Une page pour préparer les 6 révolutions qui vont se produire.
3 sociales, une civilisationnelle.
Une révolution philosophique de pair avec une révolution scientifique.
Les anonymes insulteurs habituels (et inhabituels) des forums usenet seront effacés sans délai.
Les messages non signés seront éventuellement affichés : la lâcheté n'est pas un argument politique (ni scientifique, d'ailleurs).
Robin des bois, clowneries formoises et la révolution. Robin des bois – celui du roman – attendait le retour de Richard, avec impatience. Le régime politique de Jean-sans-terre lui était intolérable. Il préférait l'organisation de l'exploitation féodale par Richard. Mais celui-ci était parti aux croisades et avait été emprisonné, par l'empereur germanique, sur le chemin du retour. La formoisie et ses amis de la proto-innovoisie précaire attendent le retour de leur empereur. Ils ne cherchent pas à renverser le système féodal, ils font des clowneries. Le journal Libération-papier de ce samedi 3 janvier nous présente comme des héros ces « actions allégoriques comme celles de tant d'autres qui tentent de résister collectivement au léviathan de la crise ». Quand il est urgent que les citoyens, par groupe de 25 viennent construire des soviets, en désignant leur délégué révocable. Quand il est urgent que ces délégués se coordonnent par 25 pour représenter 625 personnes au premier étage, 15625 au suivant, près de 400 000 au 4° et près de 10 millions au 5°. Quand il suffit de pouvoir réunir 3 délégués révocables du 5° étage pour revendiquer définitivement la légitimité révolutionnaire en France et dénier au corrompu Sarkozy tout droit à régenter quoi que ce soit.... Les clowns de la formoisie politique en sont à aller piller les grandes surfaces pour … aller jouer les grandes bourgeoises humanitaires et … donner aux pauvres ! Mais, pour comprendre ces clowneries formoises, qui tournent le dos à la construction d'une véritable révolution, il suffit de comparer leurs « reprises individuelles » et autres stupidités anarcho-formoises à ce que fut l'effondrement de la dictature formoise est-allemande : en 1989, il a suffit de simples rassemblements, chaque lundi, pour que les staliniens bureaucrates de la formoisie paranoïaque voit leur système s'effondrer. Il ne manqua que l'auto-organisation et un système de délégation révocable pour empêcher que l'effondrement de la dictature de la formoisie ne soit remplacée par celle des capitalistes. Mais ce ne sont pas des clowneries dignes de celles des maoïstes pillant Fauchon qui règleront cette question ! Bien au contraire ! LA FARCE DES FORMOIS QUI VONT « REDISTRIBUER A CEUX QUI N'ONT RIEN » ! Les clowns d'Agir contre le chômage sont terrorisés par la révolution, ils sont terrorisés par les pauvres. Ceux que j'eus à affronter en 1995 bafouèrent une motion d'AG de chômeurs préconisant de faire débuter les cortèges revendicatifs à partir des quartiers périphériques, au lieu du sempiternel rendez-vous, en centre-ville, à la maison des syndicats. Ils bafouèrent tout autant la deuxième mesure que j'avais fait voter : la revendication « ZERO CHOMEURS ». Ils finirent – plus tard – par accepter une ridicule banderole « 0 CHOMEURS » ! Incompréhensible pour le lecteur. Il ne manquait que l'accent circonflexe : « Ô Chômeurs ! » Les mêmes me coupèrent la parole lors d'une de leurs réunions de 1996 : j'expliquais que prétendre lutter contre le chômage sans revendiquer le renversement du capitalisme, étaient – au mieux – des naïfs, au pire des menteurs. Cela ne plut pas à la dirigeant grande gueule de l'AC local, ni à son quarteron de généraux de la formoisie enseignante. On me coupa la parole et me la clôtura définitivement – le régime LCR local généralisé ! Aujourd'hui leur clown national proclame : « Nous nous sommes alors dit qu'il fallait passer à l'action ». Ce sont les propos de « Serge Havet, président [sic] d'AC! Agir contre le chômage. » Libération poursuit : « Décision est prise avec d'autres collectifs de multiplier les opérations coups de poings pour permettre aux « personnes précaires » de fêter le réveillon. » LES FARCEURS ONT UNE PEUR BLEUE DE LA COLERE REVOLUTIONNAIRE DES PAUVRES. Les bonnes sœurs de la charité formoise ne préconisent pas que les pauvres s'organisent ! Ils en ont peur ! Ils ont peur de l'organisation des pauvres. Ils craignent les pauvres ! Si les profs friqués de AC veulent que les pauvres passent un bon réveillon, les 2000 euros (et plus) de leurs salaires d'exploiteurs les dispensent largement d'aller piller les magasins de la bourgeoisie. D'autant que le clown crétin Serge Havet dévoile le masque plus loin : il « a entamé depuis des négociations avec une grande surface de Villeneuve-d'Ascq pour mettre en place un système mensuel de dons comme à Bordeaux depuis deux ans ». Des dons ? LES GENTILS DONATEURS DE LA FORMOISIE NE SONT QUE DES HYPOCRITES. Tous ces charlatans de la lutte des classes travaillent pour LEUR classe. Allez donc leur proposer d'égaliser les salaires, allez donc leur proposer d'instaurer le salaire à 1000 euros pour tous les Terriens, et vous verrez la haine ! Car c'est de haine qu'il s'agit. LA HAINE DE LA FORMOISIE CONTRE L'EGALITARISME ! Toutes ces bonnes sœurs de la charité formoise ne sont pas prêts – bien au contraire – à renoncer à leurs privilèges. Un de leurs membres illustres, sur son temps de travail se permettait même, sur son temps de travail – en tant que prof – d'ironiser sur le concept de « formoisie ». Cette crapule néo-stalinienne – dirigeant de AC - avait, dans sa classe, le fils de deux militants LCR. En tant que crapule, il n'organisa pas un débat contradictoire sur le concept de classe exploiteuse, de formoisie, sur le concept de classe exploiteuse salariée. Il était prof d'histoire, cela aurait pu être un cours constructif. Que non ! Il se contenta – lors d'un voyage en car – de monter sa petite cabale pourrie en ricanant de concert avec son « camarade ». Cela me fut rapporté par un militant – égalitariste à l'époque – qui avait cette crapule de AC comme prof. Et qui fut témoin de la scène. UNE HAINE pour défendre leurs privilèges. Car c'est de cela qu'il s'agit. Trotsky et Parvus avaient raison : en 1905, ils avaient compris que l'opposition bourgeoise allait se retourner contre le mouvement populaire. Il n'est pas difficile, en 2008, de pronostiquer que les clowns de ces « attaques contre les supermarchés », à peine la révolution anticapitaliste aura-t-elle commencé, que, pour préserver leurs privilèges salariaux – comme pour préserver les droits d'auteur de l'innovoisie arriviste -, leur premier souci sera de « préserver les acquis. Mais pour eux, les acquis révolutionnaires seront les écarts de salaires, leurs privilèges, leur fric pompé sur le dos de nos cousins exploités du Tiers Monde. On les verra devenir des Kerensky, on les verra aller comploter avec les futurs Kornilov. De pareils comploteurs, je les ai déjà vu agir : ce sont leurs petits « complots » qui me transformèrent en SDF, en octobre 2000. Tous les noms sont sur Internet. La pourriture formoise, l'arrivisme égoiste et le contentement imbécile du propriétaire immobilier ont détruit tout ce que ces gens pouvaient encore avoir préservé dans leurs jeunesses. Ils ont réussi à se reproduire en tant que représentants politiques d'une classe finie historiquement.
PS 22:34 Laiëc s'appelait l'imbécile "professeur" d'histoire qui manipulait ses élèves par ses ricanements de crétin !
PS 22:50 mon commentaire est publié sur le site du journal Libération
Votre monde pourri, votre société dégénérée responsables de millions de morts, qui tue 40 000 personnes par jour de malnutrition, qui écrase 2 milliards de pauvres, va s'écrouler !
Depuis 1789 vous avez le pouvoir, depuis la chute de Robespierre, qui tempérait votre domination, vous régnez sans partage sur la France. Depuis 2 siècles vous dominez la France et une partie de la planète de votre règne putride. Vous pourrissez tout ce que vous touchez, par le pouvoir de votre argent sale. Vous avez fait massacré 870 français par jour durant votre guerre patriotique imbécile, pendant 4 années 1914-18, par vos alliés concurrents allemands : chacun utilisant les armes et les munitions de l'autre pour le plus grand profit de vos capitalistes marchands d'armes respectifs. Pendant la semaine sanglante de la commune de Paris vous aviez fait mieux : massacrer sans aucun jugement plus de 3000 ouvriers parisiens par jour : il est certes plus facile à votre armée minable de pratiquer la guerre civile. Quand la trouille étreint leurs proches parents bourgeois, les cadres militaires puisent dans cette trouille une énergie massacreuse efficace. Sans doute alors que les sommets de la bourgeoisie n'étaient pas assez concernés par le pillage des richesses de l'Algérie : il a fallu près de huit ans à votre splendide armée - dont votre général - maître es torture - Aussaresse a reconnu qu'elle utilisait les méthodes de l'armée de Hitler - pour accepter sa défaite. La chute prochaine de votre gouvernement n'est qu'une étape vers votre éviction totale de la scène politique Mais les massacres dont vous êtes responsables sur toute la planète (à peine Napoléon 1° arrivé au pouvoir grâce à vous qu'il vous a fallu rétablir l'esclavage, les chaînes pour les enfants nés libres huit ans auparavant)) , ces massacres ne sont qu'un des facettes de votre capacité malfaisante. Vous avez sclérosé le progrès depuis un siècle, vous avez bloqué la croissance économique, vous avez - sous l'égide de vos trois crétins Cantor, Einstein et Heisenberg - complètement bloqué le progrès de la science. Vos prétendus philosophes se sont inspirés des imbécillités de ce trio débile pour justifier la sclérose et l'arrêt du progrès scientifique : nous sommes restés bloqués sur les thèses de Boltzmann depuis plus d'un siècle. Vos prétendus savants n'ont même pas réussi à faire fonctionner leur cerveau au point de s'interroger comme le faisait Newton (au début du 18° siècle ! ) sur la lumière comme particule ultime constituant la matière. Vous enseignez à vos enfants l'imbécile continuité de la matière, de l'espace. Vous enseignez à vos enfants le continuum spatio-temporel de Einstein dans lequel les durées ralentissent, les longueurs rétrécissent; tout cela pour faire plaisir au proto fasciste Berkeley. Vous enseignez à vos enfants que les nombres pairs sont autant que les nombres entiers; vous les abrutissez comme vous avez vous -mêmes été abrutis. Et abrutis vous êtes restés. Vous avez saboté toute la planète. Votre règne est celui des déchets nucléaires contre lesquels nous défilions il y a trente ans. Votre règne est celui du SIDA, de la peste aviaire, de la mort par le chikungounia qu'un de vos ministre traitait de petite grippe inoffensive quand, 15 jours auparavant, une malheureuse enfant de dix ans était morte à cause de votre racisme jean-foutiste. Vous serez tous jugé pour vos crimes, vos crimes directs et indirects. Vous pourrissez la planète pendant que vos idéologues corrompus viennent accuser la race humaine. La race humaine n'y est pour rien bourgeois pourris ! Il n'y a que vous et vos pareils pour fréquenter les prostituées, bourgeois d'Europe, bourgeois d'Arabie saoudite qui opprimez vos femmes sous des tchadors, bourgeois d'Amérique qui pourrissez d'idéologie protestante. Vous pourrissez la planète de vos inventions diaboliques. Vous organisez la naissance d'enfants tenus dans le secret de leur filiation pour faciliter votre alliance avec un lobby qui réclamait la majorité à 16 ans - il y a 30 ans - et qui maintenant veulent jouer avec les petits animaux que vous les laissez adopter. La révolte de la jeunesse sera terrible contre votre pouvoir ! Bientôt sonnera l'exigence de la démocratie pour tous ! Sans discrimination d'âge ni de lieu de naissance ! Bientôt nous fermerons vos Bourses et vos banques ! Bientôt vous devrez vous contenter du RMI , vos logements dont la valeur dépassera cent années de RMI vous seront confisqués, vos golfs seront parcs de centres aérés pour les enfants dont vous avez spoliés les parents, vos villas seront musées pour tous, vos hélicoptères et vos avions seront le bien commun (quand ils ne seront pas détruits pour cause de pollution trop grande), vos voitures de sport resteront immobiles pour cesser la destruction de l'air terrestre. Bientôt vos actions en Bourses ne seront plus que chiffons de papier, de la même façon que seront chiffons de papier les diplômes de vos alliés, de la même façon que seront chiffons de papier les droits d'auteurs et les droits de brevet de vos alliés prétendus innovateurs et innovateurs corrompus. Bientôt l'égalité sur Terre prendra la forme d'un revenu égal de 1000 euros - 1000 dollars pour tous les terriens. Bientôt, la seule inégalité qui sera respectée sera l'inégalité des talents, sans qu'un seul des talentueux ne vienne réclamer une part plus grosse du gâteau terrestre, sans qu'un seul des talentueux ne' vienne réclamer un trône en or ou des feuilles de papyrus égyptien pour ses besoins personnels. Vous n'êtes que des crapules qui polluez la planète de votre présence. Vous n'êtes que des crapules qui ne justifiez votre utilité qu'en truquant l'Histoire, qu'en faisant l'apologie de minables charlatans. Votre règne est fini : votre alliance avec les crapules en soutane, en kippa ou maniaques du djihad ne réussira pas à retarder votre éjection hors de la scène historique.
