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samedi 20 juin 2009
Shanda Tomne, HAUT FORMOIS COMPRADORE, proto-innovois, EST UN RACISTE
Le peuple des milliardaires, au Nord et au Sud.
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"Sinon, l'histoire dira quel peuple Bongo a le PLUS servi, ou bien ?"
vendredi 19 juin 2009
Lettre à un apprenti philosophe : Y avait-il de la philosophie dans le charlatanisme « bac philo 2009 » ?
Je vous ai entendu parler jeudi matin. Un candidat qui espérait un sujet sur l' « espace et le temps ».
J'écrivais hier
« Tout espoir n'est donc pas perdu : le crétinisme sarkozyste, le crétinisme darcosiste n'a pas réussi à éteindre toute lueur d'intelligence à l'intérieur des écoles !!!
Mais quid de cette interrogation gnoséologique ?
Quel sujet pouvait donc ouvrir la porte à un des questionnements fondamentaux. Un questionnement fondamental pour le passé. Mais aussi pour le présent et pour l'avenir.
(…)
Aura-t-il seulement eu UNE possibilité de glisser UNE thèse philosophique dans les sujets donnés par les clowns ?»
C'est l'objet de ce nouveau texte. Après avoir démontré – hier, en abrégé – qu'il n'existait AUCUN sujet de philosophie dans les stupidités charlatanesques distribuées – en tant que sujets d'épreuve – par les clowns du mercenariat rhétorique, par les « clowns titrés professeurs » de « coaching philosophique », nous examinons, aujourd'hui, où pouvait bien se nicher de la véritable science philosophique au sein des clowneries d'hier.
Baccalauréat 2009 : les sujets de philosophie des filières générales
Information 18/06/2009
La session 2009 du baccalauréat a débuté avec l'épreuve de philosophie le 18 juin.
Retrouvez l'ensemble des sujets proposés aux élèves de terminale en filières générales.
Série L
1er sujet :
L’objectivité de l’histoire suppose-t-elle l’impartialité de l’historien ?
YT : absurdité. Les états d'âmes des scientifiques n'ont pas d'effet sur la vraie science. L'histoire appellera Sarkozy un criminel coupable d'un génocide sanitaire en Afrique. Cela n'est pas de la philosophie
YT2 : L'épistémologie historique n'est pas de la philosophie. Pour qu'une étude scientifique relève de la philosophie, le critère de base est le fait que cette étude puisse être conjointe aux domaines des sciences physiques, des sciences biologiques et des sciences humaines. Ce simple critère clarifie le « dilemme ». Il suffit de considérer alors « histoire humaine », « histoire du vivant » et « histoire de l'inanimé » pour mettre de la lumière là-dessus et faire révélateur de la duplicité du rédacteur du sujet : Quelle « impartialité » ou « non impartialité » de l' »historien du vivant » pourrait faire problème ?
L'explication est toute simple : « sujet » d'esclavagiste, « sujet » de colonialiste, question d'examen posée par un petit laquais de la France Occupante, pseudo « question philosophique » posée par un complice idéologique du crime colonialiste, un complice du génocide sanitaire qui assassine 3 millions de bébés africains chaque année.
Il s'agit pour ces « clowns titrés historiens » d'ouvrir la porte à la critique de ce qu'ils appellent la « repentance », il s'agit de masquer le vol que subit l'Afrique, vol annuel de plus de 1000 milliards d'euros. Vol perpétré par la gang Sarkzoy-Bolloré et les Troupes d'Occupation Colonialistes.
L'historien dont rêvent ces criminels et leurs complices est l'historien qui ne fera pas le parallèle entre la révolte de Spartakos – qu'ils persistent à appeler « Spartacus » - et la Révolution Africaine qui monte et qui les chassera. Un « historien » laquais et servile qui ne fera pas de comparaison entre Caius Julius Caesar qui déporta plus de UN million de Gaulois pour servir d'esclaves aux fainéants de Rome et les déportations colonialistes qui enrichirent la France, un « historien » servile idéologique qui ne fera pas de comparaison entre le policier raciste sarkozyste de 2009 et le policier raciste étasunien de 1850. Pas de comparaison entre la chasse aux esclaves en fuite – dans les États du Nord des USA de 1850 et dans la France de 2009.
Leur « historien impartial » n'est qu'un vil larbin.
Leur prétendue « objectivité » aboutirait, en « histoire du vivant » à refuser de nous réjouir de l'apparition de cette même vie au sein de l'inanimé;
Où donc la philosophie peut-elle donc se nicher dans ce sujet.
Nulle part.
Ou alors en creux : c'est précisément la négation des lois de la philosophie, dans les trois domaines qui permet aux idéologues de produire leur flagornerie habituelle.
En effet, la découverte de la Loi de la Transformation Quantité-Qualité (LTQQ) au sein de l'histoire de l'inanimé, c'est précisément le commencement de l'histoire du vivant.
C'est, en effet, une accumulation de quantités qui permit l'apparition du vivant. Accumulation d'atomOs en troupeau qui se sont grumelés de façon cyclique, avec des chocs se reproduisant à l'identique qui ont produit les photons.
Photons s'agglomérant - reproduisant cycliquement leurs configurations géométriques internes – les uns aux autres pour produire les atomES : Noyaux – protons, neutrons - et électrons.
Atomes s'agglomérant pour devenir matière inanimée.
Molécules s'agglomérant et, par la LTQQ devenir cellules du vivant.
Cette LTQQ a permis de passer des organismes les plus basiques aux animaux les plus évolués.
On remarquera que les accélérations et les ralentissements qui sont les modalités des trajectoires des électrons atomiques et celles des planètes autour de leurs soleils sont aussi les accélérations et les ralentissements des peaux des animaux aux trajectoires sinuantes. Accélérations de la peau du serpent – tournée vers l'extérieur - qui doit augmenter sa vitesse pendant que sa peau à l' « intérieur » ralentit son trajet en se contractant. Cela n'est que le reflet moteur de l'alternance contraction dilatation mis en lumière par Wilhelm Reich. Ainsi qu'il mit en lumière la contradiction dialectique entre le système sympathique et le système parasympathique.
La transformation de la quantité en qualité fut découvert par Hegel mais son caractère de loi philosophique fondamentale fut énoncé par Friedrich Engels.
Extraits de « La dialectique de la nature » de F Engels.
