Affichage des articles dont le libellé est atomOs. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est atomOs. Afficher tous les articles

dimanche 15 février 2009

La vraie frontière : les bigots et les miracles

Découvrant par hasard une recension (signée Jérôme Ségal) d'un livre de Jean Staune LA SCIENCE, L'HOMME ET LE MONDE. LES NOUVEAUX ENJEUX)), sur le site "non fiction" j'y dépose un commentaire.


Certains adversaires de Jean Staune sont, en fait, des adversaires du déterminisme absolu, des adversaires du déterminisme. Les pourfendeurs de l'"intelligent design" ont - de façon masquée - des arguments visant à jeter Laplace aux oubliettes.
Il est, en effet, évident, pour tout matérialiste sérieux, que l'univers était PRE-DETERMINE et que le jour du Big Bang, il était prévisible que le choc des atomos allait amener le webmaster de ce site à s'interroger sur ma contribution. Nier cela revient à infiltrer la bigoterie et les miracles dans la science.
 Je débats actuellement sur Monsyte avec Jean Staune. Mon but est de déterminer s'il est un croyant sincère (tel Newton) susceptible de participer au progrès scientifique. Ou s'il est un bigot, un ami des miracles, un propagandiste de Heisenberg et du hasard fasciste, un propagandiste de la "libre création" des idées scientifiques comme le sont les partisans de la reltivité de Einstein.
 Mon texte l'"ours Mohamed dévoile les hypocrites" montre où se trouve la vraie frontière. Ce texte montre qu'un Jean Bricmont et ses amis de la zététique sont les adversaires les plus pernicieux du matérialisme.
 Il nous faudra découvrir notre VITESSE OBJECTIVE (vitesse absolue) et énumérer les ATOMOS dans les photons pour en finir avec un siècle d'imposteurs.

samedi 7 février 2009

Les fariboles de la non-localité et des actions à distance : Nouvelle réponse matérialiste à Jean Staune

Les fariboles de la non-localité et des actions à distance : Nouvelle réponse matérialiste à Jean Staune

par Yanick Toutain
7/2/2009

(en cours d'édition)

Jean Staune continue à débattre. Ou plutôt il continue à apporter des boîtes sur lesquelles il a écrit « argument ».

Nous avons vu que nous pouvions dire cela… à condition d’accepter l’idée que les deux particules forment un seul et même objet, même lorsqu’elles sont dans des instruments de mesure séparés par des dizaines de kilomètres. Dans une telle situation, on ne peut plus parler d’action d’une particule sur l’autre puisqu’il n’y a plus qu’un seul objet ! Donc on peut affirmer qu’il n’y a pas d’action à distance uniquement si l’on rajoute que dans ce cas, nos concepts familiers relatifs au temps et à l’espace doivent être remis en cause encore plus profondément que s’il y avait une mystérieuse « action fantôme » entre les deux particules.

On peut remarquer que cette fois-ci, ce sont des aliments (spirituels) en conserve qu'il nous fournit : au lieu de construire son argumentation, au lieu de construire un discours logique en utilisant - au besoin – des citations, au lieu de nous donner (si nécessaire) une annexe où se trouverait in extenso l'original complet d'où provenaient les citations, cette fois-ci, c'est un extrait complet de son livre qu'il nous copie colle.

Je m'en félicite pourtant. Ce que ni lui ni les prétendus matérialistes de la bande Bricmont Bouveresse – publier en entier sur Internet la totalité de leurs publications – ne font ordinairement, le copier coller de son livre qu'il nous fournit donnera aux pauvres que nous sommes l'occasion de gratuitement lire un texte qui devrait se trouver en accès libre. Leurs auteurs n'ayant jamais payés - aux ayants-droits enfants d'Adam et Eve que nous sommes – les redevances de la productivité ancestral de nos Anciens, leur dette immense justifie amplement la publication numérique gratuite de TOUS les livres de l'Humanité.

Que les lecteurs matérialistes étudient attentivement les arguments de Jean Staune. Qu'ils le fassent après avoir lu le texte de Lénine sur la réalité en soi et mon commentaire.

Il faut lire ce texte en gardant en mémoire la distinction matérialiste en 1° l'évènement en soi, 2° le signal (son trajet, la durée de ce trajet), et 3° la réception du signal.

Les imposteurs adversaires du matérialiste nient cette « trinité ». Pour certains – les moins illogiques - , la réalité se résume au 3°. Pour d'autres le n° 2, le signal et donc sa vitesse existent (leur usage de « c » la vitesse de la lumière en atteste) mais ils persistent à nier le n° 1, l'évènement en soi. Ceux-là sont les plus grave. Ils ne sont dépassés que par une variété spéciale de charlatans : ceux qui prétendent accepter le 1° mais, tout en disant accepter l'évènement en soi, ils persistent à nier le temps absolu, les déplacements absolus et, conséquemment, les vitesses absolues.



Quand nous voyons Mercure, la planète ne se trouve plus là où on la voit.




YT : Le simple fait que l'on puisse maintenant avoir des PHOTOGRAPHIES des atomes est déjà une preuve de la bêtise crasse de Werner Heisenberg.


JS : Ultra naïf !! Le formalisme ( et les expériences type fentes de Young) montre que les atomes sont des ondes quand on ne les observe pas et sont des points matériels quand on les observe. Dire comme le fait YT qu'avoir des photographies d'atomes est une preuve contre les conceptions de Heisenberg.... c'est la preuve que YT n'a Rien compris à Heisenberg ce dont je me doutais  depuis de début.

YT répond : Ma « naïveté », je la revendique. Elle m'a permis de re-découvrir l'imposture Cantor : J'étais parvenu aux conclusions de Kronecker et de Puthogoras avant même de savoir que ces deux génies étaient hostiles à R et aux infinis à taille variable. Ma « naiveté » qui consiste précisément à FORCER MON CERVEAU à RALENTIR, à prendre les choses une à une, à prendre les choses comme si j'étais en train de donner un cours à un élève de cours élémentaire – CM1 la plupart du temps ou même Cours élémentaire parfois ou encore grande section de maternelle. Ma capacité à faire « l'idiot » est ma PRINCIPALE force pour travailler à reconstruire la sciences et à initier cette QUATRIÈME révolution quantique.

C'est ce que vous appelez ma « naïveté » qui m'a permis, avant même de retourner le relire, de comprendre la trame de ce que m'avait enseigné Lénine. C'est ma « naïveté » qui m'a permis de comprendre – avant même d'être allé le vérifier – que les équations de Newton avaient été inventées pour un usage exclusif DANS LE VIDE, dans un référentiel absolu.
C'est ma prétendue « naïveté » qui m'a amené à comprendre, il y moins d'un an, que la notion d'inertie n'avait strictement aucun sens dans l'acception ordinaire de ce mot par les orthodoxes : quelle inertie pour un camion roulant sur une autoroute équatorienne ? A quelle hauteur du sol se retrouverait-il s'il laissait l'inertie le pousser sur son élan ?
Une hauteur ?
Évidemment ! L'inertie n'existe que par rapport à sa trajectoire en référence au vide : il faut supprimer tout effet gravitationnel pour comprendre cela.
Mais les pourfendeurs de la « naïveté » ont cassé leur cerveau : ils ont les pires difficultés à comprendre cela !!!

Jean Staune fait passer dans l'ombre la TOTALITÉ de mes arguments qui font appel aux atomos et aux vitesses absolues. Il refuse l'intelligence de sa « naïveté ».

YT : Mettez TOUS vos textes en ligne. Puis, faites un copier coller du passage que vous voulez utiliser comme argument

JS : je peux vous offrir mon livre si vous me donnez votre adresse postale  PAS le mettre en ligne!
voici quand même quelques arguments clés :

YT répond : Vous réglez par un cadeau le problème de l'inhumanité du « droit d'auteur Olivennes ». Ce sont vos ancêtres et leurs découvertes qui vous ont donné 99,9 % de la productivité à l'origine de vos possessions et de ce que vous êtes – en tant que capital humain. Les ayant-droits de cette « productivité ancestrale » méritent 1000 euros par mois et … tous les livres numérisés gratuits ! Je ne veux plus d'une police de l'innovation, je ne veux pas que Olivennes viennent fliquer vos ordinateurs ! (pour le cadeau : merci ….et ... non timeo danaos et dona ferentes.... je trouverai un facteur)

La non-localité, porte ouverte vers une autre réalité

YT répond : La totalité de ce qui suit récuse l'univers en soi, les mouvements de atomos et – donc – le distingo évènement signal réception.

Bohr était persuadé que la physique quantique était complète, c’est-à-dire que le travail était terminé et que la représentation des fondements de la réalité qui en découlait était la meilleure possible.
Mais cette représentation était trop floue pour satisfaire Einstein ; il la combattait en mettant au point des « expériences de pensée » dont le simple énoncé devait démontrer que la physique quantique était incomplète. Dès l’idée émise, Bohr démontrait illico que la physique quantique pouvait avaler cette nouvelle couleuvre et donc garder son statut de théorie achevée.