Le personnel politique de la bourgeoisie n'est rien d 'autre qu'une bande de menteurs criminels arrogants.
Criminels ils le sont par le génocide sanitaire que tous les gouvernements de la 5° république font subir, depuis 1961, à des gouvernements prétendument indépendants : 3 millions de bébés africains meurent chaque année dans le but de préserver la discipline du camp de travail Sarkozy-Bolloré, les profits du corrupteur et les vacances luxueuses du corrompu.
Arrogants quand on voit des imbéciles incapables telle que Lagarde venir nous faire des prévisions économiques digne du journal de 6h sur RTL ou Darcos faire une démonstration de la table de trois.
Mais aussi menteurs. Menteurs en premier lieu envers tous ceux qui, jusqu'il y a peu, profitaient tranquillement des miettes africaines versées dans leurs besaces prolétariennes – miettes volées à Michael Agbor et ses camarades payés 50 euros par mois. Menteurs pour faire avaler le pipeautage habituel qui recouvre leur but unique : augmenter le luxe de l'oligarchie au Talon de Fer, dont ils se sont – in fine – que les misérables petits larbins.
Mais, de temps en temps, l'un de ces larbins condescendants est entraîné à dire la vérité.
DIRE LA VERITE
Il est vrai que celui-là dut subir d'autres couleuvres celle ingurgitées par ces garagistes imbéciles et autres rebuts du savoir : celui-là avait la prétention d'être philosophe !
Certes, si cette prétention ne fut, comme celle de tous les clowns diplômés – ses collègues – qu'une usurpation qui aurait donné, à Puthagoras, l'envie de lui jeter le même sort fatal que celui destiné au bavard imbécile. Ce bavard imbécile qui s'était vanté de croire que racine de deux aurait été incompatible avec les thèses de son maître.
Luc Ferry, lui, se vantait d'être un philosophe !
Farce ! Pour autant, il commit quelques remarques sur l'histoire de l'écologie dont la lecture (en rapide diagonale) ne fut pas une absolue perte de temps.
Cela ne lui fit pas, pour autant, dépasser le bord inférieur de l'ongle pédestre du découvreur de l'absurdité de infiniment petit, de l'absurdité de l'ensemble R et de la nécessité d'analyser l'univers en se contentant de l'usage des nombres entiers – les seuls logiques.
Ni, d'ailleurs comprendre qu'il ne restera de Kant, pour la postérité, que ses découvertes compatibles avec celles d'Isaac Newton. Et encore, en prenant en compte la philosophie de Newton qui fut conceptualisée et clarifiée par Lénine himself – sur les traces de Engels et de Marx. Cette gnoséologie léniniste, à l'oeuvre dans les Principia et autres travaux de Newton, passait très largement au-dessus du ministre ex-professeur tenté par les ors de la République.
Il se vengea néanmoins des affronts qu'il dut subir des crétins que son orgueil à courte vue dû subir.
Je n'oserais, en effet, qualifier Luc Ferry de crétin, lorsqu'il faudrait pour le faire, produire un extraordinaire néologisme mélioratif à l'intention des abrutis qu'il fut contraint de cotoyer tous les mercredi : Chirac et Sarkozy les premiers.
Cela fait un moment que je recherchais, sur Internet les traces de sa petite vengeance. Rien. J'avais, cependant, pris à l'époque la précaution de noter ses extraordinaires propos (sur un cahier entre une étude de la déviation gravitationnelle de Newton et une autre étude sur la vitesse absolue (moyenne) , objective au sens de la gnoséologie léniniste, de la Terre, dans le mouvement zigzagant qu'elle éffectue autour du Soleil et du centre de la Galaxie-Voie Lactée. Mais, ma mémoire me trahissant, j'avais cherché dans un cahier à couverture rigide. Quelle erreur. C'était le précédent cahier.
Voilà donc, recopiées, quelles furent les paroles que prononcèrent, pour une publication dans le Parisien – Aujourd'hui en France le 3 avril 2006, le ministre Luc Ferry
« … Surtout dans le contexte très difficile qui est celui d'une dette publique qui avoisisne les 2000 milliards d'euros.
- Avez vous une idée pour la réduire ? - demande le journaliste dont le site ne porte plus la mémoire, ni de lui, ni de son travail.
Réponse de Luc Ferry (sonnez trompettes !!!)
- Réduire le nombre de personnes dans les cabinets ministériels, les avions du GLAM, ce sont des âneries. Pour la faire baisser, il y a trois priorités auxquelles il faut s'attaquer : les 35 heures, la retraite à soixante ans et le nombre de fonctionnaires. A l'école, par exemple, on nous dit qu'il faut mettre devant les élèves tous les enseignants sans classe. C'est du pipeau ! En vérité, ils sont à peine 800 dans ce cas-là. On pourrait alors ne pas remplacer tous les profs qui partiront à la retraite dans les années qui viennent. Mais la conséquence, ce sera plus d'élèves par classe. Et cela, aucun Français ne l'accepterait. Il n'y a qu'une solution : réduire l'horaire élèves en supprimant des options et augmenter l'horaire profs ! Je souhaite bonne chance à celui qui pourra prendre une telle mesure...
Et voilà ! Le menteur Darcos est rhabillé pour l'hiver ! Le joli costard cousu pour lui par son prédécesseur Ferry va bien lui tenir chaud.
Il est dommage que cet hypocrite n'ait pas cru bon de clamer haut et fort : « Je vous l'avais bien dit ! Il ne s'agit pas d'intérêt pédagogique ! Il ne s'agit pas de gagner plus ! IL ne s'agit ni de l'interet des élèves ni de celui des profs, mais seulement de réduire le déficit budgétaire, tout en faisant le maximum de cadeaux fiscaux aux riches. Le clown philosophe-à-deux-balles Luc Ferry aurait eu l'occasion de regagner un tout petit peu d'honneur perdu. Tant pis pour ce … crétin …. Finalement, bloqué dans un ascenseur.... à choisir entre lui et Sarkozy à devoir en supporter un des deux pendant trois heures.... hé bien j'hésite ! Finalement !
CSP est un militant LCR NPA Il possède un blog du même nom. C'est le seul endroit d'internet proche de la LCR où je puisse m'exprimer sans censure. Même si le maître de maison ne vient jamais répondre aux arguments que j'avance, contrairement au site officieux celeonet (l'officiel site officieux) où tous mes messages dénonçant les FARC sont systématiquement effacés (ainsi qu'une partie des autres), sur le blog CSP tenu par CaSPeR-Thierry, la censure n'y règne pas. Mon adversaire Jordi, qui contribua à soutenir la censure stalinienne de celeonet-LCR, y est même plus poli qu'ailleurs. Sur le site revolution-celeonet, je ne peux même plus y écrire du tout.
Je n'étais pas retourné sur CSP depuis son pénultième message dans lequel il interviewait une militante révolutionnaire formoise grecque : ΙΩΑΝΝΑ. En y repassant, pour voir si le lien mp3 est donné, j'y trouve un très gentil message. Je ne connais pas Thé, mais eu quelques échanges écrits sur le site de CSP. Elle fait partie des gens que la curiosité constructive n'a pas abandonné. Elle et Birahama2 sont les deux personnes les plus gentilles avec j'ai pu dialoguer sur le site de CSP. Le reste de la LCR et du NPA ne sont pas tout à fait comme elles. Voilà mes réponses.
thé a dit… @thé qui m'a gentiment écrit
==== Je salue, au passage, le retour de Yanick Toutain. Vous en pensez ce que vous voulez
21 décembre 2008 15:44 === thé a dit… Je sais bien que beaucoup d'entre vous se moquent. Moi, il a tout mon amour. Platonique === 21 décembre 2008 15:48
===
Comme c'est gentil ! La révolution est en marche : la gentillesse reprend le dessus. J'écrivais hier au sujet de la manif du 21 mars 73 - à Rouen - qui m'avait rendu trotskyste en une journée. C'est vrai. Même si cela faisait 3 ou 4 ans que je fréquentais des militants trotskystes, au lycée - un surtout "Forchaume" -, puis à la fac, je conservais une distance critique et ironique. En effet, j'étais fan en seconde de Servan Shreiber et de son "Défi Américain" - auteur dont je persiste à penser que la bourgeoisie (sa classe) traita avec une imbécilité et une indignité crasses. Il est vrai qu'elle lui reprocha son engagement contre la guerre d'Algérie et en particulier contre la torture. Tout politicien bourgeois qu'il fut et resta toute sa vie, il s'opposa aux essais nucélaires et fut viré
A la fac, depuis la mi-décembre, je jouais du Crosby, Stills and Nash (and Young) avec le chef du SO de la LCR, Jacques Truong (qui dégénéra politiquement et humainement pour finir... candidat municipal ... socialiste - il fut constamment dans les réseaux Matti-Filoche et dégénéra avec son alter ego de Rouen : au passage il contribua aux cabales Education Nationale : la jalousie est un bon moteur de la crapulerie) Je lui dus néanmoins un week-end du réveillon 72-73 à Luneray où je fis la connaissance d'une trentaine de militants LCR, dont un (qui finit au SU) qui voulut - plus tard, en 1981, réorienter la ligne de la LCR vers le combat principal contre... le groupusculinet des.... Radicaux de gauche. Alain Mathieu, après ce combat mémorable, persista, tout au long de ces années à faire "rabateur électoral" pour les formois capitalistes du parti socialiste : son alliance avec le droitier Christian Piquet contribua à freiner l'évolution de la LCR vers le refus du vote PS (En 2002, ,seuls quelques uns préservèrent leur honneur en refusant publiquement -communiqué dans des journaux bourgeois) le vote Chirac-, tel fut l'attitude correcte du militant LCR Pierre Jeanne. En sus de ces rencontres, lors de ce réveillon 72, je pris la plus mémorable cuite de ma vie. L'avantage de certaines erreurs précoces c'est de vacciner pour la vie. J'y reviendrai sur d'autres choix. A cette époque, la LCR excluait les militants qui touchaient à la drogue... le bon temps. Maintenant, le clown stalino-menchévik Besancenot revendique être un drogué !
