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mercredi 8 avril 2009

Sur Rue89 : Ratzinger publie chez les fascistes. Déterminisme et liberté chez les bigots et chez Werner Heisenberg

Je poste un commentaire sur rue89
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Polémique

Quand Benoît XVI écrivait dans une revue facho


Un député autrichien a déterré un vieux texte de 1998 signé du cardinal Ratzinger dans une publication nationaliste.

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N'y a t-il pas un lecteur germanophone qui pourrait augmenter le niveau de scoop de rue89 en nous offrant la publication d'une traduction française du texte allemand.

Je regardais "Le bon plaisir" de Francis Girod et Françoise Giroud hier soir : n'y aurait-il pas un jeune braconnier similaire à celui du film souhaitait offrir une traduction historique à la postérité – avant d'aller remplir les rubriques « méfaits divers »

D'autant que Systran m'a permis de comprendre une partie du texte.
Peut-être ce lien donnera-t-il aux lecteurs de Rue89 non germanophones comme moi la possibilité de comprendre une partie du texte:

http://sysurl.systranet.fr/?systrangui=www.systran.fr%3B/snetfr/web&systranbanner=1&systranuid=aHR0cC1pdnY3c3J2MTUudW5pLW11ZW5zdGVyLmRlL21ua2cvcGZudWVyL0ZyZWloZWl0LXUtV2FocmhlaXQuaHRtbC9kZV9mcg==

Je suis intrigué par deux choses :

Cette (géniale) citation de Marx et Engels extraite du manuscrit de 1846 de l'"Idéologie Allemande" est obscurcie par un bug logiciel :

Zweifellos, es gibt Gründe genug, gegenüber allzu sicher auftretendem Wahrheitspathos vorsichtig zu fragen: Was ist Wahrheit? Aber es gibt ebensoviel Grund, die Frage zu stellen: Was ist Freiheit? Was meinen wir eigentlich, wenn wir Freiheit rühmen und sie auf die oberste Stufe unserer Wertskala stellen? Ich glaube, daß der im allgemeinen mit dem Freiheitsverlangen verbundene Inhalt recht treffend ausgelegt ist in den Worten, mit denen einmal Karl Marx seinen Traum von Freiheit ausgedrückt hat. Der Zustand der künftigen kommunistischen Gesellschaft werde es möglich machen, »heute dies, morgen jenes zu tun, morgens zu jagen, nachmittags zu fischen, abends Viehzucht zu treiben, nach dem Essen zu kritisieren, wie ich gerade Lust habe ...«1 Genau in diesem Sinn versteht das unreflektierte Durchschnittsempfinden unter Freiheit das Recht und die Möglichkeit, alles das zu tun, was wir uns gerade wünschen und nichts tun zu müssen, was wir nicht möchten. Anders gesagt: Freiheit würde bedeuten, daß das eigene Wollen die einzige Norm unseres Tuns sei und daß der Wille alles wollen könne und alles Gewollte auch auszuführen die Möglichkeit habe. An dieser Stelle steigen freilich Fragen auf: Wie frei ist der Wille eigentlich? Und wie vernünftig ist er? Und: Ist ein unvernünftiger Wille ein wirklich freier Wille? Ist eine unvernünftige Freiheit wirklich Freiheit? Ist sie wirklich ein Gut? Muß also die Definition der Freiheit vom Wollenkönnen und vom Tunkönnen des Gewollten her nicht durch den Zusammenhang mit der Vernunft, mit der Ganzheit des Menschen ergänzt werden, damit es nicht zur Tyrannei der Unvernunft komme? Und wird es nicht zum Zusammenspiel zwischen Vernunft und Wille gehören, dann auch die gemeinsame Vernunft aller Menschen und so die gegenseitige Verträglichkeit der Freiheiten zu suchen? Es ist offenkundig, daß in der Frage nach der Vernünftigkeit des Willens und seiner Vernunftbindung die Wahrheitsfrage verborgen mitgegeben ist.

Source

http://ivv7srv15.uni-muenster.de/mnkg/pfnuer/Freiheit-u-Wahrheit.html

traduit (automatiquement par Systran)

« Sans aucun doute, il y a des raisons assez de demander prudemment par rapport au pathos de vérité trop sûrement apparaissant : Qu'est la vérité ? Mais il y a tout autant une raison de poser la question : Qu'est la liberté ? Que voulons-nous dire en réalité, si nous faisons l'éloge de la liberté et eux à l'étape supérieure notre échelle de valeur placer ? Je crois, qu'on présente assez de façon appropriée contenu général lié à l'exigence de liberté dans les mots, avec lesquels Charles Marx a exprimé une fois son rêve de la liberté. État future communiste société devient lui possible fairede faire demain » aujourd'hui cela, chasser le matin, pêcher l'après-midi, élevage entraîner le soir, après le repas critiquer, comme j'envie droite ai… « à 1 dans ce sens comprends précisément le Durchschnittsempfinden irréfléchi sous la liberté le droit et la possibilité de faire celui tout le ce que nous justement se souhaiter et rien faire devoir, ce que nous ne voudrions pas. Différemment dit : La liberté signifierait, qu'il veut le propre la seule norme notre faire il est et que la volonté tout veulent peuvent et tout le voulu aussi exporter la possibilité ont. Ici, des questions montent certainement : Comment la volonté est-elle en réalité libre ? Et comment est-il raisonnable ? Et : Une volonté déraisonnable est-elle une volonté vraiment libre ? Une liberté déraisonnable est-elle vraie liberté ? Est-elle vraie un bien ? La définition de la liberté ne doit-elle pas être complétée ainsi à partir de la capacité vouloir et de la capacité faire du voulu par le lien avec la raison, avec la totalité de l'homme, afin qu'on n'en vienne pas à la tyrannie de la déraison ? Et de l'effet entre une raison et volonté ne fera-t-il pas partie de aussi chercher alors la raison commune d'hommes et ainsi la compatibilité mutuelle des libertés ? Il est évident, que dans la question après le Vernünftigkeit de la volonté et de son engagement de raison la question de vérité est donnée dissimulé. »

==

Un germanophone pourrait-il a minima nous donner la traduction de ce passage.

2° La deuxième chose, mais là les bugs de traduction me font encore davantage marcher sur des oeufs.

J'ai néanmoins l'impression que Ratzinger revient sur le débat du début du 20° siècle sur le déterminisme et la liberté.

Il me semble qu'il s'agit de la résurgence de la thèse fasciste de Werner Heisenberg que je ne me lasse pas de mettre en lumière.

Extraits

Personne ne sait ce que l'avenir nous réserve, ni quelles sont les puissances spirituelles qui gouverneront le monde, mais il nous faut commencer par croire à quelque chose et vouloir quelque chose.

Nous voulons que la vie spirituelle redevienne florissante ici, et qu'ici, en Europe, continuent à naître les idées qui déterminent l'aspect du monde. Nous engageons notre existence sur le pari que, dans la mesure où nous saurons nous souvenir de notre origine et retrouver le chemin vers la coopération harmonieuse des forces de notre continent, même les conditions matérielles de la vie en Europe deviendront plus heureuses qu'elles ne le furent au cours des dernières cinquante années. Nous voulons que notre jeunesse, en dépit du chaos extérieur, grandisse dans l'atmosphère spirituelle de l'Occident, et qu'elle puise aux sources de la force qui a fait vivre notre continent pendant plus de deux mille ans. Ne nous soucions qu'en second lieu des points de détail! Il n'est pas d'une importance primordiale que nous nous déclarions pour l'enseignement humaniste ou pour un autre système scolaire. Mais en tout cas et avant toute autre chose, nous devons nous déclarer pour l'Occident!"


Ainsi que je mets en lumière l'imposture de la mécanique « quantique » et des prétendues « relations d'indétermination » dont la prétendue existence physique remet en cause le déterminisme dans les corps minuscules (appelé « infiniment petit » par les orthodoxes).