Pour des raisons philosophiques (« Dieu ne joue pas aux dés »), la cible prioritaire d’Einstein était le principe d’incertitude. Werner Heisenberg a témoigné de l’intensité extraordinaire de leurs « joutes intellectuelles » durant le célèbre congrès Solvay de 1927 : « Nos controverses commençaient en général tôt le matin, Einstein nous exposant au petit déjeuner une nouvelle expérience idéale susceptible, à son avis, de contredire le principe d’incertitude. Bien entendu, nous commencions immédiatement à analyser cette expérience ; et sur le chemin vers la salle de conférences, où j’accompagnais en général Bohr et Einstein, une première clarification de la question posée et de l’affirmation formulée était réalisée. Au cours de la journée, de nombreuses discussions étaient menées sur ce problème, et en général nous arrivions le soir à un point où Bohr prouvait à Einstein, au cours du dîner, que l’expérience envisagée ne pouvait pas aboutir à une réfutation du principe d’incertitude. Einstein était alors quelque peu inquiet, mais déjà le matin suivant, au petit-déjeuner, il avait une autre expérience idéale, toute prête, à nous proposer, plus compliquée que la précédente, et à son avis susceptible de démentir définitivement le principe d’incertitude. Cette tentative devait elle aussi échouer le soir même … »
 Huit ans après, en 1935, il revint pour frapper un nouveau coup – qui, cette fois-ci, il en était sûr, était décisif – avec le « paradoxe EPR », du nom d’Einstein et de deux de ses collaborateurs, Podolsky et Rosen.

Leur article, l’un des plus célèbres de l’histoire de la physique, s’intitule « Peut-on considérer que la mécanique quantique donne de la réalité physique une description complète ? »
Puisque le principe d’incertitude nous dit qu’on ne peut connaître à la fois la position P d’une particule et sa vitesse V , les auteurs proposent donc de prendre un système de deux particules corrélées A et B, qui ont été éjectées d’un même atome et sont parties dans des directions opposées à la même vitesse. La mesure de la position de A, P (A), permet de déduire celle de B, P(B). La mesure de la vitesse de B, V(B), permet de déduire la vitesse de A, V(A). On peut donc connaître la position et la vitesse de A et B au même moment, ce que la mécanique quantique ne peut pas faire . Cette dernière est donc incomplète et le principe d’incertitude, remis en cause. Einstein a dû savourer cette phrase : « Nous nous voyons contraints de conclure que la description de la réalité physique donnée par les fonctions d’ondes n’est pas complète . »
Instruit par l’expérience du congrès Solvay, Einstein a longuement peaufiné son argument et répond d’avance aux critiques. Il a identifié une faille possible dans sa démonstration : on pourrait affirmer que la mesure de A ne modifie pas seulement l’état de A mais également celui de B. Dans ce cas, la mesure effectuée de la vitesse de B serait V’(B) – c’est-à-dire « la vitesse de B après mesure de la position de A ». On en déduirait un V’(A) qui serait différent de V(A), valeur de la vitesse de A au moment où l’on a mesuré la position de A. Dans ce cas, le principe d’incertitude serait toujours valable.
Mais c’est impossible, nous dit Einstein. Car – et c’est là un des fondements de la relativité restreinte –, dans notre Univers, on ne peut pas dépasser la vitesse de la lumière (nous en verrons les raisons au chapitre 7). Donc il suffit que A et B soient suffisamment éloignés et que les mesures soient effectuées de manière suffisamment rapide pour qu’aucun signal ne puisse, partant de A, atteindre B avant que la mesure ne soit effectuée. On peut donc mesurer A sans perturber aucunement la mesure de B.

À ceux qui s’acharneraient tout de même à prétendre qu’une telle perturbation est possible, Einstein dit à l’avant-dernière phrase de l’article : « Aucune définition de la réalité un tant soit peu raisonnable n’autorise cela. »
Bohr répondit immédiatement. Sa réponse est relativement obscure, même pour les physiciens professionnels. Néanmoins, il semble qu’il affirme – de façon plus ou moins voilée, peut-être à cause de l’énormité d’une telle proposition – que la mesure sur une particule aura bien un effet
sur l’autre, où qu’elle se trouve : « La question essentielle est celle d’une influence sur les conditions mêmes qui définissent les types possibles de prédictions relatives au comportement futur du système . »
Einstein n’accepta jamais cette réponse : « On ne peut échapper à cette conclusion (que la théorie quantique est incomplète) qu’en supposant que la mesure pratiquée sur une particule modifie (télépathiquement) la situation réelle de l’autre particule, ou qu’en niant l’indépendance de situations réelles relative à des objets qui sont séparés spatialement les uns des autres. L’une et l’autre branches de l’alternative me semblent entièrement inacceptables . »
En effet, comme nous l’avons dit, si, lors de la mesure, les électrons sont suffisamment éloignés l’un de l’autre, l’influence, qui en fonction de la mesure de l’un modifie l’état de l’autre, doit être supralumineuse ! Einstein parlait (pour s’en moquer) de « l’action fantôme à distance » et soutenait le « principe de localité » selon lequel des mesures effectuées en un endroit ne sauraient avoir d’impact sur des mesures faites de façon si rapide ailleurs qu’aucun signal se propageant à la vitesse de la lumière n’a pu aller de l’une à l’autre.
Comment savoir la vérité ?
En 1965, John Bell montra qu’un test expérimental était possible , non pas avec des positions et des vitesses mais avec les polarisations des photons. La polarisation d’un photon est aléatoirement « + » ou « - » quand elle est mesurée dans une direction donnée. En faisant « sauter » des électrons d’une couche à une autre dans un atome, il est possible d’émettre un couple de photons qui donneront des réponses identiques quand on mesurera leur polarisation selon une même direction. En revanche, si l’on mesure la polarisation des membres d’un couple selon des directions différentes, alors cette « corrélation stricte » disparaît.

Pour mieux comprendre la situation, imaginons un couple de jumeaux participant à un jeu télévisé. Installés dans deux cabines insonorisées, isolés l’un de l’autre, ils donnent exactement les mêmes réponses aux mêmes questions. On peut en déduire que les jumeaux ont les mêmes aptitudes et qu’ils ont acquis les mêmes connaissances durant leur vie. Mais alors que la corrélation entre leurs réponses continue au fur et à mesure que de nouvelles questions sont posées, une autre hypothèse peut venir à l’esprit : les jumeaux communiquent entre eux d’une façon ou d’une autre.
Donc, lorsque l’on constate ce type de corrélation, soit les réponses aux questions préexistaient dans les cerveaux du couple de jumeaux avant le début du jeu, soit c’est grâce à une communication au moment où on leur pose la question que la corrélation peut exister. Vous me direz qu’en ce qui concerne mon histoire de couple, cela importe peu.
Mais lorsqu’il s’agit des deux particules, la différence entre les deux situations est vertigineuse.
Dans la première, les deux photons possèdent depuis le départ une polarisation qui, si elle est mesurée dans une direction quelconque (disons X), donnera la réponse « + ». Comme dans l’exemple des jumeaux, c’est la « vie commune » des particules avant leur séparation qui explique leur corrélation, et durant le trajet vers les appareils de mesure, les deux particules « portent » en elles des caractéristiques qui se « révèleront » à l’arrivée, lorsqu’on leur posera la question : « Quelle est la valeur de ta polarisation dans la direction X ? »
Comme ceci est vrai quelle que soit la direction X, il en résulterait que chaque particule porterait en elle les caractéristiques de polarisation relatives à toutes les directions à la fois. Étant donné que cette dernière assertion est en contradiction avec les principes de base de la physique quantique, il faut conclure que celle-ci est incomplète et qu’il existe des « variables cachées » qui, si elles étaient connues, permettraient de prédire le résultat des mesures.
C’était là, bien sûr, la position d’Einstein.
Mais, comme nous l’avons vu avec les jumeaux, il existe une deuxième possibilité à laquelle Bohr osait à peine faire référence lorsqu’il parlait « d’influence » sur les conditions de l’expérience. Ici, les particules ne sont porteuses d’aucun « + » ou « - » durant leur parcours vers les instruments de mesure. À l’arrivée, lorsque l’une des particules répond, de façon aléatoire – par exemple « + » – l’autre, de façon totalement coordonnée, répond la même chose. Si la mesure n’avait pas été effectuée sur la première, la réponse à une mesure sur la deuxième aurait été totalement aléatoire. Mais lorsque l’on observe la réponse « + » de la première particule, on sait avec une certitude absolue que l’autre répondra « + » aussi.
Or, ces deux particules peuvent être très éloignées dans l’espace et les mesures, effectuées de façon suffisamment rapprochées pour qu’aucun signal allant à la vitesse de la lumière ne puisse « informer » une particule de la mesure que l’autre a subie.
Ainsi, si la deuxième hypothèse est la bonne, notre vision du monde est radicalement modifiée car nous avons alors un drôle de bébé sur les bras : « l’action fantôme à distance », dont Einstein disait qu’elle ne peut être acceptée par « aucune conception raisonnable de la réalité ».
Comment savoir quelle est la bonne hypothèse ? Ce que John Bell a montré dans son article de 1965 – que nous venons de mentionner –, c’est que si l’on pose des questions différentes aux deux photons d’un même couple (par exemple « quelle est la valeur de ta polarisation en direction X » pour l’un, et « en direction Y » pour l’autre), il existe des relations entre les résultats des mesures sur certains couples de photons qui doivent toujours être respectées si la première hypothèse est vraie. Ces relations sont exprimées par des inégalités que l’on appelle les « inégalités de Bell » et qui portent sur les résultats de séries de mesures effectuées sur des couples de photons dont la polarisation de chaque membre a été mesurée dans une direction différente de celle de son jumeau. Si ces inégalités sont violées, cela constitue une démonstration de la fausseté de la première hypothèse, hypothèse selon laquelle les particules portent en elles des propriétés bien déterminées avant la mesure . Il ne reste plus alors qu’à accepter la deuxième hypothèse quelle que soit son étrangeté.