A Rouen, la manif du 22 mars 1973 fut précédée par celle du 21, mais ce ne fut pas, comme à Paris, la manif de division des staliniens, la manif des petits chefaillons PCF ancètres de l'arracheur d'affiches de 2006, Aurélien Lecacheur, ce fut , au contraire le résultat de la puissance toute neuve des coordinations et de la jonction entre celle regroupant les lycéens et celle des étudiants. Je cite, dans le texte d'hier, l'extrait du passionnant livre de Hamon et Rotman sur ces 21 et 22 mars 1973.
Ce qui m'avait le plus frappé, lors de ces manifestations, ce fut la gentillesse entre les gens. Plus précisément encore, les chaînes que formaient, en se donnant la main -alors qu'ils ne se connaissaient pas quelques minutes avant - me parurent des préfigurations d'un nouveau monde, d'un autre monde.
Il est difficile pour les jeunes contemporains d'imaginer la tristesse qui était celle de la société de 1973. La France était encore très loin d'avoir digéré toutes les conséquences de rebellion, qu'elles furent hippies ou révolutionnaires. L'arrovisme conservait ses bastions. Parmi les pires défenseurs du "sérieux dans les études" on trouvait les crétins staliniens. En tant que défenseur de la petite formoisie qui commençait à devenir moyenne formoisie, ils considérait la rebellion anticapitaliste comme un sombre comploit destiner à empêcher leurs leaders bien aimés à parvenir "au pouvoir".
Ils étaient pro nucléaire, se contrefichaient du colonialisme et leur ligne "Produisons Français" allait commencer à être le terreau du fascisme lepeniste. Un de leurs maires allait chasser des immigrés au Bulldozer.
C'était l'époque, au début 73, où les services d'ordre du PCF et de la CGT COGNAIENT, tapaient, sur les militants trotskystes !
La gentillesse était bien éloignée de leur services d'ordre !
LUTTES DES CLASSES, LUTTES DES STRATES
Je pense qu'il y aurait une étude approfondie à faire sur la gentillesse et sur son articulation avec les luttes des classes et les luttes des strates. Il apparait, qu'en moyenne, les gens innovants et les jeunes sont bien plus gentils que les répétants et les vieux. Il est certain que les parasites - de tous poils - sont les moins genstils qu'ils soient parasites actionnaires ou qu'ils touchent leur chômage en considérant que c'est un dû (en refusant d'admettre que c'est Amadou de Côte d'Ivoire et Aminata du Sénégal qui travaillent à sa place !) Un innovant, à moins que sa corruption ne le rende insupportable (comme Souchon en ce moment) est gentil par le fait même de sa création : quelqu'un qui crée est trop occupé à la faire pour s'encombrer de tentatives manipulatoires. Les manipulateurs ne créent rien et, de façon substitutive, ils cherchent à transformer leurs proches en marionnettes : leurs pseudos créations, ce sont les marionnettes qu'ils fabriquent.
Au fait, Thé, mon premier passage en radio date des années 65 ou 66, sur Radio Luxembourg; j'y chantais la chanson de Christophe "Les marionnettes". C'était dans un cirque. L'archivage sur Internet des données numérisables me permettra peut-être un jour de réentendre cette émission. Il y eut aussi, à la même époque, un concours sur France Inter où "le Pélican" me fit gagner. C'était - me semble-t-il Lucien Jeunesse qui l'animait, jsute avant le "Jeu des Mille Francs".
Le progrès technologique permet de voir concrétiser des rêves tellement extraodinaires !
La révolution ce n'est que la revanche de nos rêves. Ils sont concrètrisables - le paradis sur Terre - grâce au progrès technologique. Et les bourgeoisies en empêche la réalisation ! On peut même soupçonner les hackers des années 70 80 d'avoir voulu, par leurs travaux en robotiques, en informatique, en télématique, construire les fondations des rêves utopistes des hippies.
Souhaiter une bonne année n'est qu'agiter un hochet plein de supersitition. Faire un pareil texte peut être considéré comme un cadeau de nouvel an. Je le fais en remerciement d'un platonisme pareil. Qu'il soit donc, au moins, accompagné par un léninisme philosophique agissant.
PS : dans le son MP3, la camarade Ioanna appelle CaSPeR, Thierry. Nous pourrons donc lui donner un prénom : ce n'était donc pas Maximilien !
Quand un néo-fasciste vient déverser son poison dans les mouvements sociaux, il utilise, naturellement, des subterfuges.
Il ne vient pas dire « Je suis un crétin néo-fasciste au service de l'oligarchie mondiale et je viens ici détruire toute possibilité de construire un gouvernement du peuple, un gouvernement des pauvres, un gouvernement des exploités ».
(cliquez sur ces liens, vous aurez les preuves sur le site de Eric Hazan)
par Yanick Toutain 1/1/2008 (1:12 8:23)
Quand un néo fasciste vient déverser son poisson, il se prétend « socialiste » comme le revendiqua Adolf Hitler, un « socialisme national », un « national socialisme ». Ou encore, maintenant, en Russie, il sera « national-communiste ».... et demain.... « national-égalitariste »?
Quand le crétin ignare vient infiltrer son poison du sabotage dans le gigantesque mouvement anticapitaliste qui se prépare, il ne vient pas écrire sous son nom, il écrit « en clandestin » , protégé par son ami Éric Hazan.
Quand le crétin Coupat veut inciter des jeunes à rééditer l'incendie du Reichstag, il ne leur dit pas ouvertement « Mettez-le feu ! », non, il est plus subtile que ça, ce crétin... lisez ce qu'il écrit :
citation
À la vitrification du territoire mondial sied le cynisme de l’architecture contemporaine. Un lycée, un hôpital, une médiathèque sont autant de variantes sur un même thème: transparence, neutralité, uniformité. Des bâtiments, massifs et fluides, conçus sans avoir besoin de savoir ce qu’ils abriteront, et qui pourraient être ici aussi bien que n’importe où ailleurs.
Que faire des tours de bureaux de la Défense, de la Part Dieu, ou d’Euralille ? L’expression «flambant neuf» contracte en elle toute leur destinée.
Un voyageur écossais, après que les insurgés ont brûlé l’Hôtel de Ville de Paris en mai 1871, atteste la singulière splendeur du pouvoir en flamme: «[...]jamais je n’avais rien imaginé de plus beau ; c’est superbe. Les gens de la Commune sont d’affreux gredins, je n’en disconviens pas; mais quels artistes!
Et ils n’ont pas eu conscience de leur oeuvre ! […] J’ai vu les ruines d’Amalfi baignées par les flots d’azur de la Méditerranée, les ruines des temples de Tung-hoor dans le Pendjab ; j’ai vu Rome et bien d’autres choses : rien ne peut être comparé à ce que j’ai eu ce soir devant les yeux ». »
Fin de citation
Le crétin et son éditeur pourront toujours prétendre qu'ils n 'ont pas écrit qu'il était nécessaire de flanquer le feu aux « tours de bureaux de la Défense, de la Part Dieu, ou d’Euralille », mais que les choses soient claires, si d'aucun de leurs partisans s'amusaient, APRES LA REVOLUTION, à faire une telle chose, ils peuvent être, tous les deux (et le troisième) certains que la justice égalitariste les tiendra complices d'actes tels.
L'ironie de l'intellectuel «intellectuel » formois dans son « flambant neuf » pourra apitoyer les juges couchés amis de la répression bourgeoise, mais les révolutionnaires égalitaristes sauront traiter ce provocateur néo-fasciste comme il convient.
Ce passage n'est, d'ailleurs pas le seul endroit du texte où l'imbécile incite de pauvres naïfs à aller commettre des gestes irréparables.
Il faudrait prendre le temps d'en faire la liste complète.
Pour l'heure, ce qui doit retenir notre attention révolutionnaire urgemment, c'est le passage fondamental où le crétin expose ouvertement, sans déguisement, sans périphrases allusives, son véritable programme.
Le titre du chapitre est éloquent.
Il contient trois propositions, trois perspectives.
Mussolini et Hitler peuvent signer, c'est ce qu'ils ont fait en le revendiquant.
Staline, en 1936, l'a fait, par une hypocrite « nouvelle constitution », sans le revendiquer clairement.
citation
Saboter toute instance de représentation. Généraliser la palabre. Abolir les assemblées générales
Fin de citation
Cet intéressant programme est, de facto, celui que la formoisie réalise dans les mouvements sociaux depuis plus de 20 ans. La différence avec Coupat, c'est le fait que lui, il l'annonce ouvertement.
Il ne se cache pas, comme au dessus, par des périphrases et des citations alambiquées quant il voulait inciter les jeunes à mettre le feu aux « tours de bureaux de la Défense, de la Part Dieu, ou d’Euralille ».
Là, il écrit ouvertement qu'il faut « SABOTER TOUTE INSTANCE DE REPRESENTATION » !!!
Quel fasciste ne se frotterait pas les mains de recevoir un appui pareil, un allié pareil ?
Quel membre de l'oligarchie bourgeoise ne prendrait pas, sur le champ, la décision de lui offrir le plus gigantesque haut-parleur possible pour qu'il puisse construire la petite organisation crypto-fasciste dont il rêve avec ses petits camarades gourous des masses ?
Mais, le petit apprenti nazillon, le petit intellectuel de la très haute formoisie pourrie ne s'arrête pas en si bon chemin.
Saboter ne lui suffit pas, il faut en finir définitivement avec toute possibilité de construire un véritable mouvement populaire anticapitaliste, il faut, réclame-t-il, « ABOLIR LES ASSEMBLEES GENERALES »
Mais non, lecteurs égalitaristes, en lisant cela, vous ne rêvez pas plus qu'en découvrant, dans un texte précédent, que le héros victimisé, que le nouvel étendard – présenté, à la jeunesse, comme héros par la criminelle de guerre Alliot-Marie - était un raciste.
Ces trois lignes sont les trois titres d'un paragraphe, page 111 du livre « L'insurrection qui vient ». Le titre du chapitre proposant ces trois perspectives est « L'insurrection ».
Cela devient tellement délirant, à mesure qu'on se plonge dans le détail de la prose Coupat, qu'on finirait par se demander si tous ces écrits n'auraient pas été rédigés par le personnage, dans les caves d'une nouvelle Okhrana parisienne.
Comment cet Éric Hazan peut-il oser présenter un tel programme fasciste d'abolition des assemblées générales ?
Comment des gens tels que le formois faux trotskyste Bensaïd et le para-maoïste Badiou peuvent-il tolérer d'être édité par quelqu'un qui publie la revendication explicite de la nécessité de « SABOTER TOUTE INSTANCE DE REPRESENTATION »
Il faut vraiment que la formoisie soit bien malade pour mener une pareille campagne de soutien à un pareil provocateur néo-fasciste.
Et personne ne semble réagir quand Hazan lui-même, répondant à une question admet que son livre est devenu « une arme » pour Alain Bauer : citation
OB : Vous devez connaître Alain Bauer. On lit sur sa fiche Wikipedia qu’il a distribué à qui voulait des exemplaires deL’insurrection qui vient… ÉH :Il en a acheté 40 ! Je crois qu’il est en grande partie à l’origine de l’intoxication de notre ministre de l’Intérieur à la rubrique «il y a des gens qui se préparent — à l’ultra-gauche comme il disent — à des actions violentes et dangereuses». Donc, ce livre, en extrayant quelques phrases de leur contexte avec un stabilo jaune et en le distribuant à des gens qui ne savent pas lire, je pense qu’en effet c’était une arme. Cela lui a permis de faire fructifier son fond de commerce. Parce qu’il est à la fois conseiller de la ministre et il a une boîte de conseil…
Fin de citation
« Extraire des phrases de leur contexte » ose dire le crétin Hazan !
Mais il ment effrontément !
