samedi 28 février 2009
Alexis Kauffmann pratique la censure sur Framablog sous l'alias aKa ! Le néo stalinisme ne passera pas !
Je viens de rédiger cette protestation sur le site de Framablog. Son propriétaire s'est arrogé le droit d'effacer entièrement mon message sur Innovoisie VS musique (Edit aKa).
Puis un second texte, au sujet de l'accusation de "taré" pour ceux qui auraient cru à l'authenticité d'un email de Bill Gates passa lui ausi à la trappe... par le même censeur qui se croit revenu à Moscou en 1936 !.
wiki :
"le blog de Framasoft animé depuis septembre 2006 par une petite équipe autour d'Alexis Kauffmann (alias aKa)
"
"Vous pratiquez une censure néo stalinienne comme un petit Vichinsky.
Est-ce la révolution anti-innovoise qui vous dérange ?
Est-ce mon combat en faveur de Newton qui dérangerait le prof de math que vous seriez sans ce ridicule pseudonyme ?
Est-ce le fait de protester contre les insultes "tarés" lancées par d'autres ?
Le lecteur de Framablog l'ignorera, comme moi.
Pour autant sachez que cette pratique de petit effaceur de réponse (c'est la COPIE de MA REPONSE postée ICI que j'ai copié collée sur MON blog !! ... contrairement à votre piteux argumentaire) ... ne restera pas longtemps méconnue et que le public saura que derrière le masque souriant du défenseur du "libre" se cache un petit nostalgique de la Guépéou et des polices politiques antirévolutionnaires.
PS : Le texte que j'écis ici SUR Framablog, j'en posterai la COPIE sur monyte (Google Blogspot) car la préservation des libertés démocratiques que des gens comme vous menacent, heureusement, les rapports de force entre les classes font que je peux m'exprimer librement GRÂCE à .... Google !
La révolution mettra bon ordre à tout cela .... et enlèvera beaucoup des masques hypocrites portés par la classe formoise !"
vendredi 27 février 2009
AVANT-PREMIERE : La vache voit l'accélération gravitationnelle diminuer quand le caillou tombe
par Yanick Toutain
Le chapitre 3 du livre « La relativité de Einstein » contient deux extraordinaires âneries que – semble-t-il - aucun scientifiques n'a mis en lumière jusqu'à présent.
Sans attendre l'exposé de la totalité du chapitre et les critiques détaillées, avec toutes les équations, pour répondre à l'impatience compréhensible des lecteurs matérialistes – et pour réduire un petit peu l'arrogance renouvelée des crétins relativistes du forum physique de Usenet-Google, voici, en avant-première (et de façon résumée sans le corpus des équations), l'exposé de la première des crétineries de l'abruti Einstein.
Ce qu'il nous décrit, c'est l'équivalent d'un vache qui regarde un train passer.
Dans ce train, un passager lâche un caillou.
Et le crétin nous faire passer - de force – de l'idée que la trajectoire du caillou serait une parabole à l'idée que la vache VERRAIT une parabole.
Cette assertion stupide peut s'étudier de la façon suivante :
1° Plus le train avance et s'éloigne de la vache et plus le caillou a le temps de tomber.
2° En prenant comme description le fait que les yeux de la vache se trouveraient – au lâcher du caillou – à la même hauteur que la main qui effectue le lâcher....
… on peut comprendre que le caillou va se trouver de PLUS EN PLUS BAS
3° En conséquence, le trajet de l'image du caillou, le trajet effectué par les photons qui vont du caillou jusqu'aux yeux de la vache, sera augmenté par l'avancée du train, mais aussi – et c'est cela qu'il faut prendre en compte – par la descente du caillou : plus il est bas et plus le trajet sera long.
4° L'effet de la « famille Doppler » qui concerne l'image de la main (les périodes d'émission ne sont pas égales aux périodes de réception) est compliqué par un effet de même type qui vient s'y ajouter : au déplacement le long de la voie de chemin de fer, s'ajoute un déplacement vertical.
5° Comment l'imbécile peut-il supposer que la vache pourrait voir une parabole ? L'équation – nous le verrons plus tard – contient deux fonctions racines, qui contiennent elles-mêmes la période d'émission élevée à la PUISSANCE 4 !!!!
6° Mais tout cela a encore une conséquence supplémentaire : en effet, les périodes sont de plus en plus longues, l'observateur – et le crétin Einstein n'en dit pas UN SEUL MOT dans toute la RELATIVITÉ RESTREINTE qui est l'objet de la première partie de son livre.
Et donc, puisque les périodes de réception des images sont de plus en plus longue, la vache observateur « immobile » dans son pré, la Vache Albertine qui croit être immobile le long d'une voie de chemin de fer, elle va s'imaginer que LA GRAVITATION EST DE PLUS EN PLUS FAIBLE.