Heisenberg

sources

http://monsyte.blogspot.com/2009/01/werner-heisenberg-ideologue-fasciste.html



commentaires

http://monsyte.blogspot.com/2009/01/werner-heisenberg-ideologue-fasciste_08.html

Ce débat sur la liberté (et le déterminisme) fut aussi l'objet de plusieurs textes de Max Planck. Si personne ne se décide à les scanner, l'intérêt de la science et du combat matérialisme me contraindra à publier moi-même les arguments d'un des – rares – adversaires intelligents du matérialisme.
Un niveau d'argumentaire que je ne rencontre plus jamais en ce début de 21° siècle.

Pour en finir avec la maison-mère de la bigoterie fasciste qui ne fut jamais jugé pour son soutien actif à tous les fascistes en fuite, il ne faut pas perdre de vue que limiter l'argumentaire au lieu de publication des propos de Ratzinger est un acte de faiblesse : il faut former philosophiquement les générations futures contre la puissance des rhéteurs de la bourgeoisie s'écroulant.




dimanche 8 février 2009

L'OURS MOHAMED DEVOILE LES HYPOCRITES

L'OURS MOHAMED

DÉVOILE LES HYPOCRITES

ENTRE LES VRAIS CROYANTS ET LES BIGOTS

Qu'ils soient de Jérusalem, du Vatican ou du Tibet, il faut savoir faire le tri !

Yanick Toutain

jeudi 29 novembre 2007

Les croyants et les bigots se réclament de la même chose, de la même tradition mais il y a un fossé entre les deux groupes. Une institutrice anglaise, en poste à Khartoum au Soudan, vient d'en faire l'amer constat.

Elle a fait voter ses élèves de 7 ans.

Excellente idée ! Excellent apprentissage de la démocratie !

20 d'entre eux ont choisi de donner le nom de Mohamed au petit ourson qui leur servait de support pédagogique.(les deux autres prénoms Hassan et Abdulhah ont été mis en minorité).

Puis, chaque enfant a emporté l'ourson en week-end, chacun à son tour, et il devait rédiger les activités de l'ours.

Autre excellente initiative : faire écrire un texte dans un cadre réaliste... dans le but de transmettre une information pour les autres enfants.

Mais les bigots sont arrivés !

Il est interdit de représenter le "Prophète" !

Comme si donner un nom à un ourson était représenter quelqu'un ?!!! Comme si les Charles, les Louis et autres Auguste étaient les représentations de rois !!!

Comme si les enfants prénommés Mohamed étaient les représentations de qui que ce soit dans le passé !!

Comme si les Gabriel étaient les représentations d'un personnage historique qui travaillait dans les transmissions !

LE BIGOT EST ACCROCHE AUX APPARENCES

Le bigot ne croit pas ! Le bigot est un incroyant ! C'est la raison pour laquelle il est accroché aux apparences, aux règles !

Que ce soit la vieille grenouille de bénitier, bigote commère, partisane du Vatican, le crétin intégriste qui nous rabâche les actes anti-sémites en France sans voir que ces mêmes actes sont plus nombreux dans son grand Israël, que ce soit le fou furieux qui prétend nécessaire de recruter des bouddhistes dès la plus tendre enfance de pauvres gamins manipulés - réincarnations dans le cerveau d'illuminés-, ou que ce soit un Ben Laden qui a littéralement dressé sa malheureuse femme - selon le témoignage édifiant de sa belle-sœur, dans un livre, ces hypocrites ne croient à rien !

Absolument à rien!

Leur cerveau malade leur impose de feindre !

Ils feignent, ils font semblant !

Contrairement à ceux qui modèlent leur vie sur la nécessité de se comporter dignement, à l'image des anciens croyants, contrairement aux vrais croyants qui pensent avoir des comptes à rendre (privativement) à un illusoire créateur, les bigots sont des tartuffes, des hypocrites, des menteurs.

Ils ne croient à rien et s'arrogent le droit de forcer les autres à croire pour ne pas risquer d'être déstabilisés.

Un chrétien, un vrai chrétien, un vrai disciple du christ, croit en l'amour, il croit en l'amour entre tous les cousins que sont les hommes, il cherche à propager un message d'amour....

Les hommes que décrivent les manuscrits de la Mer Morte étaient de vrais chrétiens, avant même que le Christ répète leur message... Ils étaient des égalitaristes !

Près de la Mer Morte, les croyants en la Torah,

les vrais juifs étaient des égalitaristes,

les chrétiens étaient des égalitaristes !

Un musulman, un vrai musulman, a remarqué que le Coran était hostile au prêt à intérêt, il a remarqué que l'idée de prêter de l'argent en exigeant le remboursement d'une somme supérieure était totalement interdit par le message de leur prophète.

Un vrai musulman est donc hostile aux banques, hostile aux Bourses, hostile au capitalisme : La plupart de ceux qui se prétendent musulmans sont des bigots, des hypocrites !

Le vrai musulman est contre le prêt à intérêts,

contre les banques , contre les Bourses !

Le vrai musulman est anticapitaliste !

Le Bouddhiste croit que les particules qui forment l'être humain permettent la formation d'un autre corps, d'un humain ou d'une chose : le vrai bouddhiste a compris ce que Pythagoros a compris : nous sommes formés de corpuscules.

Les crétins qui vont harceler une famille pour que leur enfant soit la réincarnation d'un grand lama mort sont de pauvres crétins : Pythagoros et les matérialistes n'ont jamais prétendu que les particules se reformaient en quittant un corps pour en fabriquer un autre du même type : ils s'acharnent à répéter la même chose pour soutenir à bout de bras une secte minable et pernicieuse.

Le vrai Bouddhiste est un savant !

Le vrai bouddhiste étudie les atomos !

Un matérialiste !

Le Dalaï-Lama n'est qu'un hypocrite qui ne comprend même pas le vrai message !

En Inde au quatrième siècle avant JC, des crétins s'opposaient déjà aux partisans des atomos !

Les princes Saoudiens sont des michetons bigots !

Les dirigeants Saoudiens sont, de notoriété publique, les grands clients de prostituées des côtes d'Espagne : Il est donc logique que la Saoudienne qui a été victime d'un viol collectif soit condamnée ELLE à six mois de prison et 200 coups de fouets !

La bourgeoisie mondiale - business as usual - fait semblant de croire que ces gens sont des croyants quand ils ne sont que des bigots hypocrites, des bigots qui ne croient à rien, des bigots cyniques dont la sexualité malade ne fonctionne plus qu'à coup d'apparences et le portefeuille à la main.

La bourgeoisie mondiale retrouve chez ces bigots les mêmes caractéristiques que les leurs : tout s'achète ! tout se vend !

TOUT S'ACHÈTE ! TOUT SE VEND !

Voilà la véritable religion du Dalaï-Lama, la véritable religion de Jean Paul II et de son successeur, la véritable religion des sionistes du grand Israel, la véritable religion de toutes les sectes de la planète !

Il n'y a pas de lobby juif !

Il n'y a qu'une branche juive du lobby capitaliste mondial, comme il y a une branche bouddhiste de ce lobby, une branche protestante, une branche catholique !

UN LOBBY CAPITALISTE !

Le lobby est celui des partisans de tout vendre, de tout acheter !

Ces salauds répètent que la prostitution serait le plus vieux métiers du monde : c'est leur ligne de défense, leur prétexte !

MICHETONS DE TOUS LES PAYS UNIS !

Face à ces gangsters, face à ces guerriers de l'engraine, à ces combattants idéologiques, je préfère écouter chanter le gentil Baptiste Job que le plus vieux métier du monde est celui d'architecte.

