vendredi 13 novembre 2009

Les aventures de Rodbad le Cruel, Fairetintin l'Ours, Kron le Préhistorien et Gareoo le Gorille. 7

Le monstre Rintintin et l'ours Fairetintin

Il faut noter que ce procédé magique sera utilisé par un jeune catholique néo-nazi. Mais bien plus tard.
Mais il eut le culot de simplement ÔTER le préfixe « RIN » du nom de ce chien monstrueux. Mais son but était de qualifier un nouveau héros qui serait, lui aussi, capable de résister aux entreprises de ce protestantiste impérialisme étasunien. Mais au service de la bigoterie antisémite du Vatican et du colonialisme criminel des rois de Belgique, ces oppresseurs criminels et coupeurs de mains des Africains. Ce Tintin avait eu comme fonction première de discréditer les efforts du peuple russe pour se débarrasser du capitalisme, puis de discréditer les efforts du peuple Africain pour mettre fin à la pratique belge de couper les mains de ses travailleurs. Les ouvrages « Tintin au pays des Soviets » et « Tintin au Congo » avaient eu pour fonction de construire un nuage de fumée destiné à enfumer les consciences pendant l'invasion de l'URSS par Hitler et pendant l'assassinat de Patrice Lumumba et de tous les héros de ce -martyr- Congo Belge.
Le parasitisme, le plagiat, l'atteinte aux droits d'auteur - par ce valet de l'impérialisme belge qu'était ce jeune Rémi Georges – ne furent jamais sanctionnés.
Et, d'ailleurs, à la Libération, son patrimoine – propagande raciste nazie – ne fut même pas confisqué.

Le sorcier Indien n'avait aucun scrupule à avoir : son FAIRETINTIN allait faire trembler les murailles médiatiques du crime étasunien.
Il avait trouvé le moyen de mettre hors d'état de nuire ce chien fasciste et colonialiste qu'était le monstre « Rintintin ».
C'est cet ours, ce sympathique ours FAIRETINTIN que la scénariste Claire Ligne avait pris la décision de voler à l'Indien pour en faire le second protagoniste des aventures de Gareoo le Gorille.
Ce Fairetintin allait être – de facto – le protecteur des juges en robe. Il allait être l'arme providentielle pour empêcher l'acte fatal, la consommation du pêché de chair.

Mais ce seront les épisodes suivants – cher lecteur – qui mettront en scène Gareoo le gorille, son adversaire Fairetintin l'ours – le protecteur des juges menacés. Nous verrons aussi apparaître le véritable méchant de cette histoire passionnante digne de Victor Oltaire : Rodbad le vautour. Rodbad la hyène, Rodbad l'innovois qui se repait des cadavres de ses victimes.
Ainsi que Kron, l'homme préhistorique, qui aura passé plus de 100 000 ans dans les glaces et qui nous reviendra marchant – en demi-somnambule – en psalmodiant son invention « 29 ! » , « 29 ! ».
Ce nombre « 29 » que la bande de voleurs du tribunal de Toulouse aura tenté de lui confisquer. A lui, Kron, le véritable auteur – 100 000 ans plus tôt – de ce nombre « 29 ».
Parviendra-t-il à reprendre son bien ?
Deviendra-t-il l'allié de Gareoo le Gorille dans sa lutte acharnée contre les juges de Toulouse ?
Et que fera Fairetintin l'ours face à une situation aussi inédite ?
Y aura-t-il un nouveau deus ex machina, un gendarme à la retraite, dont les combats précédents mirent en lumière pire que des délits – des crimes dans cette région toulousaine ?
Vous le saurez....
… Mais il vous faudra attendre une semaine de plus ….




NOTES : Rintintin : 1923 Tintin 1929 . Fairetintin : 2009

Les officiers européens exigeaient la preuve que les balles étaient utilisées pour abattre quelqu'un, et non pour chasser ou pour préparer une mutinerie. Cette preuve, c'était une main, coupée au cadavre. Ce qui explique certaines mains coupées à des indigènes vivants, pour justifier une balle en réalité utilisée à chasser. Léopold, accusé, répondait avec mépris : ''Les mains coupées, mais c'est idiot !. Je leur couperais bien tout le reste, mais pas les mains. C'est la seule chose dont j'ai besoin au Congo ! ''


« Pour faire du caoutchouc, il faudra couper des mains, des nez et des oreilles. »
Charles Lemaire, Belgique et Congo, cité par Daniel Vangroewe, Du sang sur les lianes, p.46.



