée de réception. Ma principale me menace de retenue sur salaire.


Nous ne sommes pas payés par le collège !!

Avez vous donné votre accord à Mme Hervieu concernant cette menace ?

Cette menace est particulièrement abjecte !! Ne gagnant que 534 euros par mois, j'ai à peine de quoi survivre. Et donc, pas d'argent de coté ... dans le cas ou la menace aurait été mise à exécution, je n'aurai pas pu payer mon loyer, l'électricité, et il aurait été difficile de me nourrir ...


Mercredi 26 Mars : Je préviens Mme Marais, présidente de la PEEP de cette affaire de fessées et des pressions reçues suite à ces dénonciations. Elle me conseille de contacter Mme Dufour, adjointe au maire chargée de l'enseignement. Et concernant les pressions que je reçois (menace de retenue sur salaire entre autre) elle me dit d'appeler le rectorat en demandant de sa part Mr Demazière, directeur du cabinet du recteur et aussi" lorsque vous aurez la secrétaire" me dit elle "vous pouvez dire que c'est de ma part". Mme Marais est très choquée de l'attitude de Mr Deplanque et de Mme Hervieu qui étouffe manifestement cette affaire. Concernant l'ATSEM, selon elle, des personnes qui ne savent pas se maîtriser avec les enfants n'ont rien à faire là. Elle m'a répétée à plusieurs reprises : "on ne lève pas la main sur un enfant".


La présidente de la FCPE a une réaction similaire à celle de Mme Marais. Elle me propose de demander un rendez-vous à l'adjointe au maire et de m'y accompagner afin de leur faire connaître ce qui se passe dans cette école. Elle me dit : je vais en toucher deux mots à Mr Deplanque car elle est révoltée face à son comportement.


Au SNES Rouen, on me propose de prendre un rendez vous avec le recteur et de m'accompagner. Mais ils n'insistent pas de trop sur les fessées. Ils veulent avant tout empêcher ma principale de me licencier. Ils s'intéressent de près à mes conditions de travail et au fait notamment que je ne sois pas assurée pour la maternelle et que je n'aie pas reçue de lettre de mission.


Le Jeudi 27 Mars : Je téléphone au rectorat. La secrétaire à qui j'explique les faits me passe directement la personne chargée des affaires juridiques au rectorat.

Celui ci me conseille d'envoyer une lettre sous couvert de ma principale.


Le Vendredi 28 Mars : Mr Abbou, secrétaire au collège Eugène Varlin m'annonce vers 16 heure qu'il y a eu une réunion de direction et qu' ils ont pris la décision de me donner un planning au collège.


Ce même jour, le responsable de SEGPA me demande d'être présente comme accompagnatrice à la sortie Cybertech des 5ème SEGPA à Rouen Mardi 1 Avril.


Mercredi 2 Avril : Mme Hervieu me donne un nouveau planning qu'elle me fait dater et signer tout en me précisant que "l'emploi du temps des assistants pédagogiques est flexible" et donc que mon planning pourra changer. Il a en effet été complètement modifié à plusieurs reprises depuis. Elle me prévient : "que cette histoire aurait pu finir tout autrement" et qu'elle n'acceptera "plus aucune contestation" de ma part.


Vendredi 4 Avril : Une des conséquences du harcèlement subi pendant 2 mois et de la peur de me retrouver sans ressource du jour au lendemain se manifeste par mon absence aux épreuves du CAPLP Lettres histoire pour lesquelles j'avais une convocation.


Mardi 29 et Mercredi 30 Avril : Je passe le concours de professeur des écoles.


Vendredi 2 Mai : On me donne un nouvel emploi du temps au collège.


Lundi 5 Mai : On échange mon emploi du temps contre un nouveau en SEGPA : 18 heures auprès d'une professeur des écoles. Dans ces 2 classes, 6ème et les 5ème règne un désordre complet : envoi de crayons, crachats, élèves qui sortent du cours seules... Une assistante pédagogique nouvellement embauchée reprend mon précédent planning.


Je commence le matin même et n'ai pas de temps de prévenir mes anciens élèves (ils ne seront d'ailleurs pas prévenus par la hiérarchie et me demanderont des explications encore 1 mois après).


Dans cette classe, mon rôle principal est de faire de la discipline : aller chercher les élèves dans le couloir, les empêcher de jeter des crayons, d'insulter leur prof... Au bout d'une semaine de discipline, j'ai à mon tour subi le même sort que cette professeur : colle et blanco sur ma chaise, insultes régulières, moqueries... Je me suis même fait entouré et harcelé par un groupe de 6 élèves en faisant mes courses ...

Le responsable de Segpa a réagi à cette situation en me sortant de cette classe. Mais Mme Hervieu n'a pas apprécié cette décision et a imposé mon retour 4 jours plus tard.


Le travail que je mène n'est pas conforme aux missions d'un assistant pédagogique. Nous ne sommes pas là pour mettre de l'ordre dans les classes. Je me suis entretenue avec l'adjointe, Mme Morel sur ce sujet. Elle a proposé de passer de temps en temps dans la classe. Mais, alors que j'avais demandé à ce que un assistant d'éducation soit constamment présent à proximité et qu'il y ait, si possible, partiellement, une personne supplémentaire. Rien n' a été fait qui aille dans ce sens.


[ La dangerosité de ce contexte se résumera ainsi : alors que j'étais absente le lundi 16 juin, (l'accident s'est produit entre 11 et 12 heure et je finissais à 11 heure), leur professeur a reçu un compas dans le dos. Elle a été arrêtée une semaine. Elle avait, deux semaines avant cette agression, contacté l'Autonome de solidarité laïque. ]



Je trouve étrange qu'on cherche à tout prix à me laisser dans ce climat de danger et que dans un même temps on ne cherche pas manifestement à calmer ces classes.


Mardi 6 Mai : Je croise la mère de Kévin, l'enfant fessé, et lui relate ce qui s'est passé. La mère de Kévin me dit ne pas avoir été mis au courant ! Le seul engagement qu'avait pris Mr Patrick Deplanque était de prévenir les parents de l'enfant concerné (concernant l'enfant fessé par la directrice, Luciano, il avait soigneusement contourné le sujet).