J'aurais des objections quant à la chasse, à la pêche, à la cueillette, à l' agriculture qui sont les socles de notre humanité ...

Mais je ne voudrais pas polémiquer avec lui sur l'histoire de l'apparition des grottes et des cités lacustres !

LES OURS DÉMASQUENT !

L'ours Mohamed, l'ours Jésus, l'ours Bouddha sont des peluches qui démasquent les bigots hypocrites !

Plus ces crétins hurlent fort et plus nous acquérons la certitude de leur incroyance : Le vrai croyant est tolérant car il ne craint pas d'être déstabilisé par les non-croyants !

Le vrai croyant n'a pas besoin de signes extérieurs de croyance : que ce soient les kippas, les croix ou les voiles islamiques, ce sont les pratiques ostentatoires des incrédules qui ont besoin de rassurer leur scepticisme par des signes visibles!

Tous des hypocrites !

Les cloches qui sonnent, les cris du muezzin, les chants des protestants, les rabâchages des réincarnés sont les pratiques ostentatoires des bigots incroyants qui ont besoin de s'affirmer visiblement, de s'afficher devant tout le monde !

Le vrai croyant ne croit pas aux anges,

il ne croit pas qu'un Dieu a besoin de pousser la Lune, il n'a pas besoin de croire aux miracles, un vrai croyant croit au Big-Bang :

Un dieu parfait crée et n'a plus besoin de retoucher sa création !

Un Dieu qui envoie des miracles pour rectifier sa création est un apprenti maladroit : un Dieu qui ne crée pas un univers logique et cohérent il y a 13 milliards d'années aura besoin de repasser son examen de Dieu !

Un dieu parfait crée un monde logique dans lequel les évènements vont s'enchaîner inexorablement, les uns après les autres, avec une causalité inexorable !

Un dieu parfait est compatible

avec les convictions des matérialistes !

Un dieu créateur parfait crée et ne touche plus à rien !

Ce sont les incroyants qui ont besoin de miracles, ce sont les incroyants bigots qui ont besoin de modifications a-causales de l'enchaînement des causes !

C'est pour cela que Heisenberg a crée la mécanique quantique : l'enchaînement inexorable des causes avait l'inconvénient le fait de nier la libre volonté du Führer, il fallait que le fureur fasciste soit "libre", il fallait donc rompre la suite inexorable des causalités... pas par un ange ... par la libre volonté d'un fasciste !

C'est pourquoi la science officielle est fasciste et bigote !

La science orthodoxe refuse l'enchaînement inexorable des causes !

Elle refuse le fait que depuis 13 milliards d'années (chiffre provisoire), nous sommes surdéterminés par l'enchaînement des causes.

C'est pourquoi les matérialistes sont alliés avec les vrais croyants, avec les vrais musulmans, avec les vrais chrétiens !

Nous sommes alliés avec les vrais croyants parce tout s'enchaîne depuis 13 milliards d'années, parce que la science est juste la connaissance de cet enchaînement de causes et d'effets ... enchaînement dans lesquels il n'y a aucun miracle, aucune intervention divine, aucune intervention d'un pouvoir surhumain pour modifier quoi que ce soit : le vrai croyant comprend que toute intervention aboutit à prétendre que la création initiale n'aurait pas été parfaite !

LAPLACE ET LE DÉTERMINISME

"Nous devons envisager l'état présent de l'univers comme l'effet de son état antérieur, et, comme la cause de celui qui va suivre. Une intelligence, qui pour un instant donné connaîtrait toutes les forces dont la nature est animée, et la situation respective des êtres qui la composent, si d'ailleurs elle était assez vaste pour soumettre ces données à l'analyse, embrasserait dans la même formule les mouvements des plus grands corps de l'univers et ceux du plus léger atome : rien ne serait incertain pour elle, et l'avenir comme le passé serait présent à ses yeux. L'esprit humain offre, dans la perfection qu'il a su donner à l'astronomie, une faible esquisse de cette intelligence. Ses découvertes en mécanique, l'ont mis à portée de comprendre dans les mêmes expressions analytiques les états présents et futurs du système du monde."

(Essai philosophique sur les probabilités, Gauthier Villars, 1921, p. 3)

cité par Jacques Merleau-Ponty dans La recherche en histoire des sciences Point Seuil 1983 p. 187

Le faux croyant, l'hypocrite, le bigot, lui, est allié avec les charlatans de la Sorbonne, avec les charlatans du CNRS, avec les charlatans du CERN, avec les charlatans du Collège de France, avec tous les charlatans Nobel de physique, il est allié avec tous ces charlatans partisans du consensus de Copenhague qui fut la victoire du fasciste Heisenberg.

"L'invention par Werner Heisenberg, en 1925, de la mécanique quantique suscité chez les physiciens un débat philosophique passionné et profond sur le "déterminisme". En 1927, au congrès de Physique Solvay, Bohr, de Broglie, Einstein, Heisenberg et Schrödinger confrontèrent leurs thèses. Pour certains, le principe de causalité n'a qu'une valeur statistique et ne s'applique pas aux processus élémentaires de la nature."

Le charlatan Merleau Ponty ment par omission et par trucage : il n'y a aucune raison de mettre des guillemets à déterminisme.

Et son "pour certains" est un mensonge : tous les vrais matérialistes sont harcelé par tous les orthodoxes, ils sont insultés, traînés dans la boue, terrorisés par les charlatans.

L'étudiant en astrophysique Olivier Hérent vient d'avoir son doctorat d'astrophysique (université de Strasbourg) en mentant sur ses véritables convictions, en taisant ses convictions matérialistes, en taisant sa compréhension de l'absurdité de la relativité, en taisant sa compréhension des translations en zigzag des planètes et des étoiles, en cachant son accord avec l'auteur - En cachant les débats que nous avons eus sur ces questions.

Ce docteur en astrophysique "loupa" (en 2000) un rendez-vous que j'avais obtenu avec le professeur d'université Mutabazi - "responsable scientifique" - de crainte que des représailles s'exercent contre lui à l'université de Strasbourg". Il craignait - il était en maîtrise - que les physiciens du Havre ne contactent ceux de Strasbourg !

Les orthodoxes de la charlatanerie font régner la terreur !

Allez lire les insultes que les charlatans décernent aux partisans de Newton !

Il ne fait pas bon dans les forums usenet (Google) défendre la causalité newtonienne (celle de Laplace), il ne fait pas bon défendre l'espace absolu de Newton, les vitesses absolues !

Il ne fait pas bon critiquer la relativité !

Les insultes s'accumulent ! De tous genres !

Un florilège sera rédigé un jour portant les véritables noms de tous ces charlatans, ces arrogants de l'insulte facile, les Dominique Caudron qui - sous le pseudonyme de Oncle Dom - a construit (en volant une photo de monsyte) une baraque foraine pour tirer au pistolet sur l'auteur de ce texte ! Puis pour lancer des bombes atomiques !!!

Les barbus de l'islam, les intégristes de Jérusalem, les fascistes de l'Opus Dei, les brûleurs de Genève ont leur pendant, leurs correspondants dans l'anti-déterminisme Heisenbergien !

Ces gens n'ont perdu que le pouvoir de nous assassiner (pour l'instant !) : Il leur reste celui de briser les carrières, de détruire les réputations !

La lecture d'Internet est édifiante !

Ces ennemis de la causalité qu'ils soient faux croyants ou vrais partisans d'Heisenberg sont des fascistes !

La prétendue logique des zélateurs de Heisenberg le protégé de Himmler, est la suivante :

' Nous connaissons ce que nous connaissons par des probabilités.

Donc le monde que nous connaissons par des probabilités fonctionne par "des probabilités"

Donc ce monde ne fonctionne pas par des liens de causalités.

Donc les liens de causalités ne fonctionnent pas dans leur "infiniment petit" '

Ces charlatans laissent la place aux anges de se glisser dans les mailles de leur refus des causalités.

