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dimanche 1 février 2009

Le curé Bricmont et son église matérialiste dominicale. (En défense du matérialisme)

par Yanick Toutain

Le curé Bricmont et son église matérialiste dominicale. (Les insultes du larbin de Heisenberg ne nous touchent pas)

Jean Bricmont et la bande Syllepse croient à un monde supérieur : le matérialisme. Ils sacrifient à ses valeurs tous les dimanches, mais, le reste de la semaine, ils gardent la tête sur les épaules et courent chercher le bon argent de la bourgeoisie en oubliant toutes ces croyances hebdomadaires.

Les curés du Vatican – quant à eux - croient à la justice et à l'égalité entre les hommes. En chaire, ils prêchent ces valeurs progressistes.

Mais, le reste de la semaine les rend plus raisonnables, et ils s'accommodent de l'existence des classes exploiteuses, du racisme, du fascisme : les négationnistes fascisants sont même invités à rentrer au bercail par ce pape (re)devenu le protecteur numéro du néo-fascisme de l'oligarchie mondiale.

Les curés de l'orthodoxie physique, tous les Bricmont, les Bouveresse, toute cette clique des hypocrites ennemis du matérialisme utilisent les drapeaux de la science comme Staline brandissait le drapeau du rouge du communisme.

Mais ces gens ne croient pas plus au matérialisme que Staline ne croyait au communisme ou les curés du Vatican à l'égalité entre les hommes.

Quand il s'agit de passer aux choses sérieuses, Staline organisait l'inégalité des salaires, faisait l'apologie du spetz Stakhanov et insultait les révolutionnaires en crachant sur l'« égalitarisme petit-bourgeois ».

Quand il s'agit de passer aux choses sérieuses, Jean Bricmont insulte les matérialistes en prenant la défense des imbécilités du fasciste Heisenberg.

Car ce sont les imbécilités fascistes de Heisenberg qui financent le salaire de Jean Bricmont.

Toute cette bande de charlatans stipendiés par la bourgeoisie impérialiste sont des corrompus qui mentent pour justifier leur exploitation du Tiers Monde.

Ils mentent en insultant les vrais scientifiques.

Lisez ce que le corrompu Jean Bricmont ose écrire en défense des thèses fascistes de Heisenberg :

« On rencontre parfois des matérialistes qui ont de curieuses angoisses : ils n’aiment pas le Big Bang parce que cela ressemble trop au récit de la Genèse. Parfois, ils ont du mal à accepter l’indéterminisme quantique. »

Des angoisses !!! Ce sont des angoisses qui justifierait notre refus énergique du hasard fasciste !

Ce seraient des angoisses qui expliqueraient le refus des thèses du militant nazi – Werner Heisenberg - qui voulut construire la bombe atomique du 3° Reich.

Jean Bricmont touche de l'argent pour défendre le hasard fasciste.

Il a touché cet argent toute sa vie : tout cet argent volé aux Africains, tout cet argent, butin du pillage colonialiste pour faire la propagande du hasard fasciste.

Et ces gens veulent cacher leur imposture derrière le drapeau de Democritos et de Lénine !

LE MATÉRIALISME, LE SEUL, LE VRAI

Le matérialisme c'est tout simplement le mouvement des atomos. C'est ce que les Grecs ont compris; de Puthagoras à Epicuros, leurs recherches scientifiques permirent de comprendre cela.

Titus Lucretius, Newton, Marx, Engels, Lénine partagent ce point de vue : la matière est en mouvement, la matière est corpusculaire et formée d'atomos.

Observez comment le charlatan, comment le propagandiste du hasard fasciste Bricmont embrouille le problème :

« Avant de tenter de préciser ce que j’entends par " matérialisme scientifique ", il me faut discuter brièvement ce qu’on pourrait appeler le " matérialisme métaphysique " ou " ontologique ", qui se résume souvent par la formule : " seule existe la matière en mouvement". Cette idée soulève immédiatement la question : qu’est-ce que la " matière " ? Est-ce que les nombres, l’information, les sensations, le concept de cheval, le neutrino ou la fonction d’onde (en physique quantique) font partie de la matière ? Si on répond " oui ", le concept tend à se dissoudre dans une tautologie (8). Si on répond " non , mais on peut les réduire ou ramener à de la matière ", il faut expliquer comment on procède et quel concept de matière (et de réduction) on met en jeu. »

A aucun moment le charlatan ne mentionne le mot « atomos » ou le mot « atome ».

L'ironie stupide de sa note 8 masque à peine son ignorance crasse :

« 8) Par exemple, Lénine définissait le matérialisme en attribuant comme seule propriété à la matière d’être une réalité objective ; c’est vrai qu’il voulait combattre le subjectivisme et que, contre cela, l’idée avait une certaine force, mais le pape pense sans doute que Dieu est une réalité objective et Descartes pensait la même chose pour l’âme ; il est néanmoins difficile de les considérer comme matérialistes. »

Pour embrouiller le problème, pour pouvoir nous insulter, nous les matérialistes, il est obligé de ressortir les mêmes insultes que celles qui étaient adressée à Lénine ou au Plekhanov matérialiste : nous serions des « métaphysiciens ».

La logique de ces crétins est simple à comprendre :
- Nous sommes les récepteurs.
- Nous recevons un signal.

Hé bien, l' évènement qui a déclenché le signal, si vous « prétendez » qu'il existe en dehors de nos perceptions, vous allez être insulté par Bricmont et la bande Syllepse comme « métaphysicien ».

Pour ces imbéciles qui osent usurper le mot « matérialiste », si vous considérez que le réel existe HORS de nos perceptions, vous pensez qu'il existe quelque chose « au-delà » du réel, au-dela de la nature !

Relisez attentivement le texte du charlatan :

« ce qu’on pourrait appeler le " matérialisme métaphysique " ou " ontologique ", qui se résume souvent par la formule : " seule existe la matière en mouvement". »

Ce qu'il écrit, ce sont les insultes des réactionnaires contre Lénine.

Retournons lire le grand philosophe pour comparer les insultes de Bricmont avec ce que Lénine, lui-même, rétorquait aux charlatans, et cela, dès les premières lignes de l'introduction de son « Matérialisme et empiriocriticisme ».

Les matérialistes, nous dit on, reconnaissent, l'impensable et l'inconnaissable, la « chose en soi », la matière placée « au-delà de l'expérience », au delà de notre connaissance. Ils tombent dans un véritable mysticisme en admettant quelque chose au delà, qui est situé hors des limites de l'« expérience » et de la connaissance. Quand ils déclarent que la matière agissant sur les organes de nos sens suscite des sensations, les matérialistes se basent sur l'« inconnu », sur le néant, puisque eux-mêmes, disent ils, reconnaissent nos sens comme la seule source de la connaissance. Les matérialistes tombent dans le « kantisme » (c'est le cas de Plekhanov qui admet l'existence de la « chose en soi », c'est à dire des choses existant en dehors de notre conscience), ils « doublent » le monde et prêchent le « dualisme », puisque derrière les phénomènes, d'après eux, il y a encore la chose en soi, puisque derrière les données immédiates des sens, ils admettent autre chose, on ne sait quel fétiche, une « idole », un absolu, une source de « métaphysique », un double de la religion (la « sainte matière », selon Bazarov).

Tels sont les arguments des disciples de Mach contre le matérialisme, arguments que répètent et ressassent sur tous les tons les auteurs précités.