Tout le paragraphe sur l'incendie de l'Hôtel de Ville de Paris est parfaitement explicite sur ce que le duo Coupat Hazan (et le troisième) cherchent à inciter de jeunes rebelles à faire !
Tout le paragraphe concernant la représentation n'est pas sorti de son contexte, l'ABOLITION des assemblées générales est le TITRE !
Le crétin Hazan trop occupé par son fonds de commerce et le quasi doublement de ses ventess grâce à Alliot-Marie, n'a plus le temps de réfléchir, il ne peut même pas se rendre compte qu'il nous ment effrontément en tentant de nous prendre pour des idiots.
Le « SABOTAGE » de toute instance de représentation, de quel contexte aurait-il été sorti ?
Mis à part l'ignorance crasse de son « ami » concernant le déroulement des mobilisations durant les 40 dernières années.
On va remettre le contexte !
citation
« Saboter toute instance de représentation.
Généraliser la palabre.
Abolir les assemblées générales
Tout mouvement social rencontre comme premier obstacle, bien avant la police proprement dite, les forces syndicales et toute cette microbureaucratie dont la vocation est d’encadrer les luttes. Les communes, les groupes de base, les bandes se défient spontanément d’elles. C’est pourquoi les parabureaucrates ont inventé depuis vingt ans les coordinations qui, dans leur absence d’étiquette, ont l’air plus innocentes, mais n’en demeurent pas moins le terrain idéal de leurs manoeuvres. Qu’un collectif égaré s’essaie à l’autonomie et ils n’ont alors de cesse de le vider de tout contenu en en écartant résolument les bonnes questions. Ils sont farouches, ils s’échauffent ; non par passion du débat, mais dans leur vocation à le conjurer. Et quand leur défense acharnée de l’apathie a enfin raison du collectif, ils en expliquent l’échec par le manque de conscience politique. Il faut dire qu’en France, grâce notamment à l’activité forcenée des différentes chapelles trotskistes, ce n’est pas l’art de la manipulation politique qui fait défaut dans la jeunesse militante. De l’incendie de novembre 2005, ce n’est pas elle qui aura su tirer cette leçon : toute coordination est superflue là où il y a de la coordination, les organisations sont toujours de trop là où l’on s’organise. »
Fin de citation
« les parabureaucrates ont inventé depuis vingt ans les coordinations ».
ose écrire le pauvre crétin ignare !
L'imbécile ne connait ni la sociologie, ni l'histoire, ni même l'arithmétique élémentaire.
Ce fut le 22 mars 1973, il y a 35 ans cette année, que la Ligue Communiste (qui allait devenir Front Communiste Révolutionnaire, puis Ligue Communiste Révolutionnaire) réussit la mise en œuvre massive de son projet de construction de nouveaux soviets.
Le 22 mars 1973 100 000 jeunes défilèrent à Paris et 100 000 autres étudiants et lycéens se rassemblèrent dans un grand nombre de villes de province pour protester contre la loi Debré et l'instauration du DEUG.
Le crétin Coupat a eu ses diplômes dans une pochette surprise. A moins que des professeurs complaisants - fascinés par les hallucinés après leur lecture de Germinal – n'aient été rendus aveugles sur le crétinisme ignare du nouveau héraut de la jeunesse !
35 ans ne sont pas 20 et la construction des coordinations de 1973 sera considéré, un jour, comme une des étapes les plus importantes de toute l'histoire de France, de toute l'histoire de l'Europe, de toute l'histoire des mouvements sociaux.
Il aurait suffit au clown titré « doctorant » (à l'EHESS, certainement l'agence d'une école de cirque spécialisée dans les clowns certifiés ignares) , de consulter UN livre. Examinons l'intéressant – quoique partialement trop dédié à l'hymne aux crétins du pseudo-maoïsme maboul à la française – ouvrage de Hervé Hamon et Patrick Rotman « Génération ».
Quand – pour ma part - je parle des événements de 1954, je consulte des ouvrages de référence, je ne fais pas comme le charlatan Coupat qui réinvente l'Histoire comme une poésie librement élucubrée !
Extraits (page 475 Tome II)
citation
« Alain Krivine et Henri Weber [ce sont des gens vivants... à ne pas confondre avec les cadavres politiques de même nom qu'on entend, parfois, s'exprimer dans les médias. Les cadavres politiques sont des cadavres renégats. NdYT]... pavoisent. (…) Les dirigeants de la Ligue pavoisent parce que leurs militants fournissent la colonne vertébrale du mouvement. La pyramide de comités qui s'est édifiée en une semaine permet à une constellation d' «agitateurs» épars de jouer un rôle sans commune mesure avec leur nombre réel.
Le 6 mars, c'est le lycée Faidherbe, à Lille, qui donnait le coup d'envoi. Le 7, Caen suivait. Le 8, Morlaix et Saint-Étienne. Le 9, les potaches de Martigues élisaient un comité de quatorze membres mandatés pour nouer des liens avec les autres établissements. Le 12, Aurillac débrayait. Le 13, à Toulouse, quatre mille sursitaires en sursis cernaient la préfecture, et les gauchistes de Clermont-Ferrand obtenaient le vote de la grève générale ; cinq forteresses parisiennes subissaient les mêmes assauts. Le 14, enfin, grâce au réseau de la Ligue Communiste et de son aile dissidente, le groupe Révolution, une « coordination nationale » émergeait soudain et appelait à une journée d'action, le 22 mars.
Du travail de pro. Succès sur toute la ligne. »
Fin de citation
C'est le moins qu'on puisse dire !
Les trotskystes de la LCR, de la 4° Internationale venaient d'en finir avec près de 50 ans de chape de plomb stalinienne !
Des soviets en France !
Car les coordinations n'étaient autre chose que des structures de type soviétique : des élus révocables à tout moment.
Jamais la France, depuis 1871, n'avait connu pareille structuration démocratique !
L'économiste formois Ernest Mandel prenait sa revanche historique : lui qui avait été le compilateur historique des structures des mobilisations populaires voyait, enfin, son plus vieux rêve se réaliser : ce que juin 36 n'avait pas réussi à faire, quelques milliers d'étudiants, formant à vitesse accélérée des volontaires lycéens, étaient en train de le réaliser en France : la réintroduction de la notion de REVOCABILITE des élus !
La malédiction de 1921 prenait fin, la barbarie stalinienne qui régentait l'ordre formois, l'ordre policier du Goulag dans tous les mouvements sociaux, était bafoués !
citation
« Hier, mercredi 21, les organisations de jeunesse liées au PC ont hâtivement et péniblement rameuté sept mille fidèles scandant « Moi y en vouloir des sous ! » sur l'éternel trajet République-Nation. Aujourd'hui, ils sourient jaune, noyés dans l'immense foule, tandis que le CFDT, le FEN, le PSU et même la CGT accompagnent le courant. ».
Fin de citation
Ce que n'écrivent pas Hamon et Rotman, c'est le fait que ces délégués révocables issus de la base, formant leurs comités exécutifs soviétiques, eurent, dans plusieurs villes – comme le fut le cas à Rouen, le rapport de force politique suffisant pour négocier d'EGAL A EGAL avec les syndicats ouvriers, même stalinisés comme l'était complètement encore la CGT.
Ce furent ces coordinations qui mirent fin au despotisme stalinien sur les mouvements sociaux.
Et ce furent ces mouvements, structurés en coordinations, qui permirent le grossissement accéléré de la LCR.
Car, il faut le répéter : mai 68 fut un mouvement de braillards, de grandes gueules, de magouilleurs. Cohn-Bendit en est le meilleur représentant. Il n'y eut aucune véritable coordination (sauf peut-être à Nantes).
Des cartels d'organisations bureaucratiques prirent le taureau par les cornes, et le ramenèrent au bercail réformiste dès la fin des élections de juin.
Aucune structure soviétique, aucune coordination ne permit aux ouvriers, en juin 1968, de s'opposer au sabotage des staliniens.
Mais tout cela, le charlatan crétin Coupat fait mine de l'ignorer !
« les parabureaucrates ont inventé depuis vingt ans les coordinations ».
écrit l'imbécile sous le regard passif de son crétin d'éditeur !
Lénine a écrit un livre entier sur cette question : l'État et la Révolution.
Il était occupé à l'écrire en relisant ses propres notes de son fameux « cahier bleu ».
Il avait recopié des passages entiers du livre de Marx sur la Commune de Paris.
Il est, certes, vrai que lorsqu'on est un crétin néo-fasciste incitant les jeunes aux incendies...
« Que faire des tours de bureaux de la Défense, de la Part Dieu, ou d’Euralille ? L’expression «flambant neuf» contracte en elle toute leur destinée. » ….on ne conserve plus le nombre de neurones nécessaire à l'étude des formes démocratiques de représentations des mobilisations populaires.
citation
« Le jeudi 22 mars - « Coucou, nous revoilà ! » -, ils sont quatre vingt mille sur le pavé parisien [mon souvenir est 100 000 selon le journal Le Monde : à vérifier NDYT], abrités par leurs entonnoirs des foudres d'un soleil superbe, entre Denfert-Rochereau et la place d'Italie, malgré l'interdiction de la préfecture. Et vingt-cinq mille à Toulouse, six mille à Bordeaux, cinq mille à Pau, trois mille au Havre, deux mille à Angoulême... Essentiellement des lycéens.
Leur porte parole se nomme Michel Field [auteur de « Jeunesse et Révolution » avec Jean-Marie Brohm NdYT]. Il est élève d'hypokhâgne au lycée Condorcet, et sa coiffure « à l'afro » - nuance blond roux – évoque les hippies marxistes du Village Voice.
Field, formé dans le giron de la Ligue Communiste, sait haranguer une foule et chevaucher les revendications multiples qui en émanent.(...) »
Fin de citation
Il manque des villes importantes à cette énumération, en particulier Rouen où un nombre de jeunes peut-être comparable à celui donné pour Toulouse, défilèrent le 21 et le 22 mars 1973. J'y devins trotskyste en une journée.
La démocratie révolutionnaire était l'école de la rue : les mots d'ordre étaient ceux qui avaient été librement choisis, aucun bureaucrate ne venait imposer la ligne de son organisation et aucun abruti du genre Coupat ne pouvait exercer son sabotage : les crétins ultra-gauche ne comprenaient rien à ce qui leur arrivait : pendant 5 ans, ils avaient eu le vent en poupe médiatique – avec l'appui de leur ami philosophe-à-deux-balles, girouette opportuniste, Sartre. Et tout à coup, ce qui se produisait les laissait sans voix.
Ces imbéciles issus des grandes classes de la bourgeoisie faisait l'expérience – en témoins passifs – de ce qu'était un mouvement de masse.
Un mouvement choisissant librement ses représentants.
Les héros de la clandestinité délirante en prenaient pour leur grade !
Les gourous dingos du maoïsme imbécile ne comprenaient rien de ce qui se produisait. Ce furent les trotskystes de la LCR qui se retrouvèrent être hoisis comme leaders de tous les mouvements qui se construisaient : MLAC, comités Chili, Comités de Défense des Appelés, École Émancipée regroupant les enseignants rebelles (ET DEVOUES !).
Même l'usine LIP, en juin 1973, où une aile CFDTiste rebelle prendra le leadership, laissera le crétin ultra gauche leader de l'époque Benny Lévy – Pierre Victor – sans voix : les ouvriers ne pratiquaient pas l'enlèvement minoritaire, ils occupaient l'usine et se remettaient à produire …. sans le patron !
« Les LIP (…) déménagent un contingent de pièces détachées permettant de monter trente-deux mille montres. L'ensemble du magot atteint le milliard de centimes.
Oui, Benny jubile. Et pourtant, ces personnages le déconcertent.»
Les crétins de l'ultra-gauche imbécile sont déconcertés par les luttes de masse : eux qui se croyaient les Robin des Bois de la lutte des classes, les héros hérauts qui portaient la parole et l'action démonstrative devant des masses admiratives éberluées ! Ces crétins ne comprennent pas les luttes de masse – ils sont tellement imbus d'eux-mêmes, tellement arrogants -, et donc ils méprisent les formes de structuration démocratiques.
