
26/01/2009
16:50
Il est un demi matérialiste malpoli : il ne se donne même pas la peine, quand on lui écrit, de répondre par simple accusé de réception. Je n'eus jamais de réponse à mes six lettres d'octobre 2005.
Jean Bricmont invoque Lénine tout en fricotant avec l'adversaire.
Il invoquait Lénine mais insultait tous les matérialistes.
Nous sommes des naïfs attachés à une croyance naïve en un "atomisme naïf".
Car Jean Bricmont, lui, n'est pas un naïf.
Il est juste un cynique hypocrite cajolant l'ennemi.
"D’Espagnat a raison de souligner que le rejet des idées de Bell est sans doute motivé psychologiquement par un attachement à un atomisme naïf (si une forme d’action à distance existe, on ne peut plus décomposer le monde en éléments rigoureusement séparés les uns des autres), mais quelle portée philosophique cette observation psychologique peut-elle bien avoir ? Il y a belle lurette que des matérialistes un peu sophistiqués ont abandonné l’idée que la réalité doit être comprise en termes intuitivement clairs."
Mais les naïfs crachent sur Jean Bricmont et ses insultes.
Nos atomos sont ceux de Democritos, de Puthagoras, de Titus Lucretius, ceux des matérialistes de l'Antiquité.
Nos atomos sont les briques ultimes de la matière.
Ils sont "naïfs", pense l'imbécile Bricmont, tout en faisant des ronds de jambe à son "ami" réactionnaire d'Espagnat.
Nous avons un « attachement à un atomisme naïf ».
On peut se demander à quoi Bricmont est attaché ?
Effectivement, nous avons la certitude que la brique ultime de la matière est l'atomos. Nous avons la certitude qu'ils sont incassables.
C'est leur définition.
Nous sommes des « naïfs ».
Nos atomos - incassables - sont les briques des photons.
Les photons sont donc formés d'atomos.
Il y a donc un nombre entier d'atomos à l'intérieur d'un photon rouge.
Ce nombre est un nombre entier qui est probablement la moitié du nombre d'atomos qui composent un photon violet.
Il est probable que l'énergie d'un photon est proportionnelle au nombre d'atomos qui sont ses briques.
Il est probable que la longueur d'onde d'un photon soit inversement proportionnelle à ce nombre de briques.
Cette théorie de l'atomos= brique ultime est pour le grand génie Bricmont de l'« atomisme naïf».
Il est vrai que Newton, cet autre « naïf », considérait le photon comme cette brique de la matière.
Newton est pour le grand génie Bricmont un « atomiste naïf ».
Lui, Bricmont, est " sophistiqué". Un peu. Lui, Jean Bricmont, est un « matérialiste un peu sophistiqué ».
Nous, nous sommes pas de gros lourdeaux, à demi naïfs, à demi crétins.
Nous ne sommes pas, comme les professeurs de l'université catholique de Louvain, des gens «sophistiqués ».
Les gens sophistiqués, depuis belle lurette, « ont abandonné l’idée que la réalité doit être comprise en termes intuitivement clairs ».
Jean Bricmont, chef de file des gens sophistiqués, a renoncé à cette idée « naïve ».
Il est vrai que pour justifier des gros salaires, tous les charlatans de l'univers ont toujours eu cette particularité de renoncer aux explications faites «en termes intuitivement clairs ».
Le charabia du charlatan Lacan est un modèle du genre. Les gens sophistiqués apprécient particulièrement d'appartenir à l'élite de ceux qui comprennent pareil charabia - ou du moins qui sont capables de feindre y comprendre quelque chose.
Bricmont, en physique, est partisan de la même technique.
Il ne faut pas que la physique puisse être comprise par les enfants du primaire.
Le résultat est que ces abrutis n'ont toujours pas compris comment fonctionne la gravitation.
Il ne faut pas, pour ces corrompus par le capitalisme, que de simples chocs puissent décrire « en termes intuitivement clairs » comment les photons font dévier la course des planètes, dans leurs zigzags autour du Soleil avançant à une vitesse bien supérieure à 1 000 000 de kilomètres à l'heure.
Il ne faut pas, pour ces petits laquais idéologiques de la bourgeoisie, que la gravitation puisse être si simple à comprendre par les enfants.
Ces abrutis n'ont toujours pas compris que le rayon² qui apparaît dans l'équation d'Isaac Newton s'explique simplement parce que les photons quittent le Soleil en se répartissant dans l'espace comme sur la surface d'une sphère.
Nous recevons 1 367 watts sur chaque mètre carré qu'il suffit de multiplier par 1,5 fois 10 puissance 11 (mètres) , en élevant ce nombre au carré.
Les imbéciles du genre de Bricmont n'ont toujours pas compris cela.
Ils sont trop occupés à faire des risettes à tous les réactionnaires.
Il n'existe aucune action à distance. Seuls les imbéciles demeurés peuvent croire à pareille stupidité.
La gravitation exercée par le Soleil sur la Terre met 500 secondes (8 minutes) à nous parvenir.
Les quelques millimètres dont est deviée, à chaque seconde, la course de la Terre, sont le résultat du choc exercé par chacun des photons composants ces 1367 joules qui viennent heurter notre planète et son atmosphère.
Quant à la façon dont Bricmont cherche à diminuer Newton en en faisant l'apôtre de l'action à distance, c'est, une fois de plus, nous donner la preuve de son ignorance crasse : Newton s'interrogeait sur le fait de que la gravitation soit comparable au choc du vent dans les ailes des moulins.