Pour voir si ces arguments sont neufs et ne visent vraiment qu'un matérialiste russe « tombé dans le kantisme », nous citerons en détail quelques passages tirés des œuvres du vieil idéaliste George Berkeley. Cette référence historique est d'autant plus nécessaire dans l'introduction à nos notes que nous aurons plus d'une fois, dans la suite de notre exposé, à nous référer à Berkeley et au courant qu'il fit naître en philosophie, car les disciples de Mach présentent sous un faux jour aussi bien l'attitude de Mach à l'égard de Berkeley que l'essence de la philosophie de ce dernier.

L’œuvre de l'évêque George Berkeley, parue en 1710 sous le titre de Traité sur les principes de la connaissance humaine1, commence par les raisonnements suivants : « Pour quiconque étudie les objets de la connaissance humaine, il est évident qu'ils représentent ou des idées (ideas) effectivement perçues par les sens, ou des idées acquises par l'observation des émotions et des actes de l'intelligence, ou enfin des idées formées à l'aide de la mémoire et de l'imagination... Je me représente, à l'aide de la vue, la lumière et la couleur, leurs gradations et leurs variétés. Je perçois, à l'aide du toucher, le mou et le dur, le chaud, le froid, le mouvement et la résistance... (...)

Les imbéciles qui parlent de « matérialisme métaphysique » sont les ennemis du matérialisme : ils nient l'existence d'un Univers réel, d'un Univers « en soi ».

Le charlatan corrompu Bricmont, le larbin de l'université catholique de Louvain, le propagandiste du hasard fasciste va poursuivre ses insultes contre les matérialistes : nos thèses, notre matérialisme, celui de Lénine, celui de Democritos, seraient un « un obstacle au progrès scientifique lorsqu’il reste une pure philosophie, c’est-à-dire une approche a priori, spéculative et non empirique de la réalité. »

Un certain matérialisme peut malheureusement être un obstacle au progrès scientifique lorsqu’il reste une pure philosophie, c’est-à-dire une approche a priori, spéculative et non empirique de la réalité. En effet, il existe un concept de matière qui est en général celui auquel on pense intuitivement, et qui pourrait être appelé un " automate cartésien " : des boules de billards qui s’entrechoquent ou un système de boutons et de leviers. C’est-à-dire un mécanisme, une machine, telle que nous pouvons l’imaginer de façon claire et intuitive. »

C'est évident et personne ne remettra jamais cela en cause avec des arguments sérieux: les atomos se comportent comme des boules de billards sans élasticité. Les imbéciles charlatans qui prétendent le contraire sont les mêmes qui ont renoncé à comprendre de QUOI sont faits les photons. Ce sont les mêmes imbéciles qui viennent chanter l'air relativiste : « les photons n'ont pas de masse » . Ce sont les mêmes imbéciles qui vont chantant l'air relativiste : « il n'existe pas de déplacements absolus, il n'existe pas de vitesse absolue ! ».

Les mêmes imbéciles, qu'ils soient de la réaction Vatican ou de la réaction Syllepse, chantent leur air de l'orthodoxie et vantent les mérites du sionistes Einstein et du fasciste Heisenberg.

Ils osent prétendre que vouloir analyser les chocs des atomos serait « être un obstacle au progrès scientifique ». Quelle imposture !

Ces gens, ces parasites qui font stagner la science depuis 1927 osent parler de « progrès scientifique ».

A l'Est comme à l'Ouest, les pires staliniens et les pires réactionnaires crypto-mystiques ont écrasé les vrais scientifiques.
Leur harcèlement avait même provoqué le suicide du grand Boltzmann.
Même Planck est obligé de reconnaître dans sa biographie qu'il refusait la vision corpusculaire de Boltzmann.

A l'Est, les partisans de Lénine et de la philosophie matérialiste ont fini au Goulag, à l'Ouest les partisans du matérialisme subissent la répression par le refus des diplômes, le refus des statuts. Les matérialistes les moins courageux sont contraints d'ABJURER et de passer dans la clandestinité, comme le cas de l'astrophysicien de Strasbourg.

Pour préserver leur pouvoir, les charlatans du 21° siècle passent leur temps à tout embrouiller : ils sèment la confusion entre la physique quantique ( qui a pour père Democritos) et la mécanique quantique (de Bohr et Heisenberg, à la suite de la mécanique ondulatoire de Broglie) qui est probabiliste et nie le déterminisme.

Mais, en fait, la physique s’est développée en s’éloignant de ce modèle " mécaniste " de la réalité et il est futile d’essayer de tout faire rentrer dans ce cadre (par exemple, la physique quantique) (9).

Quand Bricmont écrit une ânerie pareille, il sait qu'il ment !

C'est POSTÉRIEUREMENT à 1900 et à l'équation de Planck que le modèle « planétaire » pour l'électron et le noyau a été imaginé par « Bohr et ….

Le 14 décembre 1900 est la date officielle de l'invention de la « physique quantique ». Cette date est celle où est validé l'ajout de « MOINS UN » au dénominateur de l'équation de Wien par Planck.

Parler de « physique quantique » comme rédhibitoire au « modèle mécaniste » est un mensonge avéré.

Dans les premières années de la physique quantique, il n'est pas question de « nuages » ou de probabilité de présence. Dans les années précédant 1927, il est parfaitement clair pour tous les orthodoxes de l'époque que l'électron a une TRAJECTOIRE.

Après des décennies d' « obscurantisme chimique », dans la deuxième moitié du 19° siècle, pendant lesquelles les « énergétistes » acceptaient les atomes mais leur niait une existence corpusculaire, la construction du concept de photon (qui est une redécouverte après Newton) , les orthodoxes revenaient sur une ligne se rapprochant du matérialisme.

Bricmont est donc pris, ici, en flagrant délit de mensonge avéré.

Mais il n'y a rien ici d'étonnant : en tant que larbin de Heisenberg et propagandiste du hasard fasciste, Jean Bricmont joue le rôle pour lequel il a été payé.

Le fait que – en 1908 – la réaction idéaliste ne s'avouait toujours pas vaincue et préparait sa revanche n'est pas un argument bien au contraire :

« Le matérialisme consiste justement à admettre que la théorie est un calque, une copie approximative de la réalité objective. Nous ne pourrions souhaiter de meilleure confirmation du fait que la lutte se poursuit, au fond, entre les tendances idéalistes et matérialistes, que celle qui nous est donnée par Rey lorsqu'il dit qu'il existe, parmi les physiciens modernes, « une réaction contre l'école conceptuelle (celle de Mach) et l'école énergétique », et lorsqu'il classe les physiciens professant la théorie des électrons parmi les représentants de cette réaction (p. 46). Il importe seulement de ne pas oublier que, outre les préjugés communs à l'ensemble des philistins instruits, contre le matérialisme, les théoriciens les plus marquants se ressentent de leur ignorance complète de la dialectique. »(Lénine : MeE)



La suite du texte Bricmont est tout aussi mensongère concernant l'épistémologie.
Premièrement, les « actions à distance » qu'il prétend avoir vu chez Newton sont fausses : « Je ne feins pas d'hypothèse » « Hypotheses non fingo ». Newton fournissait un modèle mathématique. On devrait appeler son livre du « calcul scientifique ». Ce n'était pas de la science achevée puisque l'explication de la gravitation n'était pas donnée.
Plus tard, en cherchant les causes, Isaac Newton évoquera le fait que les briques de la matière seraient les photons et que la gravitation pourrait être un choc comparable à celui du « vent dans les ailes du moulin ».