Les aventures de Rodbad le Cruel, Fairetintin l'Ours, Kron le Préhistorien et Gareoo le Gorille. 6








« Va-z-y Rintintin ! »

Était le cri de guerre des membres de cette Armée d'Invasion. Ils n'hésitaient pas à embrigader des mineurs dans les rangs de ces barbares envahisseurs. Le jeune Rusty était l'un de ces criminels de guerre. Un enfant-soldat dont les crimes durent enjolivés par la société Walt Disney.
Et la tribu du sorcier évoqué au-dessus avait, enfin, réussi à invoquer les esprits pour pouvoir créer un adversaire à la hauteur de ce « Rintintin » de malheur.
Ceux des Français qui ont connu la débâcle de 40 et l'occupation nazie savent quelle terreur peuvent répandre ces « bergers allemands ».

Ces chiens cruels aux morsures définitives sont des armes de terreur massive qui ne peuvent être utilisées que par des tribus et des groupes ayant définitivement quitté les rangs de l'humanité gentille.
L'ours FAIRETINTIN était la réponse que les esprits avaient communiqué à notre sorcier. Et cela dans le but de protéger sa tribu agressée par ce monstre « RINTINTIN ».


source image

Les aventures de Rodbad le Cruel, Fairetintin l'Ours, Kron le Préhistorien et Gareoo le Gorille. 5

L'ours Fairetintin et les Indiens

Mon ours, je vais l'appeler « FAIRETINTIN » et nos ennemis seront privés de leur victoire.
Ce qu'il ne cria pas c'est la raison pour laquelle il avait vu une intervention divine dans ce que nous considérerions – nous en 2009 – comme un acte absurde et substitutiste à une consultation – payante – du site de l'INPI, l'Institut National pour la Propriété Industrielle.
En effet, sa tribu ( cheyenne ? apache ? comanche ?) était, en ces temps reculés, littéralement persécutées par les barbares du Fort voisin.
Pour nos jeunes lecteurs,donnons quelques précisions.
Autrefois, il y a plus de 15 000 ans, certains de nos cousins-ancêtres franchirent le détroit de Behring et vinrent s'installer dans un territoire libre d'occupants humains. Un territoire qui prendra, bien plus tard, le nom d'Amérique.
Ces habitants étaient tranquilles quand les guerres et le chômage capitaliste et féodal poussèrent la lie de l'Europe, sa pourriture criminelle, michetonne et prostituée dans des bateaux qui franchirent l'Atlantique.
Ces pillards entamèrent alors le génocide des Indiens.
Dans cette stratégie criminelle, il y avait des étapes.

Déguiser des bandes armées sous des costumes bleus et des appellations de fantaisie « Armée des États Unis » et autres fariboles pour endormir leur victimes étaient technique courante.
Enfoncer des bouts de bois en carré et appeler cela « Camp de l'Armée des États-Unis » était l'étape suivante.
Il ne restait plus qu'à lancer des animaux cynophiles sur ces malheureux Indiens pour les terroriser. Et le tour était joué :

Les aventures de Rodbad le Cruel, Fairetintin l'Ours, Kron le Préhistorien et Gareoo le Gorille. 4

Claire Ligne et Fairetintin

Cet ours, il faut bien le dire, ce n'est pas elle qui l'avait inventé.
Elle en avait lu les aventures dans les mémoires d'un sorcier indien. Était-ce un Cheyenne ? Était-ce un Apache ?
Il faudra attendre que Google ait fini de scanner la totalité des oeuvres imprimées pour que la deuxième étape puisse mettre en lumière nos sources. Il faudra, en effet, attendre que les peaux de bison, de daim, que les papyrus et autres supports des traces écrites du patrimoine de l'humanité aient été scannées, pour que les mémoires de cet anonyme sorcier indien – mises en lumière – nous permettent de reconstituer ses oeuvres... et donc la liste des pillards, des parasites, des contrefacteurs qui y puisèrent la source de leur prétendue inspiration.
Ce que nous savons, en revanche, c'est la méthode étrange qu'utilisa le créateur de FAIRETINTIN l'ours pour choisir le nom de son personnage :
Ce sorcier prit le Larousse 1980. Il ouvrit une page au hasard. Tomba sur la page 965. Il ferma les yeux. Posa son doigt sur le deuxième tiers de la troisième colonne. Il ouvrit les yeux et lu : « Faire tintin : Être privé de quelque chose ! »
Il poussa un cri de joie !
Les dieux – et le Grand Manitou – sont avec moi.

