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mercredi 22 avril 2009

Inertie, route, accélération, gravitation, trajet rectiligne, vitesse uniforme : Réponse à un relativiste anonyme ADURIEN.

Un anonyme partisan de la relativité, extrèmement impoli au départ, ne se décide toujours pas à écrire sous sa véritable identité.
L'anonymat habituel et l'impolitesse des membres de la secte.
Mais peu à peu, il apprend la politesse tout en apprenant à argumenter.
J'ai donc commencé à valider - malgré l'anonymat et l'impolitesse - quelques uns des messages de ADURIEN.
Le voilà qui se pique de débattre réellement.
La science ne peut que s'en réjouir !
Même si l'éthique, l'épistémologie et l'honnêteté scientifique pourront se navrer de constater cette déplorable habitude de jeter à la poubelle les arguments contradictoires et de s'empresser de les oublier.
Dans le texte 

 . j'avais déjà répondu
Puisque vos propos évoluent, je publie.
Vous avez remarqué que je ne valide pas à chaque fois.
Sous votre anonymat, vous êtes passé de l'insulte non argumentée à l'insulte avec une apparence d'argument(commentaires que je stocke pour l'épistémologie sans les publier sur ce blog qui est un espace de travail et d'étude mais que je publierai - plus tard - dans un "enfer public" sur une seule page).
Vous arrivez maintenant à des questions contenant de la rationalité.
Je répondrai à celle sur Mercure - malgré la mauvaise foi dont vous faites preuve - si vous continuez à rédiger des questionnements rationnels comme celui d'aujourd'hui.
Réponse :
J'avais déjà démasqué les incohérences des relativistes sur cette question :
La vitesse est rectiligne par rapport au vide. Le fait de savoir si la trajectoire est incurvée ou rectiligne ne peut se définir que par le fait que le corps occupe successivement des lieux objectifs (des lieux absolus de Newton) qui sont strictement alignés dans le vide.
Un corps - un véhicule - parcourant une route rectiligne munie de bornes kilométriques n'aura pas un trajet rectiligne qui croira avoir une vitesse uniforme parce qu'il voisine successivement chacune des bornes kilométriques dans un délai constant n'est qu'un idiot partisan de Descartes.
Il aaura parcouru des ENDROITS alignés, pas des LIEUX alignés !
Car la route doit AUSSI avoir une trajectoire rectiligne et uniforme (et, de surcroît, sans rotation sur elle-même) pour que la translation du véhicule par rapport au vide soit rectiligne.
Quant à votre dernière question, la réponse se trouve dans le fait que les matérialistes que nous sommes ne croient pas à la stupide anisotropie de l'espace.

Complément : je donne au-dessus le lien vers le youtube "Croyance en l'isotropie"
Un repère en translation dans le vide (avec un vecteur translation colinéaire, en direction, de l'axe des x) verra la lumière avoir une vitesse relative à cet axe des x inférieure à c = 299 792 458 m/s
En effet, un corps en translation positive sur cet axe va dans la même direction que le photon qui aura été émis depuis l'origine.

Si ce véhicule (qui a une vitesse S par rapport au vide) émet une IMAGE depuis le lieu où il se trouve (x= c t1), cette IMAGE (groupe de photons) atteindra l'observateur qui sera "resté" apparemment immobile au lieu d'origine des axes après un délai t2 qui dépendra de la vitesse de la lumière dans le vide, mais aussi qui dépendra de la vitesse objective de ce lieu d'origine.
Mais ce lieu d'origine (qui a une vitesse objective L) se trouvera à une distance L t1 au moment de l'émission du signal.
Et, pendant le déplacement de l'image, pendant un délai t2, l'origine aura en plus parcouru une distance L t2.
L'origine du repère avance en direction du signal IMAGE. Et celui-ci n'aura parcouru qu'une distance c t2.
Vérifiez que 
S t1 = L t1 + L t2 + c t2
et vous comprendrez que L la vitesse du remère en déplacement doit être prise en compte.
Pour connaître l'inertie, pour connaître l'énergie cinétique par rapport au vide cela implique de nous rapporter constamment au vide.


Reccevant une nouvelle réponse, je vais donc - à nouveau - répondre à cet anonyme ADURIEN.( en corrigeant l'orthographe)

Si la route n'est pas en translation rectiligne uniforme, c'est qu'elle subit une accélération
YT : Elle subit une "déviation". Cette déviation provient d'un choc. Ce choc gravitationnel est de type "centripète" : il amène la trajectoire de la route en direction du lieu d'où provient le choc. En l'occurence, en direction de la Terre.
qu'elle répercute sur la voiture.
YT :Je ne chipoterai pas sur le mot "répercuter". On considérera que la gravité s'appliquera à la voiture elle-même, avec une force égale à celle que recevra la route. (Nous savons - néanmoins - que la hauteur à laquelle se trouve la voiture est plus élevée que celle de la route et qu'elle subit un effet gravitationnel légèrement plus faible.)
 On peut donc toujours juger le caractère rectiligne uniforme du déplacement de la voiture, par la seule accélération qui s'exerce sur elle.
YT : Le mot "juger" ouvre la porte aux confusions et approximations. On a une trajectoire rectiligne déviée par les chocs gravitationnels en provenance de la route.
Le mot "juger" ne permet pas de savoir ce que vous avez compris (ou accepté ou refusé) de ce que j'écrivais précédemment.
 Et l'accélération étant le résultat de forces exercées sur l'objet lui-même, elle est mesurable dans l'absolu, elle ne s'exerce pas "par rapport a X".
YT : Qui aurait dit que l'accélération ne serait pas perceptible localement. Alors même que les matérialistes savent que c''est cette "absoluité" de l'"accélération" qui a énervé Einstein de 1905 à 1915.
Il voulut absolument "relativiser" l'accélération pour ne laisser aucun gramme d'oxygène au matérialisme et à l'espace absolu de Newton.
Il est difficile de débattre de forces avec un interlocuteur qui glisse constamment, sans le dire, des désaccords sur la géométrie des évènements.

Vous considérez un observateur situé sur un "repère en déplacement par rapport au vide". 
YT : Je calcule ordinairement avec des repères immobiles dans le vide.
C'est vous qui aviez posé la question initialement :
"D'autre part je ne comprend pas la necessite de connaitre la vitesse d'un referentiel inertiel "par rapport au vide"? "
Je vous ai répondu en prenant en considération les deux hypothèses : repère "inertiel" immobile et repère "inertiel" en mouvement.

Vous supposez dès le départ l'existence du vide...
YT : Bien évidemment !
Le vide est la condition sine qua non de la réalité et donc du matérialisme - en tant que philosophie - et donc de la science.
Ce sont les chocs des atomos se mouvant dans le vide qui sont à la base de tout.
Nous sommes les partisans de Democritos et de Puthagoros.
Mais il suffit pourtant de considérer que cet observateur est immobile, 
YT : Admettons. Il est immobile dans le vide. Il est immobile par rapport au vide.
et de calculer toutes les vitesses par rapport a lui,
YT : Admettons. Il suffit de reprendre mes équations et de mettre L = 0.
C'était très simple !!!!
Pourquoi ne l'avez-vous pas fait ?
 
 pour pouvoir calculer n'importe quel phénomène observable ( perception que l'observateur aura du véhicule, violence de la collision éventuellement... ) 
YT : Oui, mais cela implique de connaître (ou de découvrir) la valeur de S, c'est dire la valeur de la vitesse objective de l'objet observé.
Encore une fois l'existence du "vide" ne me parait pas indispensable.
YT : "Indispensable" ?
Vous révèlez-là ici que vous me faites perdre mon temps et celui des matérialistes.
Depuis le début vous parlez de "répères relatifs" comme un partisan de Descartes. Mais sans jamais le dire.
Vous voulez jeter les atomOs par dessus bord avec le vide.
Nous ne nous laisserons pas faire !


