Cher monsieur Jules Anonyme,
c'est pour une consultation juridique gratuite en ligne que je vous poste ce billet.
Je connais votre existence pour avoir cliqué sur le lien donné – dans IN MEMORIAM HADOPI -par votre « collègue » anonyme qui signe sous le pseudonyme de « Maître Eolas ».
Il semble vous apprécier, ou, à tout le moins, apprécier suffisamment vos écrits qu'il en donne le chemin sur son blog.
C'est la raison pour laquelle – si vous n'y voyez pas d'inconvénient – vous allez pouvoir me servir d'intermédiaire.
J'ai déposé un texte - à lui destiné - sur son blog « Maître Eolas », texte portant sur le problème du fructus – de la propriété - des oeuvres immatérielles et de l'atteinte inéluctable aux libertés par l'existence-même de ce fructus – par la nécessité inéluctable d'exercer une surveillance absolue de la totalité des communications privées de la totalité des Humains ainsi que de la totalité de leurs activités publiques et privée (depuis les départs en retraite (Affaire Hugues Aufray ici ou là) jusqu'aux réunions amicales : projections pirates privées dans des « caves familiales clandestines » etc ...).
Sans attendre qu'il apparaisse, dès mon clic d'envoi, j'en ai publié une copie sur mon propre blog. Sous le titre : HADOPI : une réponse chez "Maître Eolas". Innovoisie et libertés
Mais – hélas !!! - le texte en question n'apparut point à l'adresse maitreEolas.
J'en posai la question par un commentaire à vocation légèrement ironique, confit de cet humour délicat qui est – fréquemment – le mien quand la colère se mêle à l'interrogation : « Est-ce encore un bug incompréhensible ? Suis-je paranoïaque ? Ou sont-ce encore les grandes manoeuvres de l'une des trois classes exploiteuses tentant de freiner la diffusion des thèses scientifiques mettant en lumière leur pouvoir de nuisance ? »
Miracle !
Il paraît ! Sous le numéro 197.
197. Le vendredi 12 juin 2009 à 17:51, par YanickToutain
Subirais-je une censure ?
... ou un bug malencontreux aurait-il égaré mon billet-réponse ?
Je vote donc « le bug » et reposte derechef mon texte initial – miraculeusement préservé conforme à l'original dans l'historique Mozilla.
Et bing ! Pas plus de publication qu'à la première tentative !
Voilà donc l'objet de ma consultation juridique :
1° Si nous laissons de côté le débat sans fin, derrière lequel l'anonyme Eolas pourrait se protéger du fait que la publication de ma réponse est apparue sur mon blog Google-Blogspot AVANT qu'il ne la valide sur son site « Maitre Eolas » et que donc cette première publication hors de son propre blog transforme – ipso facto – la nature de la validation de mon commentaire-réponse à son article en simple COPIE d'un texte publié par ailleurs.... publication première qui me transforme en directeur de publication de ce texte. Si l'on laisse de côtés ces arguties juridiques pour vacancier juriste par temps maussade, en Bretagne....
2° On est amené à s'interroger – et je souhaiterais une réponse de votre part – sur les mobiles, juridiquement valides, qui pourraient avoir justifié ce qui m'apparait – subjectivement encore – comme une censure en bon et due forme.
3° Donc : A part le fait que quelqu'un pourrait s'estimer diffamé quels pourraient donc être les autres considérants de monsieur Eolas ?
4° Si nous restons, en conséquence, sur l'hypothèse d'une crainte de plainte en diffamation, ma question porte sur les aspects suivants :
a) Une classe sociale peut-elle s'estimer diffamée ?
« Les bourgeois sont comme les cochons »
est-il une phrase légale ?
est-il une phrase susceptible de recours juridique ?
b) Une classe sociale dont la conceptualisation (1996) est oeuvre de l'esprit du potentiel diffameur a-t-elle un statut juridique semblable à celui d'une classe sociale dument enregistrée dans les tables de l'officiel marxisme ?