LA DIALECTIQUE
Retour à la table des matières
(Développer le caractère général de la dialectique en tant que science des connexions, en opposition à la métaphysique.)
C'est donc de l'histoire de la nature et de celle de la société humaine que sont abstraites les lois de la dialectique. Elles ne sont précisément rien d'autre que les lois les plus générales de ces deux phases du développement historique ainsi que de la pensée elle-même. Elles se réduisent pour l'essentiel aux trois lois suivantes:
- la loi du passage de la quantité à la qualité et inversement;
- la loi de l'interpénétration des contraires;
- la loi de la négation de la négation.
Toutes trois sont développées à sa manière idéaliste par Hegel comme de pures lois de la pensée : la première dans la minière partie de la Logique, dans la doctrine de l'Être ; la seconde emplit toute la deuxième partie, de beaucoup la plus importante, de sa Logique, la doctrine de l'Essence ; la troisième enfin figure comme loi fondamentale pour l'édification du système tout entier. La faute consiste en ce que ces lois sont imposées d'en haut à la nature et à l'histoire comme des lois de la pensée au lieu d'en être déduites. Il en résulte toute cette construction forcée, à faire souvent dresser les cheveux sur la tête : qu'il le veuille ou non, le monde doit se conformer à un système logique, qui n'est lui-même que le produit d'un certain stade de développement de la pensée humaine. Si nous inversons la chose, tout prend un aspect très simple, et les lois dialectiques, qui dans la philosophie idéaliste paraissent extrêmement mystérieuses, deviennent aussitôt simples et claires comme le jour.
D'ailleurs quiconque connaît tant soit peu son Hegel sait bien que celui-ci, dans des centaines de passages, s'entend à tirer de la nature et de l'histoire les exemples les plus péremptoires à l'appui des lois dialectiques.
Nous n'avons pas ici à rédiger un manuel de dialectique, mais seulement à montrer que les lois dialectiques sont de véritables lois de développement de la nature, c'est-à-dire valables aussi pour la science théorique de la nature. Aussi ne pouvons-nous entrer dans l'examen. détaillé de la connexion interne de ces lois entre elles.
1. Loi du passage de la quantité à la qualité et inversement. Nous pouvons, pour notre dessein, exprimer cette loi en disant que dans la nature, d'une façon nettement déterminée pour chaque cas singulier, les changements qualitatifs ne peuvent avoir lieu que par addition ou retrait quantitatifs de matière ou de mouvement (comme on dit, d'énergie).
Toutes les différences qualitatives dans la nature reposent soit Sur Une composition chimique différente, soit sur des quantités ou des formes différentes de mouvement (d'énergie), soit, ce qui est presque toujours le cas, sur les deux à la fois. Il est donc impossible de changer la qualité d'aucun corps sans addition ou retrait de matière ou de mouvement, c'est-à-dire sans modification quantitative du corps en question. Sous cette forme, la mystérieuse proposition de Hegel n'apparaît donc pas seulement tout à fait rationnelle, mais même assez évidente.
Il est sans doute à peine nécessaire d'indiquer que même les différents états allotropiques et d'agrégation des corps reposent, parce qu'ils dépendent d'un groupement moléculaire différent, sur une quantité plus ou moins grande du mouvement communiqué à ces corps.
Mais que dire du changement de forme du mouvement ou, comme on dit, de l'énergie ? Lorsque nous transformons de la chaleur en mouvement mécanique ou inversement, la qualité est pourtant modifiée et la quantité reste la même ? Tout à fait exact. Mais il en est du changement de forme du mouvement comme du vice de Heine: chacun pour soi peut être vertueux, mais pour le vice il faut toujours être deux. Le changement de forme du mouvement est toujours un processus qui s'effectue entre deux corps au moins,, dont l'un perd une quantité déterminée de mouvement de la première qualité (par exemple de chaleur), tandis que l'autre reçoit une quantité correspondante de mouvement de l'autre qualité (mouvement mécanique, électricité, décomposition chimique). Quantité et qualité se correspondent donc ici de part et d'autre et réciproquement. jusqu'ici on n'a pas réussi à l'intérieur d'un corps singulier isolé à convertir du mouvement d'une forme dans l'autre.
Il n'est question ici pour l'instant que de corps inanimés; la même loi est valable pour les corps vivants, mais elle procède en eux dans des conditions très complexes, et aujourd'hui encore la mesure quantitative nous est souvent impossible.
Si nous nous représentons un corps inanimé quelconque divisé en particules de plus en plus petites, il ne se produit tout d'abord aucun changement qualitatif. Mais il y a une limite : si, comme dans l'évaporation, nous parvenons à libérer les molécules isolées, nous pouvons certes, dans la plupart des cas, continuer encore à diviser celles-ci, mais seulement au prix d'un changement total de la qualité. La molécule se décompose en ses atomes, qui ont isolément des propriétés tout à fait différentes de celles de la molécule. Dans le cas des molécules qui se composent d'éléments chimiques différents, la molécule composée est remplacée par des molécules ou des atomes de ces corps simples eux-mêmes; dans le cas des molécules des éléments apparaissent les atomes libres, qui ont des effets qualitatifs tout à fait différents: les atomes libres de l'oxygène à l'état naissant produisent en se jouant ce que les atomes de l'oxygène atmosphérique liés dans la molécule ne réalisent jamais.
Mais la molécule elle-même est déjà qualitativement différente de la masse du corps physique dont elle fait partie. Elle peut accomplir des mouvements indépendamment de cette masse et tandis qu'en apparence celle-ci reste en repos, par exemple des vibrations caloriques; elle peut, grâce à un changement de position ou de liaison avec les molécules voisines, faire passer le corps à un état d'allotropie ou d'agrégation différent, etc.
Nous voyons donc que l'opération purement quantitative de la division a une limite, où elle se convertit en une différence qualitative : la masse ne se compose que de molécules, mais elle est quelque chose d'essentiellement différent de la molécule, comme celle-ci l'est à son tour de l'atome. C'est sur cette différence que repose la séparation de la mécanique, science des masses célestes et terrestres, de la physique, mécanique des molécules, et de la chimie, physique des atomes.
Dans la mécanique, on ne rencontre pas de qualités ; tout au plus des états comme l'équilibre, le mouvement, l'énergie potentielle, qui tous reposent sur la transmission mesurable du mouvement et qui peuvent eux-mêmes s'exprimer quantitativement. Donc, dans la mesure où un changement qualitatif se produit, il est déterminé par un changement quantitatif correspondant.