====
Quant aux insultes habituelles qui accompagnent les messages de cet anonyme, elle ne seront pas validées.
Qu'il soit clair pour les matérialisme que "crétin relativiste" ou "âne relativiste" ne sont pas des insultes.
Ce sont les caractéritiques précises de ce ramassis de gangsters qui pratiquent le stalino-fascisme sur tous les sites "scientifiques" qu'ils parviennent à contrôler.
Cette secte fasciste sera démasquée et ses partisans traités comme ils le méritent : des pauvres crétins analphabètes et illogiques : défaut de pertinence, défaut de cohérence caractérise ces escrocs de la science.
Voilà un exemple de la prose :
Adorien a ajouté un nouveau commentaire sur votre message "Crétinisme relativiste sur Wikipédia : les référen..." : 

Un petit commentaire que vous pourrez ne pas valider, pour vous dire à quel point je trouve desopliant que vous m'accusiez d'"insulter" ( il serait interessant de compter le nombre de fois que les mots "crétin", "abruti", "escroc"... apparaissent sur votre site ).
Et surtout a quel point je trouve PUANT que vous m'accusiez de MAUVAISE FOIS sous pretexte que J'EMET UNE OBJECTION? 


jeudi 2 avril 2009

Courrier public à Benoit Fries (créateur de sur-la-toile) Censure et destruction du débat "Costian, relativité, liberté d'expression .... )



Je suis un partisan de Newton et un adversaire de Einstein.
Je défends le matérialisme, l'espace vide objectif, le concept newtonien de "lieu absolu", et donc la logique de Isaac Newton concernant le déplacement d'un lieu absolu à autre lieu absolu.
En conséquence, comme Newton le pensait, les seules vitesses sont les vitesses objectives qu'il appelait (avec Gabrielle du Chatelet pour la langue française) "vitesses absolues".
Je partage la totalité des points de vue de Newton concernant les "absurdités" de Descartes concernant les vitesses relatives et les déplacements relatifs à des surfaces ou des corps.
La totalité de la géométrie de Newton est le socle de la révolution scientifique à laquelle je travaille.
Il suffit d'y ajouter le délai nécessaire au déplacements de l'information (qui est le signal formé de photons, cad l'image des objets).
Leur vitesse est une proportion de la vitesse de la lumière.
Je récuse Einstein, Mach et Berkeley pour les mêmes raisons que Lénine les récusaient dans son ouvrage "Matérialisme et empiriocriticisme" (consultable sur marxists.org).
Je défends par ailleurs l'idée newtonienne (dont j'ai pris connaissance postérieurement à mes propres conclusions dans l'ouvrage de sources dirigé par François de Gandt) que le photon est la brique de la matière.

Pour ces raisons, je me suis fais conspué et insulté à plusieurs reprises sur le site que vous avez créé.
Plus fort encore : mes citations de Newton lui-même et les liens vers les citations du livre de Einstein viennent même d'être effacées ainsi que la totalité du fil que j'ai initié :
"Costian, relativité, liberté d'expression,vérification des sources "
Aucun message signé par un modérateur : un anonymat qui rappelle les bureaucraties staliniennes et fascistes.
Au moins Bellarmin signait de son nom :
Voilà ce que j'ai reçu.
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Mes questions sont les suivantes :
1° Etes-vous au courant de ce scandale ?
2° Qui a effacé la totalité du débat ?
3° Quels motifs ont été invoqués ?
4° Pour quelle raison aucun modérateur n'a supprimé au fur et à mesure les insultes qui m'étaient adressées - en particulier celles signées du pseudo JiHervé.

Mes demandes sont les suivantes :
1° Mise en archive spéciale du débat en l'état (avec les insultes mises en couleur) (dans un forum "poubelle")
2° Dans le forum zététique : réaffichage du débat mais avec effacement de toutes les insultes, allusion pernicieuses et menaces.
3° Redémarrage du débat sous le contrôle d'un modérateur honnête homme (ou femme si Gabrielle du Châtelet est disponible)
4° Je suggère la création d'un forum : "Sciences, débat sur les sources : ce qu'ils ont vraiment écrit"
4B avec , par exemple, un premier débat sur les textes polémique de Newton sur Descartes.
Un deuxième pourrait porter sur l'absurdité de la notion d'inertie hors du vide absolu.

Merci d'avance.
Je ne débats pas en privé et donc publie intentionnellement ce courrier sur votre blog et le mien.
Idem pour les réponses.


===
PS
PS : ils peuvent déposer les marques "Einstei"qu'ils veulent à l'université fondée sur les fonds collecté par la tournée aux USA de Chaim Weizmann et Albert Einstein.
Mais cela n'empêchera pas la révolution matérialiste de balayer définitivment hors de la surface de la science toutes le vélléités égocentriques contenues dans leur absurde croyance en ce qu'ils appellent "isotropie de l'espace".

===
PPS 20h48 le 2 avril : ça n'a pas trainé. Le créateur de sur-la-toile Benoit Fries vient de détruire mon texte de commentaire sur son propre blog !
Il signe l'aveu de sa participation au forfait de la destruction du débat sur son site "sur-la-toile".
Les escrocs relativistes craignent le débat comme ils craignent la science.
Le fromage est trop gros.
Les thésards, les doctorants participant à cette imposture prennent le risque de se trouver confronter à forte opposition quand le camp matérialiste viendra participer à leurs soutenances de thèses : le charlatanisme relativiste sera battu en brèche et éjecté hors de la science.
Mais, nous sommes des gens sérieux.
J'ai donc publié l'erratum prévu... du commentaire effacé.
erratum : le message qui vient d'être effacé (mais dont la copie - heureusement - se trouve à
http://monsyte.blogspot.com/2009/04/courrier-public-benoit-fries-createur.html
et apparait en 6° ligne de la recherche Google "Benoit Fries"
http://www.google.fr/search?q=benoit+fries&hl=fr&safe=off&rlz=1Q1TSEA_frFR307FR308&sig=AMEaWZzUg_3BSH1iJKhR68Gpyq-dQUjEEQ&num=100&newwindow=1&output=search&pws=0
comportait un petit bug :
L'éditeur de Newton (son traducteur aussi) François de Gandt n'avait pas comme prénom "Paul" ainsi que le mentionnait - par étourderie - le messager qui vient d'être sauvagement détruit.
Dont acte !