« L'innovoisie est un repaire de fascistes »
relève-t-il des mêmes éventuels articles de droit que
« La classe capitaliste est un repaire de fascistes » ?
c) Traiter de « prétendues » les innovations de cette classe – l'innovoisie – peut-il relever des textes concernant la diffamation ? Les dénonciations calomnieuses ?
d) « Menacer » le principal avocat médiatique de cette classe – Denis Olivennes – de se voir « couper son accès aux mots » du fait qu'il n'a jamais versé de « droits d'auteur » à aucun des ayants droit héritiers des inventeurs de ces mots peut-il – juridiquement - être considéré comme une menace ? Le fait que cette « menace » prétendue serait décrite comme étant un acte souverain du futur État Égalitariste postérieur à une révolution – elle-même égalitariste, pourrait-il être considéré comme une circonstance ? Aggravante ? Atténuante ? Enoncer le pronostic que l'individu privé de son accès aux mots se « mettra à pousser des cris de singes » est-il admis en tant que « pronostic historique » ? En tant que « pronostic scientifique » ? LIRE : UNE DÉCOUVERTE HISTORIQUE POUR LA SCIENCE ÉCONOMIQUE :LES DROITS D'AUTEUR DE NOS ANCÊTRES, la productivité héritée de tous nos grands parents
citation
OLIVENNES EN CHIMPANZÉ HURLEUR
Quand Olivennes sera devenu aphasique, quand il se mettra à pousser des cris de chimpanzé hurleur*, on verra bien si la lucidité lui revient.(...)
Car cela ne sera que justice !
Cet Olivennes refuse de nous verser les droits d'auteur pour l'invention des mots... hé bien... œil pour œil, dent pour dent,
NOUS ALLONS LUI COUPER SON ACCÈS AUX MOTS....
Il ne veut pas payer les ayants droit de l'invention du vocabulaire, hé bien, ce sera son accès au_ vocabulaire qui sera coupé !!!!!
Entre la coupure Internet que ce racketteur prétend opérer et le coupure accès aux mots qu'on lui fera subir, on verra où se trouve la productivité principale !!!
Quand il se mettra à hurler autour de la pièce en poussant des cris de chimpanzés avec ses amis de la SACEM, quand les Goldman, les Le Forestier, les Cabrel, les Renaud, se mettront à danser en rond, de fureur, en poussant des cris de chimpanzés, nous verront bien s'ils se décident à nous payer le montant énorme de ce qu'ils nous doivent.
Quand Sarkozy, aphasique, sera, lui aussi, privé de l'usage des mots, pour non-paiement des droits d'auteur, nous verrons bien si la classe bourgeoise dont il est le laquais est capable de lui fournir de nouveaux mots.
Nous verrons bien si tous ces bourgeois, soi disant indispensables à l'économie, sont capables de produire des mots de substitution.
Nous verrons bien si ces innovois de la SACEM sont capables de produire des mots, des chiffres pour remplacer tous ceux que nos ancêtres ont inventés.
Le fait que le requérant Olivennes puisse – par la présentation d'un arbre généalogique complet – prétendre être « un des descendants » de « l'inventeur des mots » pourra-t-il influencer le tribunal ?
e) Le fait d'invoquer Antigone - qui s'opposa au tyran Créon - serait-il de nature à faire craindre à monsieur Eolas une tentative de perquisition de son ordinateur ? Une garde-à-vue ? Un traitement abject et humiliant ? Des pratiques que les sociétés civilisées considéreront un jour comme le strict apanage professionnel des proctologues assermentés – traitement barbare qu'aucune grève d'avocat n'a – semble-t-il – encore réussi à interdire définitivement ?
f) Le fait d'utiliser l'expression « ces voleurs de la SACEM » concernant un groupe qui trouva les protections nécessaires lors de la Libération de la France pour se mettre à l'abri de la dissolution pour ses pratiques de collaboration avec le régime nazi, ainsi que pour ses pratiques du plus abject antisémitisme ferait-il hésiter un défenseur des libertés publiques ? Le fait que ce groupe privé – au passé crypto-fasciste – soit l'équivalent de ce qu'était – avant 1789 – la Ferme Générale autorise-t-il le citoyen lambda à traiter ce groupe avec les mêmes termes que les historiens traitent les gangsters racketteurs qu'étaient les Fermiers Généraux et ses actionnaires de la bourgeoisie parasitique (en compagnie de leurs alter-ego de la noblesse girouette) ?
Wikipédia:
La spoliation des auteurs juifs pendant la Seconde Guerre mondiale [modifier]
Une commission parlementaire a été chargée par le gouvernement Français d'enquêter sur d'éventuelles spoliations pendant la Seconde Guerre mondiale. Il apparaît que la décision de ne plus reverser les droits des auteurs juifs semble avoir été une décision prise de manière autonome par les dirigeants de la SACEM. (source l'Express, le 01/07/99, [2] et l'Express le 04/05/2000 [3])
Le fait que ce groupe SACEM soit le mandant privé d'une couche sociale – musicale – appartenant à une classe sociale exploiteuse qu'est l'innovoisie peut-il être énoncé ? Peut-on seulement utiliser le terme « classe exploiteuse » ? Contre l'innovoisie ? Contre la formoisie – bourgeoisie des diplômes, bourgeoisie de la formation ? Contre la bourgeoisie des actions – bourgeoisie des machines ?