En physique les corps sont traités comme chimiquement invariables ou indifférents ; nous avons affaire aux modifications de leurs états moléculaires et au changement de forme du mouvement, changement qui, dans tous les cas, au moins d'un des deux côtés, met en jeu les molécules. Ici, toute modification est une conversion de la quantité en qualité, une conséquence d'un changement quantitatif de la quantité du mouvement, quelle qu'en soit la forme, qui est inhérent au corps ou qui lui est communiqué.
Ainsi, par exemple, le degré de température de l'eau est tout d'abord indifférent relativement à sa liquidité; mais, si l'on augmente ou diminue la température de l'eau liquide, il survient un point où cet état de cohésion se modifie et où l'eau se change d'une part en vapeur et d'autre part en glace. (HEGEL, Encycl., Éd. Complète, tome VI, p. 217 1.)
Ainsi, il faut une intensité minimum déterminée du courant pour porter à l'incandescence le fil de platine (de la lampe électrique) ; ainsi, chaque métal a sa température d'incandescence et de fusion, chaque liquide son point de congélation et son point d'ébullition, fixes pour une pression connue, - dans la mesure où nos moyens nous permettent de réaliser la température en question; ainsi, enfin, chaque gaz a lui aussi son point critique où la pression et le refroidissement le rendent liquide. En un mot, les soi-disant constantes de la physique ne sont en majeure partie pas autre chose que la désignation de points nodaux, auxquels un apport ou un retrait quantitatifs de mouvement entraînent dans l'état du corps en question une modification qualitative, donc où la quantité se convertit en qualité.
Cependant le domaine dans lequel la loi de la nature découverte par Hegel connaît ses triomphes les plus prodigieux est celui de la chimie. On peut définir la chimie comme la science des changements qualitatifs des corps qui se produisent par suite d'une composition quantitative modifiée. Cela, Hegel lui-même le savait déjà (Logique, éd.. compl. III, p. 433) 2. Soit l'oxygène: si, au lieu des deux atomes habituels, trois atomes s'unissent pour former une molécule, nous avons l'ozone, corps qui par son odeur et ses effet se distingue d'une façon bien déterminée de l'oxygène ordinaire. Et que dire des proportions différentes dans lesquelles l'oxygène se combine à l'azote ou au soufre et dont chacune donne un corps qualitativement différent de tous les autres ! Quelle différence entre le gaz hilarant (protoxyde d'azote N2O) et l'anhydride azotique (pentoxyde d'azote N2O5) ! Le premier est un gaz, le second, à la température habituelle, un corps solide et cristallisé. Et pourtant toute la différence dans la combinaison chimique consiste en ce que le second contient cinq fois plus d'oxygène que le premier. Entre les deux se rangent encore trois autres oxydes d'azote NO, N2O3, NO2), qui tous se différencient qualitativement des deux premiers et sont différents entre eux.
Ceci apparaît d'une façon plus frappante encore dans les séries homologues des carbures, notamment des hydrocarbures les plus simples. Des paraffines normales, la première de la série est le méthane CH4 ; ici les 4 valences de l'atome de carbone sont saturées par 4 atomes d'hydrogène. La seconde, l'éthane C2H6 comprend deux atomes de carbone qui ont échangé une valence, et les six valences libres sont saturées par six atomes d'hydrogène.
(...)
Cependant nous rencontrons dans ces séries la loi de Hegel sous une autre forme encore. Les premiers termes n'admettent qu'une seule disposition réciproque des atomes. Mais, si le nombre des atomes qui constituent une molécule atteint une grandeur déterminée pour chaque série, le groupement des atomes dans la molécule peut s'opérer de façon multiple ; de la sorte on peut rencontrer deux corps isomères ou plus qui ont le même nombre d'atomes C, H, O par molécule, mais qui sont pourtant qualitativement différents.
(…)
Il y a plus De l'analogie des corps qui nous sont connus dans chacune des séries, nous pouvons tirer des conclusions sur les propriétés physiques des termes encore inconnus de la série et, tout au moins pour ceux qui suivent immédiatement les termes connus, prédire avec une certaine certitude ces propriétés, point d'ébullition, etc.
Enfin la loi de Hegel n'est pas valable seulement pour les corps composés, mais aussi pour les éléments chimiques eux-mêmes. Nous savons maintenant « que les propriétés chimiques des éléments sont une fonction périodique de leurs poids atomiques ». (ROSCOE-SCHORLEMMER : Manuel complet de chimie, tome II, p. 823)3, que leur qualité est donc déterminée par la quantité de leur poids atomique. Et la confirmation en a été fournie d'une façon éclatante. Mendeléiev démontra que dans les séries, rangées par poids atomiques croissants, des éléments apparentés, on rencontre diverses lacunes, qui indiquent qu'il y a là de nouveaux éléments restant à découvrir.
(…)
Grâce à l'application - inconsciente - de la loi hégélienne du passage de la quantité à la qualité, Mendeléiev avait réalisé un exploit scientifique qui peut hardiment se placer aux côtés de celui de Leverrier calculant l'orbite de la planète Neptune encore inconnue 4.
Dans la biologie comme dans l'histoire de la société humaine, la même loi se vérifie à chaque pas, mais nous voulons nous en tenir ici à des exemples empruntés aux sciences exactes, puisque c'est ici que les quantités peuvent être exactement mesurées et suivies.
Sans aucun doute ces mêmes messieurs qui ont jusqu'à présent taxé de mysticisme et de transcendentalisme incompréhensible la loi du passage de la quantité à la qualité vont-ils déclarer maintenant qu'il s'agit là de quelque chose de tout à fait évident, de banal et de plat qu'ils ont utilisé depuis longtemps et qu'ainsi on ne leur a rien appris de nouveau. Mais cela restera toujours un haut fait historique d'avoir exprimé pour la première fois une loi générale de l'évolution de la nature, de la société et de la pensée sous sa forme universellement valable. Et, si ces messieurs ont depuis des années laissé se convertir l'une en l'autre quantité et qualité sans savoir ce qu'ils faisaient, il faudra bien qu'ils se consolent de concert avec le monsieur Jourdain de Molière, qui avait lui aussi fait de la prose toute-sa vie sans en avoir la moindre idée.