L'affaire n'est pas close !


jeudi 26 mars 2009

Pourquoi après 200 ans, personne ne comprend les véritables thèses de Newton : Le message censuré par Futura-Sciences : Newton, l'inertie et le vide

Ce message a été censuré et effacé purement et simplement par les charlatans orthodoxes de Futura Sciences, il y a plus de un an.
Je protestais il y a un an, le 26 janvier 2008. L'éditeur du site, naturellement , bafouant toute légalité n'a jamais daigné répondre à l'email de protestation que je lui avais posté.
On a l'habitude avac les partisans de Eisntein et de Heisenberg : la légalité est pour eux comme la science ; ils s'assoient dessus !!!


"Pourquoi après 200 ans, personne ne comprend les véritables thèses de Newton ?
===
Ce texte (après son dépôt sur le forum Google) a été placé par moi
hier sur le site web futura sciences
http://forums.futura-sciences.com/search.php?searchid=2370226
 sous le titre de
"Pourquoi après 200 ans, personne ne comprend les véritables thèses de
Newton ?"

Il a été effacé (ainsi que les réponses qui lui ont fait suite)

Le modérateur JPL ne se donne même pas la peine de se justifier.
Le message (la première réponse sur le forum) de celui qui me menaçait
du bucher a été effacé.
Google a heureusement relevé le fait que plusieurs contributeur ont
aussi été effacé par la même occasion.
C'est un véritable maccarthysme anti Newton.
Leurs cousins ont éffacé 4 textes sur le forum de José Bové.

=================================================
 JPL

Date d'inscription: septembre 2003
Localisation: Banlieue bordelaise
Messages: 16 098

Discussion déplacée
Bonjour Yanick Toutain,

Votre discussion a été déplacée
-----
Discussion : Pourquoi après 200 ans, personne ne comprend les
véritables thèses de Newton ?
Forum initial : Débats Scientifiques
Forum de destination :
-----

Attention : si la discussion a été modérée et déplacée dans "Archivage
des messages modérés" elle ne sera plus accessible. Merci dans ce cas
de me contacter pour plus de précisions.

N.B. : ceci est un message généré automatiquement.

Bonne participation sur FSG,
L'équipe de modération.
JPL est déconnecté


===

++


Le seul et unique endroit dans lequel l'inertie peut se manifester est
dans le vide.

Dans l'eau, dans l'air, sur la Terre, il y a des molécules,des atomes,
des photons qui s'opposent à la trajectoire parfaitement rectiligne.

Rectiligne ?

Par rapport à quoi ?

Simplement par rapport au seul milieu qui "respecte" la trajectoire
sans aucune influence : le vide.

Mais alors....

La trajectoire rectiligne ne l'est QUE par rapport au vide...

Elle est donc un mouvement absolu !!!

L'équation vectorielle de Newton est donc l'équation du MOUVEMENT
ABSOLU !!!

Yanick Toutain
++

samedi 7 février 2009

Les fariboles de la non-localité et des actions à distance : Nouvelle réponse matérialiste à Jean Staune

Les fariboles de la non-localité et des actions à distance : Nouvelle réponse matérialiste à Jean Staune

par Yanick Toutain
7/2/2009

(en cours d'édition)

Jean Staune continue à débattre. Ou plutôt il continue à apporter des boîtes sur lesquelles il a écrit « argument ».

Nous avons vu que nous pouvions dire cela… à condition d’accepter l’idée que les deux particules forment un seul et même objet, même lorsqu’elles sont dans des instruments de mesure séparés par des dizaines de kilomètres. Dans une telle situation, on ne peut plus parler d’action d’une particule sur l’autre puisqu’il n’y a plus qu’un seul objet ! Donc on peut affirmer qu’il n’y a pas d’action à distance uniquement si l’on rajoute que dans ce cas, nos concepts familiers relatifs au temps et à l’espace doivent être remis en cause encore plus profondément que s’il y avait une mystérieuse « action fantôme » entre les deux particules.

On peut remarquer que cette fois-ci, ce sont des aliments (spirituels) en conserve qu'il nous fournit : au lieu de construire son argumentation, au lieu de construire un discours logique en utilisant - au besoin – des citations, au lieu de nous donner (si nécessaire) une annexe où se trouverait in extenso l'original complet d'où provenaient les citations, cette fois-ci, c'est un extrait complet de son livre qu'il nous copie colle.

Je m'en félicite pourtant. Ce que ni lui ni les prétendus matérialistes de la bande Bricmont Bouveresse – publier en entier sur Internet la totalité de leurs publications – ne font ordinairement, le copier coller de son livre qu'il nous fournit donnera aux pauvres que nous sommes l'occasion de gratuitement lire un texte qui devrait se trouver en accès libre. Leurs auteurs n'ayant jamais payés - aux ayants-droits enfants d'Adam et Eve que nous sommes – les redevances de la productivité ancestral de nos Anciens, leur dette immense justifie amplement la publication numérique gratuite de TOUS les livres de l'Humanité.

Que les lecteurs matérialistes étudient attentivement les arguments de Jean Staune. Qu'ils le fassent après avoir lu le texte de Lénine sur la réalité en soi et mon commentaire.

Il faut lire ce texte en gardant en mémoire la distinction matérialiste en 1° l'évènement en soi, 2° le signal (son trajet, la durée de ce trajet), et 3° la réception du signal.

Les imposteurs adversaires du matérialiste nient cette « trinité ». Pour certains – les moins illogiques - , la réalité se résume au 3°. Pour d'autres le n° 2, le signal et donc sa vitesse existent (leur usage de « c » la vitesse de la lumière en atteste) mais ils persistent à nier le n° 1, l'évènement en soi. Ceux-là sont les plus grave. Ils ne sont dépassés que par une variété spéciale de charlatans : ceux qui prétendent accepter le 1° mais, tout en disant accepter l'évènement en soi, ils persistent à nier le temps absolu, les déplacements absolus et, conséquemment, les vitesses absolues.



Quand nous voyons Mercure, la planète ne se trouve plus là où on la voit.




YT : Le simple fait que l'on puisse maintenant avoir des PHOTOGRAPHIES des atomes est déjà une preuve de la bêtise crasse de Werner Heisenberg.


JS : Ultra naïf !! Le formalisme ( et les expériences type fentes de Young) montre que les atomes sont des ondes quand on ne les observe pas et sont des points matériels quand on les observe. Dire comme le fait YT qu'avoir des photographies d'atomes est une preuve contre les conceptions de Heisenberg.... c'est la preuve que YT n'a Rien compris à Heisenberg ce dont je me doutais  depuis de début.

YT répond : Ma « naïveté », je la revendique. Elle m'a permis de re-découvrir l'imposture Cantor : J'étais parvenu aux conclusions de Kronecker et de Puthogoras avant même de savoir que ces deux génies étaient hostiles à R et aux infinis à taille variable. Ma « naiveté » qui consiste précisément à FORCER MON CERVEAU à RALENTIR, à prendre les choses une à une, à prendre les choses comme si j'étais en train de donner un cours à un élève de cours élémentaire – CM1 la plupart du temps ou même Cours élémentaire parfois ou encore grande section de maternelle. Ma capacité à faire « l'idiot » est ma PRINCIPALE force pour travailler à reconstruire la sciences et à initier cette QUATRIÈME révolution quantique.