Bricmont ment aussi plus loin : les vrais matérialistes refusent les ondes qui ne soient pas corpuscules ondulants. Ce sont les charlatans qui ont inventé ces absurdes « ondes » qui ne seraient pas les caractéristiques de particules réelles.

Quant aux « particules sans masse » elles ont été inventées pour protéger l'existence de l'imbécile fonction gamma de Einstein : laisser une masse aux corps se déplaçant à la vitesse de la lumière aboutissait à multiplier cette masse par un infini obtenu par une fonction gamma calculée avec la vitesse de la lumière (1 sur racine de 1 moins c sur c au carré donnant... l'infini comme résultat). (Ces débiles n'ont toujours pas inventé la « renormalisation » de la fonction gamma, mais … cela viendra !!!!... Le jour où une expérience leur crèvera les yeux, ils le feront ….depuis leur maison de retraite !!!)

Mais les matérialistes REFUSENT TOUTE LA RELATIVITÉ.

« Bien sûr, les explications scientifiques se font, si on veut, en terme de " matière", mais il n’existe pas de concept précis de matière, donné une fois pour toutes, auquel les explications scientifiques doivent se plier. La matière, au sens scientifique du terme, peut inclure des actions à distance (chez Newton), des ondes électromagnétiques qui se " propagent dans le vide " ou des particules sans masse. La nature n’a nullement l’obligation d’être aimable à notre égard et, en particulier, de se laisser comprendre par ce petit animal qu’est l’homme en des termes qui lui sont accessibles intuitivement (10). Il est vrai qu’on n’introduit pas de concepts tels que Dieu ou l’âme dans les théories scientifiques, mais ce n’est pas tant parce qu’ils sont " immatériels " que parce qu’ils sont trop mal définis pour qu’on sache même de quoi on parle(11).

L'humour du charlatan est l'humour du petit truqueur : Il aura passé toute sa vie à faire la propagande des imbécillités idéalistes que sont la relativité et la mécanique quantique.

Même De Broglie, sur la fin de sa vie, tenta de reconquérir une dignité qu'il avait perdu dans sa course aux honneurs. Il avait, pour suivre le troupeau de l'orthodoxie, accepter de bafouer ses véritables convictions et avait cédé aux sirènes de Copenhague.

Lui, Bricmont, qui professe le dimanche un anti-impérialisme réformiste et un matérialisme de carnaval, ne semble aucunement en voie de rédemption.

Les idéalistes avérés comme d'Espagnat dont je dénonçais récemment les fariboles dans mon texte "Le charlatan Bernard d'Espagnat n'aime pas la réalité en soi." ou encore l'émissaire (poli) du Vatican - Jean Staune - sont bien plus cohérents que tous ces curés du paradis matérialiste.

En effet, si la science que professe, moyennant finances, toute la bande Syllepse, était VRAIE, si ce qu'ils enseignent à leurs malheureux élèves était SÉRIEUX, si cela ne permettait de soulever aucune objection de protocole, alors, alors seulement, l'édifice conceptuel des Jean Staune et des Bernard d'Espagnat serait LA PHILOSOPHIE.

Théorie des cordes, espaces à 5 dimensions ou plus, nuages d'électrons fantômes, trous de vers, probabilités de présence... pour ne pas parler des UNIVERS MULTIPLES... toutes ces fariboles SONT LA SCIENCE ORTHODOXE.

Einstein le crétin leur a ouvert la voie : sa notion de l'inertie dans un monde où il serait INTERDIT de raisonner en terme de déplacements absolus est du pur subjectivisme. Ses vitesses relatives ne sont même pas des vitesses.

Tous ces faux matérialistes, ces curés du dimanche, ce sont tous des crétins autistes, enfermés dans les frontières de leur subjectivité.

L'inertie, c'est le mouvement régulier d'un corps passant, en ligne droite, d'un lieu absolu à un autre lieu absolu, pendant la même quantité de temps, la même durée. En ligne droite.

Cette assertion – matérialiste – est le fondement des Principia.

Elle est à la base de la science véritable.



La totalité des pseudo expériences des charlatans – à commencer par l'absurde fausse expérience de Michelson et Morley n'est qu'une accumulation d'impostures et de raisons stupides.



La révolution mettra bon ordre à tout cela.

Le débat actuel avec Jean Staune permet d'éclaircir pour les matérialistes où sont les frontières.

La coexistence pacifique de Moscou et de Washington a son reflet dans la coexistence pacifique entre d'Espagnat et Bouveresse sur les absurdités de Heisenberg.

La révolution égalitariste et la révolution scientifique ont comme ennemis les représentants de la formoisie - la bande Syllepse, et les représentants de la bourgeoisie : l'UIP et les propagandistes de l'intelligent design.

Tous sont des idéalistes ennemis de la science.

Les échanges avec le réactionnaire Jean Staune ont permis de rappeler qu'il est allié avec Bricmont, Bouveresse et toute la clique pour faire la propagande du hasard fasciste et de la relativité subjectiviste et idéaliste.

Il fallait le rappeler.

Ce que craignaient tous ces imposteurs de la bande Syllepse vient de se réaliser : ils ont fait les sourds depuis octobre 2005. Cela faisait plus de quatre ans qu'ils appliquaient la technique du « cause toujours » à chacun de mes textes.

Mais Jean Staune a brisé l'omerta, il a brisé la loi du silence, il a franchi le cordon sanitaire, il a rompu la mise en quarantaine : Je lui fait le plaisir de lui accorder que ce qu'il revendique comme étant l'orthodoxie scientifique est EFFECTIVEMENT ce pour quoi sont payés les Bricmont et les Bouveresse.

Quand ils critiquent la philosophie apparente de Jean Staune, ils crachent dans la soupe. Ils crachent dans la soupe qui les a nourri.

Au lieu d'utiliser le matérialisme pour balayer la fausse science qui les a nourri pendant des décennies, ils veulent le beurre et l'argent du beurre : ils veulent persister à faire croire en Einstein, à faire croire en Heisenberg, mais tout en crachant dans la soupe du Vatican qui fut et demeure leur nourriture idéologique.



Ces gens sont parfaitement culottés : au lieu de dire merci aux prêtres de l'idéalisme qui sont les grands fabricants des thèses relativistes, les grands fabricants du compromis de Copenhague, au lieu de remercier les idéologues de miracles cachés dans l'indéterminisme, ils osent s'en prendre à Jean Staune, l'ambassadeur du Saint Siège, ils l'insultent, lui, font tenir (sur les galaxies) des propos qu'il n'a pas tenu, ils osent le traiter de menteur (quant à la lettre d'Espagnat)



Les crachats que se prend Staune de la part de ces faux matérialistes sont l'hommage de la vertu au vice.... mais, ils ont la même saveur que les crachats de Staline : tous ces gens ne sont que parfaits hypocrites idéologues d'une classe exploiteuse, la formoisie. Leur alliance avec la bourgeoisie qui les a nourri sur la pillage du Tiers Monde est scellé dans la propagande Einstein-Heisenberg.