(texte ré-édité à partir d'une édition-scan totalement bâclée de Jean-Marie Tremblay. Grâces lui soient rendues pour ces « travaux » inachevés. On retournera lui signaler les erreurs décelées quand son emploi du temps overbooké à vouloir tout scanner le premier lui laissera le temps de répondre poliment aux mails qui lui sont envoyés.)
Lire ce texte, le lendemain du jour de son « épreuve de philosophie » doit sembler très étrange pour un étudiant de terminale « scientifique » !
Mais l'explication est simple : les charlatans incapables et ignorants ne vous feront lire ni du Engels ni du Hegel. Leur ignorance crasse apparaitrait trop vite !!!
Leur incompétence, leur arrogance peuvent s'accomoder de leurs habituels baratins sur « la liberté » et autres foutaises.
Mais la science, la véritable science, la « philosophie naturelle » de Newton, la véritable philosophique atomique de Puthagoras, ils la fuient comme le mensonge fuit la lumière.
On peut maintenant trouver – comme on trouve un trésoir enfoui – où, à quel endroit était caché la philosophie, la science philosophique dans l'énoncé des crétins
« L’objectivité de l’histoire suppose-t-elle l’impartialité de l’historien ? »
Elle est cachée dans le non-dit : le pseudo apprentissage de cette pseudo philosophie en classe terminale vise à empêcher la découverte de la véritable philosophie.
Et donc à empêcher la connaissance des véritables lois de l'histoire : lois basées sur les lois de transformations quantité qualité.
La non-impartialité du « clown titré professeur » de philosophie consiste dans le voile qu'il pose sur les véritables textes scientifiques : Ne pas lire Hegel ni Engels est du même tonneau que de passer une licence d'histoire en ayant « étudié » Decaux et Castelot.
La non objectivité du « philosophe » qui a rédigé ce « sujet » est patente : quand il souhaite entendre critiquer la repentance, quand il souhaite ne pas voir ses collègues être appelés à la barre du futur Nuremberg de l'Afrique, qui jugera les Sarkozy, les Bolloré, les Alliot-Marie, les Jospin, les Jack Lang et toutes les crapules complices du crime colonialiste, tel un Pinocchio qui se démasque, il révèle par sa question son refus de la connaissance par la jeunesse des véritables lois de la science.
Pourquoi ?
Parce que, simplement, l'application de ces lois révèlent l'écroulement prochain du capitalisme.
Parce que les « clown titrés professeurs » sont les larbins du capitalismes.
Et que les chiens qui mangent les miettes colonialistes qui lui sont allouées par Bolloré ne vont pas mordre la main de leur maître.
Voilà où se trouvent les lois philosophiques dans cette question : le fait que celui qui la pose refuse qu'on connaisse la transformation quantité qualité qui va l'abolir en tant que membre d'une classe exploiteuse.
Les étoiles explosent et les classes exploiteuses sont abolies.
Voilà ce que les menteurs refusent « au nom de l'objectivité bourgeoise », au nom de leur « impartialité » de clowns corrompus et mensongers. Clowns rédacteurs de sujets et clowns correcteurs.
2e sujet
Le langage trahit-il la pensée ?
YT : Les concepts sont exprimés par des mots. Les concepts sont scientifiques. Cette question est du Canada dry de l'épistémologie.
YT2 : Voilà le genre de sujet dont raffolent les clowns. Mais vont-ils traiter de l'apparition du langage dans les société humaines. Que nenni, les clowns n'y connaissent rien. Vont-ils traiter des systèmes de communication au sein des populations animales. Mais non, ils sont totalement ignares sur ce sujet. Vont-ils mener une étude sur le passage entre les communications électriques et les communications chimiques ? Vous rigolez, on est à mille lieues de leur « domaine de connaissance » ! Vont-ils prendre des exemples issues de la « biomathématique » la plus récente étudiant les « communications » entre l'estomac et les autres organes ? Farce !
Vont-ils présenter des études sur les diverses langues utilisées par les humains ? Mais non ! Farce !
Vont-ils mettre en lumière le fait que si les Espagnols parlent plus vite que les Français est lié au fait que la langue espagnol a besoin de davantage de mots, de davantage de syllabes pour exprimer exactement la même chose ? Farce ! Les « clowns de la fausse philosophie » n'y ont jamais pensé.
Vont-ils présenter des thèses sur les modes de raisonnement différents des peuples à écriture cunéiforme, des peuples aux écritures hiéroglyphiques et les peuples à lettres ?
Vous rigolez !!!! S'il fallait faire de la science pour faire de la « philosophie », cela se saurait !!!!
Vont-ils présenter des thèses scientifiques sur les peuples dépourvus de systèmes d'écriture quant à leur capacités à exprimer « leur pensée » ? capacité différente de la nôtre ?
Mais ils sont ignares ?
Vont-ils présenter des études scientifiques sur les peuples à traditions orales ?
Quelle blague !!! Depuis quand un cours de philosophie appuie-t-il ses thèses sur des travaux historiques ?
Depuis quand un « philosophe » prend-il le risque de voir une découverte historique remettre en cause sa thèse ?
Vont-ils donc comparer Polubos qui se méfiait des sources écrites à Titus Livus qui a construit son Histoire sur des archives ?
Vont-ils interviewer des paysans sur le Débarquement Impérialiste Etasunien de 1944 ?
Mais ce distingo langage parlé-langage écrit n'est qu'un aspect du problème que les clowns prétendent traiter, prétendent juger, prétendent noter.
Mais qu'est-ce que ces gens-là appellent « pensée ».
Quelle est donc cette « pensée » dont ils prétendent connaître les contours ?
Ils vont donc présenter des tomographies de patients en train de penser à différents domaines ? Ils vont donc faire étudier les « zones du langage » à leurs élèves ? Ils vont faire étudier les localisations cérébrales du langage ? De la pensée ?
Mais.... vous rigolez !!!
Ces gens sont des rhéteurs ! Ils ne valent pas plus chers que les imbéciles protagonistes du Gorgias de Platon-Socratès.
Ils apprennent les techniques du baratin ! Il s'agit de vendre au capitaliste le plus offrant ! Pas de comprendre la science.
En quoi le langage écrit est-il une transformation quantité qualité du langage parlé ?
En quoi, si la phase liquide est une étape entre la phase gazeuse et la phase solide, les dessins des grottes de Lascaux sont-elles une étape entre le stade du langage parlé et les représentations écrites des langues parlées ?