Jeudi 29 Mai : Le responsable de la SEGPA, prend la décision de me retirer de cette classe, de me faire travailler avec lui et avec une autre professeur de SEGPA avec les 4ème, de prendre les élèves de la classe de 6ème dans laquelle je travaillais auparavant, individuellement et de leur donner des cours de soutien.


Mardi 3 juin : Lorsque j'arrive à 8 heure le CPE m'annonce que la direction me donne l'ordre de retourner avec dans les classes où le désordre le plus total règne et où on m'a récemment insulté de "pute" et entouré au supermarché du coin.

J'y retourne donc.


Mercredi 11 juin : Mon ami, Yanick Toutain et moi même sommes auditionnés par la police. Mme Carole Hervieu et Mme Véronique Combret ont porté plainte pour diffamation. Yanick Toutain les a dénoncées sur Internet en qualifiant de "brute" Véronique Combret qui avoue avoir tapé Luciano et d'"incapable" Carole Hervieu.


Le dossier des plaintes contient : les impressions des articles d'Internet (débats usenet où quiconque le souhaite, peut écrire librement ses réponses), la lettre que j'ai envoyée à Mr Deplanque et une lettre qui m'a été présentée par le policier comme une réponse de Mme Combret à la lettre que j'avais envoyée à Mr Deplanque; cette lettre date du 19 mars (de mémoire) (date ou les syndicats étaient reçus par l'Inspecteur d'académie).


Je n'avais jamais vu cette lettre. Ni Mme Hervieu, ni Mr Deplanque, ni l'Inspecteur d'académie n'ont remis en cause les faits lorsque je le leur ai exposés.


Et, voila que j'apprends le 11 juin, alors que je suis interrogée par le policier pour diffamation que Mme Combret a écrit que j'ai menti !!!


Je n'ai pas pris tous ces risques (menace de licenciement, d' arrêt sur salaire, harcèlement, contrat possiblement non renouvelé) pour qu'on m'accuse de mensonge !!


Ma détermination concernant le combat contre la violence sur les enfants s'est d'autant plus renforcé.


Je ne m'arrêterai jamais de dénoncer les gens qui tapent les enfants quoi qu'il arrive!!!


Je considère que l'utilisation des médias à notre disposition est le meilleur moyen de mener ce combat.

Par ailleurs, si l'affaire avait été réglé en interne rapidement., ces textes écris par Yanick Toutain n'auraient pas eu de raison d'être.



Mardi 17 juin : Je remarque sur Internet que les histoires des élèves de CP mises en ligne en juin 2007 ne sont plus visibles du site du collège. Je vous demande de les remettre pour l'intérêt des enfants.


Alors que je passe au local de la PEEP, Mme Marais, qui m'avait jusque là soutenu et donné des conseils a une attitude complètement différente. Elle craint que je ne répète le soutien qu'elle m'a apporté.

Elle exige en criant que Yanick Toutain ne cite pas son nom sur Internet et répète deux fois qu'elle m'aurait "supporté" en se contentant de me donner des conseils.

Cette dame peut avoir la tête haute sur tout le déroulement initial de cette affaire : elle fut une des rares à mettre l'intérêt des enfants au premier plan.

Elle dit maintenant ne plus rien vouloir avoir à faire avec "cette histoire" et se retranche derrière le fait que les parents des enfants ne sont pas venus la voir.

Elle ne veut plus rien faire.


Ce revirement étrange semble totalement incompréhensible. J'ai cru déceler de la peur dans sa colère.

Peut-être a-t-elle reçu des menaces ...


Ce même-jour, monsieur Rufenacht, maire du Havre, rencontré par hasard dans une rue du Havre a été informé personnellement : "faisons un front commun contre les coups envers les petits de trois ans" lui a proposé Yanick Toutain.

Il a conclu en promettant de mener l'enquête.


Notes :


N'ont pas été inscrites pour plus de clarté toutes mes correspondances avec les deux associations de parents d'élèves , la PEEP et la FCPE, les présidentes sont choquées par l'étouffement de cette affaire et les attaques contre celle qui dénonce. J'ai aussi effectué des démarches à la mairie du Havre auprès de l'adjointe au maire chargée de l'enseignement grâce à leurs soutiens. Et, j'ai reçu un mail de Mme Nathalie Martinet, chef du service coordination et Gestion du personnel, qui me dit avoir prévenu l'éducation nationale et avoir fait le nécessaire (je ne connais pas les détails)


J'ai pu voir à quel point ceux qui ne toléraient pas ce type de traitement envers les enfants étaient malmenés. Cette plainte en diffamation est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Non seulement, on vous traite de menteur lorsque vous dénoncez de tels actes (lettre de Mme Combret soutenue par Mme Hervieu qui a porté plainte le même jour), on vous harcèle (Mr Deplanque et Mme Hervieu m'ont cherché des fautes professionnelles et ont remis en cause ma capacité à devenir professeur des écoles), on ne vous protège pas (une hiérarchie pour qui la violence contre les enfants n'est pas un sujet à banaliser m'aurait protégé. Et, de suite il m'aurait retiré de ce lieu. De plus, alors que j'avais été remplacée, on a continué à me harceler pour que je retourne à la maternelle).



J'avais déjà dénoncé les plaisanteries grivoises et le coup de pied aux fesses qu'un professeur d'UPI avait donné à une élève (collège Léo Lagrange au Havre). Et j'ai vu mon contrat ne pas être renouvelé. Je ne suis pas dans l'éducation nationale pour assister passivement à des violences physiques contre les élèves.


Par ailleurs, la population doit être avertie de ce genre d'affaire. C'est pourquoi, plusieurs textes sont visibles sur la toile.



























violences contre les enfants, lutte des classes, luttes des strates


Pourquoi s'adresser à un maire UMP sarkozo-gaulliste pour faire cesser ce scandale des deux fessées de l'école Varlin ?


Pour une raison simple : il ne s'agit pas de lutte des classes. Il s'agit d'un dépassement dialectique. Et il existe de bonnes raisons pour que ce maire UMP prenant des sanctions (légères – souhaitons-nous) contre l'ATSEM (son employée) qui a tapé le petit enfant de trois ans et qui a menti par la suite sur cela. Et que ce faisant, il discrédite la formoise Combret, la directrice de la maternelle qui a défendu l'ATSEM brutale (en revendiquant en faire autant contre le petit Luciano). Et que ce faisant, il discrédite la formoise principale du collège Varlin, Hervieu, qui soutient la première en cherchant à étouffer le scandale et en traitant (maintenant – pas au début) Julie Amadis, la témoin, de menteuse.