Mais, cette alliance, elle leur pèse depuis la chute du mur de Berlin. Peu à peu la bourgeoisie vient remettre les pendules de l'exploitation à l'heure, peu à peu, la bourgeoisie leur signifie que la voltairianisme qu'ils prétendent revendiquer est passé de mode et qu'il s'agit maintenant de revendiquer clairement l'idéalisme qui les a nourri dans les universités et autres lieux orthodoxes.

Comme, par ailleurs, ils sentent gronder la révolte des peuples exploités, ils en viennent à revendiquer le matérialisme de leur jeunesse.

Mais ils sont aussi ridicules, en agissant ainsi, qu'une Marie-Georges Buffet qui fut ministre des sports colonialistes (l'entrainement pour les assassins de l'Afrique) qui est maintenant occupée à coller des affiches du portrait de Che Guevara dans toute la ville.

Que Jean Bricmont pose – sur le mur de sa chambre - un poster de Lénine, si cela lui chante, mais chaque fois qu'il prétendra émettre un avis sérieux et informé sur ce qu'est le matérialisme, il sera vertement remis à sa place comme le charlatan incompétent et le curé baratineur qu'il est.

Sa messe hypocrite et mensongère est un cadeau fait à la pire des réactions.

1George Berkeley : Treatise concerning tbe Principles of Human Knowledge, vol. I of Works, edited by A. Fraser, Oxford, 1871. Il y a une traduction russe.

mercredi 28 janvier 2009

Courrier (public) à Jean Staune à propos de Bernard d'Espagnat

Ce courrier vient d'être posté sur le site de Jean Staune.
Est-ce lui qui vient de polémiquer avec moi sur usenet Google en me demandant
"c'est quoi votre niveau en Physique? Bac moins 12? "
?

===
Bonjour
J'ai répondu à ce texte sur mon blog Le charlatan Bernard d'Espagnat n'aime pas la réalité en soi.

Abstract : réalité, « en soi », Newton, Bohr, Heisenberg.
Faire de la science, c'est prendre connaissance des relations causales qui fonctionnent « en foi ». Nier cela est dupliquer les charlataneries mystiques de l'évêque Berkeley - l'ennemi de Newton - adversaire du matérialisme, stupide crétin dont Lénine démolit la statue en 1908.
La connaissance des vitesses en soi, des vitesses objectives est la clé de la victoire finale du matérialisme.
(...)
Sur Usenet Google, une réponse-portant votre signature est parue:
===
" Yanick Toutain je ne sais qui vous etes mais comme charlatan vous
battait tous les reccords possibles et immagimables!!
Bernard d'Espagnat est l'un des plus grands physicien et philosophe
actuel!
Avant de dire des insanités à son sujet essayez de produire le quart
de la moitié d'un ouvrage comme " Traité de physique et de
philosophie" Edition Fayard. Le problème c'est que vos remarques
indiquent que vous n'avez probablement pas le niveau pour LIRE un tel
ouvrage. c'est quoi votre niveau en Physique? Bac moins 12? "

===
J'ai déposé deux réponses. La première en ignorant l'email de l'auteur de ce texte.
===
Il y aurait un ARGUMENT dans votre texte ou ne seriez-vous qu'un petit
roquet qui vient mordiller les chevilles de ceux qui OSENT pourfendre
le charlatanisme des ENNEMIS du MATERIALISME.
Je vous fais un cadeau :
Je suis convaincu que vous EXISTEZ REELLEMENT !
(on dit merci qui ?)

===
et une deuxième réponse après avoir découvrir l'email Jean Staune du contributeur
===
Je n'avais pas vu A QUI j'avais affaire : le grand JEAN STAUNE (ou ne
serait-ce qu'un misérable IMPOSTEUR qui USURPERAIT une signature.
Vous êtes un de nos ADVERSAIRES les plus sérieux.
Je vous rends cette grâce.
Mettez un lien vers votre site et une protestation (pour crédibiliser
votre signature) et DEBATTONS publiquement du lien entre
- LES ATOMOS DE DEMOCRITOS et l'existence EN SOI de l'univers
- LA VITESSE ABSOLUE, concept newtonien, et l'existence en soi de
l'UNIVERS.

La polémique portera sur la possiblité ou non de découvrir quelle
serait notre VITESSE EN SOI, notre vitesse OBJECTIVE.
Et - conséquemment - sur l'existence EN soi de l'univers.
On traitera, au passage , sur l'aburde utilisation actuelle du concept
d'INERTIE qui perd tout sens logique hors du concept de déplacement
absolu.

Vous êtes un des rares ennemis du matérialisme avec qui la polémique
peut être d'utilité pédagogique pour les nouvelles générations. C'est
pourquoi, tel le Everard de London, je pense qu'il soit positif pour
NOTRE CAMP d'accepter pareil DEBAT PUBLIC.

Je vous salue : Je suis persuadé que VOUS existez.
Et que - peut-être - vous êtes Jean Staune
ou... à tout le moins, sinon, un usurpateur de signature....
===
En postant sur votre blog personnel, je pourrais savoir à qui j'ai affaire.
Je vous salue

=
PS : Je ne suis pas un Jean Bricmont. Nous balayerons les impostures de Heisenberg et de Einstein.


====
 la suite de ce débat est lisible ici :

lundi 26 janvier 2009

Matérialisme : Jean Bricmont est un demi-materialiste, demi charlatan.