« « La lutte est l'affaire de tous, syndiqués et non syndiqués. »
Cette phrase-là est le premier commandement de Palente, l'article 1 des tables de la loi. L'instance suprême est l'assemblée générale quotidienne, qui dure selon les séances entre une heure et une heure trente.
Charles Piaget, le plus souvent, l'inaugure par un « point d'information», synthèse de l'actualité et des commentaires ou suggestions formulées par les sections syndicales et le comité d'action. Cette synthèse a elle-même été préalablement – et parfois âprement – discutée entre les parties concernées. Mais l'AG est seule maîtresse de l'ordre du jour et ne se prive pas de réactiver quelque conflit qui semblait surmonté.
L'ex-glossateur de Platon qu'est Benny Lévy goûte en expert semblable technique d'agora. Le risque d'envolée démagogique est tempéré par l'existence de sections syndicales actives. Et celles-ci, de leur côté, subissent les interpellations du comité d'action (…) renvoyant (…) l'écho des travailleurs qui n'y sont point représentés. (…)
Cependant que tricotent paisiblement les mères de famille en grève, interrompant leur geste machinal à l'instant des votes, une révolution se profile, moderne et déroutante.. »
Quand des travailleurs, montrant l'exemple historique, prouvent que le patronat, en tant que tel, est totalement inutile, quand l'histoire nous montre les chemins de l'avenir, quand l'étude du passé nous précise ce que permettra, demain, l'investissement démocratique, on encore voir la bourgeoisie nous envoyer des provocateurs, comme ce Coupat - pour venir saboter ces préfigurations d'une société sans capitalistes, sans capitalisme.
Lisons le crétins provocateur néo-fasciste Coupat qui veut
« Saboter toute instance de représentation.
Généraliser la palabre.
Abolir les assemblées générales » Lisons le contexte indispensable – selon son « ami » Éric Hazan.
Lisons les élucubrations du crétin !
« L’assemblée n’est pas faite pour la décision mais pour la palabre, pour la parole libre s’exerçant sans but.
Le besoin de se rassembler est aussi constant, chez les humains, qu’est rare la nécessité de décider. Se rassembler répond à la joie d’éprouver une puissance commune. Décider n’est vital que dans les situations d’urgence, où l’exercice de la démocratie est de toute façon compromis. Pour le reste du temps, le problème n’est celui du « caractère démocratique du processus de prise de décision» que pour les fanatiques de la procédure. Il n’y a pas à critiquer les assemblées ou à les déserter, mais à y libérer la parole, les gestes et les jeux entre les êtres. Il suffit de voir que chacun n’y vient pas seulement avec un point de vue, une motion, mais avec des désirs, des attachements, des capacités, des forces, des tristesses et une certaine disponibilité.
Si l’on parvient ainsi à déchirer ce fantasme de l’Assemblée Générale au profit d’une telle assemblée des présences, si l’on parvient à déjouer la toujours renaissante tentation de l’hégémonie, si l’on cesse de se fixer la décision comme finalité, il y a quelques chances que se produise une de ces prises en masse, l’un de ces phénomènes de cristallisation collective où une décision prend les êtres, dans leur totalité ou seulement pour partie. »
Fin de citation
L'abruti qui préconise l'abolition des assemblées générales et le sabotage des instances représentatives a un discours pseudo-humaniste, empli de compassion et de bons sentiments.
La robe qui enveloppe la gourdin de l'abolitionniste d'assemblées générales est entourée de broderies fleuries.
Mussolini et Hitler abolirent les assemblées générales sans de telles précautions oratoires !
Il faut "abolir les assemblées générales", qui sont des « fantasmes » - nous sommes tous des utopistes – mais on ne peut le faire que « si l’on parvient ainsi à déchirer ce fantasme de l’Assemblée Générale au profit d’une telle assemblée des présences, »
« L'assemblée des présences » elle s'est appelée Goulag ou camp d'internement !
Pauvre crétin !
Est-il seulement lucide de ce qu'il a écrit ?
« Se rassembler répond à la joie d’éprouver une puissance commune. »
La joie commune du rassemblement, une fois que les fascistes ont réalisé le rêve du crétin Coupat - par l'abolition des assemblées générales - ce furent les rassemblements hitlériens, avec les torches et les flambeaux !!! !
Ils purent, alors, « éprouver une puissance commune » !
Mais notre Charybde avait encore un Scylla à heurter !
Mais, tels un Odusseus, nous luttons vaillamment contre l'adversité des borgnes et de leurs cyclopéens et abrutis amis.
On va apprendre qu'il ne faut rien décider !
Le choix de l'action doit se faire dans un état second où il est interdit à quiconque de proférer l'insulte suprême « il faut faire ... ».
Que nenni !
La décision doit arriver, tel un deus-ex-machina, là et où l'on ne l'attend point !
Il faut attendre que la décision « nous prenne » !
Ce n'est pas nous qui prenons la décision de l'action, c'est l'inverse !
Une blague ?
Mais non, mais non !
Le crétin clown diplômé raciste et provocateur a des ressources incommensurables !!!
« la décision viendra d’elle-même, elle nous prendra plus que nous ne la prendrons. »
N'oublions pas l'imbécile ami Hazan !
Remettons le délire « dans son contexte » !!!
La moquerie nous consolera du temps passé à lutter, pied à pied, contre la provocation montée par Alliot-Marie et ses fascisto-cagoulés.
Le démontage des imbécillités du héros proposé à la jeunesse est indispensable !
Ça servira, de plus, à éjecter de la scène politique du processus révolutionnaire tous les petits clones imbéciles ultra-gauche qui commencent à venir faire de la provocation para-anarchiste sur les décombres de la dégénérescence des ex-trotskystes.
citation
« Il en va de même pour décider d’actions. Partir du principe que « l’action doit ordonner le déroulement d’une assemblée », c’est rendre impossible tant le bouillonnement du débat que l’action efficace. Une assemblée nombreuse de gens étrangers les uns aux autres se condamne à commettre des spécialistes de l’action, c’est-à-dire à délaisser l’action pour son contrôle. D’un côté, les mandatés sont par définition entravés dans leur action, del’autre, rien ne les empêche de berner tout le monde. Il n’y a pas à poser une forme idéale à l’action. L’essentiel est que l’action se donne une forme, qu’elle la suscite et ne la subisse pas. Cela suppose le partage d’une même position politique, géographique – comme les sections de la Commune de Paris pendant la Révolution française –, ainsi que le partage d’un même savoir circulant. Quant à décider d’actions, tel pourrait être le principe : que chacun aille en reconnaissance, qu’on recoupe les renseignements, et la décision viendra d’elle-même, elle nous prendra plus que nous ne la prendrons. La circulation du savoir annule la hiérarchie, elle égalise par le haut. Communication horizontale, proliférante, c’est aussi la meilleure forme de coordination des différentes communes, pour en finir avec l’hégémonie. »
fin de citation
Si la « circulation du savoir annule la hiérarchie », on peut s'interroger sur le type de relations que Coupat peut avoir avec son entourage, car, dans ce cas, la « circulation » du crétinisme, de l'ignorance de l'histoire, la circulation de la bêtise crasse doublée d'arrogance stupide, si elle annule quelque chose, cela ne pourrait être rien d d'autre que le contraire de la hiérarchie.
Et si le contraire de la hiérarchie est annulé, l'assertion sans preuve de sectarisme avancée par le procureur de Paris, pourrait, in fine, se retrouver être garantie par les propres assertions de Coupat lui-même.
La hiérarchisation des relations qu'il entretient avec son entourage d'imbéciles serait garantie par l'ignorance des faits historiques qui serait le lot de Coupat et de sa « bande » , de toute sa « commune », de toute sa« horde » de crétins admiratifs.
Une rencontre impromptue m'amena à entendre parler d'un Rouennais de la bande qui éprouvait profonde satisfaction à cultiver une cour fascinée buveuse de parole.
Au-delà de la provocation proto-fasciste d'Alliot-Marie (qui cherche à reculer le jour où elle sera trainée à Abidjan pour répondre des crimes commis à l'Hôtel Ivoire en 2004 ), au-delà des propos néo-fascistes de l'abolitionniste des assemblées générales et du « supprimeur » de représentations démocratiques, il ne resterait, pour finir, qu'un groupe de crétins illuminés par les propos hallucinés d'un ignare.
Finalement, les propos que je découvrais tout à l'heure sur le site du Jura libertaire, propos attribués à Marc Cohen, pourraient,aussi, résumer toute l'affaire.
citation
Pour Marc Cohen, de Causeur, qui à l’époque de L’Idiot international ne regardait pas passer les trains de l’histoire, «cette pseudo pièce à conviction n’est hélas qu’un inoffensif conglomérat de banalités toninégristes, bourdivines ou ségolénistes, cimentées par une ignaritude sans bornes, qui n’appelle donc qu’une franche rigolade, suivie d’une sévère correction».
Fin de citation
La correction restera épistolaire tant que ces gens-là garderont leurs menaces de sabotage anti-révolutionnaire à l'état de ragots de comptoirs de buveurs hallucinés !
Le jour où leurs -éventuels - disciples tenteront d'interdire les assemblées générales et de saboter la représentation des délégués révocables, les masses exploitées sauront leur rappeler le sort qu'auraient subi les milices SA – qui appliquèrent un tel programme - si le stalinisme formois n'était venus jouer le jeu de Moscou.
Quant au fait que , absolument contrairement à tout ce qu'avance le crétin, la LCR a tourné le dos depuis 1995 a toute construction réelle de coordinations, et à la nécessité de moderniser les soviets en généralisant le système de la révocabilité par la construction de la délégation révocable par 25, ce sera l'objet d'un autre texte.
Loin des puanteurs nauséabondes des provocations néo-fascistes.
Provocations de Coupat comme provocations d'Alliot-Marie et de Sarkozy !
Tous les suspects arrêtés ont au moins bac + 5 et un casier judiciaire vierge. Mieux, Julien Coupat, 34 ans, diplômé de l’École supérieure des Sciences économiques et commerciales (Essec) et doctorant en Histoire et civilisation à l’École des Hautes Études en Sciences sociales (EHSS) jusqu’en 1999, a écrit un livre. Il est l’auteur avec Benjamin Rosoux d’un essai néo-situationniste intitulé L’insurrection qui vient, publié en 2007 sous le nom de «Comité invisible» à La Fabrique éditions. Le livre s’est vendu à ce jour à quelque 7000 exemplaires, mais il est également téléchargeable gratuitement sur Internet. Pour les autorités judiciaires comme pour les principaux grands médias cet ouvrage est un dangereux manuel pratique de terrorisme. Il appellerait à la lutte armée, préconiserait les actions de sabotage et donnerait des consignes militantes à tenir face aux forces de police. Pourtant, pour qui sait lire et dispose de trois notions d’histoire littéraire, L’insurrection qui vient est un texte plus métaphorique et littéraire que théorique.