C'est ce que vous appelez ma « naïveté » qui m'a permis, avant même de retourner le relire, de comprendre la trame de ce que m'avait enseigné Lénine. C'est ma « naïveté » qui m'a permis de comprendre – avant même d'être allé le vérifier – que les équations de Newton avaient été inventées pour un usage exclusif DANS LE VIDE, dans un référentiel absolu.
C'est ma prétendue « naïveté » qui m'a amené à comprendre, il y moins d'un an, que la notion d'inertie n'avait strictement aucun sens dans l'acception ordinaire de ce mot par les orthodoxes : quelle inertie pour un camion roulant sur une autoroute équatorienne ? A quelle hauteur du sol se retrouverait-il s'il laissait l'inertie le pousser sur son élan ?
Une hauteur ?
Évidemment ! L'inertie n'existe que par rapport à sa trajectoire en référence au vide : il faut supprimer tout effet gravitationnel pour comprendre cela.
Mais les pourfendeurs de la « naïveté » ont cassé leur cerveau : ils ont les pires difficultés à comprendre cela !!!

Jean Staune fait passer dans l'ombre la TOTALITÉ de mes arguments qui font appel aux atomos et aux vitesses absolues. Il refuse l'intelligence de sa « naïveté ».

YT : Mettez TOUS vos textes en ligne. Puis, faites un copier coller du passage que vous voulez utiliser comme argument

JS : je peux vous offrir mon livre si vous me donnez votre adresse postale  PAS le mettre en ligne!
voici quand même quelques arguments clés :

YT répond : Vous réglez par un cadeau le problème de l'inhumanité du « droit d'auteur Olivennes ». Ce sont vos ancêtres et leurs découvertes qui vous ont donné 99,9 % de la productivité à l'origine de vos possessions et de ce que vous êtes – en tant que capital humain. Les ayant-droits de cette « productivité ancestrale » méritent 1000 euros par mois et … tous les livres numérisés gratuits ! Je ne veux plus d'une police de l'innovation, je ne veux pas que Olivennes viennent fliquer vos ordinateurs ! (pour le cadeau : merci ….et ... non timeo danaos et dona ferentes.... je trouverai un facteur)

La non-localité, porte ouverte vers une autre réalité

YT répond : La totalité de ce qui suit récuse l'univers en soi, les mouvements de atomos et – donc – le distingo évènement signal réception.

Bohr était persuadé que la physique quantique était complète, c’est-à-dire que le travail était terminé et que la représentation des fondements de la réalité qui en découlait était la meilleure possible.
Mais cette représentation était trop floue pour satisfaire Einstein ; il la combattait en mettant au point des « expériences de pensée » dont le simple énoncé devait démontrer que la physique quantique était incomplète. Dès l’idée émise, Bohr démontrait illico que la physique quantique pouvait avaler cette nouvelle couleuvre et donc garder son statut de théorie achevée.

Pour des raisons philosophiques (« Dieu ne joue pas aux dés »), la cible prioritaire d’Einstein était le principe d’incertitude. Werner Heisenberg a témoigné de l’intensité extraordinaire de leurs « joutes intellectuelles » durant le célèbre congrès Solvay de 1927 : « Nos controverses commençaient en général tôt le matin, Einstein nous exposant au petit déjeuner une nouvelle expérience idéale susceptible, à son avis, de contredire le principe d’incertitude. Bien entendu, nous commencions immédiatement à analyser cette expérience ; et sur le chemin vers la salle de conférences, où j’accompagnais en général Bohr et Einstein, une première clarification de la question posée et de l’affirmation formulée était réalisée. Au cours de la journée, de nombreuses discussions étaient menées sur ce problème, et en général nous arrivions le soir à un point où Bohr prouvait à Einstein, au cours du dîner, que l’expérience envisagée ne pouvait pas aboutir à une réfutation du principe d’incertitude. Einstein était alors quelque peu inquiet, mais déjà le matin suivant, au petit-déjeuner, il avait une autre expérience idéale, toute prête, à nous proposer, plus compliquée que la précédente, et à son avis susceptible de démentir définitivement le principe d’incertitude. Cette tentative devait elle aussi échouer le soir même … »
 Huit ans après, en 1935, il revint pour frapper un nouveau coup – qui, cette fois-ci, il en était sûr, était décisif – avec le « paradoxe EPR », du nom d’Einstein et de deux de ses collaborateurs, Podolsky et Rosen.

Leur article, l’un des plus célèbres de l’histoire de la physique, s’intitule « Peut-on considérer que la mécanique quantique donne de la réalité physique une description complète ? »
Puisque le principe d’incertitude nous dit qu’on ne peut connaître à la fois la position P d’une particule et sa vitesse V , les auteurs proposent donc de prendre un système de deux particules corrélées A et B, qui ont été éjectées d’un même atome et sont parties dans des directions opposées à la même vitesse. La mesure de la position de A, P (A), permet de déduire celle de B, P(B). La mesure de la vitesse de B, V(B), permet de déduire la vitesse de A, V(A). On peut donc connaître la position et la vitesse de A et B au même moment, ce que la mécanique quantique ne peut pas faire . Cette dernière est donc incomplète et le principe d’incertitude, remis en cause. Einstein a dû savourer cette phrase : « Nous nous voyons contraints de conclure que la description de la réalité physique donnée par les fonctions d’ondes n’est pas complète . »
Instruit par l’expérience du congrès Solvay, Einstein a longuement peaufiné son argument et répond d’avance aux critiques. Il a identifié une faille possible dans sa démonstration : on pourrait affirmer que la mesure de A ne modifie pas seulement l’état de A mais également celui de B. Dans ce cas, la mesure effectuée de la vitesse de B serait V’(B) – c’est-à-dire « la vitesse de B après mesure de la position de A ». On en déduirait un V’(A) qui serait différent de V(A), valeur de la vitesse de A au moment où l’on a mesuré la position de A. Dans ce cas, le principe d’incertitude serait toujours valable.
Mais c’est impossible, nous dit Einstein. Car – et c’est là un des fondements de la relativité restreinte –, dans notre Univers, on ne peut pas dépasser la vitesse de la lumière (nous en verrons les raisons au chapitre 7). Donc il suffit que A et B soient suffisamment éloignés et que les mesures soient effectuées de manière suffisamment rapide pour qu’aucun signal ne puisse, partant de A, atteindre B avant que la mesure ne soit effectuée. On peut donc mesurer A sans perturber aucunement la mesure de B.