LA FORMOISIE A BEAUCOUP TAPE


La classe formoise, actuellement, tape autant, sinon plus que la classe bourgeoise. On pourrait même s'interroger sur l'attitude du ministre Darcos. A-t-il soutenu la brute alcoolique José Laboureur dans l'intérêt de la classe capitaliste ou aurait-il fait (voulu faire) un cadeau à la classe formoise en choisissant de s'inscrire dans la campagne de diffamation envers le fils du gendarme et son père – campagne de diffamation orchestrée par le syndicat réactionnaire SNALC et son allié du SNES.


Nous avons appelé au boycott générale du deuxième tour des élections municipales françaises de 2008.

Sauf dans deux cas.

Nous avons refusé d'appeler à voter contre n'importe lequel des candidats des partis colonialistes en présence. Qu'il soit de droite ou de gauche.

Sauf dans les cas de Bayrou-la-claque et de Darcos-la-gifle.

Pour ces deux-là, nous avons appelé les électeurs (sans illusion aucune sur l'effet réel de notre appel...) à voter pour le candidat qui s'opposait à eux.

La logique politique de ce choix est simple : le premier a donné, à Strasbourg, une claque à un jeune adolescent et le second soutient la brute José Laboureur.

La violence contre les enfants de France transcende la violence colonialiste.


Julie Amadis me faisait justement remarquer que dans l'association Vitamines où elle a travaillé plusieurs années de suite, le mercredi, avec un public d'enfants de 3 à 10 ans (il y a aussi une section « bébés gym ») , il aurait été complètement impossible qu'un tel scandale se produise.

Dans cette association fréquentée par des enfants de haute et moyenne formoisie et de bourgeoisies diverses (ainsi que de proto-innovois), il aurait été totalement exclu qu'un coup soit porté ou qu'une responsable vienne revendiquer l'avoir faire et ne pas culpabiliser.


Il est donc clair qu'il existe, dans les classes exploiteuses, un nombre croissant de parents pour qui la violence contre les enfants est définitivement et totalement exclu.


Pourquoi donc, parmi les enseignants du collège Varlin et des écoles environnantes, personne, absolument personne, n'est venu trouver Julie Amadis pour lui dire : « Je suis choqué par ce qui se passe, je suis choqué par les coups donnés aux petits de trois et quatre ans, Kevin et Luciano, je suis aussi choqué par le fait que ces gens travaillent à détruire ta carrière d'enseignante dans l'Education Nationale. »

Personne !


L'explication est simple :

dégénérescence formoise.


La classe formoise a été éjectée de la scène politique mondiale par la chute de l'URSS.

Tout ce qu'elle est capable de produire d'évènement médiatique, actuellement, s'appelle enlèvement par les FARC, trafic de drogue par les FARC.

La classe formoise, qui a maintenu la Chine dans la stagnation pendant plusieurs siècles (sous le nom de « lettrés ») a fini de nuire à l'échelle mondiale. Son temps est fini.

La classe des diplômés et des cadres supérieurs répétants a fini de freiner l'histoire humaine.


VIOLENCE A L'ECOLE


L'histoire à venir aura pour tâche d'éclairer la façon dont la violence s'est introduite et s'est perpétuée dans les écoles.

Le lien entre la montée politique de la formoisie, au début du 20° siècle et la façon dont la violence physique s'est érigée en méthode d'enseignement.

(Sans oublier la façon dont la classe capitaliste utilisait les coups pour faire travailler les enfants du 19° siècle dans les usines et les mines)


Pour l'instant, nous pouvons constater qu'une des trois classes exploiteuses est, elle, largement en avance, sur le plan de l'humanité, sur les deux autres : l'innovoisie des brevets et des droits d'auteur est largement plus pacifique envers ses enfants que les deux autres classes ne l'était.

On peut même constater un processus de contamination positive : les secteurs de la bourgeoisie les plus proches de l'innovoisie sont aussi les plus hostiles aux méthodes barbares de coups contre les petits.


Il est donc clair, dans cette affaire, qu'il s'agit de fonctionnaires formois soutenus par l'aile pro-formoise de la bureaucratie de l'Etat bourgeois.

Il n'est absolument pas surprenant, qu'à l'opposé de cette prise de position institutionnelle (de la base) on découvre la campagne actuelle du Conseil de l'Europe : cette institution met gravement en cause la France sur la question de fessées contre les petits.


Il est donc clair qu'il n'y a pas homogénéité de la bourgeoisie, en tant que classe sur cette question de la violence physique contre les enfants.

Pour quelle raison, en Europe, la classe capitaliste au pouvoir est-elle en retard de ses homologues ?

Il y aura une étude à faire.

Sans préjugé du résultat, on peut évoquer trois pistes possibles :

  • Un poids politique très important de la formoisie française, au niveau historique aurait pu inciter la bourgeoisie de rance à protéger les méthodes pédagogiques préconisées par cette classe.(Il y a une ambiguité traditionnelle au PCF, le principal parti formois de cette époque, entre méthodes pédagogiques novatrices et protection corporatiste des brutes)

  • La perpétuation de la barbarie colonialiste aurait pu être un terreau favorable à la continuation de la violence, non seulement sur les peuples dominés, mais encore sur les enfants de la métropole : une piste de recherche ... les Pieds-noirs étaient-ils en 1962 plus violents envers leurs enfants que les autres parents de l'époque. Y avait-il une spécificité des employeurs pieds-noirs, qui auraient poursuivi avec leurs enfants les méthodes en usage envers leurs employés ?

  • Le troisième facteur à explorer sera le poids politique de l'innovoisie et l'infiltration de ses valeurs au sein de la bourgeoisie. Cela relève aussi du poids économique des secteurs les plus novateurs. S'il existe des chanteurs qui cognent leur femme (ou leurs enfants), ce ne sont que des cas rarissimes car les valeurs fondamentales de la création induisent un respect du capital humain dans sa dimension innovatrice et donc un refus des coups portés sur les petits.(dans le cas de Ike et Tina Turner, par exemple, cela relevait de contamination de valeurs extérieures à l'innovoisie)



Tout cela relève, en définitif, de la grille qui dépasse dialectiquement le concept de lutte des classes : il s'agit bel et bien de lutte des strates.