par Yanick Toutain
26/01/2009
16:50




Jean Bricmont est un demi matérialiste, demi charlatan.
Il est un demi matérialiste malpoli : il ne se donne même pas la peine, quand on lui écrit, de répondre par simple accusé de réception. Je n'eus jamais de réponse à mes six lettres d'octobre 2005.
Jean Bricmont invoque Lénine tout en fricotant avec l'adversaire.
Il invoquait Lénine mais insultait tous les matérialistes.
Nous sommes des naïfs attachés à une croyance naïve en un "atomisme naïf".
Il ose écrire cela - en juillet 2006 - sur le site de l'AFIS.
Car Jean Bricmont, lui, n'est pas un naïf.
Il est juste un cynique hypocrite cajolant l'ennemi.
"D’Espagnat a raison de souligner que le rejet des idées de Bell est sans doute motivé psychologiquement par un attachement à un atomisme naïf (si une forme d’action à distance existe, on ne peut plus décomposer le monde en éléments rigoureusement séparés les uns des autres), mais quelle portée philosophique cette observation psychologique peut-elle bien avoir ? Il y a belle lurette que des matérialistes un peu sophistiqués ont abandonné l’idée que la réalité doit être comprise en termes intuitivement clairs."
Mais les naïfs crachent sur Jean Bricmont et ses insultes.
Nos atomos sont ceux de Democritos, de Puthagoras, de Titus Lucretius, ceux des matérialistes de l'Antiquité.
Nos atomos sont les briques ultimes de la matière.
Ils sont "naïfs", pense l'imbécile Bricmont, tout en faisant des ronds de jambe à son "ami" réactionnaire d'Espagnat.
Nous avons un « attachement à un atomisme naïf ».
On peut se demander à quoi Bricmont est attaché ?
Effectivement, nous avons la certitude que la brique ultime de la matière est l'atomos. Nous avons la certitude qu'ils sont incassables.
C'est leur définition.
Nous sommes des « naïfs ».
Nos atomos - incassables - sont les briques des photons.
Les photons sont donc formés d'atomos.
Il y a donc un nombre entier d'atomos à l'intérieur d'un photon rouge.
Ce nombre est un nombre entier qui est probablement la moitié du nombre d'atomos qui composent un photon violet.
Il est probable que l'énergie d'un photon est proportionnelle au nombre d'atomos qui sont ses briques.
Il est probable que la longueur d'onde d'un photon soit inversement proportionnelle à ce nombre de briques.
Cette théorie de l'atomos= brique ultime est pour le grand génie Bricmont de l'« atomisme naïf».
Il est vrai que Newton, cet autre « naïf », considérait le photon comme cette brique de la matière.
Newton est pour le grand génie Bricmont un « atomiste naïf ».
Lui, Bricmont, est " sophistiqué". Un peu. Lui, Jean Bricmont, est un « matérialiste un peu sophistiqué ».
Nous, nous sommes pas de gros lourdeaux, à demi naïfs, à demi crétins.
Nous ne sommes pas, comme les professeurs de l'université catholique de Louvain, des gens «sophistiqués ».
Les gens sophistiqués, depuis belle lurette, « ont abandonné l’idée que la réalité doit être comprise en termes intuitivement clairs ».
Jean Bricmont, chef de file des gens sophistiqués, a renoncé à cette idée « naïve ».
Il est vrai que pour justifier des gros salaires, tous les charlatans de l'univers ont toujours eu cette particularité de renoncer aux explications faites «en termes intuitivement clairs ».
Le charabia du charlatan Lacan est un modèle du genre. Les gens sophistiqués apprécient particulièrement d'appartenir à l'élite de ceux qui comprennent pareil charabia - ou du moins qui sont capables de feindre y comprendre quelque chose.
Bricmont, en physique, est partisan de la même technique.
Il ne faut pas que la physique puisse être comprise par les enfants du primaire.
Le résultat est que ces abrutis n'ont toujours pas compris comment fonctionne la gravitation.
Il ne faut pas, pour ces corrompus par le capitalisme, que de simples chocs puissent décrire « en termes intuitivement clairs » comment les photons font dévier la course des planètes, dans leurs zigzags autour du Soleil avançant à une vitesse bien supérieure à 1 000 000 de kilomètres à l'heure.
Il ne faut pas, pour ces petits laquais idéologiques de la bourgeoisie, que la gravitation puisse être si simple à comprendre par les enfants.
Ces abrutis n'ont toujours pas compris que le rayon² qui apparaît dans l'équation d'Isaac Newton s'explique simplement parce que les photons quittent le Soleil en se répartissant dans l'espace comme sur la surface d'une sphère.
Nous recevons 1 367 watts sur chaque mètre carré qu'il suffit de multiplier par 1,5 fois 10 puissance 11 (mètres) , en élevant ce nombre au carré.
Les imbéciles du genre de Bricmont n'ont toujours pas compris cela.
Ils sont trop occupés à faire des risettes à tous les réactionnaires.
Il n'existe aucune action à distance. Seuls les imbéciles demeurés peuvent croire à pareille stupidité.
La gravitation exercée par le Soleil sur la Terre met 500 secondes (8 minutes) à nous parvenir.
Les quelques millimètres dont est deviée, à chaque seconde, la course de la Terre, sont le résultat du choc exercé par chacun des photons composants ces 1367 joules qui viennent heurter notre planète et son atmosphère.
Quant à la façon dont Bricmont cherche à diminuer Newton en en faisant l'apôtre de l'action à distance, c'est, une fois de plus, nous donner la preuve de son ignorance crasse : Newton s'interrogeait sur le fait de que la gravitation soit comparable au choc du vent dans les ailes des moulins.
Belle action à distance !
Il faut savoir que Newton proclamait s'en tenir aux faits sans "feindre d'hypothèses" - Isaac Newton retarda la publication de ses découvertes pendant 20 ans à cause de ces crétins. Les Principia ne furent publiés que lorsque il eut la certitude de pouvoir remporter la victoire et écraser intellectuellement ces bandes de crétins sans avoir besoin de supporter leur minables petites querelles d'arrière-garde.
Nous n'en sommes pas encore là et des abrutis comme d'Espagnat et Bricmont tiennent encore le haut du pavé.
Le premier joue son rôle de réactionnaire, le deuxième joue son rôle de faux rebelle parlant du matérialisme de la façon dont Scheideman et Noske parlaient du socialisme.
Ce n'est pas Rosa Luxembourg, c'est l'intelligence, le progrès, la lucidité, la science, que Jean Bricmont et la bande Syllepse assassinent tous les jours.
Ils sèment la confusion et la pagaille dans les esprits naïfs qui commettraient l'erreur - comme je le fis autrefois - de les considérer comme des gens honnêtes.
Cependant quand il écrit :
"D’un point de vue empiriste, le matérialisme a incontestablement joué un rôle historique important dans le combat contre le dogmatisme religieux et la métaphysique, mais il doit éviter de se muer à son tour en une forme d’apriorisme, en imposant des contraintes arbitraires à la recherche de vérités empiriques sur le monde. "
... Jean Bricmont enlève son masque.
En effet ce qu'il appelle "apriorisme", c'est tout simplement la nature même du matérialisme. Il n'a besoin d'aucune preuve. Quant aux "contraintes arbitraires à la recherche de vérités empiriques sur le monde." qui dérangent tellement l'hypocrite, elles n'ont d'arbitraire que l'existence arbitraire de l'univers lui-même .
Ce genre de plainte, de réclamation contre les "contraintes arbitraires ", sont les sempiternelles pleurnicheries des renégats qui protestent contre les "contraintes arbitraires" du marxisme, les "contraintes arbitraires" de la science, les "contraintes arbitraires" du monde tel qu"il existe.
La "recherche de vérités empiriques sur le monde" est précisément le drapeau des charlatans de l'acabit des Albert Einstein et de tous ces farceurs qui nient le fait que faire de la science c'est tout simplement comprendre les relations causales de l'Univers, qu'il soit observé ou non.
Le crétin Einstein croyait inventer librement des idées. Il croyait qu'on faisait de la science de la façon qu'on écrit une chanson ou une pièce de théâtre.
Cet imbécile croyait qu'il était possible d'être l'auteur de "lois scientifiques". *
Il n'avait pas compris que la science se contentait d'être l'accumulation de grilles logiques reflétant la réalité elle-même.
Tous ces gens sont nos ennemis. Ils combattent pour les trois classes exploiteuses.
Leur baratin vise à maintenir les gens dans l'ignorance et à freiner le progrès inéluctable.
Les révolutions ne reviennent jamais sur leurs pas quand les étoiles et les galaxies se déplacent à plus de 5000 kilomètres par seconde.
Quand Bricmont tend la main à la droite idéologique la plus obtuse, représentée par d'Espagnat, il nous montre que son camp est celui de Kerensky tendant la main à Kornilov :
"Commençons par souligner ce en quoi je suis d’accord avec Bernard d’Espagnat. La discussion philosophique doit être menée de façon cordiale et dépassionnée. Trop souvent, cette discussion est menée avec la même hargne que s’il s’agissait d’un combat politique. Mais le lien entre philosophie et politique est compliqué et l’on trouve des matérialistes comme des spiritualistes ou des idéalistes à la fois politiquement très à gauche et d’autres très à droite. De plus, il faut éviter d’enfermer les gens dans des catégories telles que « matérialistes » ou « idéalistes », ou de s’accuser mutuellement de « scientisme » ou « d’obscurantisme ». En premier lieu, ces termes doivent être définis, ce qu’il ne sont que rarement lorsqu’ils sont utilisés de façon polémique, et, comme on le verra plus loin, des termes comme « matérialisme » peuvent avoir plusieurs sens, ce qui fait qu’on peut, sans se contredire, être matérialiste dans un sens, mais pas dans un autre. En fait, parmi les scientifiques et les philosophes, on trouve une grande variété d’attitudes : certains ont une vision du monde parfaitement scientifique, mais ont une vue jugée « idéaliste » par d’autres à propos par exemple des entités mathématiques (platonisme) ou du lien entre les sensations et le cerveau. Par ailleurs, certains « matérialistes », beaucoup de marxistes, par exemple, ont des réactions de rejet plutôt bizarres lorsqu’on leur parle de génétique ou des bases biologiques de notre comportement.
La tolérance et l’ouverture d’esprit s’imposent donc ; reste évidemment à savoir si ce sont les organisations rationalistes ou des organisations comme la fondation Templeton ou l’UIP qui manœuvrent, polémiquent et politisent le plus les débats, mais je ne discuterai pas ici de cette question. "
Mener une "discussion philosophique de façon cordiale et dépassionnée" est le rêve de tous les charlatans réformistes de l'histoire des traîtres réformistes.
Ils sont nourris, comme des recéleurs, sur les miettes du butin colonial : le salaire d'un Bricmont est du pur pillage. C'est le sang et la sueur de nos cousins Africains du Congo qui ont construit les murs de son "université". La Belgique, le pays qui coupait les mains des travailleurs rebelles a construit sa richesse sur le pillage impérialiste.
Entendre un renégat réformiste comme Bricmont nous chanter sa petite chanson de la collaboration de classes avec la droite obscurantisme anti-matérialiste nous remémore que le crétin Einstein avait beaucoup de plaisir à jouer du violon pour le couple de gangsters assassin appelés par leur sujet "rois de Belgique"
Toute la bande Syllepse n'est qu'un ramassis de charlatans incapables. Leur fonds de commerce est un matérialisme de carnaval.
Un beau déguisement pour masquer le caractère profondément réactionnaire de cette bande d'imbéciles dont l'apport au progrès humain n'est même pas dérisoire mais bien négatif.
Ils embrouillent les esprits sur ce qu'est le matérialisme.
Ils créent des nuages de fumée sur les frontières qui nous séparent des idéologues néofascistes.
Car c'est de cela qu'il s'agit : lutter contre le Talon de fer capitaliste dont les petits soldats UIP sont les larbins.
La réaction fasciste prépare la dictatures oligarchique mondiale.
Et les ronds de jambe de Bricmont lui donnent toutes les caractéristiques d'un collabo idéologique.
Tous ces abrutis auront prochainement l'occasion de raser les murs.
Le processus révolutionnaire à l'oeuvre nous rapproche inéluctablement de la découverte de notre vitesse absolue, de la composition atomistique des photons et, en conséquence, de la découverte finale de la gravitation.
Les nains obscurantistes connaîtront la célébrité de leur statut : celui des Bellarmin.
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NOTES
Je découvre, post scriptum, une citation de l'inénarrable imbécile Michel Paty sur la "libre création" opéré par le cerveau du crétin Einstein.
"Il peut paraître paradoxal de parler d'invention, et même de création, à propos de science, et notamment à propos de la physique, puisque celle-ci est censée décrirele monde tel qu'il est, certes avec les moyens de nos possibilités de représentation, c'est-à-dire la pensée symbolique qui a pour siège le cerveau. Et cette création, en tout état de cause, doit être d'un genre particulier, puisqu'il lui faut se confronter en permanence à ce qui est, qui nous apparaît sous les formes de ce qui nous est donné, connu par les sens et par l'expérience. Mais, de toutes façons, en quelque sorte, les représentations du monde " tel qu'il est " ne se trouvaient pas à l'origine dans notre cerveau. Elle s'y sont formées par l'enseignement et par la compréhension individuelle et, au départ pour chaque nouvelle étape, par l'invention de quelque chose qui n'était écrit nulle part. Le rôle de la création dans la formation des connaissances scientifiques n'a pas toujours été évident dans l'histoire des idées, et l'on peut même dire que la conscience en est très récente : elle date à peu près du début du xxe siècle."
Un naîf (un vrai !) pourrait être surpris de trouver ces idioties sur le site de l'Union rationaliste.
Sa naîveté consisterait en ce qu'il n'aurait pas compris la dégénérescence intellectuelle de tous ces faux trotskystes at autres rebelles corrompus par le capitalisme.
Toute cette cliche formoise qui a bien vécu sur le dos de l'Afrique et du Tiers Monde est devenu le cerbère idéologique de la bourgeoisie.
Leurs seconds couteaux viennent me mordiller les chevilles régulièrement sur les forums usenet Google.
Ce que fait mine de ne pas comprendre l'âne Paty ( à moins qu'il ne le comprenne EFFECTIVEMENT pas !!?) c'est que Einstein nie l'existence d'un monde EN SOI, il nie le déterminisme absolu d'un UNIVERS INDEPENDANT de ses sens.
Pour le crétin Einstein, il est absurde de dire qu'on fait des DECOUVERTES.
Le crétin adulé par la bourgeoisie pendant un siècle croit qu'il a fait des INVENTIONS.
Pour autant, qu'il soit clair que je n'ai pas perdu mon temps à lire le reste des imbécillités de Paty : ce clown titré professeur ne me fait plus rire depuis longtemps !
==
(à part - évidemment - les copies des "Lettres Bricmont" qu'il avait - comme onze autres - reçues : les auteurs du livre "Intrusions spiritualistes et impostures intellectuelles en sciences" qui contenait l'article de Bricmont qui évoquait le livre de Lénine).
*Les égouts de Magnan - l'ennemi du matérialisme qui bave contre Newton en faisant les poubelles - coulent toujours.