On a commencé à effectuer les mesures en question dans les années 70 mais il manquait un ingrédient essentiel : il fallait accomplir les mesures dans un intervalle de temps si réduit qu’aucun signal se propageant de A à B à la vitesse de la lumière ne puisse arriver à temps pour permettre une communication entre les deux particules.
Alain Aspect, Philippe Grangier et G. Roger ont alors mis au point une expérience de ce type à l’université Paris XI. Les particules sont séparées par douze mètres, les mesures sont réalisées en un milliardième de seconde (!). La lumière met 40 milliardième de seconde pour parcourir 12 mètres. Donc toute influence exercée par une mesure sur l’autre doit aller (au moins) 40 fois plus vite que la lumière.
En 1982, l’expérience livra un verdict implacable  : si l’on choisit d’effectuer ces mesures sur les photons dans certaines directions, les résultats violent les inégalités de Bell (et cela, qui plus est, dans les proportions prédites par la physique quantique !). Einstein avait tort, le principe de localité volait en éclat.

Une grande réunion fut organisée devant la « crème » des physiciens afin d’en présenter les résultats, de nombreuses publications spécialisées furent éditées, la prédiction la plus incroyable de la mécanique quantique était vérifiée, un des fondements, non seulement de la science « classique », mais de toute conception « raisonnable » du monde, venait de disparaître, et puis… rien ou presque.
Certes, un grand nombre d’ouvrages a depuis, avec plus ou moins d’insistance, vulgarisé ces résultats. Mais enfin, nous aurions dû voir d’honorables physiciens courant, nus, sur les Champs-Élysées, comme leur célèbre prédécesseur Archimède, en criant : « Euréka, la non-localité existe ! »
N’allez pas croire qu’il y ait le moindre atome de doute à propos de la réalité du phénomène. Non seulement la non-localité existe, mais cette existence ne dépend pas de l’interprétation que l’on donne à la mécanique quantique. Cela veut dire que l’eau pourra passer sous les ponts, les années et même les milliers d’années s’écouler, toute théorie physique relative à la nature du Monde se devra d’intégrer la non-localité, de la même façon que toute théorie cosmologique future devra intégrer le fait que la Terre tourne autour du Soleil et que le Soleil tourne autour du centre de la galaxie.
Cela est « matraqué » par John Bell lui-même à trois reprises dans le même livre : « Nous ne pouvons éviter que l’intervention sur l’un des côtés ait une influence causale sur l’autre  », « certaines corrélations particulières sont localement inexplicables. Elles ne peuvent être expliquées sans action à distance  », « pour le dispositif expérimental décrit, cela ne serait pas seulement une mystérieuse influence à longue distance (une non-localité, ou action à distance au sens faible) mais une influence se propageant plus vite que la lumière, une non-localité au sens le plus strict et le plus indigeste . » Cela est même reconnu par Jean Bricmont, l’un des principaux porte-drapeaux des physiciens les plus rationalistes et matérialistes : « La non-localité est une propriété de la nature établie à partir d’expériences et de raisonnements élémentaires, indépendamment de l’interprétation que l’on donne au formalisme quantique. Par conséquent, toute théorie ultérieure qui pourrait remplacer la mécanique quantique devra également être non locale . »
Néanmoins, il y a en fait deux façons de considérer le phénomène :
soit, comme vient de le dire Bell, il s’agit d’une influence qui ne peut être véhiculée par de la matière ou de l’énergie (car sinon, elle ne pourrait pas aller plus vite que la lumière) et qui s’exerce d’une particule sur l’autre : on parle alors de « non-localité » car elle viole le principe de localité tel que Einstein le concevait. Soit, comme le pense une majorité de physiciens actuels, les deux particules forment un seul et même objet même lorsqu’on les mesure dans des boîtes pouvant, en théorie, être séparées par des milliers de kilomètres. On parlera alors plutôt de « non séparabilité » car les deux particules ne peuvent pas être séparées (tant qu’on n’a pas effectué de mesure sur elles). Il semble, pour des raisons que nous verrons au chapitre 6, que c’est cette deuxième interprétation qui paraisse la plus probable.
De toute façon, comme le dit B. d’Espagnat : « En ce qui concerne la non-séparabilité, les deux descriptions sont équivalentes. Dans l’un comme dans l’autre cas, une violation de la séparabilité einsteinienne nécessite une interaction instantanée à distance, soit entre deux systèmes distincts, soit à l’intérieur d’un seul et même système étendu dans tout l’espace . »
On voit dans un cas comme dans l’autre, qu’il n’y a pas d’échappatoire possible : nous sommes conduits à radicalement réviser nos conceptions relatives aux fondements mêmes de la réalité.
C’est la raison pour laquelle ce résultat est d’une telle importance : il s’agit d’une évolution majeure de nos connaissances. Au-delà de cette expérience, toute une série de visions du monde ne sont plus valables, vous pouvez les jeter comme votre ticket usagé lorsque vous sortez du métro.

Pourquoi alors tout le monde n’est-il pas en train de parler de la non-localité ? Pour les mêmes raisons que celles pour lesquelles il a fallu deux siècles pour nommer le XVIe siècle, « le siècle de la Révolution copernicienne ». Tout d’abord parce que dans le tumulte du quotidien, seule une minorité d’esprits peut percevoir les mutations essentielles. Ensuite, parce que dans une période de changement de paradigme, même les esprits les plus brillants de l’époque peuvent avoir du mal à abandonner les concepts sur lesquels repose leur vision du monde.
Ainsi, aujourd’hui, de nombreux physiciens professionnels tendent-ils à diminuer l’importance de la non-séparabilité, voire racontent-ils des choses fausses à son sujet, comme le dit Jean Bricmont : « La majorité des physiciens n’est pas dérangée par le paradoxe EPR. Mais cette majorité se divise en deux types. Ceux du premier type expliquent pourquoi cela ne les dérange pas. Leurs explications tendent à être entièrement à côté de la question ou à contenir des assertions dont on peut montrer qu’elles sont fausses. Ceux du deuxième type ne sont pas dérangés et refusent de dire pourquoi. Leur position est inattaquable (il existe encore une variante de ce type qui dit que Bohr a tout expliqué mais refuse de dire comment) . »
La désinformation la plus grave au sujet du paradoxe EPR consiste à affirmer : « Il n’y a aucune action à distance dans les expériences de type EPR »… et à ne rien ajouter d’autre.
Nous avons vu que nous pouvions dire cela… à condition d’accepter l’idée que les deux particules forment un seul et même objet, même lorsqu’elles sont dans des instruments de mesure séparés par des dizaines de kilomètres. Dans une telle situation, on ne peut plus parler d’action d’une particule sur l’autre puisqu’il n’y a plus qu’un seul objet ! Donc on peut affirmer qu’il n’y a pas d’action à distance uniquement si l’on rajoute que dans ce cas, nos concepts familiers relatifs au temps et à l’espace doivent être remis en cause encore plus profondément que s’il y avait une mystérieuse « action fantôme » entre les deux particules.



YT répond sur la forme : remettre les sauts de ligne à leur place m'a pris plus de 20 minutes : vous seriez fort aimable, monsieur Staune de publier, sur votre site, vos citations : le pourrait récupérer le formatage que les pages « commentaires » de mon blog semblent supprimer.

YT répond sur le fond : Je le savais, vous l'avouez : le charlatan pseudo matérialiste de l'université catholique de Louvain travaille pour votre camp. Il fabrique des arguments, des fausses preuves pour les ennemis du matérialisme :

« Cela est même reconnu par Jean Bricmont, l’un des principaux porte-drapeaux des physiciens les plus rationalistes et matérialistes : « La non-localité est une propriété de la nature établie à partir d’expériences et de raisonnements élémentaires, indépendamment de l’interprétation que l’on donne au formalisme quantique. Par conséquent, toute théorie ultérieure qui pourrait remplacer la mécanique quantique devra également être non locale . » »

L'imbécile, le traître : Une « propriété de la nature » écrit Jean Bricmont !!! {le nom de l'ouvrage SVP}

Quel idiot !