En effet, après 24,1 secondes – avec des données spécifiques – la vache voit la pierre ayant chuté d'une hauteur correspondant à une chute de 20 secondes.
Cela correspondrait à une diminution de 17% de la gravitation réelle qui a fait chuté la pierre.
Même les translations rectilignes à vitesse uniforme donnent des illusions de changement de la gravitation ! Le crétin et sa relativité générale est doublement un pauvre crétin ! Comme le sont ses partisans !
7° Et cet effet -pseudo-gravitationnel - permettrait de clarifier les découvertes à venir sur notre vitesse objective. Car, bien évidemment, les équations qui permettent de comprendre ce phénomène ne raisonnent pas comme les crétins relativistes – ceux qui , sans jamais réfléchir, argumentent toujours dans le débat qui leur permettra l'éjection du maximum d'insultes de leurs part.
Ces équations ne voient pas une VACHE IMMOBILE.
Car la vache est en mouvement, comme la gare, comme la voie de chemin de fer, comme le talus, comme le pré.
8° Les crétins qui croient que la lumière parcourt la longueur d'un champ de 300 mètres en négligeant le fait que le champ est lui-même en mouvement et qu'il suffit de diviser 300 mètres par la vitesse de la lumière (299792458 mètres par seconde) pour obtenir le délai seront bientôt appelés par leur nom véritable : des clowns.
Les crétins qui croient que la lumière parcourt la longueur d'un champ de 300 mètres en UN millionième de seconde en prétendant l'avoir mesuré ne sont que des truqueurs, des charlatans, des menteurs, des escrocs.
Car, selon l'hypothèse Ain Al Rami, ce délai doit être augmenté de PLUS ou MOINS un soixantième (61/60 ou 59/60) selon que le trajet du laser aura été dans le sens du déplacement absolu de la Terre ou dans le sens inverse.
Nous vérifierons le degré d'approximation qui était celui de l'hypothèse Ain Al Rami lorsque les protocoles pour connaître notre vitesse absolue auront été réalisés , permettant de réaliser le RÊVE DE NEWTON : connaître NOTRE VITESSE ABSOLUE, notre VITESSE OBJECTIVE dans le vide, par rapport au vide.
En post-scriptum immédiat, j'ajouterai que la deuxième ânerie du crétin Einstein (dans son chapitre trois) - pour ceux qui souhaiteraient se former en RECHERCHE MATÉRIALISTE - concerne ce que la vache voit de la main quand elle regarde le caillou.
Bonne recherche !!!
Les enfants aiment aider les autres
26/02/2009
Un Cours Préparatoire (CP), février 2009. Des élèves âgés de 6 à 7 ans.
Les moments où les enfants sont les plus enthousiastes, c'est lorsqu'ils aident un camarade à comprendre une notion ou à résoudre un problème.
Il faut, néanmoins, préciser que cette solidarité s'est construite par des consignes :
"Il est important que vous soyez gentils les uns avec les autres. Je voudrais que vous vous aidiez quand on fait des exercices. Ceux qui ont compris peuvent expliquer à leur voisin".
Les élèves en difficulté acceptent volontiers qu'on les aide. Mais ce qu'ils préfèrent par-dessus tout c'est expliquer aux autres quand ils ont compris.
C'est pour cette raison que je pense que la solidarité est inhérente à l'être humain.
On entend souvent, dans notre société, le discours inverse : "L'homme est naturellement mauvais". Cet argument est souvent utilisé pour défendre une idéologie contrerévolutionnaire.
Ce propos sans fondement a pour objectif d'étayer cette thèse :
Puisque l'homme est naturellement mauvais, cela ne sert à rien d'essayer de changer le monde !
Pourtant, lorsqu'on compare les enfants aux adultes, la différence est flagrante en matière de gentillesse. Les seconds ont eu le temps d'être façonnés à l'égoïsme par notre société capitaliste ; ce qui n'est pas le cas des premiers.
Christiane Rochefort avait bien compris cela*. Elle a dit : "un adulte, c'est un enfant qui s'est fait acheter".
Dans une société égalitariste, les adultes seront des enfants en agrandissement. Car tout ce qui tue l'enfant qui sommeille en nous n'existera plus.
Entre autres, l'arrivisme et l'égoïsme de ceux qui cherchent à entrer en concurrence avec leurs camarades n'auront pas de raison d'être avec le salaire unique.
Tous les adultes pourront réaliser leurs rêves d'enfants grâce à l'investissement démocratique.
La solidarité des enfants donne espoir en l'humanité.
NOTES
Christiane Rochefort a écrit – entre autres : « Les petits enfants du siècle », « Heureusement qu'on va vers l'été ». Les propos tenus l'ont été dans une interview donnée à un petit fanzine de science-fiction.