Quelle seraient donc les étapes suivantes ? En quoi l'accumulation de quantités de mots parlés a abouti aux mots écrits et donc, en quoi l'accumulation de mots écrits débouche-t-elle sur une nouvelle qualité ?
Dans ce cadre, quel est le statut de la photographie, de la chanson enregistrée ?
Et quid alors de représentations symboliques autres que les lettres ? Quid les chiffres et des mots ? Quid du solfège ? Quid de tous les autres systèmes symboliques ? Les organigrammes informatiques ? Les symboles des danseurs, les symboles des sourds muets ?
Où était la philosophie ? Où était nichée la science philosophique dans le « sujet d'examen » des clowns ?Dans la variation, dans l'évolution, dans les transformations quantité qualité.
Seulement voilà, les clowns ont éjecté Engels hors de leurs cours !!!!
Les clowns du fascisme colonialiste, les clowns de la Puissance Occupante Coloniale craigent comme la peste le retour du marxisme. Ils ont éjecté la formoisie de la scène politique mondiale, ils ont détruit l'Etat formois de Russie, ils ont éjecté tout ce qu'ils pouvaient éjecter sans prendre le risque d'apparaitre pour ce qu'ils sont : des fascistes colonialistes.
Ils ont commencé par Wilhelm Reich. L'adversaire de la stupide pulsion de mort de Sigmund Freud ils l'ont évacué des livres de « philosophie » en terminale. Quant à Malinowski, à peine arrivé que déjà éjecté.
Le Marx rebelle est lui aussi persona non grata. Il n'y a que le « Marx historien » , le fond de commerce des formois du style Ben Said qu'il n'ont pas pu totalement effacés.
Mais les clowns de la « Révolution américaine », les thuriféraires de l'auteur du « Royaume de dieu sur Terre » tiennent le pouvoir. Ils contrôlent la situation. Pour un enseignant honnête qui persiste, contre vents et marées à enseigner la Révolution d'Octobre et la Révolution de Février il y en a cent qui masquent l'Histoire, qui trafiquent l'Histoire. Qui mentent. Qui truquent. Pour UN prof honnête , combien de racistes comme Pierre Miquel, combien de racistes comme Lévi-Strauss ?
Quoi d'étonnant alors que le naufrage de l'enseignement de l'Histoire aboutisse à la perte corps et biens de la totalité de la philosophie.
3e sujet
Expliquez le texte suivant :
Il n'y a pas de satisfaction qui d'elle-même et comme de son propre mouvement vienne à nous ; il faut qu'elle soit la satisfaction d'un désir. Le désir, en effet, la privation, est la condition préliminaire de toute jouissance. Or avec la satisfaction cesse le désir et par conséquent la jouissance aussi. Donc la satisfaction, le contentement ne sauraient être qu'une délivrance à l'égard d'une douleur, d'un besoin ; sous ce nom, il ne faut pas entendre en effet seulement la souffrance effective, visible, mais toute espèce de désir qui, par son importunité, trouble notre repos, et même cet ennui qui tue, qui nous fait de l'existence un fardeau. Or c'est une entreprise difficile d'obtenir, de conquérir un bien quelconque ; pas d'objet qui ne soit séparé de nous par des difficultés, des travaux sans fin ; sur la route, à chaque pas, surgissent des obstacles. Et la conquête une fois faite, l'objet atteint, qu'a-t-on gagné ? Rien assurément, que de s'être délivré de quelque souffrance, de quelque désir, d'être revenu à l'état où l'on se trouvait avant l'apparition de ce désir. Le fait immédiat pour nous, c'est le besoin tout seul c'est-à-dire la douleur. Pour la satisfaction et la jouissance, nous ne pouvons les connaître qu'indirectement ; il nous faut faire appel au souvenir de la souffrance, de la privation passée, qu'elles ont chassées tout d'abord. Voilà pourquoi les biens, les avantages qui sont actuellement en notre possession, nous n'en avons pas une vraie conscience, nous ne les apprécions pas ; il nous semble qu'il n'en pouvait être autrement ; et, en effet, tout le bonheur qu'ils nous donnent, c'est d'écarter de nous certaines souffrances. Il faut les perdre pour en sentir le prix ; le manque, la privation, la douleur, voilà la chose positive, et qui sans intermédiaire s'offre à nous.
Schopenhauer, Le monde comme volonté et comme représentation
Après avoir lu quelques lignes, le titre m'est venu. Comme une révélation : « Schopenhauer va aux p... ». Et quelques secondes de plus m'ont donné le titre complet :
LE CRETIN SCHOPENHAUER VA AUX P... *
(P..*. = PERIPATETIECIENNES)
Comme nous ne pratiquons pas le désanachonisme censeur, nous prendrons comme point de départ le fait que des contemporains de ce crétins ne fréquentaient pas les péripatéticien-ne-s ni ne pratiquaient aucun commerce sexuel tarifé.
Comme par ailleurs il existe – au moins – un lecteur comptabilisant les « crétins » , il nous faudra argumenter sur la caratère conceptuel de la caractérisation de « ce » crétin.
Schopenhauer va aux p...* et nous le fait savoir : « Et la conquête une fois faite, l'objet atteint, qu'a-t-on gagné ? Rien assurément, que de s'être délivré de quelque souffrance, de quelque désir, d'être revenu à l'état où l'on se trouvait avant l'apparition de ce désir. »
Le lecteur de Wilhelm Reich identifie immédiatement le problème : Le patient vient d'éjaculer, il a honte, sa partenaire – pour le prix payé – ne lui manifeste aucun geste de simulacre affectif. D'autant qu'il n'en a pas envie. Il a évacué sa tension. Il a payé pour cela. Et il est « revenu à l'état où l'on se trouvait avant l'apparition de ce désir ».Wilhelm Reich, avec la même méthode avait identifié le lieu d'où venait la volonté de « pureté du sang » des abrutis fascistes nazis : du bordel. Il nous expliquait, en effet, que c'était la crainte des maladies vénériennes qui était enfoui dans cette pureté souillée. Pour le nazis, la prostituée ne peut qu'être de confession juive et donc être la seule à vouloir lui transmettre des MST.
Ici, pour le crétin Schopenhauer, ce sont ses expériences – ou celles narrées à lui par ses compagnons de chambrées militaires – qui sont à la base de son insatisfaction.