C'est la raison pour laquelle on rencontre des physiciens qui prétendent être des croyants !

Christian Magnan professeur au Collège de France pense que la vie est apparue, suite à des "circonstances apparemment fortuites" :

"La raison pour laquelle certains chercheurs osent affirmer que la science maîtrise la méthode qui conduirait la matière à produire la vie n'est pas claire. En effet, alors que l'histoire évolutive de l'Univers laisse plutôt penser que nous sommes issus du monde matériel à la suite d'une série de circonstances apparemment fortuites, il faudrait avancer des arguments de valeur pour pouvoir prétendre que c'est en fait la science qui, avec son arsenal de lois, imprimerait à la matière la direction à suivre."

Des circonstances fortuites ? Et où est la science alors ?

Et son salaire arrive, sans doute aussi, suite à des circonstances fortuites !

Ce ne sont que des bigots ! Comme est bigot et hypocrite le charlatan Trinh Xuan Thuan : Il a besoin de collectionner les preuves de l'existence de son "dieu" auquel il ne croit pas dans la beauté des paysages !

Pour en finir avec tous ces bigots qui font semblant de croire à la relativité, qui font semblant de croire à Heisenberg et ses foutaises, pour en finir avec les faux croyants de la Bible de la Thora et du Coran , pour en finir avec les réincarnés ... il suffit de supprimer leur patron !

Leur patron est le système capitaliste mondial !

Leur véritable employeur s'appelle Trilatérale, le centre du complot mondial de l'oligarchie fasciste.

Ce centre change de nom, change d'adresse, mais il reste en place ! il continue à nuire !

L'antisémite Raymond Barre en fut le principal agent en France !

L'organisateur antisémite du chômage de masse fut, en France, le valet numéro un du complot de l'oligarchie mondiale !

L'embauche de deux de ses partisans par Mitterrand comme ministres signe le pouvoir de cette oligarchie !

Il ne sert à rien de se battre contre les bigots, il ne sert à rien de mener des campagnes "antireligieuses" !

Il ne sert à rien de se contenter de trier le bon grain de l'ivraie, de seulement définir les meilleurs critères pour reconnaître les faux croyants, tant que le véritable combat contre la Bourse, contre les Bourses, toutes les Bourses ne sera pas mené !

Tant que l'intérêt, l'actionnariat existera, les bigots barbus terroriseront, les bigots glabres terroriseront, les bigots einsteinien terroriseront, les bigots d'Heisenberg terroriseront !

Il faut lutter à la source : Éradiquer le capitalisme ! Faire la révolution anticapitaliste mondiale !

Il n'y a aucune autre solution !

Même Mohamed l'ourson est d'accord là dessus !

Yanick Toutain

29/11/07 09:07

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vendredi 30 janvier 2009

LETTRES A JEAN BRICMONT n° 4


LETTRES A JEAN BRICMONT : "Les imposteurs "scientifiques"

De Yanick Toutain

Lettre n°4

Science, pertinence, cohérence, A. Einstein, Heisenberg et contre-révolution anti-scientifique

Présentation... lettre n° 1 ..... lettre n° 2 .... lettre n° 3 .... lettre n° 4 ... lettre n° 5 .... lettre n° 6

Lundi 24 octobre 2005

Monsieur Bricmont

voulant poster la lettre n° 4 avant la fermeture du cyber espace où je vais sur le net- avant la fermeture du soir -et ayant mon imprimante qui débloquait, je n'ai pu faire la correction orthographique que sur l'écran (après avoir vainement tenté de tigonner la dite imprimante)

Il en est résulté une horreur orthographique dont je m'excuse auprès de vous et des lecteurs recevant les copies des mes courriers.


Voilà donc cette lettre 4 sous un jour présentable

Quant à la lettre 5 - déjà tapée [quand à la fausseté de la preuve de la Relativité par l'avance du périhélie de Mercure], elle attendra que son impression permette d'éviter la même mésaventure.

Excusez-moi encore.

YT

Présentation... lettre n° 1 ..... lettre n° 2 .... lettre n° 3 .... lettre n° 4 ... lettre n° 5 .... lettre n° 6




Science, pertinence, cohérence, A. Einstein, Heisenberg et contre-révolution anti-scientifique

(0510211543)

Monsieur Bricmont,

Le livre de l'hagiographe de A. Einstein que je citais dans ma deuxième lettre a eu ses références qui ont sauté ; les voici donc : Lincoln Barnett "Einstein et l'univers" Gallimard idées n.r.f. 1951 (The universe and Dr Einstein)

Ce rappel me permet revenir sur la question de la relativité.

Toute science a deux devoirs, deux contraintes : le devoir de cohérence et le devoir de pertinence. Toute science doit être logique, avoir ses propositions reliées conceptuellement par des relations de causes et d'effets. Et, par ailleurs, elle doit être pertinente, c'est à dire être vérifiée par l'expérience, que ce soit par un cahier des charges construit et vérifié ou simplement par l'observation, lorsque le domaine d'étude ne permet pas de construire un protocole expérimental, comme en astronomie, par exemple. On peut remarquer que la construction de micro mondes informatiques tels que les a définis Seymour Papert sont à mi-chemin de l'étude de cohérence et de l'étude de pertinence : on construira des modèles incluant la productivité et le rendement agricole en Italie romaine pour comprendre la proportion possible d'esclaves, on construira des micro mondes pour analyser le comportement des électrons, on construira des micro mondes pour étudier la possibilité pour les photons de se comporter de telle façon en s'agglomérant et en se percutant pour étudier des alternatives à la croyance en l'"attraction".

Ces deux contraintes sont tellement puissantes qu'elles doivent permettre de rejeter impitoyablement toute construction non étayée par les observations ou non logique.

Concernant la cohérence, il y a deux aspects à étudier : il y a, par exemple pour un matérialiste, la cohérence de la grille théorique étudiée avec le reste de ses grilles théoriques ; et il y a la simple cohérence interne aux propositions énoncées comme nouveauté conceptuelle.

Ce que je veux vous démontrer aujourd'hui, Monsieur Bricmont, c'est que la relativité n'est non seulement pas cohérente avec la conception d'un monde extérieur à nous-mêmes, avec l'existence d'un vide absolu au sens de Lucrèce et de Newton. Mais que, de surcroît, elle n'est même pas cohérente en elle-même : Il n'est même pas besoin de faire appel à des théories autres que celle qu'acceptent clairement ses auteurs (et thuriféraires).

A Einstein

L Barnett

Ce qui va suivre, je l'ai déjà annoté en marge du livre (ed. Payot) de A. Einstein. Je pourrai faire la critique du texte de l'auteur lui-même lorsque le sympathique étudiant en sciences, à qui je l'ai prêtée, aura condescendu à me rendre ma "bible" à couverture jaune. Je vais, donc, là, utiliser à nouveau notre "ami" Lincoln Barnett, dont, je vous le rappelle, l'ouvrage a obtenu l'imprimatur du maître : "Les grandes idées de la théorie de la relativité y sont extrêmement bien présentées" (avant propos de A. Einstein à l'op. cit.)

Je cite Lincoln Barnett p. 71 : "Pour comprendre ce dont il s'agit, il est d'abord nécessaire de se rendre compte des failles qui existent dans le vieux principe de l'addition des vitesses. Einstein mit en évidence ces lacunes en utilisant un autre apologue de train. Une fois de plus, il considéra un réseau rectiligne de voies. Cette fois-ci, un observateur se tient sur un quai, sur un côté de la voie. Un orage éclate et deux éclairs de la foudre frappent simultanément la voie en deux points séparés A et B. Qu'entendons-nous, demande Einstein, par le mot "simultanément ?" Pour essayer de définir le terme avec plus de précision, il suppose que l'observateur se tient très exactement à mi-chemin entre A et B et qu'il est muni d'un système de miroirs qui lui permettent de voir A et B dans le même temps sans avoir à bouger les yeux. Par conséquent si la lueur des éclairs se reflète dans les miroirs de l'observateur au même instant précis, on peut considérer que les deux éclairs sont simultanés."