La totalité des prétendues « expériences » de non localité sont basées sur des impostures. Elles nient la « sainte trinité » émission, signal réception.

Les idioties de Aspelmeyer, il ne s'est trouvé aucun champion pour tenter d'argumenter contre le démontage que j'ai opéré de leur protocole.

Ainsi, aujourd’hui, de nombreux physiciens professionnels tendent-ils à diminuer l’importance de la non-séparabilité, voire racontent-ils des choses fausses à son sujet, comme le dit Jean Bricmont : « La majorité des physiciens n’est pas dérangée par le paradoxe EPR. Mais cette majorité se divise en deux types. Ceux du premier type expliquent pourquoi cela ne les dérange pas. Leurs explications tendent à être entièrement à côté de la question ou à contenir des assertions dont on peut montrer qu’elles sont fausses. Ceux du deuxième type ne sont pas dérangés et refusent de dire pourquoi. Leur position est inattaquable (il existe encore une variante de ce type qui dit que Bohr a tout expliqué mais refuse de dire comment) . »

Tous ces charlatans de la bande Syllepse ont un fonds de commerce matérialiste, cela leur permet de duper les nouvelles générations. Ils agissent pareillement aux staliniens qui infestent la science bourgeoise depuis 1927 : misérables rabatteurs pour l'idéalisme autiste.
Ces crapules corrompues par la bourgeoisie ont plongé le 20° siècle dans l'obscurantisme le plus total.

Ils ont flanqué Newton et Lénine par dessus bord.

Les petites cuillères truquées s'appellent maintenant non séparabilité, action à distance.

Mais chaque fois qu'on braque le projecteur sur ces clowneries, les trucages stupides apparaissent en gros sur l'écran : dans le cas d'Aspelmeyer – qui voulait supprimer le déterminisme – la cuillère truquée s'appelle « petit miroir » qui laisse disparaître les photons dans le vide.

Il lui suffit de négliger notre déplacement absolu dans le vide pour que les photons loupent les miroirs trop petits et disparaissent en laissant Aspelmeyer crier à la magie !

Au-delà de cette expérience, toute une série de visions du monde ne sont plus valables, vous pouvez les jeter comme votre ticket usagé lorsque vous sortez du métro.




peut fanfaronner notre interlocuteur Jean Staune.

L'avenir dira s'il acceptera – enfin – de répondre à nos arguments : Le fait que Mercure visible se trouve à plus de 20,46 diamètres du véritable lieu de Mercure réel, cela l'a laissé sans voix.

image Mercure gif


Le fait que – au même moment – le Soleil puisse se trouver à 1,14 diamètre de son image visible, cela dépasse l'intelligence des adversaires ordinaires du matérialisme.

La révolution scientifique en cours recrutera ceux qui parviennent à comprendre cela !





dimanche 7 décembre 2008

MANIFESTE MATERIALISTE par Yanick Toutain (2 janvier 2006)

Ceci est la réédition sur le blog du texte originellement publié sur monsyte.


MANIFESTE MATERIALISTE
Par Yanick Toutain 2 01 2006
VIDE ET ATOMOS

Tout est vide ou atomos.(*)
Là où se trouve le vide; point d'atomos.
Là où est l'atomos, point de vide.
L'un ou l'autre.
(C'est quasiment du Lucrèce.(*))
L 'atomos est la brique numéro un. Tout est fabriqué à partir d'atomos.
Dans chaque objet, chaque corps, chaque particule, chaque planète, chaque étoile, chaque galaxie, chaque animal, chaque maison, chaque nuage, chaque rivière, chaque microbe, dans chaque océan, dans chaque être humain, il y a, à un moment déterminé, un nombre entier d'atomos.(*)
Isaac Newton et Maurice De Broglie pensaient que l'atomos était probablement la lumière (*).
C'est effectivement probable.
Ou bien l'atomos est la brique qui compose chaque photon.
Puisque l'Univers n'a qu'une brique, l'atomos, la seule science de base, c'est la science du mouvement des atomos.
Ces atomos se déplacent dans le vide et s'entrechoquent.
Nous en connaîtrons bientôt les règles.
* * *
SCIENCE DU MOUVEMENT DES ATOMOS

Cette science du mouvement des atomos s'appellera Mécanique de base.
Cette Mécanique de base est la brique de toutes les autres sciences.
Aucune science ne peut prétendre être en contradiction avec la Mécanique de base.
Les sciences physiques (mouvement des particules et des corps de l'Espace), les sciences biologiques et les sciences humaines étudient des corps, qu'ils soient inanimés ou vivants ou vivants - humains, dont le fonctionnement correspond à la Mécanique de base.
Un champion olympique gagne une épreuve parce que ses atomos (organises en vivant), mis au contact des atomos de la nature [socialisée partiellement] (stade, terrain, bateau etc.) organisée en inanimé, lui ont permis d'avoir la performance la "meilleure".
Connaître tous les atomos concernés par un "cent mètres sprint" permet évidemment de prévoir à l'avance le résultat de la course.
Cette assertion, cette affirmation est la base de toute science.
Celui qui la refuse quitte le groupe des scientifiques pour, rejoindre la horde de la crédulité superstitieuse.
Et cela, quand bien même cette horde obtiendrait des labels de la prétendue "communauté scientifique".
"Communauté scientifique" à laquelle Isaac Newton a craché, par avance, tout son mépris.(*)
* * *
LE TRAJET DES ATOMOS

Lorsqu'il l'a fait, en 1706, la Terre se trouvait à des milliards de kilomètres plus loin qu'aujourd'hui (des dizaines de milliers de milliards de kilomètres quasi certainement. (*)
Les atomos de la Terre de 1706, il y a 300 ans, ainsi que les atomos des êtres vivants qui s'y trouvent, se sont déplacés dans le vide à un vitesse probable de plusieurs millions de kilomètres à l'heure (possiblement vingt *)
* * *
Tous ces atomos ont fait un trajet. Trajet dont rend compte la Mécanique de base.
Ces trajets ont provoqué la Révolution Française, les molécules d'encre des pages des livres "Candide" édités (ouvrage de Voltaire), ont provoqué les creux des CD ROM nous permettant d'écouter la symphonie n°40 de W. A. Mozart.
La Mécanique de base explique tout cela : Avec les règles et les données, la Mécanique de base aurait même pu prévoir tout cela. Laplace, à la fin du 18° siècle, avait totalement raison.
Ses adversaires sont des imposteurs, des charlatans, des mystiques déguisés.
* * *
La seule science de base c'est la Mécanique des atomos (atomostikos => atomostique)
Ce sont les mouvements réels des atomos dans le vide qui sont la seule réalité qui existe. Il n'en existe pas d'autre.
Quiconque refuse cela est un idéaliste masqué.
* * *
BRIQUES PHYSIQUES, BRIQUES BIOLOGIQUES

La science a consisté à découvrir les briques de l'Univers. Ces briques sont physiques (électrons, protons, etc.) ou biologiques (ADN, etc.)
Mais les briques biologiques ont des briques physiques. Les briques de la matière vivante ont elles-mêmes des briques non-vivantes.
Dans un corps vivant, à un moment déterminé, il y a un nombre précis d'électrons et aussi, un nombre précis d'atomos.
Mais chaque électron, lui-même, contient un nombre précis d'atomos [on peut supposer que les modifications de l'orbite de l'électron de l'atome d'hydrogène sont liées à la variation de ce nombre d'atomos, précisément.]
Dans un corps vivant, à un moment déterminé, il y a un nombre déterminé de cellules. Chacune contient un nombre précis d'électrons, d'atomos, etc.
* * *
MODALITES PARTICULIERES DE DEPLACEMENT

Les lois de la Mécanique de base permettront, lorsqu'elles seront complètes, de définir ce que signifie "vivant".
En effet, ce sont des modalités particulières de déplacement des atomos qui fabriquent du "vivant".
La matière vivante, faite de briques vivantes, est faite d'atomos. Mais ces atomos sont groupés d'une certaine façon, se déplacent d'une certaine façon. Et ce sont ces regroupements et ces déplacements qui donnent les briques de la matière vivante.
La clé de la biologie doivent donc être conformes, en conformité, avec les règles de la Mécanique de base, de la Mécanique atomostique.
C'est du domaine de la philosophie que de traiter de cette conformité.
* * *
TRANSFORMATION QUANTITE QUALITE

A titre d'exemple, une des lois fondamentales de la philosophie scientifique, c'est la loi de transformation Quantité Qualité (L.T.Q.Q.)
La L.T.Q.Q. est issue des travaux de Hegel, Marx et surtout Engels.
Elle décrit le fait que toute augmentation quantitative provoque une modification qualitative.
Augmenter la chaleur de l'eau d'une casserole induit un gaz, la vapeur d'eau.
La vapeur d'eau est une transformation qualitative de l'eau liquide.
La forme de la courbe de la quantité d'eau ayant atteint la température de 80 degrés (fonction du temps), est la même que la forme de la courbe du nombre d'agriculteurs sur la Terre : Montée lente, descente rapide.
Chaque seuil quantitatif déclenche l'apparition d'une nouvelle qualité (quantifiable, évidemment).
Tant de gaz après tant de liquide.
Tant d'artisans et d'ouvriers après tant de paysans.
Cette loi T.Q.Q. est valable en physique, en biologie, en sciences humaines.
* * *
CONFORMITE DES SCIENCES HUMAINES A LA MECANIQUE DE BASE