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PS 21:45
après avoir - enfin - réussi à mettre en forme ce texte (le passage de Open Office à Blogspot déraille complètement), je trouve - en allant lire le texte de Marc Cohen - un texte intéressant qui prend Coupat et leurs écrits comme des guignols. Il faut le lire en complément, même si les auteurs ne semblent pas comprendre que Coupat lui-même , tel l'anarchiste de Zola - est un PROVOCATEUR ! (je l'ai téléchargé pour le lire hors connexion)
"Les comparaisons avec Action directe y abondent. Mais la ministre revendique elle-même avoir aiguillonné ses services vers "l'ultragauche", en leur demandant, dès son installation place Beauvau en 2007, de "suivre ce phénomène". Une préoccupation née "il y a quelques années, explique-t-elle au Monde, quand j'ai compris que le PCF s'effondrait et ne remontait pas. Cela a été renforcé chez moi par les manifestations anti-CPE". Mme Alliot-Marie évoque aussi une radicalisation ressentie à l'issue de l'élection présidentielle de 2007. Et affirme avoir eu au début "l'impression d'un certain scepticisme" chez ses interlocuteurs. Un sentiment vite balayé aujourd'hui. "En 1917, ça a commencé comme ça !", s'énerve un collaborateur, en faisant référence à la révolution russe, quand des interrogations sont émises. A la fin de l'été 2007, lors de la réunion hebdomadaire de l'intérieur sur le terrorisme, Mme Alliot-Marie fait donc inscrire l'ultragauche aux côtés de l'islam radical, de l'ETA et de la Corse. A cette même période, le criminologue Alain Bauer pianote un matin, comme son habitude, sur le site internet de la Fnac et Amazon.com en quête des nouveautés en librairie lorsqu'il tombe par hasard sur L'insurrection qui vient (éd. la Fabrique). Le consultant en sécurité y voit la trace d'un "processus intellectuel qui ressemble extraordinairement aux origines d'Action directe" et, sans barguigner, achète d'un coup 40 exemplaires. Il en remettra un en mains propres au directeur général de la police nationale, Frédéric Péchenard, assorti d'une petite note. Rédigé par un "Comité invisible", l'ouvrage est attribué par les policiers à Julien Coupat, qui fait figure de principal accusé dans l'affaire de Tarnac."
Quand je reçois un commentaire constructif comme celui de Stéphane Poussier Soupires, ma première réaction est le contentement. Le contentement – bien plus que le bonheur – doit être le principal mobile des conduites humaines. Il a un lien avec ce que j'ai conceptualisé, il y a quelques temps sous le nom de « productivité historique » : Le fait d'être « content de soi » est un mécanisme fondamental. Il est d'autant plus puissant que l'on se contraint à rester lucide. C'est la raison pour laquelle je prends les critiques et les compliments exactement au même niveau : les uns et les autres sont des appuis extérieurs pour améliorer mon contentement de moi-même : que ce soit en partageant la même conviction, ou que ce soit en m'amenant à rectifier tel ou tel point, telle ou telle analyse. Dans les deux cas, il s'agit d'augmenter notre productivité – scientifique - personnelle pour accélérer l'avènement d'une société égalitariste. Pour répondre à Stéphane Soupires, je vais regrouper les remarques de son commentaire en trois parties : (qui ne respectent pas l'ordre initial : je renvoie le lecteur à son texte originel en commentaire de « Julien Coupat est un raciste ») Soupires a ajouté un nouveau commentaire sur votre message blog "Julien Coupat est un raciste." :
Comment lutter contre la classe formoise,
le racisme,
et les manipulations provocatrices
de ses alliés bourgeois ?
par Yanick Toutain
31 décembre 2008
Appartenance de classe et origine du racisme Provocations fascistes et réactions constructives La formoisie et comment lutter contre elle.
En réponse à Stéphane PoussierSoupires : Bonjour, comme vous avez pu le constater, j'ai fait un commentaire très rapide à l'un des textes de votre blog. Le temps m'était compté et je ne pouvais pas répondre sérieusement dans un si bref délai (de connexion wifi publique) à votre propre commentaire à mon texte « Julien Coupat est un raciste ». Votre texte sur Vercingétorix manifeste une volonté d'unité. Je reviendrai un jour sur celui-ci et les questions que sa stratégie nous pose. Je me contenterai de rappeler au lecteur égalitariste que la défaite de Vercingétorix a abouti à la déportation de plus de UN MILLION de Gaulois, transférés à Rome comme esclaves, pour le bon plaisir de la plèbe et de l'aristocratie – incluant donc les chevaliers bourgeois.
Pour ce qui concerne votre texte sur l'affaire Coupat, voilà mes réponses :
1 Appartenance de classe et origine du racisme
« Salut camarade Yanick, c'est sûr si l'on fait un décompte macabre du nombre de victime que produit le capitalisme, celui-ci est de toute l'histoire le premier des assassins. Je crois comprendre ta colère face au pillage de l'Afrique et à l'indifférence du monde. Mais que ta juste colère n'emporte pas ta raison. Certes le racisme ordinaire te fait enrager, au point que tu oublies je crois que ce racisme là peut-être combattu par l'éducation plus efficacement que par la rage. Les intellos que tu dénonces ne sont que le produit de leur éducation et n'ont certainement pas grandit dans nos quartiers, ni partagés leurs mégots avec quelques terriens cosmopolites. La belle affaire!» (…) « Peux-tu me donner une définition de "formoise"?»
En préambule – j'y reviens infra -, est formois quiconque est salarié et consomme davantage que ce que la Terre permet. Il est formois si, par son salaire, sous le prétexte de sa formation, il peut consommer plus que le PIB moyen mondial (déduit des investissements). Son statut spécial a pour prétexte le fait qu'il possède une formation et que le « respect des qualifications acquises » justifierait un salaire d'exploiteur. La classe formoise est la classe des salariés qualifiés qui vivent et consomment sur le dos des travailleurs exploités de la Terre du Sud. Dans son texte d'hier, « L'existence d'une "bourgeoisie prolétarienne" est selon Engels le principal frein à la révolution anticapitaliste », Julie Amadis nous faisait connaître un texte de Engels qui décrivait ce qu'il appelait « bourgeoisie prolétarienne ». La différence à noter est le fait que les dockers étasuniens du siècle précédent n'appartenaient pas à la formoisie : c'est leur gangstérisme revendicatif qui leur donnait les miettes du pillage colonial, pas leur capital humain ! C'est, là, la différence entre la « bourgeoisie prolétarienne » de Engels et la classe formoise. Cette classe formoise a – normalement – une effective productivité supérieure : ce sont ses gains de productivité – calculé selon les normes bourgeoises - qu'elle s'accapare égoïstement. Elle s'approprie son capital humain comme les capitalistes s'approprient le capital machine. Les esclavagistes, eux, s'appropriaient le corps d'autrui. Ils l'achetaient et le vendaient – après l'avoir capturé ! Le racisme, depuis l'Antiquité, nous apparaît comme une construction intellectuelle basée sur la mauvaise foi. Pour justifier l'utilisation du travail d'autrui, pour que le cerveau des esclavagistes connaisse le repos, il fallait inventer une infériorité justificatrice. Le leader crétin de l'UMP se vante dans Libération de pratiquer la différence entre « les dominants » et « les dominés ». Ce genre d'imbécilité pour khâgneux arrogants ou pour bourricot d'écoles de commerce, les plus intelligents (les moins idiots) d'entre eux, le pratiquent, mais ne s'en vantent plus. Il faut, pour Frédéric Lefèvre qu'il y ait une infériorité intellectuelle chez les soumis, pour que son rôle trouve une justification. Étant incapable de s'élever, il doit, à tout prix, descendre l'autre. Ce que ce crétin ose encore laisser paraître dans Libé, ses ancêtres idéologiques le pratiquaient à grande échelle. Mèlas, mèlaina, le noir était négatif. La mélancolie était la bile noire, la bile mauvaise. Dès l'Antiquité, les convois d'esclaves prélevaient déjà leur criminelle dîme sur nos cousins d'Afrique. Il fallut aux Grecs, aux Romains, inventer le racisme pour justifier l'esclavage. Il fut, certes, nécessaire, chez les Romains, qu'il advint une agression sexuelle (celle de Lucius Parpirus contre le jeune Gaius Publilius) pour mettre fin à l' « esclavage pour dette » – Tite-Live (livre VIII) nous le raconte -, et donc pour mettre fin à la mise en esclavage interne, pour rendre illégal, en 326, l'esclavage endogène, mais, même dans la période antérieure, cette mise en subordination était accompagnée d'une construction intellectuelle justificatrice, une sorte de « racisme interne ». Pour exercer leur droit de cuissage homosexuel (hétérophobe et misogyne), les Romains esclavagistes durent conquérir le centre de l'Italie, puis la Péninsule, puis la Grèce elle-même. Le racisme endogène devint exogène. Guy Bedos (et son alter ego Jean-Loup Dabadie) ont construit plusieurs sketches sur ce constat : le patron paternaliste qui regarde « ses » ouvriers avec la même condescendance que le colonial imbécile. Pour les auditeurs réguliers de « Rire et Chansons », un sketch de l'imposteur Lafesse passait il y a quelques temps : son canular téléphonique consistait à faire croire à un responsable d'agence postale qu'un gang de femmes grosses risquait de rendre une visite à son agence, et qu'il courrait le danger de se faire écraser sous le poids de l'une d'entre elle – prétendument déjà entrée dans l'agence. C'est en s'adressant à cette innocente victime qu'on peut entendre – à répétition – le ton du responsable changer brusquement quand il s'adresse à sa cliente : suspectée d'être la grosse femme gangster, il s'adresse à elle avec toute l'arrogance bourgeoise qu'une éducation pourrie est capable de lui faire tenir. Quand il doit, finalement, s'excuser, on entend le bruit de son racisme antisocial se désagréger peu à peu. Un phénomène similaire de racisme évolutif est visible actuellement dans le corps enseignant. A mesure que les quinquagénaires – embauchés comme auxiliaires en 1974 - ont été rejoints par une horde de crétins perroquets tout juste capables d'apprendre – le temps de l'examen – une masse de connaissance stupides et inutiles, le racisme de l'enseignant moyen a connu une augmentation exponentielle. La pente (de cette croissance) était très faible au départ : beaucoup d'anciens militants n'étaient pas encore assez dégénérés pour pouvoir entendre sans hurler certains propos de salles de profs ou de conseils de classe. Quand les anciens militants commencèrent à « faire construire », à devenir des propriétaires immobiliers et à mettre à la poubelle leur bibliothèques de jeunes trotskystes de 1973 (certains – les grippes-sous - les revendent dans les bouquinistes, on les rachète, et on voit les noms de nos …. ennemis politiques … tellement pingres qu'ils s'auto-dénoncent eux-mêmes : le pire d'entre eux a laissé, ainsi, un Henri Weber « Marxisme et conscience de classe » être enfin lu et servir la révolution … c'est trop drôle !!! Il a oublié d'enlever son nom de magouilleur renégat et … radin !) …. quand ces renégats devinrent des conformistes, le racisme de l'enseignant incompétent commença à envahir les écoles. Au départ, ce n'était qu'un racisme social. Le genre de racisme qui fait qu'une directrice de maternelle tape un enfant et en laisse un autre se faire taper : La directrice Véronique Combret – dont j'attends toujours les conclusions de sa plainte – s'en prend aux enfants des pauvres. « Ceux-là on peut les taper, les parents ne réagiront pas » pensent-ils !!!. Le « on peut les taper », devient, insensiblement, un « il faut les taper », « il n'y a que ça qu'ils comprennent ». A cette étape, on en est encore au stade du racisme social, le « racisme » du patron, le « racisme » du « dominant » , le racisme de Frédéric Lefèvre. Il n'y a pas de construction biologique de l'arrogance : le « ils ne sont pas comme nous » contient encore de l' « humanitarisme » formois. » « Ce n'est pas leur faute », pense le raciste social formois en voie de dégénérescence. Il n'est pas encore parvenu à l'étape « biologisante ». Mais elle sera absolument indispensable. Si les Indiens avaient eu une « âme », il aurait été permis de faire travailler comme esclaves les survivants. Mais la présence d'une « âme » rendit nécessaire le grand triangle maudit et la traite rosière (rosière car « nous somme tous des roses », les corps noirs sont invisibles !!! ) Il fallut donc que la formoisie enseignante, dans sa composante la plus dégénérée, se mette à suivre les traces du crétin Sarkozy. En effet, le cerveau de celui-ci contient suffisamment de neurones pour comprendre que la société est responsable de l'existence de tous les criminels s'il ne parvient pas à ….trouver-inventer un autre facteur. Le facteur Sarkozy, c'est l'hérédité. Les criminels le sont parce que leurs méchants parents leur ont transmis les mauvais gènes, les gènes du bandits.