dimanche 25 janvier 2009

Le charlatan Bernard d'Espagnat n'aime pas la réalité en soi.

Abstract : réalité, « en soi », Newton, Bohr, Heisenberg.
Faire de la science, c'est prendre connaissance des relations causales qui fonctionnent « en foi ». Nier cela est dupliquer les charlataneries mystiques de l'évêque Berkeley - l'ennemi de Newton - adversaire du matérialisme, stupide crétin dont Lénine démolit la statue en
1908.
La connaissance des vitesses en soi, des vitesses objectives est la clé de la victoire finale du matérialisme.


par Yanick Toutain
25/01/09
16:14:35



Le charlatan Bernard d'Espagnat n'aime pas la réalité en soi.

(à propos d'un texte de Espagnat trouvé sur le blog de Jean Staune : un "Article de Bernard D’Espagnat, paru dans le Monde du 17 avril 2006."

D'Espagnat prétend utiliser le titre de physicien mais se révèle inférieur à certains alchimistes du 17e siècle.
Derrière son jargon pseudo-scientifique, ce qu'il nous propose n'est ni plus ni moins qu'un retour aux imbécillités de l'évêque Berkeley.



Il se revendique « membre de l'Institut » ; c'est certainement l'Institut des clowns de France.



Et il annonce être « professeur émérite de l'Université Paris-Orsay ». Lénine avait réglé
le compte des « clowns titrés professeurs », les Bernard d'Espagnat de 1908.

Ce charlatan n'est ni physicien ni philosophe, tout juste bon à encaisser les prébendes de la bourgeoisie imbécile dont il est le petit larbin servile.