L'individu normal – dans la norme égalitariste, dans la norme féministe, dans la norme humaniste, et donc hors de la norme de la barbarie capitaliste – lui aura choisi avec soin son ou sa partenaire. Il ou elle admire la personne avec qui il va se caliner réciproquement. Les contacts physiques sont consécutifs à des échanges verbaux. L'admiration réciproque que ces personnes éprouvent l'une pour l'autre vont transformer le commerce sexuel en un échange de dons réciproques qui auront pour sens d'exprimer toutes les admirations. Admirer ne signifie par se mirer, se regarder dans un miroir. Dans l'échange sexuel, c'est le don qui entraîne le don : point n'est besoin de rechercher quelque jouissance que ce soit, de demander, de quémander. Puisque l'autre est occupé de l'autre. Puisque l'autre est occupé de satisfaire le partenaire.
Et quand – mais ce n'est pas un « impératif » ni « kantien » ni « schopenhauerien » - l'élévation des différences de potentiel aura atteint le sommet d'une courbe dialectique. Quand les mouvements pelviens et les frottements auront maximisé les échanges et auront entrainé une telle accumulation de bio-électricité – visible sur les graphes des capteurs bio-électriques de Wilhelm Reich – il se produira une transformation quantité qualité simultanée à une émission génitale, la courbe dialectique connaîtra une chute quasi-verticale, dont la dérivée première aura une valeur (négative) absolue d'autant plus grande que la jouissance sera plus élevée. Quand les deux partenaires se seront – l'un à l'autre – donné le meilleur d'eux-mêmes, offert le meilleur d'eux-mêmes...
A cet instant, à cet instant seulement : ils se souriront. Leurs remerciements réciproques – parfois gâchés par les découvertes nicotinesques – seront (resteront) proportionnels à leurs admirations réciproques.
S'être – l'un à l'autre – donné des actes physique aura valeur de témoignage, valeur de preuve de ce qu'ils d'admirent l'un pour l'autre.
Mais.... aux p... ça ne se passe pas pareil. Schopenhauer en témoigne.
Mais... chez les malheureux pour qui le mot baise n'est pas la conjugaison du verbe issu du nom « un baiser ». Pour qui ce ne sont pas les mains qui sont baisées, mais les assemblages vivants qui viennent dépoétiser certain texte du malheureux Damien Saez
Embrasons, embrasons,
embrasons, embrasons-nous,
Le feu des corps est bon
Le feu des corps est doux
Au devant des supplices
c'est le coeur qui crie,
Notre espoir fait office
de lumière éblouie
(le passage laidement charnel est sur le vidéo du lien : je l'ai ..."censuré" sur mon blog ... romantique !!!)
Chez ces malheureux, il en est de l'amour comme de la drogue : la chute est brutale.
Mais de là à théoriser les bad trip pour prétendre en faire des textes de philosophie. IL n'y a que les crétins qui peuvent prétendre le faire. Tant qu'ils détiennent le pouvoir d'Etat.
Démonstration :
« Il n'y a pas de satisfaction qui d'elle-même et comme de son propre mouvement vienne à nous ; il faut qu'elle soit la satisfaction d'un désir. [traduction: 1° un désir DONC satisfaction d'un désir ] Le désir, en effet, la privation, est la condition préliminaire de toute jouissance. [traduction : 2° Le désir = la privation 3° Le désir DONC la jouissance] Or avec la satisfaction cesse le désir et par conséquent la jouissance aussi. [traduction : 4° satisfaction DONC fin du désir 5° fin du désir DONC fin de la jouissance .] Donc la satisfaction, le contentement ne sauraient être qu'une délivrance à l'égard d'une douleur, d'un besoin ; » [traduction : 6° Satisfaction = contentement 7° satisfaction = délivrance 8° délivrance = fin d'une douleur 9° besoin = douleur]
L'enchainement logique est totalement absurde. Il n'est même pas fait de distinction claire entre le « plaisir de l'attente », le « plaisir de la jouissance orgasmique » et le « plaisir de la quiétude post orgasmique ».
Tout se joue dans la rhétorique stupide des apparences. En fait on peut résumer cela a : Schopenhauer et ses copains sont contents d'aller au bordel. DONC ils sont contents. Schopenhauer et ses copains sortent du bordels (ils ont payés cher, trop cher). DONC ils ne sont plus contents. La preuve ? La voilà : ils étaient contents d'ALLER au bordel. Leur « plaisir » était de faire le trajet dans un sens. Pas dans l'autre sens. Ils n'ont pas de plaisir à REVENIR du bordel !!!!
Il paraît que les crétins qui choisissent de pareilles stupidités comme « sujets » d'un « examen » sont payés ! Mais ce n'est qu'une rumeur !
Et le pompon : un espèce d'ataraxie digne des abrutis réincarnés de la bande du grand Lama
« sous ce nom, il ne faut pas entendre en effet seulement la souffrance effective, visible, mais toute espèce de désir qui, par son importunité, trouble notre repos, et même cet ennui qui tue, qui nous fait de l'existence un fardeau. »
J'avais résumé tout cela hier par « YT : Un charabia qui ressemble à de la science psychologique. Mais n'est pas de la science philosophique. »
YT2 : Le pire,c 'est qu'ils auraient pu prélever dans les textes du même Schopenhauer ceux qui correspondent à sa critique gnoséologique du matérialisme. Critiquer son absurde point de vue aurait consisté à FAIRE DE LA SCIENCE PHILOSOPHIQUE.
Les clowns ont préféré "Les aventures de S... au b..."
Série E.S.
1er sujet :
Que gagne-t-on à échanger ?
YT : De la pseudo-science économique. Rien à voir avec la philosophie.
YT2 : Un texte très drôle déposé par un habitué du site Abidjantalk.com – dans un tout autre contexte - avait, la semaine dernière, résumé cela. Je le reproduis ici.
Ça se passe dans un village qui vit du tourisme, sauf qu'à cause de la crise il n'y a plus de touristes. Tout le monde emprunte à tout le monde pour survivre. Plusieurs mois passent, misérables.
Arrive enfin un touriste qui prend une chambre. Il la paie avec un billet de 100€.
Comme elle dépose le billet de 100€ sur le comptoir, le touriste, qui venait dire à l'hôtelier qu'il n'aimait pas sa chambre et n'en voulait plus, ramasse son billet et disparaît.