LES GENES DU BANDIT
Le crétin Sarkozy, dont la culture générale se limite à être une fine couche de cire - quand les humains ont l'épaisseur du parquet pour solidifier leur assises - a des théories personnelles. Il ne s'en vante que dans quelques rares circonstances : son opportunisme - l'opportunisme du crétin imbécile mais rusé – lui commande de se taire aussitôt, tellement le tollé est grand quand il s'aventure à parler librement. « L'emprisonnement à onze ans » préconisé par la sœur du trafiquant d'héroïne Dati – le protégé des juges couchés – part de ce principe. Il faut emprisonner les jeunes pour les mater. Il faut les mater car ce qu'ils font est dicté par leurs gènes. Le racisme social sarkozyste est un racisme génétique, un pur racisme nazi. Il faut une idéologie pareille pour vouloir faire ficher les enfants de maternelle, les enfants de trois ans ! Les capitalistes sont à bout de souffle, leur monde s'écroule, ils ont mené l'Humanité à la catastrophe il leur faut donc des explications. La constructions des faux ennemis islamiques participe du même délire dégénéré. Les islamistes, qui ont été construits par la CIA et les services secrets de toutes les métropoles impérialistes, sont devenus – pour ces gens-là – le résultat prétendu d'une sorte de fatalité religieuse : le fait d'appeler « musulmans » les enfants et petits-enfants de l'Algérie combattante participe du même délire.
LES ENSEIGNANTS RACISTES SONT PROTEGES
Il faut bien qu'ils le soient. Car, sinon, la peste raciste cesserait instantanément : les perroquets bourricots ne sont pas seulement des incapables dénués de motivation pédagogique, ils sont aussi et surtout des lâches. A peine la société commencera à prendre l'habitude de mettre en public, sur Internet, les noms des racistes - comme je l'ai fait pour les brutes et pour ceux qui les soutiennent -, que les racistes raseront les mur. Comme je l'ai fait en publiant, sous mon nom, les identités de la brute Véronique Combret et de ses protecteurs Carole Hervieu et Patrick Deplanque, il faut que toutes les victimes des enseignants racistes aillent, de même, sur Internet, tout raconter. Car la lâcheté des racistes comme celle des brutes, est d'autant plus grande qu'ils ont mauvaise conscience. En effet, la construction du délire raciste – qu'il soit racisme social ou racisme biologique ou encore un mélange des deux (le plus fréquent), est impérativement basé sur la mauvaise conscience. L'enseignant minable accuse toujours ses élèves d'être les responsables de leurs échecs. Ce n'est jamais sa faute. Qu'on vienne lui expliquer que son devoir est – précisément - d'inventer les méthodes qui permettront aux élèves de combler leurs lacunes qu'il proteste : « ce n'est pas sa responsabilité ». Les rencontres d'enseignants CM2 – 6° ont toujours quelque chose de cocasse ! C'est en effet, dans le cadre du racisme anti-jeunes, un poncif que la plainte du prof de collège ayant des classes de sixième : « qu'est-ce qu'on leur a appris l'an dernier ? Le niveau baisse ! etc etc... »
LE NIVEAU BAISSE, C'EST BIOLOGIQUE !
Se retrouvant face aux instits de primaire, le ton change. Ces lâches ne sont pas prêts à assumer un conflit. Ils tentent alors un dérivatif : ce serait, finalement, « la faute des parents ». Comme si le niveau intellectuel et culturel des parents d'élèves de 1950 avait été si extraordinairement élevé qu'il aurait permis aux élèves d'être aidés à la maison. Ces charlatans ont aussi le certificats d'étude comme argument de leur racisme social. Seulement voilà, toutes leurs revendications statistiques sont fausses : seuls les « meilleurs élèves » étaient « présentés au certificat d'études ». En 1976, dans le quartier le plus prolétarien de la ville – au sens romain – une des deux classes de Fin d'études servait à stocker les élèves qui n'allaient PAS être présentés au certificat d'étude. J'y fis un mi-temps de un an : cela commença par la démonstration du directeur Simon de la technique de la règle en fer « untel – le fils du bistrotier voisin – viens-là, montre tes doigts ! » Et l'élève de s'exécuter et de présenter ses cinq doigts serrés en faisceau pour permettre le choc de la règle métallique salvatrice et pédagogique. Car les racistes cognent, les racistes tapent. C'est même ce qui les caractérise. Les coups des flics racistes sarkozystes contre les lycéens sont les coups que leur chef leur demande de donner. Tous ses discours contraires ne sont que poudre de perlimpinpin, que rideaux de fumée : le raciste sarkozyste croit à la génétique et donc à la rédemption par la violence. L'amie de Bollufer-le-squatteur, la bigote Boutin, croit que les SDF refusent ses foyers pourris par génétique. Il ne viendrait pas l'idée, à cette imbécile, de passer – ne serait-ce qu'une nuit – dans ses foyers plein de vermines et de pourriture bourgeoise, pour comprendre. Elle veut exercer une contrainte car le SDF est génétiquement un chômeur devenu incapable de travailler. La mauvaise foi de ces gens-là les conduit à exiger la violence. Car la violence est la technique nécessaire !
VIOLENCE COLONIALISTE, VIOLENCE RACISTE.
Car, le fond de l'affaire, en réalité, c'est l'esclavage africain. Le petit-fils du militant FLN est regardé comme un danger, le petit-fils de Lumumba est regardé comme un fainéant. Un fainéant qu'il faut traiter comme le furent les grévistes de Kienké au Cameroun au printemps 2008 ! Au début du siècle, les racistes belges coupaient les mains des Congolais : la famille régnante de Belgique est une famille de gangsters receleurs de gangsters. Leur richesse est basée sur des crimes mille fois pire que ceux que commirent les sbires de Al Capone ! La richesse de la France coloniale est, elle aussi, basée sur la violence, le crime, le meurtre.
UN JOUR PROCHAIN, DES BANDEROLLES APPARAITRONT DEVANT LES MATERNITES
« ACCEPTEZ-VOUS QU'UN ENFANT SUR DIX MEURE ? »
Car, c'est ce racisme qui est le moteur de la France. Pour que le café soit peu cher, pour que le cacao soit à bas prix,, idem pour l'huile de palme, pour que toutes les ressources agricoles pillées à l'Afrique soit d'un prix modique au consommateur européen, il faut mater les peuples. Et les peuples sont matés par la misère, par le génocide sanitaire. Le racisme français est un génocide sanitaire qui assassine les bébés africains. Les mots racistes, les terminologies ne sont pas des mots, ils sont des armes. Quand Julien Coupat, ce crétin provocateur, parle des enfants des quartiers pauvres de France qui déclenchèrent l'émeute, il parle des cousins des peuples volés, des peuples assassinés, des peuples exploités. Les Camerounais en France, les Ivoiriens en France, les Sénégalais en France, les Maliens , les Burkinabés, les Africains, ont suivi les bateaux, ils ont suivi les richesses volées à leurs pays. Ils ont quitté le camp de travail Sarkozy-Bolloré pour récupérer une partie du butin. C'est cela – le droit au butin, le droit au pillage - que justifie le racisme. Les racistes font croire aux enfants qu'il existerait une fatalité africaine. Que l'armée française quitte ces pays et l'on verra la prétendue fatalité !!! On verra à quelle vitesse une OPEP de l'agriculture imposera des prix basés sur le travail, sur la valeur travail , des prix agricoles basés sur des salaires à 1000 euros !!!
Le racisme est l'avant-garde du crime.
Les troupes racistes – troupes dont Julien Coupat est un des membres – sont des guerriers au service du pillage colonial, au service du crime colonial. Quand le Larousse décrit « trois races » , quand Lévi-Strauss compte les « races », ces gens-là sont des guerriers de l'armée d'en face. Car il s'agit d'une armée. C'est une armée qui a tué plus de 60 personnes en 2004 en Côte d'Ivoire à Abidjan, foule pacifique. vidéo YouTube : Hôtel Ivoire
Cette guerre, lecteurs égalitaristes, vous l'ignorez, vous l'ignorez car le racisme ordinaire des médias français enterre ces infos. Quand Rue89 rapporte des cas de torture au Congo par l'armée française, suivie d'assassinat, toute la presse française cherche à étouffer. L'honorable correspondant de Libération trouve le moyen de minimiser. Que 3 millions de bébés africains soient morts d'assassinat sanitaire en 2005 et que cela se répète année après année, tous les médias français s'en contrefichent ! C'est cela le racisme. Julien Coupat peut-il être rééduqué ? Je ne le pense pas ! Certainement pas avant la victoire de la révolution ! J'ai lu sa prose : ce qu'il écrit des assemblées générales et de la nécessite de les saboter le rapproche à mes yeux des fascistes : fasciste stalinien ou fasciste bourgeois n'est qu'un nuance secondaire. Le fait qu'il décrive des « races » en fait le poisson pilote du colonialisme bourgeois. Lui, comme Noël Mamère, comme Claude Lévi-Strauss, comme Pierre Miquel, comme tous les autres crétins racistes dont le discours criminel est banalisé, je les mettrai, sans relâche, sous le – petit- projecteur de monsyte. La révolution se fera contre ces gens-là, la révolution se fera, la main dans la main de nos cousins africains. Le combat contre tous les poissons pilotes du crime colonialiste passe par-là. Une dernière remarque : le provocateur Coupat n'a pas un seul mot pour l'Afrique ! Vérifiez avec un moteur de recherche : le mot Afrique ne se trouve pas une seule fois dans son texte « L'insurrection qui vient ». (vérification cliquez-la : 1° test2° test 3° test le mot impérialisme s'y trouve... mais pas dans le sens de pillage colonial)
2 Provocations fascistes et réactions constructives
« Faut-il pour autant accepter les lois d'exceptions du pouvoir UMP, ses manipulations terroristes, et laisser croupir en prison ces boucs émissaires? Fussent-ils bourgeois, ségrégationnistes, et crétins comme tu le soulignes. Après eux c'est nous qui irons au cachot. Je crois que Coupat est plus con, inculte que raciste, et qu'il n'a pas encore capté que sur notre planète n'existe qu'une seule race d'homo-sapiens. Il confond race et origine ethnique, cela ne peut pas faire de lui un membre du KKK. »
Le premier d'entre eux, sur l'affaire Vaillant, mettait en exergue les manœuvres dont est capable la bourgeoisie, les provocations qu'elle sait construire pour imposer son règne. Le lecteur minutieux pourra aussi aller lire les textes sur l'Afghanistan (Afghanistan comme 14 18 et MOURIR POUR KABOUL OU MOURIR POUR LES MILLIARDAIRES ? )et la thèse que je défends – identique à celle concernant septembre 2001 et l'Irak : Pour la bourgeoisie, il est urgent de fabriquer un faux ennemi Elle a tenté, en Afghanistan, de fabriquer des terroristes islamistes et son projet a échoué. Elle tente maintenant d'imposer à Karzaï de négocier avec les talibans. Les partisans de Ben Laden en sont à geindre de l'incapacité qui fut la leur à construire une mobilisation de masse. Les impérialistes s'en attristent, de même ! Il leur faut maintenant, d'urgence, construire un nouveau « faux ennemi ».
L'opération Coupat participe de cette stratégie.