La Relativité par Albert Einstein. Sources. Chapitre 2. Une analyse critique détaillée du livre de Einstein le crétin
Une analyse critique par Yanick Toutain
(23 février 2009)
La Relativité par Albert Einstein. Sources. Chapitre 2.
Les chapitres 7 et 8 sont, depuis longtemps, en ligne. Ils n'ont déclenché – de la part des crétins gardiens de l'orthodoxie - aucun critique construite. (chapitre 1)
Analyse critique du chapitre 2
LE SYSTÈME DE COORDONNÉES
YT : Einstein est un abruti. Autant abruti comme pseudo physicien que comme géomètre. Un imbécile pareil sur un chantier donnerait des résultats comparables à ceux de l'architecte de Goscinny dans l'album Astérix et Cléopâtre.
En vertu de l'interprétation physique de la distance, dont on vient de parler, nous sommes aussi en état de déterminer la distance de deux points sur un corps rigide au moyen de mesures.
YT : On vient de quitter le chapitre précédent où les droites ont commencé à perdre leur droit à être déterminées par deux points par une suspicion qui ouvrira les portes à la Relativité générale. Mais qu'importe, le génie des abrutis va nous donner un cours élémentaire, en nous prenant – au passage – pour des demeurés profonds. C'est sa technique favorite pour faciliter la déstabilisation qui s'ensuivra et pour noyer le poisson des références newtoniennes qu'il évacue et nous faire gober du Descartes pour les nuls – sans jamais faire référence à la polémique du « De gravitatio »
A cet effet nous avons besoin d'une droite (bâtonnet S), qui nous servira d'unité de mesure.
YT : Est-ce Solivine l'imbécile ici ? Il nous faudra admettre que le mot « droite » a, dans ce chapitre, les significations successives et contradictoires de « droite » ou de « segment ». Seul le lecteur peut éclaircir l'acception qui en est faite.
Ici, sa « droite » est un « bout de bois » et possède donc une longueur déterminée. On dirait « un étalon ».
Comme le pavillon de Breteuil – avec notre mètre étalon révolutionnaire – était déjà construit, on peut supposer que l'abruti Einstein en ignorait l'existence et que c'est la raison pour laquelle il ne prend pas plus simplement le premier étalon terrestre.
Si maintenant A et B sont deux points d'un corps rigide, la droite qui les relie peut être construite d'après les lois de la Géométrie ; on peut ensuite appliquer sur cette droite la droite S à partir de A autant de fois qu'il est nécessaire pour atteindre B.
YT : Oui, cela s'appelle « mesurer » et est enseigné en cours élémentaire : les enfants de 8 ans savent faire cela.
Le nombre des applications successives est la mesure de la droite AB. C'est sur ce procédé que repose toute mesure de longueur (1 page 11).
(note 1 page 11) Il est ici supposé que la mesure est faite sans laisser de reste, c'est-à-dire que le résultat est un nombre entier. On s'affranchit de cette difficulté en employant des règles graduées, dont l'introduction n'exige en principe aucune méthode nouvelle.
YT : Comme à chaque fois qu'il nous parle comme à des demeurés, le crétin dissimule – peut-être involontairement (ou inconsciemment) une entourloupe : l'usage de « règles graduées » ne fait pas éviter le risque de trouver des résultats décimaux. Pourquoi, d'ailleurs, dans ce chapitre, souhaite-t-il éviter ces nombres décimaux ? Nous l'ignorons.
Toute description d'un lieu où se produit un événement, ou bien où se trouve un objet, consiste en ceci qu'on indique le point d'un corps rigide (corps de référence) avec lequel cet événement coïncide.
YT : Que le lecteur soit particulièrement attentif à ceci : « lieu où se produit un événement ».Que le lecteur mémorise cette proposition. Elle servira plus loin à démolir la totalité de l'édifice du crétin. Que le lecteur trop impatient aille se référer au texte d'explication des thèses de Lénine WWW sur l'existence « en soi » de l'univers. Il y trouvera les outils conceptuels pour découvrir lui-même, par anticipation, pour quelle raison cette proposition contient en elle-même la destruction totale des prétentions rationnelles et de pertinence de la Relativité einsteinienne.
Pour l'instant, on a un bâton, et près d'un point du bâton, se produit un « évènement ».
Ce procédé n'est pas seulement employé dans la description scientifique, mais aussi dans la vie journalière.
YT : De cette faribole, nous aurons, plus loin, l'occasion d'en rigoler !