Cela signifie donc que les sciences humaines (leur objet: les hommes) sont, elles-mêmes, en conformité avec les lois de base.
Les hommes agissent déterminés par l'état précédent des atomos qui les composent et/ou avec lesquels ils sont en contact (depuis le plastique du stylo que je tiens jusqu'à la lumière des étoiles lointaines).
Cette détermination physique implique que les lois historiques dérivent de la Mécanique atomostique.
On peut marquer, ici, quelle fut la trahison des pseudo physiciens des années 20, qui, par peur du matérialisme, ont fait dérailler la science physique. Seul De Broglie, tardivement, a amorcé un essai de retour au réel.
* * *
MATERIALISME DIALECTIQUE, MATERIALISME HISTORIQUE

Cela relie les 3 domaines : Les travaux de Boltzmann surtout, puis de Planck, pour affirmer la nature corpusculaire du réel (atomes pour Boltzmann et photons pour Planck et Einstein 1905) avaient pour conséquence de donner raison aux matérialistes grecs de l'Antiquité. Mais, donc, aussi, à Marx, à Engels ainsi qu'à tous ceux qui, à cette époque, sur la base du matérialisme scientifique construisaient le matérialisme historique (l'histoire matérialiste) et œuvraient, en conséquence, à renverser l'oppression capitaliste.
La réponse fut d'abord la répression Versaillaise contre le peuple de Paris, puis, à grande échelle, la boucherie anti-ouvrière de 14-18.
Il faut remarquer, à ce propos, que la construction d'une histoire matérialiste, à partir d'archives, permettra de prouver qu'à la veille de l'été 1914, un nombre important de pays étaient sur le point de voir se produire des insurrections populaires. La Russie étant en tête de liste.
Il reviendra donc à une histoire matérialiste de clarifier, dans la chaîne des causalités, quel facteur a joué le rôle le plus déterminant : "soif de colonies" ou "boucherie préventive pour étouffer les velléités anticapitalistes".
* * *
Cela fait la lumière sur la nature véritable d'une science matérialiste : S'il est envisageable que la volonté des capitalistes a pu être la cause première de la guerre 14-18, cela marque bien la structure d'une véritable science psychologique. Le fait que les classes exploiteuses aient voulu la boucherie, cela aurait aussi pu être prévu par un "deus ex machina laplacien" : Ce sont les structures et les mouvements des atomos des protagonistes des classes exploiteuses qui ont, possiblement, été à l'origine de la décision de la guerre.
C'est, en effet, une vision imbécile de ce qu'est l'histoire matérialiste, le matérialisme historique, que de nier le rôle de la volonté et de vouloir tout rapporter à de "pseudos causes objectives". Il n'est que de lire le magnifique "Révolution russe" de Lev Davidovitch Trotsky, pour voir, précisément, la volonté du fantoche Kerenski s'éroder jusqu'à la folie bavarde en Août - septembre 17, s'éroder face à la volonté grandissante d'un nombre de plus en plus important de russes. Ces chocs de volontés sont des trajets d'atomos, RIEN D'AUTRE.
* * *
MATERIALISME HISTORIQUE ET PSYCHOLOGIE

Point de lutins, point de Gabriel, de Messies qu'on prendrait pour des lanternes.
Ce sont, précisément, ces trajets d'atomos, et eux seuls, qui doivent clarifier l'érosion psychologique de la volonté de Kerenski.
La psychologie - à l'état de travaux préparatoires, dans le livre de LD Trotsky - doit reposer sur un socle matérialiste et donc étudier les classes.
Car la volonté de Kerenski est le résultat de milliers de liens, de stresses, d'échanges verbaux, épistolaires etc. qui le reliaient directement ou indirectement, aux groupes sociaux, aux classes sociales et à leurs intérêts.
Une science psychologique qui serait en désaccord avec une science économique serait une absurdité. De même pour un désaccord entre psychologie et sociologie. Il ne peut y avoir de désaccord. Comment trancher ?
Seule est vraie celle qui est en conformité avec la Mécanique de base.
Prenons comme exemple la "Horde primitive" du semi-charlatan Freud :
Comment des évènements prétendument produits à des milliards de kilomètres, pendant les débuts de la préhistoire [Freud connaissait-il le distinguo paléolithique néolithique ?] pourrait expliquer le comportement du mâle bourgeois de Vienne avec sa femme ? le comportement du fils du bourgeois avec sa mère ?
Fariboles et trucs de commerce.
Bronislaw Malinowski a réglé ses comptes -très drôle ! - à cette transplantation de la famille bourgeoise autrichienne moyenne dans la jungle primitive.
Ce n'est pas de la science. Cela n'est pas en conformité avec la Mécanique de base : Lorsqu'on veut déterminer une influence du passé lointain sur le présent, il faut argumenter, de façon concrète, les médiations. Comme l'a fait Marx quant à l' "influence" de la Rome de l'Antiquité sur la Révolution Française et l'Empire napoléonien.
* * *
HISTOIRE MATERIALISTE CONTRE PSEUDOS DOMAINES ETANCHES

De fait, la clé de cette influence se trouve autant en "psychologie", en "économie" qu'en "sociologie". La lecture des textes d'analyse historique des vrais marxistes prouve qu'on ne peut jamais découper l'Histoire en pseudo domaines séparés de façon étanche.
L'analyse de l'économie capitaliste de 1976 à 2006 passe principalement par l'étude de ce qui se passe dans la tête des travailleurs des pays occidentaux : Comment font-ils pour prendre autant de coups, poussés vers la sortie, vers la précarité, le non droit, vers le chômage, vers le RMI, vers le sommeil sur des trottoirs, vers la mort une nuit de décembre 2005.
La croissance annuelle du CAC 40 a pour origine principale cela : Sans cette passivité des travailleurs - à expliquer -, impossible pour la bourgeoisie d'en finir avec le ratio 70 % - 30 %, salaires - profits. C'est le passage de 30 % à 40 % (de la répartition du PIB) en faveur des profits qui permet cette pseudo croissance boursière.
Et l'analyse des cerveaux prolétaires passe elle-même par la détermination des classes en présence, donc par la construction d'une sociologie scientifique.
En effet, c'est l'explosion du prolétariat en 3 classes concurrentes qui est la clé de l'Histoire du 20° siècle, et donc de la passivité des travailleurs des pays développés.
En effet, de la même façon que la clé de physique supérieure est l'étude des agglomérations d'atomos, formant toutes les sous-particules, puis les atomes, puis les molécules, de la même façon que la clé de la biologie supérieure est l'étude des agglomérations de briques du vivant, de la même façon, la clé de l'Histoire matérialiste, c'est l'étude de l'agglomération des êtres humains.
Il n'est pas dit que la structuration en classes sociales soit le fin mot de l'Histoire. Il est probable que les pressions des Travailleurs Innovants opposés aux Travailleurs Répétants ainsi qu'aux Parasites, les 3 regroupés en STRATES, a pu avoir le rôle moteur le plus important.
Il n'empêche que c'est la détermination de ces groupes de pression qui permettra de construire des modèles informatiques qui pourront prouver que l'Histoire devait passer par tel chemin et pas par un autre.
* * *
TOUT EST DÉTERMINÉ : L'HISTOIRE EST ÉCRITE

Car ce qui effraye les moineaux peureux de la science falsifiée c'est cela : L'Histoire est "écrite".
Tout est prévisible.
Tout est déterminé.
Depuis le probable Big-Bang (à clarifier) jusqu'en 2007 tout était écrit.
Prévisible.
Évidemment.
Oui, mais par qui ?
Effectivement, ce ne sont pas x milliards de photons partis en goguette à l'instant t0 + 5 Temps de Planck qui vont pouvoir prévoir Mozart, ni, même ce texte lumineux.
Ils ne sont même pas encore capables de s'agglomérer pour former un atome d'hydrogène, ni même un électron.
Tout était prévisible … Par personne.
Et alors !
Tout cela est parfaitement logique.
Connaître, en direct, le cerveaux de 2 grands maîtres des échecs permet de prévoir les 20 premiers demi coups de la finale.
Ce sont 2 banques de données qui s'affrontent.
Jouez aux échecs contre un ordinateur. Si le programmeur n'a pas prévu l'usage de la fonction RND (RaNDom = random = hasard), il reproduira la même partie à chaque fois.
Il existe même une fonction SEED(n) qui permet au programmeur de lancer des nombres au hasard, mais toujours la même suite.
Non, ce n'est pas idiot, cela lui permet de tester des jeux dans lesquels on peut tirer des dés, mais en ayant la même suite de tirage, dans le but de tester les réactions de son programme.
Chaque ordinateur contient une horloge. Si je fais SEED(n) avec n = l'heure qu'il est (quand le joueur appuie sur la barre "espace" du clavier), je me retrouve avec un vrai(faux) hasard.
Un vrai hasard, car il est impossible à un humain de taper sur la barre "espace" avec une précision du millième de seconde.
Un faux hasard parce que tout est déterminé et que, quel que soit le nombre "tiré", votre partie d'échecs ne va pas devenir un jeu de PacMan : ce que change le nombre tiré est déterminé à l'avance.
Si Louis XVI avait marché sur une crotte de chien dans le parc de son château le 14 juillet 1789, cela n'aurait pas modifié l'agglomération de troupes contre-révolutionnaires étrangères contre le peuple parisien.
* * *
PROPORTIONNALITÉ DES CAUSES ET DES EFFETS, CHAOS, ET CYCLES RÉPÉTÉS