Stoppons-là la citation : vous mémorisez sans doute qu'elle est bien l'exemple identique à celui du livre "La relativité" de Einstein lui-même.

Étudions attentivement ce qui est la brique première de la relativité : sa dalle de béton fondamentale.

On a deux éclairs sur une voie de chemin de fer. Il sera possible d'aller vérifier aux deux points d'impacts les endroits précis. On saura alors que le vieil Albert était bel et bien au milieu des deux points d'impacts : on présume que l'hagiographe est bien allé déposer trois stèles commémoratives aux trois endroits mentionnés. Nous sommes donc bien d'accord : L'observateur est AU MILIEU des deux points d'impact.

Lincoln Barnett, après Einstein lui-même, nous dit "au même instant précis" il perçoit les deux éclairs.

Comment est-ce possible ?

Présentation... lettre n° 1 ..... lettre n° 2 .... lettre n° 3 .... lettre n° 4 ... lettre n° 5 .... lettre n° 6




Reprenons les deux éclairs : appelons éclair1 et éclair2 les deux photons qui vont quitter leurs jumeaux monochromatiques pour chacun se diriger vers le Génie : l'un par la droite, l'autre par la gauche. Ce sont ces deux photons éclair1 et éclair2 qui entrent dans l'œil de Einstein pour lui permettre de construire sa faribole.

Car, en effet, comment comprendre cela autrement qu'une douce plaisanterie : la Terre bouge. Les Bellarmin immobilistes ont menacé Galilée du bûcher pour l'avoir prétendu. Einstein, lui-même, le sait. En tout cas, s'il l'ignorait en 1905, son ami Barnett le lui a apprit en 1948 : page 57 de son ouvrage apologétique Barnett a écrit "la vitesse de la terre dans son orbite autour du soleil est seulement de 29 km 750 à la seconde"

Il est donc logique de considérer que le point où se trouve Einstein, sur la voie ferrée, est en mouvement.

Et les photons, eux, qu'ont-ils à voir avec cela ?

Certes, le son, étant un mouvement vibratoire des molécules de l'air, dépend, lui, du déplacement de la Terre. De la même façon que la tasse de café qui se reverse dans le train ira sur les genoux du maladroit. En physique, cela a un nom : transfert d'énergie cinétique. Le caillou qui tombe par les fenêtres du train ou du haut du mat du bateau, reçoivent tous deux de l'énergie cinétique de la main de celui qui les lâche.

Mais, jusqu'à ce jour, personne n'a osé construire de théorie allant prétendre que l'on transférerait de l'énergie cinétique à un photon.

Il en résulte une imposture : l'observateur, s'il est bel et bien au milieu des deux éclairs, si les éclairs sont bel et bien simultanés, ira en se rapprochant de l'un des deux signaux, à cause de la non-immobilité de la Terre. Il ne les percevra donc pas de façon simultanée. Ces pseudo expériences à la mode Einstein sont de parfaites escroqueries. Personne ne les a vérifiées ( les soi-disant expériences "prouvant" la Relativité ne sont jamais les "expériences de pensée" les fondant.)

Pour reprendre ce qui a déjà été dit, la lumière se déplace à c = 299 792 458 (m s-1). En un temps t1, l'éclair1 a parcouru c t1. Donc une distance ct1. Pendant ce temps t1, l'observateur n'a pas pu rester immobile. Il a donc effectué un mouvement, une translation. Schématisons sa vitesse par un vecteur rectiligne S. Il a donc parcouru une distance t1 fois S quand il reçoit l'eclair1. Cela peut se résumer par un triangle dont les trois sommets sont O1 (pour observateur simultané à l'éclair), E1 pour le lieu d'émission de éclair1, et O2 pour le lieu où l'observateur perçoit l'éclair.

Si M est la moitié de la distance qui sépare les deux éclairs sur la voie de chemin de fer, ce triangle a pour côtés : M, ct1, St1.

Il en va de même pour l'autre éclair : il définit un autre triangle dont les côtés sont M, ct2, St2.

On voit donc bien que des éclairs simultanés ne seront pas perçus simultanément. (A moins, bien évidemment, que, rareté, le vecteur translation de l'observateur ne soit dans le plan perpendiculaire à l'axe voie ferrée)


Qu'a Einstein à nous dire à ce propos ? Rien ! Comme tous les immobilistes (qui sont en fait des empiristes semi solipsistes), il ne prend aucune précaution particulière quant au facteur "translation de la Terre" dans son raisonnement. Ce qui serait vrai, en première approximation, pour le son ou pour un ballon de rugby, le Génie du 20° siècle l'extrapole sans sourciller à la lumière. Et les "pointures" de l'époque n'ont pipé mot ? Quelle étrangeté ! A moins que comme pour l'affaire Cantor, les archives aient oublié la présence des opposants, car quel étudiant apprend l'existence de Kronecker par les enseignants qui leurs font réciter les Aleph et Deug 2 de math ?

Si je reçois deux photons au même moment, cela signifie, bien au contraire, qu'ils ont été émis à des distances différentes de moi (depuis le repère Terre).

En effet, pour faire un raisonnement par l'absurde : construisons une discothèque circulaire. Tout autour de la piste se trouvent des spots lumineux. Je suis au centre, à 3 mètres des spots. Ils émettent un flash.

En 10 milliardièmes de seconde(1E-8 = 3/3 E8), le flash de chacun des spots parvient au centre. Oui, mais quel centre ? : le centre du "cercle" défini à l'instant de l'émission. Mais ce centre ne coïncide pas avec l'endroit où se trouve maintenant le centre, 10 milliardièmes de secondes après.

J'ai moi-même suivi la translation de ce centre : je me suis approché de la lumière émise par les spots de l'un des côtés. Et, de la même façon, je me suis éloigné de la lumière des spots de l'autre côté.

Voilà ce que néglige Einstein ! (Je ne peux même pas dire "prétend négliger" : il n'argumente à aucun moment, d'aucune façon sur la façon dont la Terre et son mouvement propre pourrait jouer un rôle.

Pour autant, l'escroquerie est complète à cette étape, car, pour fonder son observation chemindefferesque, il lui serait obligatoire de préciser le lien qu'il fait entre jet de caillou et émission de lumière : il lui est interdit de faire une analogie totale avec un phénomène connu, analysé - le transfert d'énergie cinétique - par un transporteur (qu'il soit bateau, train ou planète) sans préciser, dès le début, de quelle nature est cette analogie. C'est une escroquerie intellectuelle de laisser le lecteur dans l'ignorance avec une poudre de perlimpinpin et un nuage de fumée pour masquer le véritable problème.

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Einstein, n'a même pas eu l'honnêteté intellectuelle pour revenir sur sa théorie lorsqu'il est apparu, dans les années 20 du 20° siècle, que le Soleil orbitait dans la Galaxie à une vitesse de 250 km par seconde ( ses partisans nous bassinent toujours sur le fait que 30 km par seconde représente 10 000 fois moins que la vitesse de la lumière. Ils font moins les malins [la plupart d'ailleurs l'ignorent] quand on leur représente que 250 km s-1 est 1200 fois plus petit que c : quand la lumière parcourt 1200 km, nous sommes, nous sur Terre, à la suite du Soleil, entraînés à faire plus de 1 kilomètre. Et, il s'agit là d'un minimum : le centre de la Galaxie Voie Lactée est en translation (avec son trou noir qui avance : "quoi ! dit le relativiste ! un trou noir qui bouge ? c'est formellement interdit !")