À ceux qui s’acharneraient tout de même à prétendre qu’une telle perturbation est possible, Einstein dit à l’avant-dernière phrase de l’article : « Aucune définition de la réalité un tant soit peu raisonnable n’autorise cela. »
Bohr répondit immédiatement. Sa réponse est relativement obscure, même pour les physiciens professionnels. Néanmoins, il semble qu’il affirme – de façon plus ou moins voilée, peut-être à cause de l’énormité d’une telle proposition – que la mesure sur une particule aura bien un effet
sur l’autre, où qu’elle se trouve : « La question essentielle est celle d’une influence sur les conditions mêmes qui définissent les types possibles de prédictions relatives au comportement futur du système . »
Einstein n’accepta jamais cette réponse : « On ne peut échapper à cette conclusion (que la théorie quantique est incomplète) qu’en supposant que la mesure pratiquée sur une particule modifie (télépathiquement) la situation réelle de l’autre particule, ou qu’en niant l’indépendance de situations réelles relative à des objets qui sont séparés spatialement les uns des autres. L’une et l’autre branches de l’alternative me semblent entièrement inacceptables . »
En effet, comme nous l’avons dit, si, lors de la mesure, les électrons sont suffisamment éloignés l’un de l’autre, l’influence, qui en fonction de la mesure de l’un modifie l’état de l’autre, doit être supralumineuse ! Einstein parlait (pour s’en moquer) de « l’action fantôme à distance » et soutenait le « principe de localité » selon lequel des mesures effectuées en un endroit ne sauraient avoir d’impact sur des mesures faites de façon si rapide ailleurs qu’aucun signal se propageant à la vitesse de la lumière n’a pu aller de l’une à l’autre.
Comment savoir la vérité ?
En 1965, John Bell montra qu’un test expérimental était possible , non pas avec des positions et des vitesses mais avec les polarisations des photons. La polarisation d’un photon est aléatoirement « + » ou « - » quand elle est mesurée dans une direction donnée. En faisant « sauter » des électrons d’une couche à une autre dans un atome, il est possible d’émettre un couple de photons qui donneront des réponses identiques quand on mesurera leur polarisation selon une même direction. En revanche, si l’on mesure la polarisation des membres d’un couple selon des directions différentes, alors cette « corrélation stricte » disparaît.

Pour mieux comprendre la situation, imaginons un couple de jumeaux participant à un jeu télévisé. Installés dans deux cabines insonorisées, isolés l’un de l’autre, ils donnent exactement les mêmes réponses aux mêmes questions. On peut en déduire que les jumeaux ont les mêmes aptitudes et qu’ils ont acquis les mêmes connaissances durant leur vie. Mais alors que la corrélation entre leurs réponses continue au fur et à mesure que de nouvelles questions sont posées, une autre hypothèse peut venir à l’esprit : les jumeaux communiquent entre eux d’une façon ou d’une autre.
Donc, lorsque l’on constate ce type de corrélation, soit les réponses aux questions préexistaient dans les cerveaux du couple de jumeaux avant le début du jeu, soit c’est grâce à une communication au moment où on leur pose la question que la corrélation peut exister. Vous me direz qu’en ce qui concerne mon histoire de couple, cela importe peu.
Mais lorsqu’il s’agit des deux particules, la différence entre les deux situations est vertigineuse.
Dans la première, les deux photons possèdent depuis le départ une polarisation qui, si elle est mesurée dans une direction quelconque (disons X), donnera la réponse « + ». Comme dans l’exemple des jumeaux, c’est la « vie commune » des particules avant leur séparation qui explique leur corrélation, et durant le trajet vers les appareils de mesure, les deux particules « portent » en elles des caractéristiques qui se « révèleront » à l’arrivée, lorsqu’on leur posera la question : « Quelle est la valeur de ta polarisation dans la direction X ? »
Comme ceci est vrai quelle que soit la direction X, il en résulterait que chaque particule porterait en elle les caractéristiques de polarisation relatives à toutes les directions à la fois. Étant donné que cette dernière assertion est en contradiction avec les principes de base de la physique quantique, il faut conclure que celle-ci est incomplète et qu’il existe des « variables cachées » qui, si elles étaient connues, permettraient de prédire le résultat des mesures.
C’était là, bien sûr, la position d’Einstein.
Mais, comme nous l’avons vu avec les jumeaux, il existe une deuxième possibilité à laquelle Bohr osait à peine faire référence lorsqu’il parlait « d’influence » sur les conditions de l’expérience. Ici, les particules ne sont porteuses d’aucun « + » ou « - » durant leur parcours vers les instruments de mesure. À l’arrivée, lorsque l’une des particules répond, de façon aléatoire – par exemple « + » – l’autre, de façon totalement coordonnée, répond la même chose. Si la mesure n’avait pas été effectuée sur la première, la réponse à une mesure sur la deuxième aurait été totalement aléatoire. Mais lorsque l’on observe la réponse « + » de la première particule, on sait avec une certitude absolue que l’autre répondra « + » aussi.
Or, ces deux particules peuvent être très éloignées dans l’espace et les mesures, effectuées de façon suffisamment rapprochées pour qu’aucun signal allant à la vitesse de la lumière ne puisse « informer » une particule de la mesure que l’autre a subie.
Ainsi, si la deuxième hypothèse est la bonne, notre vision du monde est radicalement modifiée car nous avons alors un drôle de bébé sur les bras : « l’action fantôme à distance », dont Einstein disait qu’elle ne peut être acceptée par « aucune conception raisonnable de la réalité ».
Comment savoir quelle est la bonne hypothèse ? Ce que John Bell a montré dans son article de 1965 – que nous venons de mentionner –, c’est que si l’on pose des questions différentes aux deux photons d’un même couple (par exemple « quelle est la valeur de ta polarisation en direction X » pour l’un, et « en direction Y » pour l’autre), il existe des relations entre les résultats des mesures sur certains couples de photons qui doivent toujours être respectées si la première hypothèse est vraie. Ces relations sont exprimées par des inégalités que l’on appelle les « inégalités de Bell » et qui portent sur les résultats de séries de mesures effectuées sur des couples de photons dont la polarisation de chaque membre a été mesurée dans une direction différente de celle de son jumeau. Si ces inégalités sont violées, cela constitue une démonstration de la fausseté de la première hypothèse, hypothèse selon laquelle les particules portent en elles des propriétés bien déterminées avant la mesure . Il ne reste plus alors qu’à accepter la deuxième hypothèse quelle que soit son étrangeté.

On a commencé à effectuer les mesures en question dans les années 70 mais il manquait un ingrédient essentiel : il fallait accomplir les mesures dans un intervalle de temps si réduit qu’aucun signal se propageant de A à B à la vitesse de la lumière ne puisse arriver à temps pour permettre une communication entre les deux particules.
Alain Aspect, Philippe Grangier et G. Roger ont alors mis au point une expérience de ce type à l’université Paris XI. Les particules sont séparées par douze mètres, les mesures sont réalisées en un milliardième de seconde (!). La lumière met 40 milliardième de seconde pour parcourir 12 mètres. Donc toute influence exercée par une mesure sur l’autre doit aller (au moins) 40 fois plus vite que la lumière.
En 1982, l’expérience livra un verdict implacable  : si l’on choisit d’effectuer ces mesures sur les photons dans certaines directions, les résultats violent les inégalités de Bell (et cela, qui plus est, dans les proportions prédites par la physique quantique !). Einstein avait tort, le principe de localité volait en éclat.