Rien n'a été dépensé, ni gagné, ni perdu. N'empêche que plus personne dans le village n'a de dettes.
N'est-ce pas ainsi qu'on est en train de résoudre la crise mondiale?
Je n'ai pas le temps de rechercher le point de départ et comme Google boycotte le site Abidjantalk.com en oubliant de relever des pages et des pages... je donne le lien vers les 45 sources !!!
On pourrait faire une autre réponse : on gagne ce qu'ont gagné les partenaires du sujet précédent.
Quant à la transformation quantité qualité : elle se trouve dans l'avenir.
En effet, une accumulation de travail salarié, sous la contrainte d'un salaire versé par un capitaliste ou un Etat capitaliste fera apparaître une nouvelle qualité : le travail facultatif.
Chacun, payé 1000 euros par mois, se rendra utile à l'humanité.
La principale source de productivité sera la créativité : elle sera fournie sans contrôle, sans SACEM, sans flicage de la circulation de l'innovation.
En effet, les droits d'auteur seront payés aux descendants des milliards de nos ancêtres qui sont à l'origine de notre niveau économique.
Idem pour les choix d'investissements , la LTQQ nous montre que l'acculumation de classes exploiteuses a mené l'Humanité au gouffre avec 200 GtC giga tonnes de carbone au dessus de nos têtes.
La LTQQ nous fait prévoir l'investissement démocratique, le retour, dans les mains du citoyen – 300 euros par mois – du droit d'investir, des choix d'investissement.
L'échange, ce sera la participation économique de chacun pour améliorer la société !
Mais cette LTQQ n'était pas l' »objet » du « sujet » du clown !
2e sujet :
Le développement technique transforme-t-il les hommes ?
YT : Cela a à voir avec le matérialisme historique. Qui est l'application à l'histoire de la science philosophique. Mais ce n'est PAS de la philosophie.
YT2 : Cette parodie de Marx qui ne dit pas son nom est le seul des sujets qui puisse ouvrir la porte directement à la LTQQ. Mais ce qui est dramatique, c'est le fait qu'un ignare, qu'un individu ignorant tout de la LTQQ et donc qui ignorerait tout de la science philosophique pourrait avoir l'arrogance de répondre à une telle question, de noter un devoir portant sur une telle question.
Sur le plan philosophique, la bonne question serait : « quels sont les niveaux de développement économiques accumulés qui sont susceptibles de transformer les sociétés humaines ».
Tout autre serait la question appliquée à l'individu lui-même. En effet, les employés de la banque brésilienne qui ont accepté de se faire greffer une « puce GPS » sous la peau pour les localiser en direct, celui qui est muni, en permanence d'une oreillette téléphonique, ceux qui jouent à des jeux vidéos avec des capteurs absolus seraient l'objet d'une autre étude tout à fait distinct.
Une étude qui intègrerait les greffes actuelles et à venir comme pendant biologique à l'aspect technologique résumé ci-dessus.
Mais ce sont, au total, trois études différentes.
Et le caractère philosophique de ces trois études ce serait la façon dont la LTQQ serait ici appliquée. Ce ne serait pas l'étude interdisciplinaire qui relève, elle, strictement, des sciences humaines. Et non de la philosophie.
3e sujet :
Expliquez le texte suivant :
Quant à savoir s’il existe le moindre principe moral qui fasse l’accord de tous, j’en appelle à toute personne un tant soit peu versée dans l’histoire de l’humanité, qui ait jeté un regard plus loin que le bout de son nez. Où trouve-t-on cette vérité pratique universellement acceptée sans doute ni problème aucun, comme devrait l’être une vérité innée ? La justice et le respect des contrats semblent faire l’accord du plus grand nombre ; c’est un principe qui, pense-t-on, pénètre jusque dans les repaires de brigands, et dans les bandes des plus grands malfaiteurs ; et ceux qui sont allés le plus loin dans l’abandon de leur humanité respectent la fidélité et la justice entre eux. Je reconnais que les hors-la-loi eux-mêmes les respectent entre eux ; mais ces règles ne sont pas respectées comme des lois de nature innées : elles sont appliquées comme des règles utiles dans leur communauté ; et on ne peut concevoir que celui qui agit correctement avec ses complices mais pille et assassine en même temps le premier honnête homme venu, embrasse la justice comme un principe pratique. La justice et la vérité sont les liens élémentaires de toute société : même les hors-la-loi et les voleurs, qui ont par ailleurs rompu avec le monde, doivent donc garder entre eux la fidélité et les règles de l’équité, sans quoi ils ne pourraient rester ensemble.
Mais qui soutiendrait que ceux qui vivent de fraude et de rapine ont des principes innés de vérité et de justice, qu’ils acceptent et reconnaissent ?
John Locke, Essai sur l’entendement humain
YT : Charabia pseudo philosophique.
YT2 : Dans ce texte sur l'innéité biologique de la morale qui ne dit pas son nom, l'endroit où se trouverait nichée la philosophie réclame les soins attentifs de Sherlock Holmes en personne !
Un militant égalitariste pourrait même s'amuser de voir quel est l'aveuglement d'un Locke sur l'état actuel de sa « société ». Comme si « son » Angleterre n'était rien d'autre qu'un ramassis de « hors-la-loi » et de « voleurs » !
Comme si les esclavagistes du Sénat de Rome était moins « hors la loi » et mois « voleurs » que les rançonneurs qui écumaient les « eaux territoriales » de l'Epire ? Comme si les « Pirates » que mata (qui n'est pas le pluriel de matum, ni de matus, ni …. de maton) Caius Julius Caesar étaient plus malhonnêtes que celui qui agit en « pirate esclavagiste géant » en capturant UN million d'esclaves en Gaule.
Comme si Hitler « hors-la-loi » avaient été plus nocif à la France que Sarkozy ne l'est aujourd'hui envers l'Afrique.
Où sont les bandits ?
En Afrique, le « gang Bongo » avait fusionné avec l' « Etat Bongo ».
Et comme la fusion des deux s'était opéré sous le parrainage des services secrets français : les employeurs de ce Bongo.... où sont les hors la loi ?
Le gang Sarkozy-Bolloré a-t-il des règles en Afrique ? Les règles du génocide de 1994 sont-elles un exemple de ce que « La justice et le respect des contrats semblent faire l’accord du plus grand nombre ».
Quand Sarkozy finance les armes du génocide, il semble respecter un contrat.