Les partisans de la dernière goutte d'eau sont des imbéciles.
Si "elle fait déborder le vase", c'est au même titre que toutes les autres.
L'étincelle ne fait exploser que de la poudre, pas de la crotte de chien.
Les Crottoriciens du Chaos se prennent pour de grands découvreurs.
Ils ont redécouvert la TQQ pour les meilleurs, sans le dire, sans l'avouer (Thom est un pillard). Les autres font mumuse avec des pitreries.
Le papillon qui devait empêcher le cyclone Katerina est tombé à l'eau.
Pour ce coup-là (est-ce bien lui ?) Pascal avait raison : Les causes et les effets sont proportionnels.
Lorsqu'un avalanche se produit, la cause et les effets s'analysent en terme de Mécanique de base et de mécanique supérieure : Rien ne se perd, tout se transforme.
L'imbécile cahotique qui skie hors piste pour prouver qu'il déclenche des avalanches ne prouve rien :
il est le facteur ridicule.
Ces braves gens, valets serviles, veulent protéger la bourgeoisie putride par une bouillie idéelle : faire croire à la non proportionnalité des causes et des effets, faire croire à l'apparition hasardeuse des nouveautés, pour masquer l'inéluctabilité de sa faillite.
Les mêmes servent aussi la soupe de la "fin de l'Histoire", de l'"Histoire se répète" : La preuve - disent-ils - la Terre reste à tourner autour du Soleil (Soleil bien évidemment immobile) Combien d'ailleurs de "physiciens" connaissent la vitesse orbitale du Soleil ?
"La Terre revient au même endroit chaque année"
Qui a écrit cela ?
Est-ce Christian Magnan, professeur au Collège de France ?
A-t-il pu dire cela ?
Est-ce possible ?
Ou bien est-ce Germaine La Bête Tessier ?
De qui ce 2 là sont-ils au service ?
La seconde peut se vanter de ne pas avoir été nommée par un voleur.
Entre les partisans du cahot chaotique et ceux des cycles à l'infini, il y a l'épaisseur d'une feuille pelure. S'y niche l'esprit réincarné des bouddhistes : Tran Xinh Thuan, le méchant qui insulte Newton en profitant de la naïveté de G. Gleick, lui, vend sa camelote : Dieu existe parce que les fleurs sont belles.
Quels groupes sociaux payent de pareils crétins des sommes telles ?
"La Terre revient au même endroit"
"La bourgeoisie règne éternellement, sur les siècles des siècles, dans l'espace claustrophobique d'une poubelle surchauffée : la Terre".
Bien heureusement, la TQQ va balayer tous ces gens.
Bien heureusement, dans quelques centaines de milliards de kilomètres, dans un ou deux zigzags terrestres, l'accumulation du principe de pauvreté, du principe d'insupportabilité va fusionner avec le principe novateur (mal) porté par la classe innovoise et développé par la strate innovante. Et, comme en 1789, à l'échelle mondiale, on verra balayer les classes bourgeoises, on verra fermer les Bourses.
"La Terre revient au même endroit" se rassurent-ils !
Les cahotiques vous le diront alors :
"C'était imprévisible"
Ces ignares n'auront même pas remarqué qu'au 2900ième mensonge de Georges Bush II, propagé mondialement, en vue d'attaquer un peuple supplémentaire, la révolution anti-capitaliste mondiale se propagera.
Certes, je le concède, il se trouvera une partie de la "communauté" "scientifique" qui réussira à prouver, pliures à l'appui, que cette 2900ième inanité de Georges Bush II avait un caractère particulier qui la rendait précisément déterminante.
Et qui la rendait, à elle seule, responsable de cette mobilisation planétaire.
Une autre partie de la toujours "communauté" toujours "scientifique" ira prétendre que ce 2900ième mensonge était totalement imprévisible.
Un sous groupe déviant ira même prétendre que ce n'est pas tant le mensonge proféré pendant son allocution qui a créé cette hostilité déterminante contre Georges Bush II que l'éternuement qui l'a saisi au milieu de la phrase.
Je laisse de côté, à la fois ceux qui, à l'annonce de ces évènements se seront retiré dans un manoir bouddhiste, et à la fois les directeurs de thèse de l'UNIVERSITÉ ™ française qui annoncent que c'était écrit dans les astres dans la thèse de Germaine La Bête -Tessier.
Il est frappant de constater que les partisans du cahot et ceux du cycle répété pour l'éternel ont en commun de détester Laplace et Épicure, en l'avouant, de détester Newton (en le cachant) et de prier Saint Einstein, qui, grâce au refus de l'anisotropie, leur permet de continuer à faire leur petite tambouille "comme si" la Terre restait immobile. La seule question qui reste posée est celle-ci : La diffusion de masse des éléments de base pour une nouvelle science matérialiste précédera-t-elle la révolution sociale et la révolution civilisationnelle ?
Yanick Toutain
(2/1/2006 11h30)
Notes
Atomos : Les Grecs du 5° siècle ne connaissent pas les atomes du 19° siècle, péché d'orgueil de savants limités : les atomes "antiques" sont les briques élémentaires de la matière.
Quasiment du Lucrèce : Voilà le texte original : " Car partout où s’étend l’espace que nous appelons ; vide, point de matière ; et partout où se dresse un corps, impossible qu’il y ait un espace libre, vide. " La citation complète est ci-dessous.
Lucrèce: Titus Lucretius Carus vécut 43 ans de –98 à –55. Il fut le successeur du Grec Epicure. Lui-même continuateur du matérialiste grec de l’âge classique : Démocrite.
Toutes les citations sont extraites de " De Rerum Natura " (" De Natura Rerum " éd. Flammarion 1964 traduction de H. Clouard
"Concluons que si de deux corps égaux, l'un est plus léger, c'est qu'il contient plus de vide. Le plus lourd révèle clairement, qu'il renferme moins de vide avec plus de matière. Il existe donc bien, comme nous nous ingénions à le montrer, cet espace mêlé aux choses et que nous, nommons le vide. (p. 28)
"La nature entière, telle qu'elle est, a donc une double origine; elle comprend des corps et ce vide dans lequel ils se situent et se meuvent." (p. 29)
"Quant à l'espace que nous nommons vide, s'il n'existait pas, il n'y aurait pour les corps ni place ni moyen de mouvement, comme je viens de te le montrer.
En outre, il n'est rien dont tu puisses affirmer l'existence hors de toute espèce de corps, hors du vide, rien en quoi tu puisses t'imaginer avoir découvert comme une troisième manière d'être." (p. 30)
" " Les corps, ce sont d'une part les principes simples des choses, les atomes, et d'autres part les composés formés par ces éléments premiers. Pour ceux-ci, il n'est aucune force qui puisse les détruire; à toute atteinte leur solidité résiste. " (p. 31)
" Tout d’abord, puisque nous avons découvert que la nature est double, composée de deux éléments essentiellement dissemblables, la matière et le vide où tout s’accomplit, il faut que chacun d’eux existe par lui-même, pur, sans mélange. Car partout où s’étend l’espace que nous appelons vide, point de matière ; et partout où se dresse un corps, impossible qu’il y ait un espace libre, vide. Les corps élémentaires sont donc de matière pleine ; ils n’admettent point le vide. " (p. 32)
Et le dernier – lumineux : " Au reste, si le vide n’existait pas, l’univers serait un solide parfait ; par contre, s’il n’y avait certains corps à occuper de l’espace, l’univers ne serait qu’un vide immense. C’est pourquoi matière et vide sont évidemment distincts et cependant entremêlés, puisque rien n’existe qui soit plein ou vide parfaitement. Il y a donc certains corps qui ont le pouvoir de faire alterner le plein avec l’espace libre. " (p. 32)
Epicure écrivait déjà : " Les nombreux éléments, depuis un temps infini, sous l'impulsion des chocs qu'ils reçoivent et de leur propre poids, s'assemblent de mille manières différentes et essayent toutes les combinaisons qu'ils peuvent former entre eux, si bien que par l'épreuve qu'ils font de tous les genres d'union et de mouvement, ils en arrivent à se grouper soudainement en des ensembles qui forment l'origine de ces grandes masses, la terre, la mer, le ciel, et les êtres vivants. " (extrait sur wikipédia)
Newton et la lumière : "Les corps grossiers et la lumière ne sont-ils pas mutuellement convertibles, et les corps ne peuvent-ils pas recevoir une grande partie de leur activité des particules de lumière qui entrent dans leur composition ?" Optiks, 374 cité par James Gleick 2005 "Isaac Newton" (Dunod)
De Broglie et la lumière : Les citations qui suivent sont extraites de la fin de l'article "La lumière dans le monde physique"
p. 75-76 "La lumière est la forme la plus subtile de la Matière (…) le rayonnement est susceptible de se condenser en matière et de créer de nouvelles particules (…) Tous ces faits prouvent bien que la Lumière et la Matière ne sont que des aspects divers de l'Energie qui peut prendre successivement l'une ou l'autre de ces deux apparences (…) "
La conclusion est la description du Big Bang tel que je le concevais avant de le lire, et par d'autres cheminements : explosion de l'agglomération de tous les photons de l'Univers :
p. 77 " Enfin, la Lumière vient de se révéler à nous comme susceptible de se condenser en Matière, tandis que la Matière est susceptible de s'évaporer en lumière.
Donnant libre cours à notre imagination, nous pourrions supposer qu'à l'origine des temps, au lendemain de quelque divin "Fiat Lux", la Lumière, d'abord seule au monde, a peu à peu engendré par condensation progressive l'Univers matériel tel que nous pouvons, grâce à elle, le contempler aujourd'hui. Et peut-être un jour, quand les temps s'achèveront, l'Univers retrouvant sa pureté originelle se dissoudra-t-il à nouveau en Lumière."
Extraits de "Physique et microphysique" Albin Michel 1947 [quand je trouve, au bouquiniste,[pour 5 euros] un livre d'un orthodoxe du début du 20° siècle, je sais que le reste d'honnêteté qui est la sienne, me permettra d'y trouver des faits et des grilles nous ramenant vers la science de Newton. Point n'est le cas de nos orthodoxes contemporains - malhonnêtes parasites sociaux.