Il n'y a rien d'étonnant à ce que le fondateur de l'imposture immobiliste soit celui qui est allé chercher dans sa cave un facteur abracadabra pour refuser l'expansion possible de l'Univers : en tant qu'apprenti Bellarmin, l'idée de mouvement lui était insupportable. Il fallait que rien ne bouge : son refus de l'absoluité (dont il a poussé le délire jusqu'à vouloir nier l'absoluité de l'accélération dans l'ascenseur de la Relativité générale) cachait en fait un refus du mouvement. Ces conservateurs sentaient le sol de leurs pieds confortables trembler : il n'est pas indifférent, loin de là, que 1905 soit concomitant de la première Révolution russe et de quantité de mouvements sociaux. Le Talon de fer de Jack London est la réponse littéraire à ces mouvements, comme ces théories fumeuses - la Relativité, les Aleph cantoriens prouvant l'infini, les non-causalités de Copenhague - sont les réponses idéologiques à ces mêmes mouvements : la bourgeoisie laïque matérialiste et voltairienne avait nourri en son sein un monstre révolutionnaire, il s'agissait maintenant de préparer le terrain à la violence physique fasciste. Heisenberg, le père incapable de la bombe atomique nazi l'écrivait encore après guerre " Personne ne sait ce que l'avenir nous réserve, ni quelles sont les puissances spirituelles qui gouverneront le monde, mais il nous faut commencer par croire à quelque chose et vouloir quelque chose. (…) Nous voulons que notre jeunesse, en dépit du chaos extérieur, grandisse dans l'atmosphère spirituelle de l'Occident, et qu'elle puise aux sources de la force qui a fait vivre notre continent pendant plus de deux mille ans. Ne nous soucions qu'en second lieu des points de détail ! Il n'est pas d'une importance primordiale que nous nous déclarions pour l'enseignement humaniste ou pour un autre système scolaire. Mais en tout cas et avant tout autre chose, nous devons nous déclarer pour l'Occident !" p. 78 Werner Heisenberg "La nature dans la physique contemporaine" (traduction : Ugné Karvelis et A. E. Leroy) Gallimard Idées n.r.f. 1962

Heisenberg

Précisons pour les naïfs que le "chaos extérieur" ne pouvant être dans son esprit que les luttes de libération nationale mises en œuvre contre l'exploitation impérialiste des patrons de Heisenberg et leurs collègues des démocraties occidentales. Il serait souhaitable de revenir sur ce personnage : la majeure partie des délires du dernier numéro de Science et Vie sur l'information replaçant la science se trouvait déjà chez lui. Lorsqu'il reprend la Relativité d'Einstein et la popularise en Allemagne (j'ai lu il y a un certain temps [où ?] qu'il l'aurait fait auprès de la hiérarchie nazie) il est dans son rôle. Il travaille pour les intérêts qu'il défend. Certes, c'est ce Heisenberg qui se vante dans son livre de sa participation aux combats de 1919 ( quand ont été assassinés Rosa Luxembourg et Karl Liebknecht ), c'est lui qui sous couvert de leçon de physique fait un cours d'idéologie fasciste occidentale, mais les idées qu'il défend, concernant la science (on ne peut plus appeler ça des théories) sont les mêmes que Einstein : la défaite du matérialisme a été totale et la victoire de 1905 pour la relativité a sonné le glas d'une époque : celle de la bourgeoisie matérialiste. Le combat que vous, Monsieur Bricmont, et vos collègues, entreprenez est la suite d'une défaite profonde qui remonte à un siècle. Il ne sera pas possible de briser l'offensive idéologique de la bourgeoisie impérialiste (qu'elle soit américaine, européenne, japonaise ou chinoise) en se battant le dos au mur comme je constate que vous le faite jusqu'à présent. Il faut passer à l'offensive. Et l'offensive consiste à faire le ménage dans son camp : on ne peut pas être matérialiste et relativiste, comme on ne peut pas être matérialiste historique et déiste. Alan Sokal et vous avez entrepris un combat contre les post modernistes, je salue ce combat ! Ces gens étaient le pendant idéologique de l'offensive de la bourgeoisie française poussant les rebelles sur les trottoirs comme SDF (hier dans le journal Libération les cinéastes Dardenne évoquaient à nouveau le cas d'un d'eux). Lorsque les nazis sont arrivés en 1933, le parti communiste allemand était formé de chômeurs (les trotskistes pire encore), les travailleurs organisés étaient socialistes : leurs chefs, Ebert en tête, avaient depuis 1918 poussé les rebelles dehors. Dans le dernier quart du 20° siècle, pour accompagner la mise au chômage, la mise à la rue et bientôt la mise à mort (les plans de non-remboursement médicamenteux ne sont pas une médecine à deux vitesses, ils organisent la cessation des soins efficaces pour les pauvres), pour accompagner cette offensive anti-sociale, il fallait une couverture idéologique : les misérables commerçants, les valets déguisés de la bourgeoisie française s'en sont chargés. Ils ont rencontré Sokal sur leur route. Vous l'avez rejoint. Les brights (?) dont j'ai découvert l'existence hier sur le net vous ont-ils rejoint ? Car il s'agit maintenant de mener une contre-offensive scientifique contre l'offensive obscurantiste de la bourgeoisie déliquescente qui sent le terrain (et la planète) s'effacer sous ses pas.

Ils subventionnent l'UIP pendant qu'ils achètent à tout va tout le sud le l'Amérique du sud, pour s'y réfugier de nos colères. Il n'est pas indifférent que Voltaire ait popularisé Newton en France, préparant la Grande Révolution : faire bouger la Terre par des équations scientifiques purgeait les cieux de ses "Pères Noël" féodaux. Il s'agit de purger la science de tous les reliquats idéalistes, il s'agit de reprendre le combat des Boltzmann, des Galilée, des Newton, il s'agit d'une entreprise de réhabilitation de ce que les cléricaux appellent péjorativement la science classique.

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Il n'y a pas de science classique. Il y a la science et les foutaises. Autour de la science, il y a des hypothèses provisoires, éventuellement des modèles, mais seul est scientifique ce qui est matérialiste, objectif, existant absolument en dehors de ma perception ; tout le reste n'est que foutaises.

Dans l'attente d'une réponse de votre part, je vous prie d'agréer mes meilleures salutations absolues.

Yanick Toutain


Copies aux auteurs de "Intrusion.." dont j'ai trouvé

les mails

Hervé Chuberre chuberre@enssat.fr

Jean-Pierre Garcia Jean-Pierre.Garcia@u-

bourgogne.fr

Valérie Lécuyer VJ.LECUYER@wanadoo.fr

Marc Silberstein edition@syllepse.net

Si vous le pouvez, veuillez transmettre copie aux autres auteurs. Merci.

Jacques Bouveresse

Jean Dubessy

Michel Kerszberg

Guillaume Lecointre

Ian Plimer

Yvon Quiniou

Patrick Tort

François Vernotte

Copies à Alan Sokal, Jean Marc Sciappa, Olivier Hérent,

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dimanche 25 janvier 2009

Le charlatan Bernard d'Espagnat n'aime pas la réalité en soi.

Abstract : réalité, « en soi », Newton, Bohr, Heisenberg.
Faire de la science, c'est prendre connaissance des relations causales qui fonctionnent « en foi ». Nier cela est dupliquer les charlataneries mystiques de l'évêque Berkeley - l'ennemi de Newton - adversaire du matérialisme, stupide crétin dont Lénine démolit la statue en
1908.
La connaissance des vitesses en soi, des vitesses objectives est la clé de la victoire finale du matérialisme.


par Yanick Toutain
25/01/09
16:14:35



Le charlatan Bernard d'Espagnat n'aime pas la réalité en soi.