En analysant l'indication de lieu « à Paris, place du Panthéon », on trouve que sa signification est la suivante :
YT : Lecture matérialiste : On a un Univers en soi. Une galaxie – la Voie Lactée – qui se déplace possiblement à 5000 kilomètres par seconde. Une étoile, un Soleil – le nôtre, avec une majuscule – qui double le centre de la Galaxie à une vitesse de presque UN million de kilomètres à l'heure (chiffre officiel*). On a une planète -la Terre – qui double le Soleil à une vitesse de révolution de 30 kilomètres par seconde (variant de plus ou moins un soixantième).
Cette Terre est formée de molécules zigzagantes dont le mouvement donne l'illusion d'une rotation. A la surface de cette boule, un endroit s'appelle Paris. C'est une ville. Dans cette ville, un endroit s'appelle « la place du Panthéon ».
C'est un endroit.
Qu'il soit clair, à partir d'ici que l'endroit qu'est « la place du Panthéon » n'est pas un lieu.
En effet, Newton, avant même d'écrire son livre principal Les Principia, avait déjà démonté les fariboles de l'âne Descartes et son usage du mot « lieu ». Le lecteur n'aura qu'à se rendre dans l'édition de François de Gandt (et la traduction de Marie Françoise Biarnais) pour y consulter la substantifique moelle de l'apport du grand scientifique. [J'en prépare la publication web des extraits les plus démonstratifs.]
Pour ma part, je complète l'héritage d'Isaac Newton en bannissant définitivement tout usage du mot « lieu » en dehors du sens qu'il lui donnait, celui de « lieu absolu ».
Un lieu absolu se trouve dans l'espace. Ses coordonnées sont absolues. Elles sont objectives.
Il reviendra à nos héritiers, après les six révolutions qui viennent et après que les barbares auront été mis hors d'état de nuire par les humains gentils – à commencer par les enfants -, il reviendra à nos héritiers de construire cette carte de l'univers.
Ce sera la carte de tous les lieux, avec la liste de tous les objets célestes et du lieu qu'à – un instant donné – chacun de ces objets occupe.
Le mot « endroit » que je conceptualise, ici, à l'instant, devient le terme qui indique la distance entre deux lieux.
Si la Tour Eiffel occupe un lieu de l'espace, la «place du Panthéon » en occupe un autre. Il existe une distance entre ces deux lieux.
L'endroit qu'occupe la place du Panthéon est donc relatif au lieu de la Tour Eiffel.
En résumé : un endroit est relatif et un lieu est objectif. Un lieu fait référence au vide absolu, un endroit fait référence à un corps en mouvement.
Le sol est le corps rigide auquel se rapporte l'indication du lieu. Sur ce sol, « la place du Panthéon à Paris » est marquée par un point accompagné d'un nom avec lequel l'événement coincide dans l'espace (1 page 12).
(note 1 page 12) Une recherche plus détaillée pour montrer ce que signifie ici « coïncidence dans l'espace » n'est pas nécessaire ; car cette notion est claire en ce sens que, dans le cas concret particulier, des divergences d'opinion au sujet de sa validité ou non validité peuvent à peine se manifester.
YT : L'imbécile nous parle du « sol » et nous indique que l'endroit où se trouve la »place du Panthéon » se trouve à un endroit appelé « sol ». Où est le sol ? Place du Panthéon ? Où est la « place » ? Sur le sol ?
Il s'emmêle les pieds avant même de commencer !
Ce procédé primitif d'indiquer les lieux peut être employé seulement pour les lieux à la surface des corps rigides et dépend de l'existence de points discernables sur cette surface.
YT : Tout ce passage a été complètement démantibulé par Isaac à propos des prétentions stupides de Descartes. L'imbécile semble être ignorant de cela. Il ressort du placard les crétineries de Descartes en ignorant qu'elles ont été évacuées plus de deux siècles avant !
Voyons comment l'esprit humain s'affranchit de ces deux restrictions, sans que l'essentiel de l'indication des lieux subisse une modification. Si, par exemple, un nuage plane au-dessus de la place du Panthéon, le lieu de ce nuage, rapporté à la surface de la Terre, peut être déterminé en dressant verticalement sur cette place une perche qui atteint le nuage.
YT : On a une place. Au milieu de la place, une perche : on aurait pu y planter un haricot géant !
La place se déplace dans le vide. Le haricot bouge aussi : la vitesse de pseudo « rotation » de la Terre lui permet de faire un « tour » de 40 000 kilomètres en 24 heures !. Et de faire le « tour » du Soleil en un an.
La longueur de la perche, mesurée avec la règle, jointe à l'indication du lieu du pied de la perche fournit alors une indication parfaite du lieu.
YT : De l'endroit ! Le nuage se trouve au dessus de la place en mouvement : les endroits se déplacent. Les lieux sont immobiles !