2006-1706=300 (années)
300*30 millions de secondes = 9 milliards de secondes (une année contient : 31 558 149.5 secondes)
qu'il faut multiplier par un nombre supérieur à 250 kilomètres [250 est la vitesse orbitale du Soleil dans la Voie Lactée]… nombre que je suppose provisoirement être assez proche de 5000 kilomètres par seconde [la vitesse du centre de la Galaxie Voie Lactée est évidemment bien supérieure à la vitesse orbitale des corps qui s'y trouvent]
Multiplier ce délai de 9 milliards de secondes par 5000 kilomètres donne un résultat égal à 45 000 milliards de kilomètres. C'est la distance que la Terre a probablement effectué depuis l'année 1706.
on remarque que 250 km par seconde est une vitesse de 250*3600 kilomètres à l'heure : 900 000 kilomètres à l'heure est la vitesse orbitale du Soleil dans la Galaxie … Faire l'hypothèse de 5000 kilomètres par seconde comme possible vitesse absolue de la Galaxie … erst égal à 5000*3600 = 18 millions de kilomètres à l'heure. Notre vitesse absolue voisine probablement ces 18 millions de kilomètres heure.

mardi 25 novembre 2008

Les imbeciles de professeurs de physique nous ressassent les cretineries que Einstein repete de Descartes. Mais Newton...

Les imbéciles de professeurs de physique nous ressassent les crétineries que Einstein répète de Descartes. Mais Newton, lui-même, dans ses travaux préparatoires aux Principia - Principes mathématiques de philosophie naturelle -, avait complètement démoli les prétentions de Descartes à considérer les mouvements comme des mouvements relatifs.


Quelques remarques sur De Gravitio d'Isaac Newton


Par Yanick Toutain
25/11/08 15:48



Ce que font les imbéciles de clowns diplômés de physique, larbins de Xavier Darcos - larbins de ses crétins de prédécesseurs -, c'est un retour en arrière précédant 1684 !!!
Les professeurs que la bourgeoisie donne aux élèves de lycées, aux élèves des collèges, ne sont que de sombres crétins, d'imbéciles menteurs, qui mentent sur Newton, qui mentent sur les fondements de la science, d'imbéciles incapables qui transmettent à leurs malheureux élèves les foutaises du 17° siècle en prétendant parler au nom du 21° siècle !!!
Il faut en finir avec l'imposture !
Il faut que les élèves intelligents relèvent la tête !

Qu'ils prennent en charge l'éducation de leurs camarades !
Il faut construire la polémique scientifique dans tous les cours des charlatans, il faut rétablir la vérité.
Il faut construire la révolution scientifique en empêchant les charlatans de l'église relativiste de polluer les cerveaux ! Cela fait un siècle que dure l'imposture et l'escroquerie ! Il faut en finir !


Retournons lire Newton
De la gravitation [novembre 1784] (traduction du latin : Marie- François Biarnais) édition présentée par François de Gandt. Tel Gallimard 1985 1995

DÉFINITIONS
Les noms de quantité, de durée et d'espace sont trop connus pour pouvoir être définis par d'autres mots.
Définition 1 : Le lieu est la partie de l'espace qu'une chose remplit exactement.
Définition 2 : Le corps est ce qui remplit le lieu.
Définition 3 : Le repos est la persistance en un même lieu.
Définition 4 : Le mouvement est le changement de lieu.
(Page 112)


Newton est parfaitement clair : le mouvement est un mouvement par rapport AU VIDE !
Il démolit ensuite toutes les aberrations de Descartes.
"Maintenant non seulement les absurdes conséquences de cette doctrine nous convainquent de sa confusion et de son désaccord avec la raison, mais Descartes semble le reconnaître lui-même en se contredisant."
(p. 114)

Aucun professeur n'a prévenu ses élèves de l'existence d'une telle polémique. Ils sont ignorants ou menteurs, dissimulateurs !
Newton décortique toutes les aberrations qui résultent de la prétention de ne voir que des mouvements relatifs.
"Deuxièmement, il semble se contredire quand il avance qu'un seul mouvement appartient à chaque corps conformément à la vérité et qu'il affirme malgré tout que ce mouvement dépend de notre imagination, en le définissant comme une translation du voisinage des corps qui sont non en repos mais seulement considérés comme tels, même s'il leur arrive de se mouvoir, comme c'est expliqué très longuement aux articles 23 et 30 de la partie 2. A partir de là, il pense qu'il peut esquiver les difficultés relatives à la translation mutuelle des corps, à savoir : pourquoi dit-on que l'un se meut plutôt que l'autre et pourquoi dit-on qu'un bateau est au repos sur une eau qui coule quand sa position entre les rives ne change pas (article 15 - partie 2) ?"

Newton continue sa description des stupidités de Descartes : on retrouve exactement les mêmes imbécillités que celles proclamées par les partisans de Einstein. Simplement, les tourbillons imbéciles de Descartes ont été remplacés par l'imbécile continuum spacio-temporel de Einstein:

"Mais, pour rendre évidente la contradiction, imaginez que la matière du tourbillon soit considérée comme en repos par un homme : la Terre sera alors en même temps au repos, philosophiquement parlant; imaginez encore qu'au même moment, quelqu'un d'autre considère cette même matière du tourbillon comme mue circulairement : la Terre ne sera pas alors au repos, philosophiquement parlant. De même, un bateau sur la mer à la fois se mouvra et ne se mouvra pas;
(p. 116)

Les aberrations de Descartes aboutissent à nier qu'il existe un mouvement objectif par rapport au vide et donc une vitesse objective - par rapport au vide :

"Enfin, pour faire éclater l'énorme absurdité de cette position, je dis qu'elle implique qu'un corps en mouvement n'a pas de vitesse déterminée ni de trajectoire définie pour son mouvement. Bien plus, la vitesse d'un corps se mouvant sans obstacle ne peut être dite uniforme ni la trajectoire de son mouvement droite. Pis encore, aucun mouvement n'est possible puisqu'il ne peut y avoir de mouvement sans vitesse ni détermination."
(p. 120)


Il en résulte la nécessité urgente de revenir à Newton et de reconsidérer tous les mouvements en tant que mouvements par rapport au vide, en tant que mouvements objectifs.

Mais là, c'est la gnoséologie philosophique de Lénine qu'il convient de reprendre.
De quoi rendre fous les idéologues réunis de la bourgeoisie, de la formoisie et de l'innovoisie.
C'est le projet !

Les deux révolutions philosophiques et scientifiques en cours réaliseront ce projet.
Les trois révolutions sociales (anti-capitaliste, anti-formoise et anti-innovoise) et la révolution civilisationnelle (leadership pour la strate des innovants par l'investissement démocratique et la révocabilité) en seront les socles !








mardi 22 juillet 2008

A short answer for Mr Ian Parker (mirrors of Michelson)

answer to the text of Ian Parker in the furum sci.physics of usenet Google / en réponse au texte de Ian Parker sur le forum sci.physics de usenet-Google

lang=en

Mr Ian Parker

The problems of accent come from MY computer : I use a free access in a public library (my web connection SFR 3G is broken)
I make copy of the text saving the web pages. But I am trying another method : I put your text in the bloc note Here, it is forbidden to use the translator.
About " I think you French should understand that for reasons
> of their own anti relativity is a cult amongst neo Nazis and right > wing republicans." I am smiling : I was a trotskyst militant member of the 4th International (1973 1982) I am post marxist : I have produce the concepts of "formoisie" and " innovoisie" , two new classes. I have no fear about the opinion of einsteinist.