(à propos d'un texte de Espagnat trouvé sur le blog de Jean Staune : un "Article de Bernard D’Espagnat, paru dans le Monde du 17 avril 2006."

D'Espagnat prétend utiliser le titre de physicien mais se révèle inférieur à certains alchimistes du 17e siècle.
Derrière son jargon pseudo-scientifique, ce qu'il nous propose n'est ni plus ni moins qu'un retour aux imbécillités de l'évêque Berkeley.



Il se revendique « membre de l'Institut » ; c'est certainement l'Institut des clowns de France.



Et il annonce être « professeur émérite de l'Université Paris-Orsay ». Lénine avait réglé
le compte des « clowns titrés professeurs », les Bernard d'Espagnat de 1908.

Ce charlatan n'est ni physicien ni philosophe, tout juste bon à encaisser les prébendes de la bourgeoisie imbécile dont il est le petit larbin servile.



Ce crétin prétend avoir des arguments.



"Si les faits relatifs au comportement des objets physiques sont aujourd’hui bien expliqués, les physiciens reconnaissent tous que ces explications ne font nullement intervenir la notion de
"matière", qui demeure insaisissable.
"

Examinons cette phrase stupide.
D'Espagnat nous parle d'objets physiques. Ce sont donc des objets. Ces objets sont physiques.
Ces objets, qui sont physiques, ont un comportement.
Et ce comportement - des objets physiques - induirait des faits qui leur seraient relatifs.
Ces "faits relatifs", aujourd'hui, d'après le charlatan d'Espagnat, sont " bien expliqués".

L'inanité et la vacuité de l'argumentaire du clown d'Espagnat se révèle dans ce jargon informe.
Mais le Achille Zavatta d'Orsay ne s'arrête pas en si bon chemin. Pour faire rire petits enfants
et grands, il s'en va chercher et ses amis les « physiciens ».

« Les physiciens reconnaissent »

Ses amis les physiciens ont de la reconnaissance.
Et c'est certainement celle du ventre.
Et que cette reconnaissance les amène à accréditer le clown d'Espagnat.

Les explications – mystérieuses - auxquelles le charlatan a fait allusion plus haut concernant 'les faits relatifs au comportement des objets physiques" ont une particularité spéciale : Elles
pourraient faire intervenir une notion.

Naturellement, dans les hautes sphères, on en a souvent l'occasion de faire intervenir un ami, une relation ou un subalterne pour obtenir, par exemple, l'annulation d'une contravention, ou encore pour une promotion spéciale pour un client romain.
Les explications, elles, ne font intervenir personne. Et encore moins "une notion".

C'est dommage !

Car, ces explications
- concernant les faits,
- relatifs
- au comportement des objets
- objets de nature physique.

.... ont failli faire intervenir la notion de " matière" !

Quel dommage !
Nous sommes marris !
Nous sommes extraordinairement désappointés !
Nous qui rêvions tellement de voir la notion de matière venir faire une intervention.
Il y a longtemps que nous avions ce rêve de voir une telle intervention.

Quel dommage !



Il est vrai que la reconnaissance - du ventre - des amis physiciens d'Espagnat pouvait être de nature à les dissuader de laisser cette mal élevée de notion de matière venir faire une
intervention.

Je connais un docteur en astrophysique diplômé de Strasbourg qui sait - il l'a parfaitement compris - que Newton a raison, mais qui a acquis la politesse de la reconnaissance du ventre.
Les beaux voyages - à lui accordés - par ses charlatans de professeurs l'ont rapidement dissuadé de faire fonctionner sa belle intelligence.

Tant mieux pour lui, le contenu de sa thèse d'astrophysique ne nécessitait que 0,5 % de son potentiel intellectuel.
S'il fallait qu'il revendique son newtonisme et sa compréhension des vitesses absolues, il prendrait le risque de voir son salaire multiplié par 200 ou ... de se retrouver à la rue !

Comme il craignait déjà des représailles en arrivant à Strasbourg – il l'avoua - , au cas où son hétérodoxie y aurait été connue, il eût vite fait de rentrer dans le rang du conformisme imbécile et de satisfaire aux critères de ses crétins de professeurs et d'oublier que son intelligence lui permettait de comprendre l'imbécillité du relativisme.
Il fut récompensé, fit un minable catalogue d'étoiles, et obtint sa thèse de doctorat.

Ce sont ses jumeaux larbins d'Orsay qui se gardèrent bien de laisser intervenir la notion de matière quant aux faits relatifs, etc etc..
Que d'Espagnat et sa clique de gangsters charlatans y fasse régner la terreur relativiste et heisenbergiste n'est une excuse pour personne !

Précisons, à ce stade, que la phrase imbécile d'Espagnat contient, néanmoins, une part de pseudo logique. Les " objets physiques" dont il parle ne sont, pour lui, ni objets, ni physiques.
Mais, le fait que ce charlatan n'éprouve pas le besoin, dans un article pour Le Monde, de préciser cela, n'est qu'un nouveau symptôme du délire autiste de cette bande de gougnafiers !

Tout cela n'empêche pas le guignol de ne s'en prendre, sous forme consécutive, à Yves Quiniou :

"On doit alors se demander ce qu’est cette "nature matérielle" dont Yves Quiniou fait grand cas (Le Monde du 4 mars) et dont il pose que l’homme tout entier est un produit.
L’adjectif "matériel" serait-il ici un mot creux ?"

Il n'a pas rien démontré. Il n'a pas rien prouvé.
Il n'a même rien exposé.
Cela ne va pas l'empêcher de tirer argument... du néant.

Il refuse la "nature matérielle" - qui se voit, tout à coup, pourvue de guillemets.
Il la refuse en s'interrogeant, lui-même, depuis l'intérieur de son petit bocal d'autiste.
Il la refuse en invoquant un "on" dont on peut se demander qui il recouvre vraiment. Ce "on"
doit être la bande de courtisans rieurs dont la carrière d'Espagnat dût être entourée agréablement.

Les gens qui instrumentalisent ce type de "on" puent fréquemment du cerveau. Ce d'Espagnat n'avait pas besoin de cette caractéristique supplémentaire : l'odeur nauséabonde des Berkeley et autres évêques (ou cardinaux) Bellarmin lui fut suffisamment transmise en héritage !

Et ses fausses questions !!!

"L’adjectif "matériel" serait-il ici un mot creux ?"

Tout l'envergure du minable dépourvu d'intelligence se révèle ici.
Il n'a aucun argument, et va se contenter de jouer sur les mots. Pour impressionner les gogos.


Ce crétin absolu met en doute le bout de ses pieds : selon lui, qu'il existe une "nature" , le fait qu'elle soit "matérielle", le fait que cette nature matérielle aurait des "produits" et que, parmi ces produits, on y dénombre "l'homme tout entier", ce n'est pas faire un simple constat.Non !L'abruti d'Espagnat accuse Quiniou à deux le "poser". Il faudrait que Quiniou le pose, sinon l'homme cesserait d'être un produit de la nature.
Ignorantus, ignoranta, ignorantum !
Il paraît que cet homme touchait un salaire !Décortiquer un abruti pareil finit, à la longue, par faire atteindre un tel seuil de lassitude, qu'on laissera le lecteur s'y exercer à son tour.