LUTTE DES STRATES



C'est la strate qui innove qui respecte la créativité. La strate des répétants, elle, n'a pas besoin d'avoir d'enfants créatifs. Bien au contraire : le répétant jalouse son enfant innovant.

Lorsqu'un membre de la strate des travailleurs répétant se trouve confronté à son enfant qui crée, il est bien plus décontenancé que son homologue qui a réussi à casser la créativité du sien.

Et la tentation de cogner pour ramener dans le droit chemin est plus grande.


Cette directrice d'école, Véronique Combret, qui nous traite, Julie Amadis et moi-même de menteurs, est l'exemple parfait de la limite intellectuelle qui est celle des répétants.

Cette strate, face à un défi, au lieu d'y trouver une occasion de se dépasser, de produire de l'innovation, de produire, de construire une nouvelle méthode.

Face à un petit Luciano de quatre ans qui la décontenance, tout ce qu'elle trouve à faire, c'est d'utiliser la fessée.

Et elle précise que cela ne la fait pas culpabiliser : elle énonce le fait de son refus des valeurs innovantes, des valeurs de la strate des innovants.


VALEURS ETHIQUES DES INNOVANTS


Préciser à Julie Amadis qu'elle n'éprouve pas de sentiment de culpabilité en utilisant avec le petit Luciano la même méthode que celle utilisée par l'ATSEM – la fessée – en précisant son absence de sentiment de culpabilité est une volonté ironique de strate : Cela signifie : « Nous la strate des répétants, nous refuserons de nous sentir coupables, nous refuserons de nous faire dicter notre conduite. »


Si un innovant, confronté à une situation pareille aurait créé du neuf, le répétant borné, lui, perpétue les « bonnes vieilles méthodes » : cogner les petits.

mardi 17 juin 2008

violence contre les enfants : Nous avons discuté avec Antoine Rufenacht sur un trottoir de l'avenue René Coty.

Julie Amadis et moi sortions du bureau de la responsable de la PEEP-Le Havre, Christiane Marais, lorsque face à nous s'apprête à traverser l'avenue René Coty, le maire de la ville Antoine Rufenacht.
Militant UMP RPR UDR UD 5°, il fut de toutes les aventures du gaullisme.

Nonobstant la frontière de classe qui nous sépare (le fossé), je me dirige vers lui au moment-même où il met le pied sur le passage pour piéton.
Il se retourne aimablement, fait demi-tour et m'écoute :
"Monsieur le maire, pouvons nous faire front commun sur UNE chose : on ne tape pas sur les petits de trois ans."

Il fut aimable, à l'écoute, attentif.

Nous lui avons rapporté la fessée contre le petit Kévin, trois ans, dont fut témoin Julie Amadis et la revendication de la directrice de la maternelle, Véronique Combret d'"en avoir fait autant" "avec Luciano", sans "avoir culpabilisé".
Il écouta.
Certes, il finit par donner raison à José Laboureur : ce ne fut pas surprenant, le ministre Darcos en a fait tout autant.
Mais tout en lui affirmant, que pour ma part j'avais soutenu le fils du gendarme et son père, pour éviter une polémique inutile, je lui ai rappelé qu'il s'agissait dans ce cas de petits de trois et quatre ans.
Julie Amadis réitéra son témoignage (elle avait déjà fait le signalement auprès du secrétaire de l'adjointe chargée de l'enseignement Dufour.)**

Lorsque, après près de 10 minutes d'échange, il tenta de conclure en renvoyant l'affaire en charge des services de l'Education Nationale, nous lui avons signalé que cela faisait plusieurs mois que ces faits délictueux s'étaient produits et que l'enquête n'a toujours pas eu lieu*.
Je lui ai fait remarqué que l'ATSEM qui était à l'origine de l'affaire en donnant une fessée au petit Kevin était employée, elle, employée municipale.

Il promit donc de se renseigner.
Nous nous saluâmes tous trois et reprîmes nos chemins.

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Va-t-on enfin trouver quelqu'un du camp d'en face, du camp du capitalisme, pour comprendre que faire du combat pour l'éradication de la violence n'est pas - EN TANT QUE COMBAT POLITIQUE - notre priorité, mais que, face au mensonge, à la calomnie dont se sont rendues coupables les deux brutes qui ont tapé et celle qui les protège, nous n'avons pas d'autre choix que d'élargir de plus en plus la surface de la médiatisation télématique en faisant connaître les positions que chacun prend dans cette affaire.
Des membres de classes exploiteuses devraient enfin reprendre leurs esprits et se décider à faire cesser la violence contre les petits de trois ans AVANT la révolution.


*L'inspecteur d'Académie en résidence au Havre avait dit, le 19 mars 2008, à une délégation syndicale qu'il convoquerait Julie Amadis : il ne l'a jamais convoquée.
De plus, menacée d'une interruption de son salaire, elle avait eu au téléphone le reponsable des affaires juridiques du rectorat de Rouen le 27 mars.(sur le double conseil de madame Marais de la PEEP du Havre et de la responsable du SNES de Rouen.)


**Julie me signale qu'elle a envoyé - de surcroit - un mail à la chef du service de coordination et gestion du personnel, de la mairie du Havre, madame Martinet, le 19 mai 2008.
Cette madame Martinet a répondu le lendemain que le nécessaire avait été fait : [le détail sera donné par Julie Amadis dans sa chrono, en finalisation d'édition]

自由伊恩Tsen的加速度。- The acceleration of Freedom Ian Tsen - L'accélération de Liberté Ian Tsen

Le matin du 1° janvier 2009, la taïchonaute (astronaute) Liberté Ian Tsen fit accélérer sa fusée.
Elle choisit délibérément une accélération de 10 mètres par seconde².
Elle suivit une trajectoire rectiligne.

En matérialiste, elle savait que sa course accélérée dans la Galaxie allait avoir une fin.
Elle connaissait la date exacte à laquelle elle aurait atteint la vitesse de la lumière si elle avait maintenu cette accélération.