I have wrote a text "Nous sommes tous des juifs normands"
and a song "Nous sommes tous des roses" "We are all pink" (our skin)

And I am working for 6 revolutions.

My position about Einstein is recent : since 1999.
I have try to put the "Puthagoras integer" in the gamma function of Einstein (special relativity). It didn't work ! I became with a doubt.
Going back to Newton, I have discovered that einsteinsts was lying about the true thesis of Newton.
I went back to Democritos, Epicuros, Titus Lucretius, Isaac Newton and VI Lenin.
I have read again the materialist analysis of Lenin (gnoseology) About the objective time, the objective space.
I fight for the truth, for the materialist analysis. I fight for the science.
You informe me about the link between the right wing of capitalist politicians and some opinions against relativity. I knew that about the 20th and 30th years of the 20th century. You could give me more precisions : are they partisans of the Aether ?
Have you met some true partisans of Newton (partisans of vacuum space and atoMos ) ?
About the nazis, they are partisans of the fascist Werner Heisenberg : the want heroes to decide their future without determinism . They refuse determinism. I am a partisan of absolute determinism : all is "written". The future is predictable. The future is determined by the past. The present is determined by the past. Since 13 billions of years, it was possible to preview what happen today : my answer to your text : I am a fully materialist : all is movement of the last grain, movments of atomOs (of Democritos)
About Einstein : He went in the USA in 1921 to help Weizman to collect money for the sionist project. I have no problem to explain the manner the relativist imposture was helped by king of Spain, king of Belgium, emperor of Japan, Vatican and sionists. Relativist project (and the lies of Eddington 1919) was a missile against the science, against the victory of the marxists in Russia. Fascists can say what they want. The shout of hypocrits partisans of Einstein will not stop the struggle for the science, for the materialist explanation of the universe.
Sincerely Yours for the (materialist) revolution
Yanick Toutain
Have you read my new text :


http://groups.google.com/group/sci.physics/browse_thread/thread/5e80a30db8b674fd/4a637fca357e5ca9?lnk=raot

(not enough time to write the french version : the public library is closing)


=====================
The text of Ian Parker
> I translated, if I recall 2 postings. One I did myself rather fast and
> I did miss out accents. They are difficult to do on my keyboard. For
> the other I used Google Translate and edited. Google Translate is not
> too bad for French although it is terrible for Arabic and other
> inflective languages.
> I am interested in Arabic, largely because of my knowledge of Latin
> and my experience of Google Translate. I am a complete beginner and I
> haven't got membership of the Einstein cult on any criterion other
> than Relativity. I think you French should understand that for reasons
> of their own anti relativity is a cult amongst neo Nazis and right
> wing republicans.
> http://www.jewwatch.com/jew-leaders-einstein-hoax1.html
> Je traduit, si je me souviens 2 messages. Un je ne l'ai moi-même assez
> rapide et je n'ai manquer accents. Ils sont difficiles à faire sur mon
> clavier. Pour les autres j'ai utilisé Google Translate et édités.
> Google Translate n'est pas trop mal pour le français mais c'est
> terrible pour l'arabe et d'autres langues inflectives.
> Je suis intéressé en arabe, en grande partie à cause de ma
> connaissance du latin et mon expérience de Google Translate. Je suis
> un débutant et je n'ai pas adhérant du culte d'Einstein sur aucun
> critère que la relativité. Je pense que vous français doivent
> comprendre que, pour des raisons qui leur sont propres de lutte contre
> la relativité est un culte chez les néo nazis et l'aile droite des > républicains. > http://www.jewwatch.com/jew-leaders-einstein-hoax1.html > Google dit langues inflective. C'est langues inflectiveS. Pas d'accord
> entre substantif et adjective. C'est typique. En l'arabe (ou latin) on
> ne peut pas le faire.
> - Ian Parker

lundi 21 juillet 2008

STUPID CLOWN SHOUTING "DIPLOMAS ! DIPLOMAS ! DIPLOMAS" (science struggle about the Michelson interferometer)

an answer to a text of usenet forum
(in the debate about mirrors of Michelson)


lang=en

If you refuse the anisotropy of vacuum space.
If you are a relativist, a member of the stupid sect of the partisans of Einstein, you must find other arguments than the diplomas.

I give you equations, I give you drawings, I give you the results.

You DO NOT argument neither about the equations, neither about the calculus, neither about the drawings, neither about the result !

You stay like a stupid clown shouting "DIPLOMAS ! DIPLOMAS ! DIPLOMAS"

Who gave the diplomas to Newton ?
Partisans of the materialism ?
partisans of vacuum space ?
partisans of atomos ?

= = =

Against the einsteinist, science become a struggle.
A science struggle.


Newtonist, partisans of materialism, partisans of the materialist philosophy of Democritos, Epicuros, Titus Lucretius, Isaac Newton and Vladimir Illich Oulianov-Lenin will win !
I am a newtonist ! I am a partisan of vaccum space, a partisan of atomOs, a partisan of science !


Yanick Toutain

mardi 29 avril 2008

PROBLEMES FINAUX contre la relativité (Newtonistes contre einsteinistes) Présentation

en, , de, it , es , pt , el , en

Pour en finir avec la relativité et l'escroquerie des einsteinistes, la raison seule ne suffit pas.

Cette secte malfaisante nie l'existence objective de l'univers.

Pour ces charlatans, le monde n'existe pas en soi, il n'existe pas indépendamment de notre perception
.

Ce sont des solipcistes honteux : ils n'osent pas avouer que leur refus acharné du monde véritable revient à nier la réalité.


Le solipciste se croit seul au monde (solo ==> solipciste).
Il reçoit des impressions. Il ne se demande pas d'où elles viennent.

Le solipciste honteux va "noyer le poisson" car il sait qu'il ment.
Il prétend se poser les mêmes questions que Descartes, mais, comme lui, quand il sort de son bureau - et de ses élucubrations -, il fait attention en traversant la rue : un si fier génie pourrait être écrasé par un carrosse - sorti de son imagination, sans doute !!!


Pour ces disciples inavoués de l'évèque Berkeley, "Puisque le monde objectif n'existe pas, il ne contient pas de règles de causalité".

Pour le relativiste, les lois de causalité ne sont pas contenues dans la réalité de l'univers.

Ces crétins ne comprennent pas que la causalité provient du choc des atomOs les uns contre les autres.

La façon dont les atomOs se cognent est la règle fondamentale de l'univers.


Nous ignorons, pour l'instant, comment cela se passe. Mais cela viendra prochainement.

Toutes les autres lois proviennent de cette loi fondamentale.
Elles sont la conséquence de la Transformation Quantité Qualité (TQQ)

Il faut préciser que la connaissance des lois supérieures ne sera pas donnée iso facto par la connaissance de la loi de base.(De même, la biologie ne se résume pas à la physique : cf. Manifeste matérialiste).

Et donc le relativiste einsteiniste peut "librement" inventer des "lois" "scientifiques" issues de son cerveau fertile et halluciné.

On épargnera au lecteur les délires fumeux de "temps qui ralentit" de "longueurs en chewing-gum" et de masse "au repos"
(Repos !" dit le lieutenant colonel à la Terre qui obtempéra !!)
Les trous de ver des sucesseurs, les univers jumeaux ou parallèles sont la suite logique - logique dans l'asile d'aliéné qu'est devenue la physique einsteiniste - des espaces qui se creusent comme des draps pour que la Terre aille tout droit tout en tournant !!

Accumulations de délires fous furieux d'une secte de minables cinglés 'et méchants) minables totalement inutiles et parasitaires depuis 1905 !

Leur unique exploit industriel (les cellules photo-électriques ne relèvent pas de la relativité) : les GPS ! Cela relève de la farce la plus absolue : ils cachent soigneusement toutes leurs prétendues preuves !!!

D'autant que certains y voient l'application de la relativité restreinte et d'autres , la preuve de la validité de la relativité générale !!

La façon dont ils inventent des règles empêche tout dialogue avec eux !

Il n'y a que quelques exemples maïeutiques qui soient susceptibles de pousser les rares gens honnêtes parmi eux à tenter de résoudre les contradcitons insolubles entre leurs croyance et ces exemples.

Le "miroir taquin" fut le premier que je plaçai sur Internet en avril
2002.
Il les laissa sans aucun argument intelligent.

Ces poblèmes finaux qui sonneront le glas de la crédulité du public pour ces agressifs sectateurs ne sont que des à-côté des véritables textes scientifiques fondamentaux que j'ai déposés dans les forums de science.
- Véritable équaton de la gravitation hélio planétaire
- vraie loi (matérialiste) de composition des vitesses objectives et des phi-vitesses.
- etc ....

Mais tous ceux-ci furent ignorés.




en cours d'édition