Ce crétin prétend avoir des arguments.



"Si les faits relatifs au comportement des objets physiques sont aujourd’hui bien expliqués, les physiciens reconnaissent tous que ces explications ne font nullement intervenir la notion de
"matière", qui demeure insaisissable.
"

Examinons cette phrase stupide.
D'Espagnat nous parle d'objets physiques. Ce sont donc des objets. Ces objets sont physiques.
Ces objets, qui sont physiques, ont un comportement.
Et ce comportement - des objets physiques - induirait des faits qui leur seraient relatifs.
Ces "faits relatifs", aujourd'hui, d'après le charlatan d'Espagnat, sont " bien expliqués".

L'inanité et la vacuité de l'argumentaire du clown d'Espagnat se révèle dans ce jargon informe.
Mais le Achille Zavatta d'Orsay ne s'arrête pas en si bon chemin. Pour faire rire petits enfants
et grands, il s'en va chercher et ses amis les « physiciens ».

« Les physiciens reconnaissent »

Ses amis les physiciens ont de la reconnaissance.
Et c'est certainement celle du ventre.
Et que cette reconnaissance les amène à accréditer le clown d'Espagnat.

Les explications – mystérieuses - auxquelles le charlatan a fait allusion plus haut concernant 'les faits relatifs au comportement des objets physiques" ont une particularité spéciale : Elles
pourraient faire intervenir une notion.

Naturellement, dans les hautes sphères, on en a souvent l'occasion de faire intervenir un ami, une relation ou un subalterne pour obtenir, par exemple, l'annulation d'une contravention, ou encore pour une promotion spéciale pour un client romain.
Les explications, elles, ne font intervenir personne. Et encore moins "une notion".

C'est dommage !

Car, ces explications
- concernant les faits,
- relatifs
- au comportement des objets
- objets de nature physique.

.... ont failli faire intervenir la notion de " matière" !

Quel dommage !
Nous sommes marris !
Nous sommes extraordinairement désappointés !
Nous qui rêvions tellement de voir la notion de matière venir faire une intervention.
Il y a longtemps que nous avions ce rêve de voir une telle intervention.

Quel dommage !



Il est vrai que la reconnaissance - du ventre - des amis physiciens d'Espagnat pouvait être de nature à les dissuader de laisser cette mal élevée de notion de matière venir faire une
intervention.

Je connais un docteur en astrophysique diplômé de Strasbourg qui sait - il l'a parfaitement compris - que Newton a raison, mais qui a acquis la politesse de la reconnaissance du ventre.
Les beaux voyages - à lui accordés - par ses charlatans de professeurs l'ont rapidement dissuadé de faire fonctionner sa belle intelligence.

Tant mieux pour lui, le contenu de sa thèse d'astrophysique ne nécessitait que 0,5 % de son potentiel intellectuel.
S'il fallait qu'il revendique son newtonisme et sa compréhension des vitesses absolues, il prendrait le risque de voir son salaire multiplié par 200 ou ... de se retrouver à la rue !

Comme il craignait déjà des représailles en arrivant à Strasbourg – il l'avoua - , au cas où son hétérodoxie y aurait été connue, il eût vite fait de rentrer dans le rang du conformisme imbécile et de satisfaire aux critères de ses crétins de professeurs et d'oublier que son intelligence lui permettait de comprendre l'imbécillité du relativisme.
Il fut récompensé, fit un minable catalogue d'étoiles, et obtint sa thèse de doctorat.

Ce sont ses jumeaux larbins d'Orsay qui se gardèrent bien de laisser intervenir la notion de matière quant aux faits relatifs, etc etc..
Que d'Espagnat et sa clique de gangsters charlatans y fasse régner la terreur relativiste et heisenbergiste n'est une excuse pour personne !

Précisons, à ce stade, que la phrase imbécile d'Espagnat contient, néanmoins, une part de pseudo logique. Les " objets physiques" dont il parle ne sont, pour lui, ni objets, ni physiques.
Mais, le fait que ce charlatan n'éprouve pas le besoin, dans un article pour Le Monde, de préciser cela, n'est qu'un nouveau symptôme du délire autiste de cette bande de gougnafiers !

Tout cela n'empêche pas le guignol de ne s'en prendre, sous forme consécutive, à Yves Quiniou :

"On doit alors se demander ce qu’est cette "nature matérielle" dont Yves Quiniou fait grand cas (Le Monde du 4 mars) et dont il pose que l’homme tout entier est un produit.
L’adjectif "matériel" serait-il ici un mot creux ?"

Il n'a pas rien démontré. Il n'a pas rien prouvé.
Il n'a même rien exposé.
Cela ne va pas l'empêcher de tirer argument... du néant.

Il refuse la "nature matérielle" - qui se voit, tout à coup, pourvue de guillemets.
Il la refuse en s'interrogeant, lui-même, depuis l'intérieur de son petit bocal d'autiste.
Il la refuse en invoquant un "on" dont on peut se demander qui il recouvre vraiment. Ce "on"
doit être la bande de courtisans rieurs dont la carrière d'Espagnat dût être entourée agréablement.

Les gens qui instrumentalisent ce type de "on" puent fréquemment du cerveau. Ce d'Espagnat n'avait pas besoin de cette caractéristique supplémentaire : l'odeur nauséabonde des Berkeley et autres évêques (ou cardinaux) Bellarmin lui fut suffisamment transmise en héritage !

Et ses fausses questions !!!

"L’adjectif "matériel" serait-il ici un mot creux ?"

Tout l'envergure du minable dépourvu d'intelligence se révèle ici.
Il n'a aucun argument, et va se contenter de jouer sur les mots. Pour impressionner les gogos.


Ce crétin absolu met en doute le bout de ses pieds : selon lui, qu'il existe une "nature" , le fait qu'elle soit "matérielle", le fait que cette nature matérielle aurait des "produits" et que, parmi ces produits, on y dénombre "l'homme tout entier", ce n'est pas faire un simple constat.Non !L'abruti d'Espagnat accuse Quiniou à deux le "poser". Il faudrait que Quiniou le pose, sinon l'homme cesserait d'être un produit de la nature.
Ignorantus, ignoranta, ignorantum !
Il paraît que cet homme touchait un salaire !Décortiquer un abruti pareil finit, à la longue, par faire atteindre un tel seuil de lassitude, qu'on laissera le lecteur s'y exercer à son tour.