Le terme « classe exploiteuse » peut-il être substitué au terme « classe des voleurs » ?
g) Le fait de réclamer la distribution du fructus des oeuvres de Puthagoras-Pythagore et de Isaac Newton pour tous les héritiers est-il attentatoire à l'ordre public ?
h) Le fait que la mise en oeuvre de cet objectif rende nécessaire la réalisation de 6 révolutions pose-t-il un problème juridique ? A qui ? Lequel ? Pour combien de temps ?
i) Le fait que TOUTES les révolutions victorieuses exercent des « représailles » contre les mandants des classes qui ont été abolies est-il constitutif d'un « délit par anticipation » ? Qui peut donc imaginer notre victoire future ?
j) Imaginer pareille victoire est-il légal ?
En vous remerciant par avance de vos conseils.
Je vous dépose le texte original ci-dessous.
Libre à vous de l'effacer et de ne laisser que le lien menant à sa lecture.
NB : N'agissant jamais dans le dos des gens, je publierai incessamment, la copie de ces questions sur le blog de monsieur Eolas. Ainsi que – comme je le fais toujours – sur mon propre blog.
Naturellement, sans l'annexe que constitue le texte initial : il est déjà sur mon blog Monsyte et monsieur Eolas – tout défenseur des libertés qu'il se revendique et tout pétri qu'il soit du droit des trafiquants de drogue à utiliser le code de procédure pénale pour narguer les victimes des poisons - y trouverait une raison suffisante de censurer – aussi – le texte présent.
Je joins, ici les deux NB qui figuraient sur le texte original. Mais pour éviter tout malentendu, le projet de délit de « mensonge d'avocat » est un projet n'ayant aucune particularité d'application pour maître Eolas ni aucun avocat individuellement. Il s'agit d'une mesure d'ordre public pour améliorer le futur « plaider coupable » de la justice post-révolutionnaire.
« NB 1: Toutes mes chansons, découvertes conceptuelles et créations sont GRATUITES !
NB 2: J'apprécie beaucoup l'intelligence du maître de ces lieux. Son approbation de la libération de gros dealers - code de procédure - m'avait extrêmement choqué. Le droit révolutionnaire égalitariste devra trouver comment empêcher cela.
Peut-être par une application locale d'un nouveau délit : "Le mensonge d'avocat".
Tout avocat pris en flagrant délit de mensonge sera condamné !
Mais ce débat outrepasse l'arborescence actuelle. »
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POST-SCRIPTUM :
La fenêtre commentaire de "Jules" buggue toujours.
Ma copie "lettre à Jules" n'a pas été affichée chez "Maître Eolas".
Mais mon commentaire supplémentaire vient de l'être. En voici la copie :
236. Le samedi 13 juin 2009 à 23:09, par YanickToutain
Peut-être que les trois lecteurs de ce site "Maître Eolas" qui ont cliqué sur le tout petit message - postérieur au grand - qui ne fut pas effacé trouveront intérêt économique, sociologique et donc - ipso facto -juridique trouveront intérêt à cette "Lettre à Jules" que j'ai tenté de poser successivement sur le blog du soupeur de Diner où - confronté à un bug persistant -
"Fatal error: Call to undefined function C4F_TextareaToolbar() in /home/jules/public_html/wordpress/wp-content/themes/mimbo/comments.php on line 110"
il m'est apparu logique de revenir ici poser cette Lettre-demande de consultaton jurudique gratuite.
Je voulais comprendre quels mobiles, quels motifs avaient pu amener le propriétaire de ce lieu à ne point valiser mon message d'hier :
HADOPI : une réponse chez "Maître Eolas". Innovoisie et libertés .
Mais, pas plus que le texte d'hier portant sur la classe innovoise et ses revendications totalement abusives, celui d'aujourd'hui subi l'ire effaceuse du maître de ces lieux.
Ce petit texte passera-t-il les Fourches Caudines salvatrices ?
HADOPI, "Maître Eolas", innovoisie. Lettre à "Jules". Consultation juridique gratuite en ligne