On a une indication parfaite de l'endroit : Le haut du haricot et le nuage occupent le même endroit.... et donc... sont constamment dans le même lieu. Mais ces lieux changent à chaque seconde.
Deux interlocuteurs conversant dans le couloir d'un train restent au même endroit ( l'un par rapport à l'autre ou chacun par rapport au wagon), mais ils changent constamment de lieu !
Cet exemple nous montre de quelle façon le perfectionnement de la notion de lieu s'est opéré.
a) On prolonge le corps rigide, auquel se rapporte l'indication du lieu, de telle sorte que l'objet à localiser est atteint par le corps rigide complété.
b) Pour caractériser un endroit on utilise le nombre au lieu de points marqués par un nom (ici la longueur de la perche mesurée avec la règle).
YT : « On » n'a rien perfectionné : il s'est contenté – subrepticement – de poser son bâton rigide sur le pseudo plan de la place du Panthéon ( où il espérait finir – sans doute selon les vœux de Solivine : il faudrait lire le texte original).
Ce bâton posé perpendiculairement au plan Panthéon occupait fatalement un endroit. Il se trouve que un des deux plans perpendiculaires à l'extrémité du bâton était … la place du Panthéon.
Et il mesure, à nouveau, comme sait le faire un enfant de 8 ans.
c) On parle aussi de la hauteur du nuage même quand il n'y a pas de perche dressée pour l'atteindre. Dans notre cas on évalue la longueur que devrait avoir la perche pour atteindre le nuage, en faisant des observations optiques sur le nuage de différents points du sol et en tenant compte des propriétés de la propagation de la lumière.
YT : Là est l'entourloupe de l'imbécile !
Ralentissons, car des relativistes nous écoutent.
Le matérialiste sait que la place (du Panthéon – on ne va pas préciser à chaque fois) est en mouvement. Elle occupe un endroit de la Terre et est en mouvement avec celle-ci.
La place occupe des lieux successifs, elle va de lieu en lieu.
A quelle vitesse ?... Nous prendrons une hypothèse : l'hypothèse Ain Al Rami.
Si quelqu'un en a une meilleure à fournir, nous sommes preneurs.
Si un crétin propose « ZERO ! » … qu'il retourne jouer avec ses amis les crétins (la bande des Dominique Caudron et autres crétins relativistes qui – sous pseudo ou usurpations d'identité - empêchent les forums de fonctionner) et qu'il cesse de déranger les gens sérieux qui travaillent.
On a donc une place qui avance à (environ) 5000 kilomètres par seconde. Avec une vitesse variant cycliquement – quotidiennement, annuellement, galactiquement).
Cette place occupe un lieu, puis, en une seconde, occupe un autre lieu – 5000 kilomètres plus loin. Puis, deux secondes plus tard, se trouve à 10 000 kilomètres du lieu occupé initialement.
Et le crétin croit pouvoir utiliser la lumière pour effectuer des MESURES D'ENDROIT !
Quel sombre imbécile : Si la perche mesure 3 kilomètres, la lumière aura besoin d'un délai pour les parcourir, ces 3 kilomètres.
Le cent millième d'une seconde.
Mais si je divise par cent mille une seconde, la distance que la place aura eu à parcourir sera 1/60°. 50 mètres.
Si, donc, la place bouge de 50 mètres, pendant le temps où la lumière fait le trajet du sommet du haricot jusqu'à sa base, la technique que préconise l'imbécile Einstein est inemployable !!!
Mais c'est justement le but de la manœuvre !
Einstein est un truqueur : lui et ses amis relativistes sont des escrocs. Eddington a truqué ses relevés astronomiques pour favoriser la réconciliation germano-britannique : les plaques photographiques prises au Brésil, à Sobral, ne lui convenaient pas ? Il les a mises de côté !
Mais le trucage le plus ordinaire, c'est celui qui consiste à introduire dans l'énoncé du problème la conclusion qu'on prétendra y trouver à la fin. Ce qui résultera de toute la démonstration, il faut le glisser, dès le départ, sans que le lecteur ne s'en rende compte.
J'ai découvert l'efficacité de cette méthode, il y a plus de douze ans, en étudiant les trucages des partisans de Cantor, les trucages de partisans de l'infini – partisans des petits infinis, partisans des grands infinis. Ces truqueurs glissaient l'infini dans l'énoncé , sans qu'on puisse le remarquer, et ils le faisaient réapparaitre à la fin, par miracle !
Les relativistes – je l'ai compris il y a dix ans – utilisent le même système : ils construisent un énoncé dans lequel ont disparu les thèses de Newton, un énoncé dans lequel les mouvements absolus sont imposibles.
Ici, le trucage est simple : Albert Einstein nous décrit une place du Panthéon IMMOBILE.