Belle action à distance !
Il faut savoir que Newton proclamait s'en tenir aux faits sans "feindre d'hypothèses" - Isaac Newton retarda la publication de ses découvertes pendant 20 ans à cause de ces crétins. Les Principia ne furent publiés que lorsque il eut la certitude de pouvoir remporter la victoire et écraser intellectuellement ces bandes de crétins sans avoir besoin de supporter leur minables petites querelles d'arrière-garde.
Nous n'en sommes pas encore là et des abrutis comme d'Espagnat et Bricmont tiennent encore le haut du pavé.
Le premier joue son rôle de réactionnaire, le deuxième joue son rôle de faux rebelle parlant du matérialisme de la façon dont Scheideman et Noske parlaient du socialisme.
Ce n'est pas Rosa Luxembourg, c'est l'intelligence, le progrès, la lucidité, la science, que Jean Bricmont et la bande Syllepse assassinent tous les jours.
Ils sèment la confusion et la pagaille dans les esprits naïfs qui commettraient l'erreur - comme je le fis autrefois - de les considérer comme des gens honnêtes.
Cependant quand il écrit :
"D’un point de vue empiriste, le matérialisme a incontestablement joué un rôle historique important dans le combat contre le dogmatisme religieux et la métaphysique, mais il doit éviter de se muer à son tour en une forme d’apriorisme, en imposant des contraintes arbitraires à la recherche de vérités empiriques sur le monde. "
... Jean Bricmont enlève son masque.
En effet ce qu'il appelle "apriorisme", c'est tout simplement la nature même du matérialisme. Il n'a besoin d'aucune preuve. Quant aux "contraintes arbitraires à la recherche de vérités empiriques sur le monde." qui dérangent tellement l'hypocrite, elles n'ont d'arbitraire que l'existence arbitraire de l'univers lui-même .
Ce genre de plainte, de réclamation contre les "contraintes arbitraires ", sont les sempiternelles pleurnicheries des renégats qui protestent contre les "contraintes arbitraires" du marxisme, les "contraintes arbitraires" de la science, les "contraintes arbitraires" du monde tel qu"il existe.
La "recherche de vérités empiriques sur le monde" est précisément le drapeau des charlatans de l'acabit des Albert Einstein et de tous ces farceurs qui nient le fait que faire de la science c'est tout simplement comprendre les relations causales de l'Univers, qu'il soit observé ou non.
Le crétin Einstein croyait inventer librement des idées. Il croyait qu'on faisait de la science de la façon qu'on écrit une chanson ou une pièce de théâtre.
Cet imbécile croyait qu'il était possible d'être l'auteur de "lois scientifiques". *
Il n'avait pas compris que la science se contentait d'être l'accumulation de grilles logiques reflétant la réalité elle-même.
Tous ces gens sont nos ennemis. Ils combattent pour les trois classes exploiteuses.
Leur baratin vise à maintenir les gens dans l'ignorance et à freiner le progrès inéluctable.
Les révolutions ne reviennent jamais sur leurs pas quand les étoiles et les galaxies se déplacent à plus de 5000 kilomètres par seconde.
Quand Bricmont tend la main à la droite idéologique la plus obtuse, représentée par d'Espagnat, il nous montre que son camp est celui de Kerensky tendant la main à Kornilov :
La tolérance et l’ouverture d’esprit s’imposent donc ; reste évidemment à savoir si ce sont les organisations rationalistes ou des organisations comme la fondation Templeton ou l’UIP qui manœuvrent, polémiquent et politisent le plus les débats, mais je ne discuterai pas ici de cette question. "
Ils sont nourris, comme des recéleurs, sur les miettes du butin colonial : le salaire d'un Bricmont est du pur pillage. C'est le sang et la sueur de nos cousins Africains du Congo qui ont construit les murs de son "université". La Belgique, le pays qui coupait les mains des travailleurs rebelles a construit sa richesse sur le pillage impérialiste.
Entendre un renégat réformiste comme Bricmont nous chanter sa petite chanson de la collaboration de classes avec la droite obscurantisme anti-matérialiste nous remémore que le crétin Einstein avait beaucoup de plaisir à jouer du violon pour le couple de gangsters assassin appelés par leur sujet "rois de Belgique"
Toute la bande Syllepse n'est qu'un ramassis de charlatans incapables. Leur fonds de commerce est un matérialisme de carnaval.
Un beau déguisement pour masquer le caractère profondément réactionnaire de cette bande d'imbéciles dont l'apport au progrès humain n'est même pas dérisoire mais bien négatif.
Ils embrouillent les esprits sur ce qu'est le matérialisme.
Ils créent des nuages de fumée sur les frontières qui nous séparent des idéologues néofascistes.
Car c'est de cela qu'il s'agit : lutter contre le Talon de fer capitaliste dont les petits soldats UIP sont les larbins.
La réaction fasciste prépare la dictatures oligarchique mondiale.
Et les ronds de jambe de Bricmont lui donnent toutes les caractéristiques d'un collabo idéologique.
Tous ces abrutis auront prochainement l'occasion de raser les murs.
Le processus révolutionnaire à l'oeuvre nous rapproche inéluctablement de la découverte de notre vitesse absolue, de la composition atomistique des photons et, en conséquence, de la découverte finale de la gravitation.
Les nains obscurantistes connaîtront la célébrité de leur statut : celui des Bellarmin.