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The morning of the 1° January 2009, the taïchonaute (astronaut) Freedom Ian Tsen made accelerate its rocket.
It deliberately chooses an acceleration of 10 meters a second ².
It followed a rectilinear trajectory.
As a materialist, it knew that its race accelerated in the Galaxy was going to have an end.
She knew the exact date to which she would have reached speed of light if she had maintained this acceleration.
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1° 2009年1月的早晨, taïchonaute (宇航员)自由伊恩做的Tsen加速它的火箭。
它故意地选择10米的加速度第二²。
它跟随了一条直线弹道。
作为唯物论者,它知道在星系加速的它的种族打算有末端。
她知道她会到达光速的确切的日期,如果她维护了这加速度。
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Et toi, ami matérialiste, connais-tu cette date ?

Et vous, crétins relativistes, la connaissez-vous, cette date ?
Ou bien, est-ce que vous supposez, comme certains abrutis de vos amis qu'il est possible d'accélérer sans jamais s'interrompre ? (ce que Einstein n'a jamais écrit).
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And you, friendly materialist, do you know this date?

And you, relativistic cretins, do you know it, this date?
Or, do you suppose, as certain morons of your friends who it is possible to accelerate without never stopping? (what forever written Einstein).
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并且您,友好的唯物论者,您是否知道这个日期?

并且您,相对论性的愚侏病者,您是否知道它,这个日期?
或者,您是否假设,作为加速,无需从未停止您的朋友的某些蠢人是可能的? (什么永远书面爱因斯坦)。






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sci.physics, tw.bbs.sci.physics, fr.sci.physique, fr.sci.astrophysique,fr.sci.philo
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L'auteur de ce texte est actuellement sous la menace d'une inculpation pour diffamation. Cette plainte, déposée par Véronique Combret (que j'accuse d'avoir tapé Luciano 4 ans et que j'accuse de soutenir sa femme de ménage qui a tapé Kevin 3 ans).
Cette directrice d'école maternelle accuse le témoin Julie Amadis de mensonge. Elle a le soutien de la co-plaignante Carole Hervieu qui la soutient dans sa tentative d'étouffer l'affaire : elle est allé jusqu'à menacer son employée Julie Amadis d'interrompre son salaire.
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The author of this text is currently under the threat of an inculpation for slandering. This complaint, deposited by Veronique Combret (whom I show to have typed Luciano 4 years and that I show to support his cleaning lady which typed Kevin 3 years).

This maternal principal shows the witness Julie Amadis of lie. She has the support of the Co-plaintiff Carole Hervieu who supports it in her attempt to choke the business: she went as far as threatening her employee Julie Amadis to stop her wages.

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这文本的作者当前是在控告的威胁外诽谤的。 这怨言,放置由Veronique ・ Combret (谁我显示把被键入的Luciano 4年,并且我显示支持他的清洁女工的那哪些键入了凯文3年)。

这位母亲校长显示谎言的证人朱丽Amadis。 她有支持它在她的尝试堵塞事务Co原告Carole Hervieu的支持: 她去就威胁她的雇员朱丽Amadis停止她的薪水。

lundi 16 juin 2008

Les Tchadiens sont maîtres chez eux ! Bas les pattes ! Troupes EUFOR dehors ! Cessez d'assassiner les Africains !


"Abderaman Koulamallah, un autre porte-parole de l'Alliance, a affirmé que les rebelles disposaient de "500 à 600 véhicules représentant 7.000 à 8.000 hommes", soit près du double que lors de l'offensive de février.

Fort de la chute de l'hélicoptère, la rébellion a également menacé de s'en prendre aux avions français qui dans le cadre de la mission Epervier, le dispositif militaire français en place au Tchad depuis 1986, fournissent "des renseignements" à l'armée tchadienne.

"Nous tenons à lancer un dernier appel solennel à la France pour qu'elle cesse immédiatement l'état de belligérance vis-à-vis des forces armées de l'opposition. Dans le cas contraire, les Bréguet-Atlantique et autres Mirage, seraient désormais des cibles de notre DCA", a affirmé Ali Gueddei."


Il va de soi que les patriotes tchadiens sont maîtres chez eux : face aux gangsters tchadiens imposés par les armées d'occupation (armée française et EUFOR), ils ont l'absolue légitimité d'utiliser les moyens qui leur semblent les plus adéquats.
Toute force militaire qui s'interpose entre la révolte du peuple et la dictature de Pétain-Laval est destinée à être combattue militairement. La déclaration de Ali Gueddei est d'une légitimité absolue à l'égard du droit international.

La reculade récente de Kouchner est plus que symptômatique : Il connait la décomposition avancée du gang compradore Déby.
La crainte de Kouchner est donc très simple à comprendre : une défaite du Pétain-Laval avec une participation active et visible des troupes d'occupation risquerait de soulever un enthousiasme gigantesque en Côte d'Ivoire, au Cameroun et dans tous les pays victimes du colonialisme Bolloré-Sarkozy.
La mortalité infantile (Un bébé sur dix meurt de la faute de sarkozy-Bolloré) va déclencher la colère de nos cousins africains, la mort de 3 millions de bébés par an (recencement officiel INED 2005) va déclencher prochainement une insurrection de tout le continent contre les forces d'occupation.

Il a fallu le déshonneur des généraux français qui ont trahi leur parole sur l'aéroport de N'Djaména pour que le dictateur ne tombe pas : contre leur promesse, ils ont laissé décoller les hélicoptères des mercenaires étrangers : ces criminels sont alllés , d'hélicoptère, fusiller les combattants des forces de libération dans les rues de N'Djaména.

Cette fois-ci, il est possible que la dictature chute : on attend l'ouverture des archives pour montrer l'implication de l'esclavagiste Vincent Bolloré dans la tragédie tchadienne.

La libération du continent sera hâtée par la mise en lumère complète des crimes de tous les pillards, de tous les esclavagistes, de tous les voleurs, les gangsters.
Nicolas Sarkozy et Vincent Bolloré seront parmi les premiers extradés vers le tribunal des peuples pillés, vers le Nuremberg de l'Afrique que nous attendons avec impatience, vers le jugement des criminels que la révolution sur le sol français et sur le continent africain permettront.