Et, comme cette place est immobile, le mouvement de la lumière depuis le sommet de la perche jusqu'à sa base se fera tout le long de la perche : celle-ci ne bouge pas.
Et c'est cela la ruse : faire imaginer un univers immobile au lecteur.
En effet, tout lecteur matérialiste du 21° siècle aura compris que le récepteur se déplace en même temps que le signal.
Tout lecteur du 21° siècle sait que la Terre bouge pendant les 500 secondes – durée du trajet – que mettent les photons du Soleil pour nous parvenir.
Tout lecteur du 21° siècle sait que nous voyons l'IMAGE du Soleil, ANCIENNE.
Nous voyons le Soleil au lieu qu'il occupait il y a 8 minutes. Nous ne voyons pas le Soleil actuel.
Le Soleil actuel peut se trouver à un diamètre à droite de là où nous le voyons.
C''est pire encore pour Mercure qui peut se trouver à 20 diamètres WWW de là où nous voyons cette planète !
Mais l'escroc relativiste obscurantiste avait besoin de procédés rhétoriques pour abrutir son public.
Cet exemple de la place du Panthéon est le premier exemple de la cohorte des trucages qui vont se succéder tout au long du livre du crétin !
On voit par cette considération qu'on obtient un avantage pour la se description des lieux, si l'on réussit, par l'emploi de mesures numériques, à se rendre indépendant des points pourvus de noms qui existent sur le corps rigide auquel est rapportée l'indication des lieux. C'est ce qu'atteint la Physique dans ses mesures par l'emploi du système de coordonnées cartésien.
YT : Le fait que le crétin connaisse le mot « cartésien » ne prouve pas qu'il ait compris quoi que ce soit au débat Newton-Descartes et au refus, par Isaac Newton, de la description relativiste de Descartes.
Ce système se compose de trois plans rigides perpendiculaires deux à deux et liés à un corps rigide. Le lieu d'un événement quelconque, par rapport au système de coordonnées, est (en substance) déterminé en indiquant les longueurs des trois perpendiculaires ou coordonnées (x, y, z) (voir fig. 2, p. 41) qui peuvent être abaissées de ce lieu sur les trois plans. Les longueurs de ces trois perpendiculaires peuvent être déterminées par une des manipulations avec des baguettes rigides, manipulations prescrites par les lois et les méthodes de la Géométrie euclidienne.
YT : Tout le débat se trouve sur le fait de considérer ou non ces « caisses rectangulaires » comme immobiles ou comme en mouvement. Dans le cas où elles sont en mouvement, il faudra un délai différent à la lumière pour aller de l'évènement jusqu'aux points de repères.
Dans la pratique, les plans rigides constituant le système de coordonnées ne sont pas généralement réalisés ; de même les coordonnées ne sont pas réellement déterminées au moyen de constructions avec des baguettes rigides, mais d'une manière indirecte. Le sens physique de la détermination des lieux doit pourtant toujours être cherché conformément aux discussions précédentes, si l'on ne veut pas que les résultats de la Physique et de l'Astronomie se perdent dans le vague (1 page 14).
YT : Sur cette accusation, il faut relire Newton : pour que « les résultats de la Physique et de l'Astronomie se perdent dans le vague » il suffit d'adopter les thèses de Descartes dont Einstein est le fidèle continuateur. Isaac Newton démonte méthodiquement les absurdités où nous mène cette géométrie relativiste. En particulier sur ce que ces gens appellent « vitesse ».
(note 1 page 14) C'est seulement la Théorie de la relativité générale, exposée dans la seconde partie de ce Livre, qui rend nécessaires un perfectionnement et une modification de ces conceptions.
YT : Ca, c'est sûr : il va nous fabriquer des droites parallèles qui se croisent, des continuum spatio-temporels en chewing-gum, des lignes droites qui se courbent. Toutes ces foutaises qui sont le fond de commerce des idéologues staliniens et bourgeois corrompus qui ne sont que des clowns titrés physiciens.
Ils finissent tous par atteindre la folie et imaginer des univers parallèles, des espaces à 10 dimensions et autres délires dont le trait commun est de nier l'intelligence de l'héritage de Newton.
Nous avons donc le résultat suivant : Toute description d'événements dans l'espace nécessite l'emploi d'un corps rigide auquel ces événements doivent être rapportés. Cette relation suppose que les lois de la Géométrie euclidienne sont valables pour les « droites », où la « droite » est représentée physiquement par deux points sur un corps rigide.
YT : Pauvre idiot : les rayons lumineux nous suffiront.
Mais cela à la condition que les révolutions qui viennent transforment en SDF les malfaisants qui persécutent la vraie science, et que nous puissions enfin mettre en oeuvre les protocoles nécessaires à la connaissance de notre vitesse objective, notre vitesse absolue dans le vide, selon l'enseignement matérialiste de Newton – héritage que tenta de défendre Lénine en 1908.