Une grande réunion fut organisée devant la « crème » des physiciens afin d’en présenter les résultats, de nombreuses publications spécialisées furent éditées, la prédiction la plus incroyable de la mécanique quantique était vérifiée, un des fondements, non seulement de la science « classique », mais de toute conception « raisonnable » du monde, venait de disparaître, et puis… rien ou presque.
Certes, un grand nombre d’ouvrages a depuis, avec plus ou moins d’insistance, vulgarisé ces résultats. Mais enfin, nous aurions dû voir d’honorables physiciens courant, nus, sur les Champs-Élysées, comme leur célèbre prédécesseur Archimède, en criant : « Euréka, la non-localité existe ! »
N’allez pas croire qu’il y ait le moindre atome de doute à propos de la réalité du phénomène. Non seulement la non-localité existe, mais cette existence ne dépend pas de l’interprétation que l’on donne à la mécanique quantique. Cela veut dire que l’eau pourra passer sous les ponts, les années et même les milliers d’années s’écouler, toute théorie physique relative à la nature du Monde se devra d’intégrer la non-localité, de la même façon que toute théorie cosmologique future devra intégrer le fait que la Terre tourne autour du Soleil et que le Soleil tourne autour du centre de la galaxie.
Cela est « matraqué » par John Bell lui-même à trois reprises dans le même livre : « Nous ne pouvons éviter que l’intervention sur l’un des côtés ait une influence causale sur l’autre  », « certaines corrélations particulières sont localement inexplicables. Elles ne peuvent être expliquées sans action à distance  », « pour le dispositif expérimental décrit, cela ne serait pas seulement une mystérieuse influence à longue distance (une non-localité, ou action à distance au sens faible) mais une influence se propageant plus vite que la lumière, une non-localité au sens le plus strict et le plus indigeste . » Cela est même reconnu par Jean Bricmont, l’un des principaux porte-drapeaux des physiciens les plus rationalistes et matérialistes : « La non-localité est une propriété de la nature établie à partir d’expériences et de raisonnements élémentaires, indépendamment de l’interprétation que l’on donne au formalisme quantique. Par conséquent, toute théorie ultérieure qui pourrait remplacer la mécanique quantique devra également être non locale . »
Néanmoins, il y a en fait deux façons de considérer le phénomène :
soit, comme vient de le dire Bell, il s’agit d’une influence qui ne peut être véhiculée par de la matière ou de l’énergie (car sinon, elle ne pourrait pas aller plus vite que la lumière) et qui s’exerce d’une particule sur l’autre : on parle alors de « non-localité » car elle viole le principe de localité tel que Einstein le concevait. Soit, comme le pense une majorité de physiciens actuels, les deux particules forment un seul et même objet même lorsqu’on les mesure dans des boîtes pouvant, en théorie, être séparées par des milliers de kilomètres. On parlera alors plutôt de « non séparabilité » car les deux particules ne peuvent pas être séparées (tant qu’on n’a pas effectué de mesure sur elles). Il semble, pour des raisons que nous verrons au chapitre 6, que c’est cette deuxième interprétation qui paraisse la plus probable.
De toute façon, comme le dit B. d’Espagnat : « En ce qui concerne la non-séparabilité, les deux descriptions sont équivalentes. Dans l’un comme dans l’autre cas, une violation de la séparabilité einsteinienne nécessite une interaction instantanée à distance, soit entre deux systèmes distincts, soit à l’intérieur d’un seul et même système étendu dans tout l’espace . »
On voit dans un cas comme dans l’autre, qu’il n’y a pas d’échappatoire possible : nous sommes conduits à radicalement réviser nos conceptions relatives aux fondements mêmes de la réalité.
C’est la raison pour laquelle ce résultat est d’une telle importance : il s’agit d’une évolution majeure de nos connaissances. Au-delà de cette expérience, toute une série de visions du monde ne sont plus valables, vous pouvez les jeter comme votre ticket usagé lorsque vous sortez du métro.

Pourquoi alors tout le monde n’est-il pas en train de parler de la non-localité ? Pour les mêmes raisons que celles pour lesquelles il a fallu deux siècles pour nommer le XVIe siècle, « le siècle de la Révolution copernicienne ». Tout d’abord parce que dans le tumulte du quotidien, seule une minorité d’esprits peut percevoir les mutations essentielles. Ensuite, parce que dans une période de changement de paradigme, même les esprits les plus brillants de l’époque peuvent avoir du mal à abandonner les concepts sur lesquels repose leur vision du monde.
Ainsi, aujourd’hui, de nombreux physiciens professionnels tendent-ils à diminuer l’importance de la non-séparabilité, voire racontent-ils des choses fausses à son sujet, comme le dit Jean Bricmont : « La majorité des physiciens n’est pas dérangée par le paradoxe EPR. Mais cette majorité se divise en deux types. Ceux du premier type expliquent pourquoi cela ne les dérange pas. Leurs explications tendent à être entièrement à côté de la question ou à contenir des assertions dont on peut montrer qu’elles sont fausses. Ceux du deuxième type ne sont pas dérangés et refusent de dire pourquoi. Leur position est inattaquable (il existe encore une variante de ce type qui dit que Bohr a tout expliqué mais refuse de dire comment) . »
La désinformation la plus grave au sujet du paradoxe EPR consiste à affirmer : « Il n’y a aucune action à distance dans les expériences de type EPR »… et à ne rien ajouter d’autre.
Nous avons vu que nous pouvions dire cela… à condition d’accepter l’idée que les deux particules forment un seul et même objet, même lorsqu’elles sont dans des instruments de mesure séparés par des dizaines de kilomètres. Dans une telle situation, on ne peut plus parler d’action d’une particule sur l’autre puisqu’il n’y a plus qu’un seul objet ! Donc on peut affirmer qu’il n’y a pas d’action à distance uniquement si l’on rajoute que dans ce cas, nos concepts familiers relatifs au temps et à l’espace doivent être remis en cause encore plus profondément que s’il y avait une mystérieuse « action fantôme » entre les deux particules.



YT répond sur la forme : remettre les sauts de ligne à leur place m'a pris plus de 20 minutes : vous seriez fort aimable, monsieur Staune de publier, sur votre site, vos citations : le pourrait récupérer le formatage que les pages « commentaires » de mon blog semblent supprimer.

YT répond sur le fond : Je le savais, vous l'avouez : le charlatan pseudo matérialiste de l'université catholique de Louvain travaille pour votre camp. Il fabrique des arguments, des fausses preuves pour les ennemis du matérialisme :

« Cela est même reconnu par Jean Bricmont, l’un des principaux porte-drapeaux des physiciens les plus rationalistes et matérialistes : « La non-localité est une propriété de la nature établie à partir d’expériences et de raisonnements élémentaires, indépendamment de l’interprétation que l’on donne au formalisme quantique. Par conséquent, toute théorie ultérieure qui pourrait remplacer la mécanique quantique devra également être non locale . » »

L'imbécile, le traître : Une « propriété de la nature » écrit Jean Bricmont !!! {le nom de l'ouvrage SVP}

Quel idiot !

La totalité des prétendues « expériences » de non localité sont basées sur des impostures. Elles nient la « sainte trinité » émission, signal réception.

Les idioties de Aspelmeyer, il ne s'est trouvé aucun champion pour tenter d'argumenter contre le démontage que j'ai opéré de leur protocole.