"Et quant à l’idée que la pensée est sécrétée par la réalité empirique que révèlent biologie, neurologie, etc., elle n’a manifestement de sens qu’à la condition que cette "réalité" soit autre chose qu’une interprétation du perçu par la pensée elle-même, autrement dit, soit un "en soi". Or, selon les sciences en question, les choses sont faites de molécules, électrons, etc., bref d’objets obéissant à la physique quantique, et il se trouve qu’interpréter celle-ci comme portant sur des "en soi" soulève d’énormes difficultés.. "


En résumé, le crétin sous-entend que la "réalité" ne serait pas telle mais "une interprétation du perçu par la pensée elle-même".
Pauvre imbécile qui ne se rend pas compte que le démontage complet de sa pathologie se trouve in extenso chez Lénine et que l'affirmation de son imposture fut révélée par le concept de "vitesse absolue" chez Newton.
Il ne fait que redite sur redite.
Quant aux "objets" qui obéiraient à la "physique quantique", l'absurdité de ce propos est telle que le lecteur béotien s'y trouvera piégé.
Quantique signifie "UN PAR UN".
Depuis les Grecs et Democritos (et Puthagoras) les scientifiques savent que TOUT doit se compter en NOMBRES ENTIERS, en NOMBRENTIERS, et que le continuisme est une absurdité.
Planck, en décembre 1900, tigonna une équation écrite par un autre – Wien.
Il se trouva que son équation contenait les photons de Newton : petits grains comptabilisables UN PAR UN.Planck mit des années à comprendre cela !
La (nouvelle) physique quantique (re)naquit de cette équation incomprise de son auteur.Elle se résume à : « on a la preuve que tout se compte UN PAR UN ».
L'imposture d'Espagnat consiste a semer la confusion avec autre chose qui s'appelle la mécanique quantique ou encore mécanique ondulatoire. Cette stupidité théorique a vaincu 27 ans plus tard ce fut la victoire de Bohr et de Heisenberg, la victoire du charlatanisme probabiliste, la défaite du déterminisme scientifique.
Ce fut même la défaite de la physique quantique !


La seule "énorme difficulté" consiste à compter les molécules UNE PAR UNE est à compter les électrons UN PAR UN !
Le magouilleur intellectuel enchaine - sans avoir, encore, rien démontré :
Peut-être est-ce là la raison qui fait que les matérialistes d’aujourd’hui (et, en un sens, Yves Quiniou lui-même) préfèrent défendre, plutôt qu’un rigide "matérialisme ontologique", un matérialisme atténué, présenté comme étant l’indispensable présupposé méthodologique de la science mais comme laissant ouvertes les grandes questions métaphysiques.
Un tel "matérialisme méthodologique" n’a, dans son principe, rien qui puisse heurter les "spiritualistes" de notre temps, qui, au contraire, se rendent compte que son acceptation est très utile dans la plupart des disciplines scientifiques. "
Ici, par contre, il commence à marquer des points !
Mais il les marque en dénonçant la lâcheté absurde des faux demi-matérialistes de l'école Syllepse. Toute cette bande Bricmont qui se revendiquent de Lénine tout en faisant le jeu des ennemis du matérialisme.

"Mais est-il véritablement un présupposé de la recherche, indispensable au développement de quelque discipline que ce soit ? Ici, je prétends qu’il n’en est rien. Il y en a une, et non des moindres, qui a échappé à la règle, c’est la physique quantique. On peut certes ne pas partager les vues de Niels Bohr. Mais il est factuellement vrai que M. Bohr et ses élèves furent à l’origine des développements de la physique du XXe siècle, qui se sont avérés, en tous domaines, les plus féconds. Aucun physicien ne niera ce fait historique. Or, selon Niels Bohr, un instrument de mesure doit être considéré comme obéissant à la physique classique (par opposition à "quantique"), non du tout en vertu de ses propriétés physiques, mais seulement en raison du fait qu’il nous sert, à nous, d’instrument. De plus, alors que le choix (humain) de cet instrument définit, entre autres conditions expérimentales, celles qui déterminent quels types de prédictions l’on pourra ultérieurement faire, ces dernières conditions sont, selon M. Bohr, "un élément inhérent à la description de tout phénomène auquel le terme de "réalité physique" peut être attaché" (Physical Review 48, 1935).
Il serait absurde de qualifier de matérialiste, même sur le seul plan méthodologique, une conception de ce genre selon laquelle, comme on le voit, en tant qu’objet de science la "réalité physique" est un phénomène auquel l’action et l’expérience humaine sont "inhérentes". Il faut en dire autant des vues d’Heisenberg, de Pauli, de Born, bref des principaux artisans de la physique de notre temps. Ils ont pris pour assise conceptuelle de leur recherche non pas le matérialisme, mais bien, tout au contraire, un certain pragmatisme philosophique, dans lequel la conception matérialiste est vue comme une "métaphysique" externe à la science."

Tout l'édifice est basé sur une imposture : Le 20° siècle fut un siècle de stagnation intellectuelle absolue pour les trois quarts.
Le renoncement au matérialisme implicite et honteux des Boltzmann sonna le glas de la science : Nous ignorons toujours notre vitesse absolue (vitesse objective, vitesse "en soi") , nous ignorons de quoi sont faits les photons (combien d'atomos dans le photon rouge, dans le photon violet), nous ignorons quels chocs précis déclenchent la gravitation, la fusion conceptuelle entre la température et la gravitation n'est toujours pas faite etc etc ...
Après la victoire du fasciste Heisenberg et de son roquet Bohr, après la défaite des matérialistes en URSS, minuit sonna dans le siècle de l'intelligence.
Et nous n'en sommes pas encore revenus.
Le charlatan prétend à des victoires qui ne sont que des imposteurs. Ils cataloguent les particules minuscules sans rien y comprendre. Sans même rien comprendre à leurs trajectoires, à leurs vitesses.
Sa thèse est : "nous les autistes, avons compris des trucs", c'est la preuve que la réalité n'existe pas.
Et pire encore, contre les ex matérialistes renégats de la bande Syllepse, il ose prétendre que même le "matérialisme utilitariste" ne sert à rien.

Et les autres idiots qui ne savent même pas se défendre.
Ces crétins, les Bricmont et tous les autres n'ont même pas encore compris qu'il fallait, pour commencer, passer par dessus bord la TOTALITÉ de la relativité.
Mais il est vrai que les REVENUS DES ORTHODOXES sont CONFORTABLES.
Tous ces Bricmont et tous les autres FAUX MATÉRIALISTES sont devenus des charlatans corrompus, grassement payés par la bourgeoisie pour NIER le contenu du "MATÉRIALISME ET EMPIRIOCRITICISME" de Lénine, pour nier le temps absolu, pour nier l'espace absolu.
Ils ne l'emporteront pas au paradis.
L'apôtre du mysticisme, le négateur de la réalité d'Espagnat peut même se payer le luxe de se payer leur tête. C'est tout juste s'il ne les traite pas d'incapables :

"Depuis, des efforts furent déployés, visant à rendre la physique quantique "ontologiquement interprétable". J’en vanterai seulement l’utilité, notant qu’ils nous éclairent sur la problématique en jeu. Cependant, en ce qui concerne la méthode, ce n’est pas à partir de la notion de réalité en soi - ou de "matière" - que la physique actuelle se développe. »


La "réalité en soi" elle sera révolutionnaire et va botter le cul de tout ces charlatans et demi-charlatans.
Les 6 révolutions qui se préparent vont remettre de l'ordre à tout cela. Elles vont réaliser les rêves de Lénine et surtout , le rêve de Newton : la connaissance de notre vitesse absolue. Les crachats de ceux qui nous insultent - en nous traitant (ainsi que Lénine le supportait déjà) de "'métaphysiciens" .... leurs crachats sont nos médailles.


IL EST IMPERATIF DE LIRE, EN COMPLEMENT DE CE TEXTE, CET EXTRAIT DE "MATERIALISME ET EMPIRIOCRITICISME" DE VI LENINE :

La "chose en soi" expliquée par Lénine dans son livre Matérialisme et empiriocriticisme

PS : CE TEXTE A DECLENCHE UNE TRES ENERGIQUE PROTESTATION DE JEAN STAUNE. CETTE PROTESTATION A INITIE UN DEBAT QU'IL EST POSSIBLE DE SUIVRE EN CLIQUANT SUR CE LIEN.