Tous ces charlatans de la bande Syllepse, tous ces petits larbins idéologiques de la formoisie exploiteuse, tous ces corrompus qui bavent sur Newton en échange des gros salaires versés par les capitalistes, tous ces faux matérialistes qui sont autant matérialistes que Staline était communiste - ou Sarkozy honnête homme - raseront bientôt les murs.
* 900 000 kilomètres par heure est la vitesse officielle de révolution du Soleil dans la Galaxie : 250 kilomètres par seconde (fois 3600 secondes par heure). Notre désaccord porte sur le fait que le trou noir au centre de la Galaxie-Voie Lactée n'est pas immobile.
jeudi 26 février 2009
MUSIQUE VS INNOVOISIE (was Music vs. the music industry by Seth Godin)
MUSIQUE VS INNOVOISIE (was Music vs. the music industry by Seth Godin)
Framablog publie un article écrit par Seth Godin (traduction Claude Le Paih : Musique vs L’Industrie Musicale).
Seth Godin analyse la marchandisation de la musique face aux progrès technologiques. Ses remarques m'ont inspiré un commentaire.
« Dans les années soixante-dix et quatre-vingt, vous écoutiez une chanson car « tous les autres » l’écoutaient aussi. C’est la définition de la pop music. À cette époque, nous définissions « les autres » comme des personnes de notre université ou des gens écoutant la radio WPLJ[2]. »
La « pop music », je l'écoutais sur MON transistor.
Difficile de capter radio Caroline*, le bateau émettait trop faiblement : je devais constamment tigonner la longueur d'onde pour ne pas perdre ma station préférée. Sous mes draps, à la lueur de la lampe de poche. Quand la maison s'endormait.
C'était MON « transistor », MON poste à transistor : propriété individuelle chèrement défendue dans le collectivisme intrusif qu'est la famille sous le règne de la bourgeoisie triomphante.
MON transistor, je l'avais gagné dans un radio crochet. J'avais douze ans. Était-ce en chantant - sous un chapiteau de cirque - « Les marionnettes » de Christophe sur WRTL (radio Luxembourg à l'époque) ou en devinant - sous un autre chapiteau - « Le pélican » dans la version jeune du jeu des mille francs de Lucien Jeunesse sur France Inter ? Je le saurai prochainement par la ré-émergence télématique de toutes les archives de l'humanité.
Nous étions les auditeurs-pionniers de la pop music : sa caractéristique « populaire », ce n'était que l'insulte que les partisans de l'ami de la mafia qu'était Franck Sinatra nous avaient décernée.
Nous étions les pionniers : déjà « hackers » occupés à refaire le monde en informatique grâce à l'Album des jeunes (1964 ?) de Sélection du Reader's digest. Occupés à fabriquer notre premier ordinateur en …. boites d'allumettes.
« Hexapion » était le nom du jeu auquel notre ordinateur donnait ses compétences ; une sorte de mini jeu d'échec sur 9 cases. Le programme avait la capacité extraordinaire d'améliorer ses performances à mesure de ses défaites.
Nous écrivions nos premiers poèmes pendant que nos parents séchaient leurs larmes versées pour la mort de John Kennedy et d'Édith Piaf. Plus de larmes d'ailleurs – en octobre 1963 - que pour le décès de mon grand-père rebelle qui chantait l'Internationale à table.
Souvenir encore émue – je pense encore à elle – de la gentille monitrice de colonie de vacances – Robertot près de Cany-Barville – qui poliment et gentiment me demanda à emprunter mon carnet de poèmes pour le montrer aux autres moniteurs. Cela devait être à l'été 1964. J'avais dix ans.
Les colonies de vacances nous faisaient découvrir les premiers accords de guitare et nous révéler la méchanceté de ces messieurs Prudhomme et Prieur, sinistres personnages - monstres de Conservatoire - s'acharnant à nous humilier en nous dégoutant du solfège à vie. Les Beatles entraient dans nos vies.
Mes premières chansons furent écrites en « anglais » : pour ne pas que les filles puissent comprendre les paroles !
« If you don't want me, I'll set out again. I'll go by the road at random of my fate. »
Les Anglais ne nous comprenaient pas non plus !!!
Il y avait un C, un G, un F. Trois accords.
Nous chantions gratuitement. Nous écrivions gratuitement des chansons.
Nous échangions, gratuitement, des accords, des techniques, des arpèges, des picking.
Jouer en public nous rapportait bien moins d'argent que le coût du matériel : mon premier batteur avait fait toutes les répétitions en tapant sur les tables (d'un presbytère). Il n'avait pu s'acheter que les baguettes.