"Et quant à l’idée que la pensée est sécrétée par la réalité empirique que révèlent biologie, neurologie, etc., elle n’a manifestement de sens qu’à la condition que cette "réalité" soit autre chose qu’une interprétation du perçu par la pensée elle-même, autrement dit, soit un "en soi". Or, selon les sciences en question, les choses sont faites de molécules, électrons, etc., bref d’objets obéissant à la physique quantique, et il se trouve qu’interpréter celle-ci comme portant sur des "en soi" soulève d’énormes difficultés.. "


En résumé, le crétin sous-entend que la "réalité" ne serait pas telle mais "une interprétation du perçu par la pensée elle-même".
Pauvre imbécile qui ne se rend pas compte que le démontage complet de sa pathologie se trouve in extenso chez Lénine et que l'affirmation de son imposture fut révélée par le concept de "vitesse absolue" chez Newton.
Il ne fait que redite sur redite.
Quant aux "objets" qui obéiraient à la "physique quantique", l'absurdité de ce propos est telle que le lecteur béotien s'y trouvera piégé.
Quantique signifie "UN PAR UN".
Depuis les Grecs et Democritos (et Puthagoras) les scientifiques savent que TOUT doit se compter en NOMBRES ENTIERS, en NOMBRENTIERS, et que le continuisme est une absurdité.
Planck, en décembre 1900, tigonna une équation écrite par un autre – Wien.
Il se trouva que son équation contenait les photons de Newton : petits grains comptabilisables UN PAR UN.Planck mit des années à comprendre cela !
La (nouvelle) physique quantique (re)naquit de cette équation incomprise de son auteur.Elle se résume à : « on a la preuve que tout se compte UN PAR UN ».
L'imposture d'Espagnat consiste a semer la confusion avec autre chose qui s'appelle la mécanique quantique ou encore mécanique ondulatoire. Cette stupidité théorique a vaincu 27 ans plus tard ce fut la victoire de Bohr et de Heisenberg, la victoire du charlatanisme probabiliste, la défaite du déterminisme scientifique.
Ce fut même la défaite de la physique quantique !


La seule "énorme difficulté" consiste à compter les molécules UNE PAR UNE est à compter les électrons UN PAR UN !
Le magouilleur intellectuel enchaine - sans avoir, encore, rien démontré :
Peut-être est-ce là la raison qui fait que les matérialistes d’aujourd’hui (et, en un sens, Yves Quiniou lui-même) préfèrent défendre, plutôt qu’un rigide "matérialisme ontologique", un matérialisme atténué, présenté comme étant l’indispensable présupposé méthodologique de la science mais comme laissant ouvertes les grandes questions métaphysiques.
Un tel "matérialisme méthodologique" n’a, dans son principe, rien qui puisse heurter les "spiritualistes" de notre temps, qui, au contraire, se rendent compte que son acceptation est très utile dans la plupart des disciplines scientifiques. "
Ici, par contre, il commence à marquer des points !
Mais il les marque en dénonçant la lâcheté absurde des faux demi-matérialistes de l'école Syllepse. Toute cette bande Bricmont qui se revendiquent de Lénine tout en faisant le jeu des ennemis du matérialisme.

"Mais est-il véritablement un présupposé de la recherche, indispensable au développement de quelque discipline que ce soit ? Ici, je prétends qu’il n’en est rien. Il y en a une, et non des moindres, qui a échappé à la règle, c’est la physique quantique. On peut certes ne pas partager les vues de Niels Bohr. Mais il est factuellement vrai que M. Bohr et ses élèves furent à l’origine des développements de la physique du XXe siècle, qui se sont avérés, en tous domaines, les plus féconds. Aucun physicien ne niera ce fait historique. Or, selon Niels Bohr, un instrument de mesure doit être considéré comme obéissant à la physique classique (par opposition à "quantique"), non du tout en vertu de ses propriétés physiques, mais seulement en raison du fait qu’il nous sert, à nous, d’instrument. De plus, alors que le choix (humain) de cet instrument définit, entre autres conditions expérimentales, celles qui déterminent quels types de prédictions l’on pourra ultérieurement faire, ces dernières conditions sont, selon M. Bohr, "un élément inhérent à la description de tout phénomène auquel le terme de "réalité physique" peut être attaché" (Physical Review 48, 1935).
Il serait absurde de qualifier de matérialiste, même sur le seul plan méthodologique, une conception de ce genre selon laquelle, comme on le voit, en tant qu’objet de science la "réalité physique" est un phénomène auquel l’action et l’expérience humaine sont "inhérentes". Il faut en dire autant des vues d’Heisenberg, de Pauli, de Born, bref des principaux artisans de la physique de notre temps. Ils ont pris pour assise conceptuelle de leur recherche non pas le matérialisme, mais bien, tout au contraire, un certain pragmatisme philosophique, dans lequel la conception matérialiste est vue comme une "métaphysique" externe à la science."

Tout l'édifice est basé sur une imposture : Le 20° siècle fut un siècle de stagnation intellectuelle absolue pour les trois quarts.
Le renoncement au matérialisme implicite et honteux des Boltzmann sonna le glas de la science : Nous ignorons toujours notre vitesse absolue (vitesse objective, vitesse "en soi") , nous ignorons de quoi sont faits les photons (combien d'atomos dans le photon rouge, dans le photon violet), nous ignorons quels chocs précis déclenchent la gravitation, la fusion conceptuelle entre la température et la gravitation n'est toujours pas faite etc etc ...
Après la victoire du fasciste Heisenberg et de son roquet Bohr, après la défaite des matérialistes en URSS, minuit sonna dans le siècle de l'intelligence.
Et nous n'en sommes pas encore revenus.
Le charlatan prétend à des victoires qui ne sont que des imposteurs. Ils cataloguent les particules minuscules sans rien y comprendre. Sans même rien comprendre à leurs trajectoires, à leurs vitesses.
Sa thèse est : "nous les autistes, avons compris des trucs", c'est la preuve que la réalité n'existe pas.
Et pire encore, contre les ex matérialistes renégats de la bande Syllepse, il ose prétendre que même le "matérialisme utilitariste" ne sert à rien.

Et les autres idiots qui ne savent même pas se défendre.
Ces crétins, les Bricmont et tous les autres n'ont même pas encore compris qu'il fallait, pour commencer, passer par dessus bord la TOTALITÉ de la relativité.
Mais il est vrai que les REVENUS DES ORTHODOXES sont CONFORTABLES.
Tous ces Bricmont et tous les autres FAUX MATÉRIALISTES sont devenus des charlatans corrompus, grassement payés par la bourgeoisie pour NIER le contenu du "MATÉRIALISME ET EMPIRIOCRITICISME" de Lénine, pour nier le temps absolu, pour nier l'espace absolu.
Ils ne l'emporteront pas au paradis.
L'apôtre du mysticisme, le négateur de la réalité d'Espagnat peut même se payer le luxe de se payer leur tête. C'est tout juste s'il ne les traite pas d'incapables :

"Depuis, des efforts furent déployés, visant à rendre la physique quantique "ontologiquement interprétable". J’en vanterai seulement l’utilité, notant qu’ils nous éclairent sur la problématique en jeu. Cependant, en ce qui concerne la méthode, ce n’est pas à partir de la notion de réalité en soi - ou de "matière" - que la physique actuelle se développe. »


La "réalité en soi" elle sera révolutionnaire et va botter le cul de tout ces charlatans et demi-charlatans.
Les 6 révolutions qui se préparent vont remettre de l'ordre à tout cela. Elles vont réaliser les rêves de Lénine et surtout , le rêve de Newton : la connaissance de notre vitesse absolue. Les crachats de ceux qui nous insultent - en nous traitant (ainsi que Lénine le supportait déjà) de "'métaphysiciens" .... leurs crachats sont nos médailles.


IL EST IMPERATIF DE LIRE, EN COMPLEMENT DE CE TEXTE, CET EXTRAIT DE "MATERIALISME ET EMPIRIOCRITICISME" DE VI LENINE :

La "chose en soi" expliquée par Lénine dans son livre Matérialisme et empiriocriticisme

PS : CE TEXTE A DECLENCHE UNE TRES ENERGIQUE PROTESTATION DE JEAN STAUNE. CETTE PROTESTATION A INITIE UN DEBAT QU'IL EST POSSIBLE DE SUIVRE EN CLIQUANT SUR CE LIEN.