Ainsi, aujourd’hui, de nombreux physiciens professionnels tendent-ils à diminuer l’importance de la non-séparabilité, voire racontent-ils des choses fausses à son sujet, comme le dit Jean Bricmont : « La majorité des physiciens n’est pas dérangée par le paradoxe EPR. Mais cette majorité se divise en deux types. Ceux du premier type expliquent pourquoi cela ne les dérange pas. Leurs explications tendent à être entièrement à côté de la question ou à contenir des assertions dont on peut montrer qu’elles sont fausses. Ceux du deuxième type ne sont pas dérangés et refusent de dire pourquoi. Leur position est inattaquable (il existe encore une variante de ce type qui dit que Bohr a tout expliqué mais refuse de dire comment) . »

Tous ces charlatans de la bande Syllepse ont un fonds de commerce matérialiste, cela leur permet de duper les nouvelles générations. Ils agissent pareillement aux staliniens qui infestent la science bourgeoise depuis 1927 : misérables rabatteurs pour l'idéalisme autiste.
Ces crapules corrompues par la bourgeoisie ont plongé le 20° siècle dans l'obscurantisme le plus total.

Ils ont flanqué Newton et Lénine par dessus bord.

Les petites cuillères truquées s'appellent maintenant non séparabilité, action à distance.

Mais chaque fois qu'on braque le projecteur sur ces clowneries, les trucages stupides apparaissent en gros sur l'écran : dans le cas d'Aspelmeyer – qui voulait supprimer le déterminisme – la cuillère truquée s'appelle « petit miroir » qui laisse disparaître les photons dans le vide.

Il lui suffit de négliger notre déplacement absolu dans le vide pour que les photons loupent les miroirs trop petits et disparaissent en laissant Aspelmeyer crier à la magie !

Au-delà de cette expérience, toute une série de visions du monde ne sont plus valables, vous pouvez les jeter comme votre ticket usagé lorsque vous sortez du métro.




peut fanfaronner notre interlocuteur Jean Staune.

L'avenir dira s'il acceptera – enfin – de répondre à nos arguments : Le fait que Mercure visible se trouve à plus de 20,46 diamètres du véritable lieu de Mercure réel, cela l'a laissé sans voix.

image Mercure gif


Le fait que – au même moment – le Soleil puisse se trouver à 1,14 diamètre de son image visible, cela dépasse l'intelligence des adversaires ordinaires du matérialisme.

La révolution scientifique en cours recrutera ceux qui parviennent à comprendre cela !





mardi 25 novembre 2008

Les imbeciles de professeurs de physique nous ressassent les cretineries que Einstein repete de Descartes. Mais Newton...

Les imbéciles de professeurs de physique nous ressassent les crétineries que Einstein répète de Descartes. Mais Newton, lui-même, dans ses travaux préparatoires aux Principia - Principes mathématiques de philosophie naturelle -, avait complètement démoli les prétentions de Descartes à considérer les mouvements comme des mouvements relatifs.


Quelques remarques sur De Gravitio d'Isaac Newton


Par Yanick Toutain
25/11/08 15:48



Ce que font les imbéciles de clowns diplômés de physique, larbins de Xavier Darcos - larbins de ses crétins de prédécesseurs -, c'est un retour en arrière précédant 1684 !!!
Les professeurs que la bourgeoisie donne aux élèves de lycées, aux élèves des collèges, ne sont que de sombres crétins, d'imbéciles menteurs, qui mentent sur Newton, qui mentent sur les fondements de la science, d'imbéciles incapables qui transmettent à leurs malheureux élèves les foutaises du 17° siècle en prétendant parler au nom du 21° siècle !!!
Il faut en finir avec l'imposture !
Il faut que les élèves intelligents relèvent la tête !

Qu'ils prennent en charge l'éducation de leurs camarades !
Il faut construire la polémique scientifique dans tous les cours des charlatans, il faut rétablir la vérité.
Il faut construire la révolution scientifique en empêchant les charlatans de l'église relativiste de polluer les cerveaux ! Cela fait un siècle que dure l'imposture et l'escroquerie ! Il faut en finir !


Retournons lire Newton
De la gravitation [novembre 1784] (traduction du latin : Marie- François Biarnais) édition présentée par François de Gandt. Tel Gallimard 1985 1995

DÉFINITIONS
Les noms de quantité, de durée et d'espace sont trop connus pour pouvoir être définis par d'autres mots.
Définition 1 : Le lieu est la partie de l'espace qu'une chose remplit exactement.
Définition 2 : Le corps est ce qui remplit le lieu.
Définition 3 : Le repos est la persistance en un même lieu.
Définition 4 : Le mouvement est le changement de lieu.
(Page 112)


Newton est parfaitement clair : le mouvement est un mouvement par rapport AU VIDE !
Il démolit ensuite toutes les aberrations de Descartes.
"Maintenant non seulement les absurdes conséquences de cette doctrine nous convainquent de sa confusion et de son désaccord avec la raison, mais Descartes semble le reconnaître lui-même en se contredisant."
(p. 114)

Aucun professeur n'a prévenu ses élèves de l'existence d'une telle polémique. Ils sont ignorants ou menteurs, dissimulateurs !
Newton décortique toutes les aberrations qui résultent de la prétention de ne voir que des mouvements relatifs.
"Deuxièmement, il semble se contredire quand il avance qu'un seul mouvement appartient à chaque corps conformément à la vérité et qu'il affirme malgré tout que ce mouvement dépend de notre imagination, en le définissant comme une translation du voisinage des corps qui sont non en repos mais seulement considérés comme tels, même s'il leur arrive de se mouvoir, comme c'est expliqué très longuement aux articles 23 et 30 de la partie 2. A partir de là, il pense qu'il peut esquiver les difficultés relatives à la translation mutuelle des corps, à savoir : pourquoi dit-on que l'un se meut plutôt que l'autre et pourquoi dit-on qu'un bateau est au repos sur une eau qui coule quand sa position entre les rives ne change pas (article 15 - partie 2) ?"

Newton continue sa description des stupidités de Descartes : on retrouve exactement les mêmes imbécillités que celles proclamées par les partisans de Einstein. Simplement, les tourbillons imbéciles de Descartes ont été remplacés par l'imbécile continuum spacio-temporel de Einstein:

"Mais, pour rendre évidente la contradiction, imaginez que la matière du tourbillon soit considérée comme en repos par un homme : la Terre sera alors en même temps au repos, philosophiquement parlant; imaginez encore qu'au même moment, quelqu'un d'autre considère cette même matière du tourbillon comme mue circulairement : la Terre ne sera pas alors au repos, philosophiquement parlant. De même, un bateau sur la mer à la fois se mouvra et ne se mouvra pas;
(p. 116)

Les aberrations de Descartes aboutissent à nier qu'il existe un mouvement objectif par rapport au vide et donc une vitesse objective - par rapport au vide :

"Enfin, pour faire éclater l'énorme absurdité de cette position, je dis qu'elle implique qu'un corps en mouvement n'a pas de vitesse déterminée ni de trajectoire définie pour son mouvement. Bien plus, la vitesse d'un corps se mouvant sans obstacle ne peut être dite uniforme ni la trajectoire de son mouvement droite. Pis encore, aucun mouvement n'est possible puisqu'il ne peut y avoir de mouvement sans vitesse ni détermination."
(p. 120)


Il en résulte la nécessité urgente de revenir à Newton et de reconsidérer tous les mouvements en tant que mouvements par rapport au vide, en tant que mouvements objectifs.

Mais là, c'est la gnoséologie philosophique de Lénine qu'il convient de reprendre.
De quoi rendre fous les idéologues réunis de la bourgeoisie, de la formoisie et de l'innovoisie.
C'est le projet !