Quand Sarkozy, en juillet 1994 cherche où faire atterrir ses avions il peut avoir des inquiétudes de ce que les livraisons des armes pour le Hutu Power aient lieu dans le respect des contrats.
D'où viennent ces contrats ?
L'Histoire nous le dira !
Quelles étaient les coulisses du génocide. Les historiens – les vrais - nous le dirons.
De quelle science relève le texte de Locke ?
Pour commencer de la science historique. Ce qui est dommage pour lui, c'est le caractère a-historique de ses propos en rendent absurdes toutes ses assertions. Quand bien même la conclusion en serait valide.
Un Locke connait Caesar, il connait les pirates. Il connait Pompée.
Et quels seraient donc les critères pour des règles positives ? Pour des règles humanistes ?
Tout simplement du concept de « productivité historique ».
Quel lien avec la philosophie ?
Tout simplement de l'étude de la « productivité » en physique (de son lien avec le pseudo concept d'entropie) et de son étude en biologie : quels liens entre productivité et le thèses de Darwin ?
Mais nous sommes sortis de ce sujet stupide !
Série S
1er sujet :
Est-il absurde de désirer l’impossible ?
YT : L' « impossible » de madame Michu ou l' « impossible » sortant du déterminisme absolu depuis 13 milliards d'années. La question est stupide ! A moins d'en faire une critique …. des miracles !!!
YT2 : C'est le deuxième endroit où la science philosophique pourrait venir faire irruption. En se contentant, de façon gnoséologique, de paraphaser Laplace en indiquant, qu'il y a 13 milliards d'années, il était prévisible qu'un sujet d'examen aussi stupide allait être donné.
Et que nier cela revient, en creusant des trous dans la chaîne du déterminisme, à croire aux miracles.
L'impossible étant miraculeux, avoir une sexualité tellement perticulière qu'il faille "désirer" des miracle relève d'un usage monastique prolongé d'outils destinés au culte : les bougies sacrées. Une nouvelle fois la science psychologique de Wilhelm Reich met la lumière sur les syndrômes !
Quant au lecteur curieux, il est renvoyé sur la lecture de
L'OURS MOHAMED DEVOILE LES HYPOCRITES
sur Newstin : L'OURS MOHAMED
ET LES BIGOTS ISLAMO-FASCISTES IRANIENS
2e sujet :
Y a-t-il des questions auxquelles aucune science ne répond ?
YT : Charabia pseudo épistémlogique.
3e sujet :
Expliquer le texte suivant :
Les affaires générales d’un pays n’occupent que les principaux citoyens.
Ceux-là ne se rassemblent que de loin en loin dans les mêmes lieux ; et, comme il arrive souvent qu’ensuite ils se perdent de vue, il ne s’établit pas entre eux de liens durables. Mais quand il s’agit de faire régler les affaires particulières d’un canton par les hommes qui l’habitent, les mêmes individus sont toujours en contact, et ils sont en quelque sorte forcés de se connaître et de se complaire.
On tire difficilement un homme de lui-même pour l’intéresser à la destinée de tout l’État, parce qu’il comprend mal l’influence que la destinée de l’État peut exercer sur son sort. Mais faut-il faire passer un chemin au bout de son domaine, il verra d’un premier coup d’oeil qu’il se rencontre un rapport entre cette petite affaire publique et ses plus grandes affaires privées, et il découvrira, sans qu’on le lui montre, le lien étroit qui unit ici l’intérêt particulier à l’intérêt général.
C’est donc en chargeant les citoyens de l’administration des petites affaires, bien plus qu’en leur livrant le gouvernement des grandes, qu’on les intéresse au bien public et qu’on leur fait voir le besoin qu’ils ont sans cesse les uns des autres pour le produire.
On peut, par une action d’éclat, captiver tout à coup la faveur d’un peuple ; mais, pour gagner l’amour et le respect de la population qui vous entoure, il faut une longue succession de petits services rendus, de bons offices obscurs, une habitude constante de bienveillance et une réputation bien établie de désintéressement.
Les libertés locales, qui font qu’un grand nombre de citoyens mettent du prix à l’affection de leurs voisins et de leurs proches, ramènent donc sans cesse les hommes les uns vers les autres, en dépit des instincts qui les séparent, et les forcent à s’entraider.
Tocqueville, De la démocratie en Amérique
YT : Il doit y avoir un inspecteur général auteur d'un ouvrage sur Tocqueville en préparation ou est-ce le Bushophilisme Obamaphilisme persistant. L'Histoire des constitutions est de l'Histoire, pas de la philosophie, la philosophie du droit n'est PAS de la philosophie et n'a pas grand chose à voir avec celle-ci – sans la médiation de la science historique.
YT2 : La transformation quantité qualité se trouvera là : combien faudra-t-il de textes hypocrites et mensongers publiés par les idéologues des envahisseurs de l'Afrique pour que la révolution se déclenche ?
Combien de textes tentant de masquer la nature fasciste esclavagiste des USA en 1835, en 1840 seront publiés par les clowns de l'Inspection Générale française avant que la jeunesse française ne se révolte contre l'obscurantisme colonialiste.
Que leur maître Vincent Bolloré craigne que la repentance fasse FERMER ses camps de la MORT en Afrique, on peut le comprendre... mais que deux années de suites, ces clowns osent publier un texte sur les USA de 1840 qui ne mentionne pas la terreur fasciste, les fuites des esclaves vers le Nord, la poursuite des esclaves en fuite par les polices néo-sarkozystes des USA antérieurs à 1861... relève de l'abjection la plus totale.
Mais tout aussi abjecte est l'ignorance des policiers français de 2009 que le rôle qui leur est demandé par Alliot-Marie - la criminelle 2004 de l'hôtel Ivoire à Abidjan et par Sarkozy ... est le même rôle que les polices du Nord des USA "jouaient" à la poursuite des esclaves du Sud en fuite vers le Nord.
Et il y a encore des Tocqueville dans tous les médias français pour ... banaliser le crime ...
Et taire les trois millions de bébés morts, chaque année !
Nous publierons, un jour les noms de TOUS CES CLOWNS !!!
Un jour seront publiés les noms de ces REVISIONNISTES qui font croire que les USA de Tocqueveille étaient autre chose qu'un camp de travail fasciste comparable... à l'Afrique de Bolloré-Sarkozy !!!