Bac philo 2008 : La loterie des charlatans

les sujets par aol

"Série L (littéraire) coefficient 7:
- La perception peut-elle s'éduquer ?
- Une connaissance scientifique du vivant est-elle possible ?
- Expliquer un extrait des "Cahiers pour une morale" de Sartre.
Série S (scientifique) coefficient 3:
- L'art transforme-t-il notre conscience du réel ?
- Y a-t-il d'autres moyens que la démonstration pour établir une vérité ?
- Expliquer un extrait de "Le monde comme volonté et comme représentation" de Schopenhauer.
Série ES (économique et social) coefficient 4:
- Peut-on désirer sans souffrir ?
- Est-il plus facile de connaître autrui que de se connaître soi-même ?
Expliquer un extrait de "De la démocratie en Amérique" de Alexis de Tocqueville"

Une nouvelle fois la loterie truquée des charlatans de la pseudo philosophie officielle va trier le bon grain de l'ivraie. Le bon grain conformiste des perroquets serviles et l'ivraie nauséabonde des rebelles innovants et critiques.

De la philosophie ?

Examinons et étudions ces sujets du point de vue de ce qu'est réellement la philosophie -science globale pour les Anciens et science de la globalité du réel pour les Modernes.
On a ajoutera un joker pour certains sujets : qu'est-ce qu'un candidat honnète et formé aurait pu faire de commentaire scientifique en relation avec chaque sujet (sujet hors sujet, naturellement)

Série L (littéraire) coefficient 7:
La perception peut-elle s'éduquer ?

Charlatanisme : l'étude de la perception relève de la psychologie et de la biologie des capteurs exogènes.
Qu'est-ce que ce sujet vient faire en philosophie ?
On retrouve là la prétention des charlatans philosophe à se renvendiquer d'une « science » psychologique à deux balles.
Qu'est-ce qu'ils connaissent de l'état actuel de la recherche en biologie.
Quand on voit que, pour ce qui concerne la simple perception des nombres, la recherche officielle, elle-même, en est restée à la méthode syllabique.
Il suffit de lire Stanislas Dehaene pour constater que l'orthodoxie en est encore à ânonner les idioties de Piaget, basée sur des expériences partielles et partiales.
Quant à la psychologie globale : La main-mise des partisans de la pulsion de mort a fait que la construction de la psychologie en tant que science est un objectif qui semble ne pouvoir être, simplement, entrepris qu' après le commencement de la révolution.

Quant à la véritable science philosophique :

Je suis prêt à faire le pari que sur 500 000 candidats, le nombre de ceux qui connaissent le mot « gnoséologie » est inférieur à 5 000 , inférieur à 1 % de l'échantillon globale.
Je suis prêt à faire le pari que le nombre de candidats qui auront lu le principal livre de gnoséologie du 20° siècle, le principal livre de gnoséologie écrit de toute l'histoire humaine est inférieur à 500 candidats. (0,1 %) (et je compte large : on m'annoncerait « moins de 5 » que je n'en serais même pas surpris !


On pourrait tout autant s'interroger sur le nombre d'examinateurs qui aurait lu ce livre.
Comment prétendre faire de la phisolosophie sans avoir lu et étudié « Matérialisme et empiriocriticisme » ?
Charlatanisme ! Escroquerie ! Tromperie sur la marchandise !
Il faudrait une Direction Générale de la consommation de livres scientifiques !

Quant au fait que ces ignares auteurs de sujets soient susceptibles d'être éduqués : cela commencera par la publication de leurs noms et par la mise en ligne (vidéo et audio) des débats qui auront été les leurs, lors de l'élaboration et des choix de ces sujets.




Une connaissance scientifique du vivant est-elle possible ?

« Oui ! »

Si un candidat me présentait son devoir avec cette unique ligne, je lui mettrais 19/20.
Le point supplémentaire que je lui accorderais serait obtenu par l'ajout de la mention suivante : « ce sujet est idiot »

Va-t-on présenter comme sujet à des élèves la question suivante : « la science est-elle possible ? »
Le simple fait de leur poser la question contient la réponse : c'est le fait que l'esprit humain soit capable de distinguer deux choses, deux faits, deux évènements – la cause et l'effet – qui rend la science possible.
Poser la question à quelqu'un incapable de faire cela est absurde.
La poser à quelqu'un qui sait le faire est une tautologie : « es-tu capable de comprendre ma question ? »

Comment quelqu'un peut-il répondre non ?

Un véritable devoir de philosophie aurait pu être :
« Donnez, dans le cadre des sciences biologiques (à l'exclusion des sciences physiques et des sciences humaines) des exemples de lois philosophiques, des exemples de lois scientifiques globales (valables dans les trois domaines de la science)
Peut-on considérer que la courbe de la dérivée seconde de la courbe logistique, courbe qui peut modéliser un réflexe musculaire est une loi philosophique ?

Donnez des exemples, dans le cadre des sciences humaines, de cette courbe dérivée seconde.
Voilà ce que seront les défis que les détenteurs du savoir lanceront – après la révolution – à celles et ceux qui voudront obtenir des pistes de recherches , pour leurs propres travaux de génies en construction.
Ces « défis » qui ne seront pas notés mais qui seront mis en ligne pour la lecture ces gens intéressés remplaceront ces imbéciles devoir dignes de confucianistes ignorants et imbus d'eux-mêmes.

En annexe :
Je sais, pour l'avoir expérimenté, que les actuels professeurs de philosophie sont parfaitement incapables de traiter le sujet philosophique que je propose ci-dessus.



Expliquer un extrait des "Cahiers pour une morale" de Sartre.
(Je ne dispose pas encore du texte de l'extrait)

Sartre est un charlatan baratineur. Son usage de certains mots appartenant à la science philosophique relève du même type d'escroquerie que l'escroquerie lacanienne.
Sartre est à la philosophie ce que Lacan est à la psychologie.
Ce collaborateur de l'art qui fit jouer ses pièces, à Paris, sous l'occupation de la barbarie nazi ne mérite, sur le plan humain, qu'un crachat symbolique.
Les ouvrages qu'il commit dans les années qui suivirent ne sont que sa lâcheté mise en mots.
Etudier ses livres, pour un philosophe scientifique, n'est qu'une perte de temps absolue.
Un psychologue scientifique de la deuxième moitié du 21° siècle pourra, éventuellement, perdre son son temps à étudier le syndrome de la lâcheté masqué entre les lignes de ses oeuvres.