Pour notre premier concert, il eut trois heures pour s'entrainer sur la batterie qu'on nous avait prêté. L'après midi de répétition pour devoir jouer toute la soirée. Un club de natation célèbre aujourd'hui. Balaise le batteur : Didier Gallais !*
Nous avons commencé par "Help". A trois voix.
Nous rêvions de « passer en radio ».
Pendant ce temps nos « idoles » - nous, nous n'avions pas des « idoles ! », nos groupes préférés tombaient les uns après les autres sous les coups de la guerre que nous menaient la CIA et l'armée américaine : Mon béguin pour la Janis Joplin de Summertime mourait sous la mort de l'héroïne.
Nous chantions Neil Young 'The Damage Done » en jurant de ne jamais – de notre vie – toucher à aucune drogue. Nous militions dans la 4° Internationale trotskyste pour changer le monde avant qu'il ne parvienne à transformer toute la jeunesse en drogués.
Je n'ai jamais touché à aucune drogue et les preuves du complot criminel sont en plein jour : drogue pour les afro-américains de Los Angeles en pleine lumière par la commission John Kerry, LSD et drogues psychédéliques dont l'origine militaro -policière est rappelée par Naomi Klein dans « la stratégie du choc ».
Nous voulions un monde de musique, un monde de paix, un monde de fraternité.
Mais l'innovoisie des droits d'auteur a tout pourri : ils se sont fait corrompre par la bourgeoisie des actions.
Ce sont ces deux bourgeoisies qui mènent le monde actuel à la catastrophe.
Ils veulent même, maintenant, fliquer nos ordinateurs pour vérifier que nous avons payé tous les droits.
Seule la gratuité totale de l'immatériel garantira nos libertés.
Mes chansons sont gratuites : sur YouTube en flv et sur Skyrock en mp3.
JE NE LES DÉPOSERAI JAMAIS.
Je réclame un revenu (mensuel) définitif de 1000 euros (ou 1200 dollars) à la société.
Toutes mes découvertes passées et à venir sont l'héritage d'Émile mon grand-père, l'héritage de Newton, l'héritage de l'auteur de l'ordinateur en boite d'allumette.
Je suis l'héritier des milliards d'hommes qui ont fait ce que je suis : et encore une pensée pour Robertot et ma fée pour mes dix ans – et les dizaines d'autres.
Je suis l'héritier des inventeurs des mots, des lettres, des chiffres etc etc...
Et les ayant-droits de ces inventeurs sont tous mes cousins humains.
« A bas les droits d'auteur » sera le mot d'ordre de la troisième révolution sociale qui vient.
La première fermera les Bourses, la deuxième démasquera les faux marxistes et leurs salaires privilégiés.
La troisième, dans la foulée des deux premières, mettra la lumière sur la productivité ancestrale : les escrocs qui se prétendent ayant droits de Elvis Presley n'ont jamais payé les droits des inventeurs des mots, des lettres, des chiffres, de la colle à bois, de la tierce, de la quinte...
Mais de tout cela j'ai clarifié la logique économique dans « La productivité ancestrale ».
Je n'ai qu'une chose à ajouter : les ennemis politiques de la classe innovoise, les combattants qui s'opposent au pouvoir de l'innovoisie des droits d'auteur ne peuvent pas pirater. Les ouvriers de Petrograd ne volaient pas dans les usines de leurs patrons. Le combat est un combat politique. Pas une technique semi-mafieuse inspirée de la bande à Bonnot, ces anarchistes imbéciles qui pratiquaient la « reprise individuelle ».
Les partisans de la « reprise individuelle » ne font rien pour préparer une révolution.
Il faut en préparer SIX ! SIX REVOLUTIONS !
Il est urgent que Seth Godin et tous ceux qui souhaitent un monde de musique et d'harmonie en prennent conscience et commencent à y travailler : il faudra vaincre l'innovoisie !
NOTES :
rendons à César : le groupe pris comme nom « Question » après mon départ pour créer – avec Patrice Rouat – Dilemme. « Question » était formé de Christian Kacsmarek (devenu extraordinaire bassiste et arrangeur … et compositeur classique) et de son frère.
radio Caroline : par Wikipédia, je découvre, à l'instant son - persistant - site :
Site de la station anglaise terrestre
Site de la station anglaise historique
Site de la station française rennaise
Gary Webb extrait wiki) ↑ *Borjesson, Kristina (Ed.) (2002). Into the Buzzsaw: Leading Journalists Expose the Myth of a Free Press. Prometheus Books. ISBN 1-57392-972-7. Le chapitre 14 est de Gary Webb et inclus cette citation. Edition française : **Borjesson, Kristina (Ed.) (2003). Black List Quinze grands journalistes américains brisent la loi du silence. Les Arènes. ISBN 2-912485-51-7.