Les deux révolutions philosophiques et scientifiques en cours réaliseront ce projet.
Les trois révolutions sociales (anti-capitaliste, anti-formoise et anti-innovoise) et la révolution civilisationnelle (leadership pour la strate des innovants par l'investissement démocratique et la révocabilité) en seront les socles !








samedi 6 septembre 2008

LHC : Au repos, les partisans d'Einstein sont des crétins

C'est une plaisanterie pour le titre : les partisans relativistes d'Einstein sont toujours des crétins même quand ils se déplacent.
Depuis 1687 et le travail d'Isaac Newton nous savons que Genève se déplace, nous savons que Londres se déplace, nous savons que le CERN se déplace, nous savons que le LHC se déplace.
Le LHC se déplace d'une place absolue à une autre place absolue.
Isaac Newton nous a expliqués ce mouvement : le vrai mouvement du LHC est un mouvement absolu.
Les mouvements relatifs ne sont pas les mouvements réels parce que ce sont la somme de deux mouvements absolus.
Les partisans d'Einstein nous expliquent que le LHC est au repos.
Au repos!
Au repos ?
Pauvres charlatans stupides! Escrocs complètement fous!
Ils prennent un grand risque! Ils prennent un risque immense!
Le LHC se déplace dans l'espace vide!
Isaac Newton a compris ce fait.
Il nous a expliqué la promenade d'un marin dans la cale d'un bateau. Il nous a expliqué le mouvement relatif du marin par rapport au bateau.
Il a expliqué le mouvement relatif du bateau par rapport à la mer...
Puis, le mouvement relatif du marin par rapport à la mer, etc...
Mais Einstein était un idiot qui a cru qu'il était plus intelligent qu'Isaac Newton!
Pauvre type stupide!
Entièrement ignorant de ce qu'est la philosophie!
Un partisan stupide de Mach, un partisan stupide de l'évêque Berkeley!
Nous avons perdu cent ans à cause de lui et de ses partisans!
Le LHC se déplace dans l'espace vide.
Le LHC va d'un lieu absolu du vide à un autre lieu absolu du vide.
C'est l'héritage de Newton!
Mais les partisans d'Einstein ne veulent pas que les jeunes scientifiques lisent le texte du Principia : En France, le seul endroit du web où vous pouvez lire le texte numérique de l'explication de Newton est la page de Monsyte.
Le Bibliothèque de la France n'a pas trouvé le temps pour nous donner une version numérique du texte : ils montrent seulement les photographies du vieux texte!
Saboteurs!

Le LHC va dans la direction de l'étoile Ain Al-Rami.
C'est une hypothèse.
Personne sur la terre ne sait la direction du mouvement de la terre.
Personne sur la terre n'accepte pour se demander la question : où est la direction de notre mouvement ?
Quelle est notre vitesse ? Quelle est notre vitesse absolue ?
Je cherche les partisans d'Isaac Newton. Depuis l'an 2000.
Il est urgent de créer un groupe avec les partisans d'Isaac Newton. Il est urgent de créer un vrai groupe scientifique.
Nous devons travailler ensemble pour trouver notre vitesse réelle, notre vitesse objective dans le vide, notre vitesse absolue.
La science est la connaissance de ce qu'arrive dans l'univers objectif.
Les images, les groupes de photons sont les messagers des événements réels. Mais le temps est absolu, l'espace est absolu, les vitesses sont absolues.
Le temps est objectif, l'espace à vide et les mouvements sont objectifs, les vraies vitesses sont objectives.
Einstein le crétin n'a jamais réussi dans la compréhension de cela.
Ses partisans espèrent découvrir quelque chose dans le LHC.
Mais ils ne comprennent pas ce qu'ils font : ils NE SAVENT PAS la vitesse du LHC... Alors ils ne savent pas la vitesse des électrons qu'ils mettent à l'intérieur.
Ils ignorent la somme de la vitesse relative (dans un cercle) et la vitesse absolue de l'anneau (la vitesse absolue de la terre).
Les partisans d'Einstein croient que les blocs noirs (leurs "trous" noirs!!) sont au repos!
Un groupe de photons au repos!!!
Ils sont entièrement ignorants de la vitesse et les vrais mouvements des blocs noirs de photons.
Ils ont créé un outil de sorcier!
Ils ne sont pas même des apprentis!
Mais nous ne sommes pas dans le dessin animé de Disney!

jeudi 24 juillet 2008

The vacuum of Newton, answer to Noeinstein./ Le vide de Newton, réponse à Noeinstein

lang=en


Brief answer from the cyber

Dear Mr Noeinstein
I agree with the beginning of your text.

500 seconds after the emission of its image, no on know WHERE IS THE SUN.The image show us where the Sun WAS 500 seconds before.
Idem for Mercure.
lang=fr
Brève réponse depuis le cyberje suis d'accord avec le début de votre texte.500 secondes après l'émission son image, personne ne sait OU EST LE SOLEIL.L'image nous montre où était le Soleil 500 secondes avant.idem pour Mercure.
lang=en
I was reading, Newton's book "De gravitatio" yesterday in the evening.He explain (against Descartes) that we have a true speed , an absolute speed in relation with the VACUUM.
lang=fr
Je lisais le livre de Newton hier soir. De Gravitatio.

Il explique (contre Descartes) que nous avons une vraie vitesse, une vitesse absolue par rapport au vide.

lang=en
Newton agree with Democritos.Newton est d'accord avec Democritos.

Go and read Principia and De gravitatio.
lang=fr
Retournez lire les Principia et De la Gravitation
lang=en
We will struggle together with the true theory of Newton against the swindlers.
lang=fr
Nous lutterons ensemble contre les escrocs.

Have you read my text about Michelson and his mirrors
http://monsyte.blogspot.com/2008/07/les-miroirs-de-michelsonune-analyse.htmltranslation in English:
http://fr.babelfish.yahoo.com/translate_url?doit=done&tt=url&intl=1&fr=bf-res&trurl=http%3A%2F%2Fmonsyte.blogspot.com%2F2008%2F07%2Fles-miroirs-de-michelsonune-analyse.html&lp=fr_en&btnTrUrl=Traduire

Yours for the materialist scientific revolution
Yanick Toutain




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original text of Noeinstein
Dear Yanick: Newton was a scientist; Einstein wasn't. Newton tried to verify things via experiment; Einstein had no concept of what experimentation is. Einstein was a science GROUPIE. He talked to, and/or corresponded with, trying-to-be-real scientists. An astronomer friend told Einstein that the moons of Jupiter reappear sooner than their periods predict. So, Einstein supposed that gravity was curving the light. It was no great stretch to assume that a massive object would bend light more than a less massive one. To test that idea, Einstein figured the light of a star passing behind the Sun during a solar eclipse would be bent an angle that is directly proportional to the square of the Sun's mass (taking the mass of Jupiter as unity). He was so ‘cock sure’ that he was right, I suspect that he had his astronomer friend put an opaque disk over the Sun's lumen. That would enable making light bending observations any day of the year, if stars' light was seen through infrared filters. The other points you make about relativity are all pointless. Varying ether flow and density is the correct cause of every observation in nature. Newton made a contribution. All Einstein did was to keep making guesses. And he guessed wrong. — NoEinstein —