Mais comme il existe une rédemption laïque, on signalera, néanmoins, qu'à l'approche de la mort, Sartre, sans doute sous la pression morale d'une bande de jeunes disciples, fut saisit de courage et accepta de devenir directeur de publication du journal du maoïsme de la Rue d'Ulm et, donc, de prendre le risque (symbolique) de poursuites et de prison.
Son secrétaire, Benny Lévy, alias Pierre Victor, fut, avec Robert Linhart, un des accusés du procès contre la direction maoïste française. Ce procès politique fut organisé par le procureur politique Jacques Broyelle. On peut lire le passionnant livre Génération de Hervé Hamon et Patrick Rotman page 585 et suivantes.
La lecture, 40 ans plus tard, permet de comprendre que Robert Linhart était celui qui était le plus proche de la comprehension de ce qui se passait : c'était la formoisie qui était en train de construire un simulacre de révolution.
Il fallait accompagner la pseudo révolution formoise, stimuler l'auto-organisation révolcable pour préparer la transcroissance vers une véritable révolution anticapitaliste.

Mais ni l'âne politique Sartre, ni l'âne en philosphie Althusser n'étaient capables de fournir les clés conceptuelles pour actualiser le marxisme.
Il est préférable pour quiconque veut user son temps et son argent d'acheter et de lire le livre Génération que quelqu'oeuvre que ce soit de Sartre.
Le courant intellectuel maoïste fut poussé à la dégérrescence par les mauvaises fées qunrent parasiter ce mouvement : l'âne Althiusser, l'âne Sartre et , pour combler l'épquipe, l'âne Lacan qui s'infiltra dans la bande par l'entremise des frères Miller (Le Gérard Miller de Ruquier et le Jacques-Alain Miller psychanalyste).
Tous ces gens sont perdus pour la révolution.




Série S (scientifique) coefficient 3:
L'art transforme-t-il notre conscience du réel ?

La conscience du réel ? Qu'est ce que cela vient-il faire en philosophie ?

Comme au-dessus, s'il s'agit de gnoséologie, il faut dire. Mais, dans ce cas, qu'est-ce que l'art vient faire dans ce thème ?
S'il s'agit d'éudier les mécanismes du cerveau humain, nous sommes face à un sujet de psychologie qui n'ose pas dire son nom.
Escroquerie !

Un auteur de chanson pourra expliquer, plus tard, aux chercheurs en psychologie, en quoi la musique, la pratique de la musique, la création d'oeuvres artistiques sont l'HUILE moteur du cerveau humain, au cours de la pratique scientifique, au cours de la recherche de concepts scientifiques et de leur vérifications expérimentales, elles sont l'huile qui permet aux rouages de coulisser sans échauffement.
Les chercheurs de l'avenir pourrront découvrir, avec surprise, l'apparition de suites de strophes, de couplets, sur mes cahiers de recherches scientifiques pro-newtoniennes.
Cela n'a rien de surprenant.
Mais tout cela relève de la science psychologique et n'a strictement rien à faire en science philosophique.

Un sujet similaire à celui proposé par les charlatans qui ont commis ces sujets aurait pu être : « faire l'amour favorise-t-il la découverte de nouvelles théories scientifiques ? »
N'importe qui – même si la réponse à cette question est , naturellement, positive – comprendra que ce sujet, cette question , n'a strictement rien à faire en philosophie.


Y a-t-il d'autres moyens que la démonstration pour établir une vérité ?

On a là un parfait exemple du fonctionnement de la secte qui a pris le pouvoir dans l'Education Nationale.
La réflexion de Le Bihan a son application parfaite.
Connivence : qu'est-ce qu'une démonstration ? Qu'est-ce qu'une vérité ?
Le malheureux philosphe de l'Antiquité, de la renaissance ou des temps modernes se feréait bouler : il n'aura pas pris connaissance du jargon de la secte charlatanesque.
Un malheureux scientifique qui aura séché les cours de « philosophie » de terminale et qui croira que ce qu'il appelle « démonstration » scientifique est suffisant à sa connaissance, se fera bouler.

Une nouvelle fois, la gnoséologie est enveloppée d'un fatras !
De quoi s'agit-il ?


La vérité ? En philosophie scientifique, la seule et unique vérité, c'est le monde réel.
Il n'existe rien d'autre que le choc ininterrompu des atomos : Mon manifeste matérialiste l'expose et fait le rappel de l'ancienneté de cette thèse scientifique philosophique et de sa conformité avec les recherches des véritables découvreurs.
A commencer par Newton qui considérait que la gravitation était certainement le choc des grains de lumière sur les objets (comme « le vent dans les ailes des moulins »)

A cette vérité de la réalité objective, s'ajoute une deuxième vérité (incluse dans la première, d'ailleurs), celle de la connaissance que les entités intelligentes peuvent avoir de cette réalité objective.

Cette connaissance peut être plus ou moins précise, plus ou moins fidèle – tel un dessin fait de loi ou de près, dans le brouillard ou en pleine lumière. - mais elle est, strictement le reflet de la réalité.

La gnoséologie (partie de la science philosophique) nous apprend que la méthode einsteinienne qui consiste à construire, librement, des règles issues du cerveau imaginatif d'individus surhumain, n'est pas de la science.
La science ne peut pas être autre chose que le reflet de la réalité : une science terrienne est aussi la science des êtres intelligents qui vivent à l'autre extrémité de la Galaxie, de la Voie Lactée : il n'y a pas DEUX sciences.


Quant à « établir une vérité » ?
Cela n'est rien d'autre que construire des lois scientifiques.
Si ces gens-là) connaissent d'autres pratiques pour « établir une vérité » que de construire les lois scientifiques (ou – éventuellement – en vérifier la conformité avec des données expérimentales) ce ne pourront être que des pratiques de rebouteux.
Enfin : « la démonstration » ?
Une nouvelle perte de temps : s'il s 'agit de monter un protocole expérimental, il fait le dire, s'il s'agit de transmettre (pédagogie) à quelqu'un , la connaissance de ce protocole, de ces expériences, etc... il faut le dire.
Mais il est certain que les rebouteux qui ont écrit cela sont ignares de la physique, de la véritable science et qu'ils ne comprennent rien, ni à Newton, ni à Lénine philosophe.