Si nous devons dénoncer le fait que les lois utilisées contre Coupat sont - in fine – destinées à être utilisées contre nous - les révolutionnaires anticapitalistes -, néanmoins, il est hors de question de réclamer la libération de Coupat. Je ne réclame pas la libération d'un lepéniste ni d'un universitaire raciste : que la bourgeoisie lave son linge sale en famille. Lénine scandalisait en refusant de prendre parti entre les belligérants de 1914. Il faut continuer ainsi. Y compris dans les guerres entre la classe formoise et la classe bourgeoise, il est hors de question de choisir une exploitation contre une autre. Il était plus respirable pour un vrai révolutionnaire de vivre près de centre bourgeois étasunien bourgeois que près du centre formois russe. De même, actuellement, la violence, la censure, les pressions, les manoeuvres exercées par les partis formois sont, pour les égalitaristes, plus violentes que celles exercées par la bourgeoisie. La censure du site de la LCR est la pire de tout Internet concernant la défense des idées égalitaristes. (Leur militant « CSP », sur son blog éponyme, relève l'honneur perdu, déchiré de ce groupe dégénéré). Quant à leurs réunions publiques, j'ai renoncé depuis des années à tenter de m'y exprimer. Quant au déroulement de l'affaire Coupat, il y a, de plus, une composante de la provocation qu'il ne faut pas oublier : l'attitude de toute la bande, après la libération des premiers laisse à supposer qu'ils auraient EFFECTIVMENT pratiqué des sabotages : quand ces imbéciles libérés répètent comme des perroquets : « il n'y a pas de preuves », ces crétins s'imaginent être convainquant ! Pour ma part, je le traduit par : «à tort ou à raison, les comparses de Coupat pensent qu'il a effectivement saboté les lignes mais que les flics n'en ont pas les preuves » La belle ligne politique que voilà ! Des - prétendus – actes politiques qu'il ne faut pas avouer, qu'il ne faut pas revendiquer. Comme si, en Juillet 17, Lénine et Trotsky avaient donné comme consigne à leurs camarades : « Niez votre réclamation de tout le pouvoir aux Soviets » Quels crétins ! Les vrais révolutionnaires, qui ont étudié la révolution russe, ont lu Trotsky nous racontant comment le dimanche précédent la révolution, une gigantesque kermesse populaire eut lieu dans les rues de Pétrograd, avec des centaines de lieux de discours, de débats. Les ouvriers « endimanchés » revendiquaient haut et fort la révolution qui allait avoir lieu. Nous donnerons le pouvoir aux soviets, nous instituerons la démocratie par la suppression des élections et la mise en place de la délégation par 25. Ce n'est pas un secret de polichinelle, c'est dit haut et fort ! Il n'y a pas de sabotage de caténaire! Il ne s'agit pas de gourou rouennais se faisant mousser devant des dévots esbaudis, il ne s'agit pas d'épiciers prétentieux qui jouent leurs petits établis – dans un fief de résistants staliniens -, il ne s'agit pas d'un complot secret ! Il s'agit d'une révolution mondiale de masse, à l'échelle planétaire. Il n'y a pas de complot secret ! Il s'agit de déchirer la totalité des actions des capitalistes ! Ils sont prévenus ! Mettre des bombes ? Pour quelle délire minoritaire ? Pour draguer quelle fille imbécile et admirative ? Il s'agit d'instaurer le salaire unique mondial ! Saboter des lignes pour des déchets nucléaires ? Pauvres crétins qui se la jouent terroristes du dimanche ! Il s'agit de préparer TROIS révolutions sociales ! DEUX révolutions intellectuelles – scientifique et philosophique ! Et UNE révolution civilisationnelle (post lutte des classes, par la victoire et le leadership définitif de la strate des innovants) 6 REVOLUTIONS !!! Quel secret serait possible pour un tel projet ? Et ces voyages délirants ? Il est vrai que le crétin Coupat n'a strictement rien compris à la catastrophe climatique !!! Alors, ces gens voyagent, émettent du carbone à profusion ! Ils multiplient les déplacements ! Quand Internet existe !!! Il est vrai que ces crétins sont CONTRE Internet ! Il y a de quoi effaroucher les autres crétins que sont les fascisto-cagoulés qui travaillent pour l'exploitation rationnelle de l'Afrique à coup de snipers et de complots génocidaires ! Notre bombe, elle est intellectuelle : Marx avait des missiles conceptuels : Le nôtre, le principal missile qui va éclater à la face ahurie de la bourgeoisie, c'est l'explosion de l'EINSTEIN-LE-CRETIN. Cette explosion-là, certains – peu nombreux- , dans les rangs de la bourgeoisie, commencent à l'entrevoir comme réaliste – même s'ils en sous-estiment totalement les conséquences. Mais ce ne sont que des isolés intelligents dans un vaste océan de crétinisme : il suffit de lire Le Figaro et son chroniqueur scientifique (à deux balles) , le crétin Jean Luc Nothias, pour voir dans quel marécage de bêtise crasse la bourgeoisie en est encore à se vautrer. De cette bombe intellectuelle, des Alliot-Marie sont devenus cérébralement totalement incapables d'en mesurer les conséquences... mais aussi, même, d'en comprendre la réalité. Ils sont tellement idiots, ils ont tellement vécu longtemps de cette imposture qu'ils sont comme les prêtres et les nobles de 1787, incapables de comprendre que le newtonisme allait sonner la fin de la récré et que la gravitation universelle allait faire tomber les têtes des crétins qui allaient tenter de se positionner sur son passage. Ils n'ont toujours pas compris que Voltaire et sa maitresse furent les véritables préparateurs de la révolution de 1789 : Gabrielle en traduisantNewton et Jean-Marie en écrivant deux livres pour défendre le newtonisme ! Qu'une bande de petits crétins aillent chez Guingouin se la jouer résistants nous indiffère totalement. Qu'ils parcourent la planète en faisant « mine » de jouer aux grands rebelles, idem, on s'en contrefiche ! Mais que la bourgeoisie se mette à leur donner un haut-parleur médiatique en les réprimant (en les admonestant) avec brutalité simulée, puis en les privant du repas de Noël familial, là, nous devons réagir : Sur deux front : celui des libertés publiques tout d'abord. Nous refusons l'extension proto-fasciste de la terminologie « terroriste » qui demain viendra s'appliquer à quiconque refuse l'exploitation et le capitalisme. Nous refusons ces incriminations, mais SANS réclamer la libération du provocateur raciste Coupat (qui a – peut-être – saboté des lignes !) Le deuxième point, le plus important,- le haut parleur médiatique donné à leurs thèses - consiste à démasquer le crétinisme de la bande Coupat.
LES SOVIETS PAR LA DELEGATION REVOCABLE ! LE REFUS DES SABOTEURS
Il y a un autre point qui mérite d'être éclairci, celui de la démocratie des mouvements étudiants (et lycéens) En effet, depuis 1995, la LCR a tourné totalement le dos au projet de construire des coordinations nationales basées sur la démocratie absolue. Elle a renoncé à construire un gouvernement soviétique basé sur ces coordinations révocables. Elle sabote donc les mobilisations par la droite. Mais on assiste, depuis le mouvement anti-CPE à une deuxième sabotage. Un sabotage qui viendrait d'une prétendue « gauche » du mouvement. Une prétendue gauche à laquelle appartiennent, aussi, les charlatans formois de l'imposture anarchiste (ils sont tous CONTRE le salaire unique mondial : LCR = CNT, même formois, même combat) Ce qu'il faudrait clarifier, c'est le lien qui existe entre le sabotage des représentations démocratiques qui ont eu lieu – en particulier à Rouen en 2006 – et les thèses anti-démocratiques présentées par Coupat dans son « L'insurrection qui vient » S'il s'avère que la magouille de pseudo-coordination étudiante qui est apparue a Rouen en 2006 serait l'œuvre de proches (des thèses) du « groupe Coupat », on assisterait là un développement qualitatif fondamental : un groupe qui refuse la démocratie des mobilisations ET qui les sabote est un groupe fasciste. Les staliniens firent quelques brèves tentatives de ce style dans les années 70 mais leurs gros bras furent calmés par la direction après juin 1973. Il faudrait que des participants de ces mobilisations nous expliquent comment la « ligne Coupat » fut appliquée à Rouen et ailleurs pour que la caractérisation politique de ce groupe puisse être affinée.
3) Comment lutter contre la formoisie ?
En tout cas merci pour ton éclairage et ton analyse politique, sociologique et humaniste. (…) Bien fraternellement.Stéphane (lire aussi le texte Vercingétorix)
Il est sympathique de votre part d'écrire cela, mais pour ce qui concerne le souci d'unité que vous manifestez sur votre blog -le texte Vercingétorix -, je vous engage à étudier la totalité des textes dans lesquels j'ai caractérisé la classe formoise. L'unité ne pourra pas se construire sur des bases de classe. Et la formoisie, dans chacune des mobilisation trahit les pauvres de façon éhontée. A quoi sert de crier « unité » quand les infirmières se sont mises à trahir les aide-soignantes, au début des années 90 ? A quoi sert de crier « unité contre le CPE » quand les étudiants ont trahi les familles pauvres et ont abandonné le combat dès que le gouvernement a retiré les seules mesures qui concernaient les classes moyennes ? A quoi sert de crier « unité » quand les « communistes » staliniens et les crapules social-démocrates participent au pillage de l'Afrique : tous sont corrompus ! A quoi sert de crier « unité » quand il s'agit pour la moyenne formoisie d'obtenir 1500 euros par mois, avec le clown Besancenot, quand ses camarades se contrefichent comme de l'an 40 (de l'an 52 ?) du fait que les assistants pédagogiques étaient payés 534 euros par mois pour plus de 18 heures de cours avec les élèves ? Quand les RMIstes ont un salaire de misère, quand les SDF crèvent ? A quoi sert d'exiger un salaire de 1500 euros qui provient de l'exploitation de l'Afrique ? A quoi sert d'exiger d'augmenter des privilèges quand le PIB mondial peut à peine distribuer 1000 euros par Terrien ? A quoi sert de mourir sur une barricade quand la crapule diplômée va empocher son gros salaire, dès la fin de la révolution ? La production – en 1993 – du concept de « formoisie » est aussi la réponse au « plus jamais ça » concernant le stalinisme. Dès janvier 1922, les spetz, les spécialistes, les ingénieurs russes commençaient à faire grossir leurs salaires et dépassaient le niveau des ouvriers. La répression, par Lénine et Trotsky, de l'Opposition ouvrière se révélait être pire qu'un grave erreur, elle se révélait être un crime politique : le premier pas vers le stalinisme. La NEP fut un choix de crétin fait par Lénine et Trotsky ! Une concession imbécile à la formoisie ! Nous – égalitaristes – devons, dès à présent, creuser un fossé entre les crapules formoises exploiteuses et le camp révolutionnaire, entre les trafiquants de drogue et leurs protecteurs, entre les crapules des FARC (et leurs protecteurs tel le Toussaint LCR qui préconise l'exécution des déserteurs sur le site celeonet de la LCR) et nous. Nous devons faire comme Trotsky : dès 1905, il avait compris que la bourgeoisie allait être contre-révolutionnaire. Cela se produisit en 1917. Nous devons savoir que le NPA-LCR, défenseur de la formoisie exploiteuse est – déjà – un parti de l'exploitation formoise. Ces gens feront tout ce qu'ils pourront pour préserver l'ordre capitaliste, tant qu'ils pourront le protéger. Et ces gens-là, dès la victoire, travailleront à un nouveau Thermidor pour rétablir et augmenter leurs privilèges salariaux. La révolution se fera sur un mot d'ordre UNITAIRE.... mais ce mot d'ordre unitaire le sera à l'échelle planétaire, ce sera la revendication de
1000 EUROS PAR MOIS POUR CHAQUE TERRIEN
Merci de la participation aux débats Meilleures salutations égalitaristes PS : puisque vous faites de la pub pour bellaciao et indymédia, profitez-en pour leurs demander pourquoi ces crapules néo-staliniennes effacent régulièrement mes textes. En particulier les derniers que j'ai postés sur Bellaciao concertant les Farc, Rouillan et même le texte sur Marx et la crise.