Expliquer un extrait de "Le monde comme volonté et comme représentation" de Schopenhauer.

J'ai vécu jusqu'il y a quinze jours en ignorant la biographie et les oeuvres de ce monsieur.
Que la bourgeoisie dégénérée et responsable de la destruction climatique de la Terre en vienne encore à le citer n'est qu'un symptôme supplémentaire.
Que Newton ne soit toujours pas numérisée sous forme littérale sur le site de la BNF, que Newton ne soit toujours pas consultable -en français- à l'aide d'un moteur de recherche révèle l'abandon de la science par cette classe qui fut voltairienne.
Qu'elle propose à sa jeunesse les oeuvres d'un inutiles quand les génies sont rangés dans les placards est plus qu'un aveu.
Ils ont failli brûler Galileo Galilei, ils cachent Newton, ils proposent Schopenhauer comme un auteur de philosophe : l'année prochaine, ils feront plancher les impétrants sur Heidegger et commenter le fasciste Heisenberg ! Pourquoi s'arrêter en si bon chemin.



Série ES (économique et social) coefficient 4:
Peut-on désirer sans souffrir ?

Psychologie à deux balles !
Celui qui met ça sur sa copie, je lui mets 17/20.
Celui qui ajoute : cela n'a rien à faire en philosophie aura les trois points supplémentaires.
De qui se moque-t-on ?

La psychologie scientifique branchera des capteurs pour étudier les mécanismes à l'oeuvre dans les deux cas.
Pour le reste, cette partie sadomaso de la psychologie pourra attendre quelques décennies avant que de devenir à objet d'études principal.

Un élève de ES pourrait faire un intéressant exposé sur la relation entre le désir et la loi du marché.
Tous les ouvrages de sciences économiques font constamment la confusion entre l'utilité et la perception psychologique de l'utilité.
Le fait que le désir et l'envie - basés sur la personnalité propre de l'individu – soient constamment manipulés par les publicitaires au service des actionnaires capitalistes rend l'économie libéral un souvenir utopiste.
Et donc, cela empêche de maximiser la productivité – qu'elle soit instantanée et nationale ou qu'elle soit productivité historienne terrienne.
Mais ce n'est pas de la philosophie.

Une loi philosophique, la transformation quantité qualité, permettrait de comprendre que ce gaspillage de ressources, à produire des gadgets, aura une transcroissance qualitative .
Ce sera la révolution anticapitaliste, la révolution égalitariste.
Elle permettra de mettre en place un véritable libéralisme.



Est-il plus facile de connaître autrui que de se connaître soi-même ?

Pour faire fonctionner leur petite baraque de faux philosophes, les charlatans font régulièrement une incursion dans le domaine de la psychologie.
Le gnauti seauton de Socrate (qu'il a piqué à Delphes, sur le temple – je l'ai découvert depuis peu), son « connais-toi toi-même » sert de caution aux charlatans.
Ils auraient l'autorisation de traiter ce sujet sous l'angle de leur prétendue science.
Amusons-nous!

Imaginons un protocole expérimental qui permettrait de conclure que la loi émise par le rigolo qui a pondu le sujet est vrai.
Quel protocole expérimental permettrait de prouver que « il est plus facile de connaître autrui que de se connaître soi-même ? »


Le simple fait de déclencher le sourire du lecteur à cette idée de construire un protocole expérimental est révélateur de l'état actuel du charlatanisme.
Ces prétendus professeurs de philosophie sont de prétendus professeurs de science.
Mais ils le sont comme le Canada dry.
Ils se gardent bien d'écrire sur leur porte : cours de philosophie scientifique. Ils savent qu'ils pourraient être poursuivis par l'opinion publique pour imposture.
Ils se gardent bien d'écrire sur leur porte : « cours de psychologie » ou « cours de psychologie scientifique »..

Mais ils ont l'outrecuidance de prétendre avoir des réponses sur le thème :
Est-il plus facile de connaître autrui que de se connaître soi-même ?

Ils n'en savent strictement rien. Leur ignorance est absolue.
Leur ignorance est aussi grande que l'ignorance de tous ceux qui n'ont pas encore compris ce que sera la psychologie scientifique.... Nous tous !

Car la psychologie scientifique est à construire.




Expliquer un extrait de "De la démocratie en Amérique" de Alexis de Tocqueville

en cours (je vais, tout à l'heure, piocher le texte pour le commenter : bien que j'en sois très sceptique : doit-on faire un commentaire de droit constitutionnel ?)

dimanche 15 juin 2008

Violence à l'école : On laisse le personnel de l'Education nationale taper les enfants

Je finis la chronologie que je vais publier d'ici demain ou après-demain.

J'ai passé une heure au commissariat de police : c'est le témoin qui subit des pressions et des menaces de poursuite.
La coupable Véronique Combret et son ATSEM osent dire que j'ai menti.

Ce sont des menaces pour tous les témoins de violences contre les enfants.

J'ai chanté "la brute soutient la brute", en faisant les choeurs en soutient à Yanick Toutain : il n'a fait que rapporter ce' que j'ai vu et entendu. Il a passé deux heures, mercredi, au commissariat de police.

Il est curieux que ces deux personnels de l'Education Nationale n'aient eu aucune sanction. Aucune enquête n'a été faite alors que je suis allée jusqu'à écrire à l'Inspecteur d'Académie du Havre qui a dit aux syndicats qu'il me convoquerait et qui ne l'a jamais fait. Il n'a pas tenu parole.
Le responsable des affaires juridiques du rectorat (au téléphone) a été informé.


J'appelle à soutenir Yanick Toutain parce que c'est un combat contre la violence faite aux enfants et pour la protection des témoins.

J'ai moi-même, vécu un harcèlement, pendant 5 mois, menaces de retenue sur salaire (534 euros) et je ne suis pas soutenue par les collègues du collège Varlin (qui me font - quasiment tous - la gueule)

La menace est 45 000 euros d'amende.



Faites connaître le YouTube : "La brute soutient la brute"