Les aventures de Rodbad le Cruel, Fairetintin l'Ours, Kron le Préhistorien et Gareoo le Gorille. 3

L'OURS FAIRETINTIN, Moscou et le Vatican.

Le frère ainé de Brassens Georges – tout le monde l'a oublié – était marié. Il s'était marié avec une charmante demoiselle, une certain Claire Ligne.
Les dégénérés qui hantent maintenant les soirées barbares de l'innovoisie verraient – s'il leur venait l'idée saugrenue de lire ce texte – une allusion cocaïnomane au nom de famille de cette dame. Quelle erreur. Tout en elle n'était que clarté. Pureté. Aucun détail pour assombrir sa personnalité. Cette Claire Ligne, l'épouse de notre Crawlens Georges était un parangon de vertu.
Elle était scénariste de son mari.
Et, tout en comprenant certains des mobiles circonstancielles du gorille Gareoo, pour autant, elle ne pouvait admettre que l'acte dont le public pris connaissance par la chanson de son beau-frère fut consommer jusqu'au bout.
Il fallait absolument, dans une BD surveillée conjointement par les lorgnettes de Moscou et du Vatican et soumis – ipso facto – aux lois de 1949 sur les publications pour la jeunesse, qu'un deus ex machina vint interrompre l'émission finale et mettre un terme à cette luxure scandaleuse. Digne des passages de la Bible de Gomorrhe.
Claire Ligne fit donc intervenir l'ours FAIRETINTIN.

Les aventures de Rodbad le Cruel, Fairetintin l'Ours, Kron le Préhistorien et Gareoo le Gorille. 2

LE VOL DE Gareoo LE GORILLE

Et ce sont donc des aventures musicales – et donc déposées dans la maison SACEM, un organisme qui eut la judicieuse idée de collaborer avec les forces d'occupation nazies en interrompant le paiement des droits des ayants-droit de confession judaïque. Ce qui n'était que justice : Premièrement, étant sur le point d'être déportés en camps d'extermination, à quoi bon leur verser de l'argent dont ils n'allaient pas avoir usage. Et deuxièmement, - et l'ancien secrétaire SACEM untel utilise a bon droit cet argument - pour quelle raison payer des auteurs de religion juive des droits d'auteurs pour leurs chansons quand précisément leurs chansons ne sont plus écoutées par personne ! Et la preuve en est simple : les dirigeants SACEM actuels sont en mesure de présenter un nombre considérable de témoins qui témoigneraient de ce que la plupart des oeuvres écrites par les zélotes de la Torah n'étaient plus exécutées publiquement entre 1941 et 1944 ! Les seuls à être exécutés étaient ceux qui avaient fait un autre choix que celui de la SACEM !
C'est donc cet organisme qui prélève les droits de la chanson « Gareoo le Gorille », un simple parasitage de la BD « Gareoo le Gorille ».
Naturellement, ce frère cadet indélicat maquilla son « parasitage » ! Il commença par enlever le déterminant-article « le ». Le titre de la chanson devint « Gareoo Gorille ». Mais cela ne suffit point et l'entreprise de démolition et de maquillage aboutit à un dépôt SACEM « Gare au Gorille ! ».
Il était certes louable de mener un combat acharné contre la peine de mort. Surtout en cette année 1952. Mais s'il fallait pour cela menacer d'agression physique un fonctionnaire de tribunal, pour autant – et la C. Cass XXX – nous le rappelle récemment, ce n'était pas pour autant la peine de commettre à l'intention de son frère ainé un délit correctionnel de parasitisme, de duplication dolosive, de contrefaçon et d'atteinte aggravée à la propriété industrielle.
Seulement voilà, les aventures de Gareoo le Gorille – dans leur naufrage médiatique – avaient aussi entrainé la disparition des autres personnages de cette BD au graphisme extraordinaire.
Ce sera l'objet du texte suivant de cette chronique magique.

Les aventures de Rodbad le Cruel, Fairetintin l'Ours, Kron le Préhistorien et Gareoo le Gorille. 1.

CRAWLENS GEORGES

Brassens Georges avait un frère ainé. Il s'appelait Crawlens Georges.
Ce Crawlens Georges – que l'Histoire a oublié – exerçait un métier quelque peu maudit en cette époque reculée. Excommunication, enterrement hors des cimetières chrétiens, persécutions régulières de la part de leurs bourreaux au moindre retard. Crawlens Georges était dessinateur de bandes dessinées.
Et leurs bourreaux, de vulgaires commerçants appelés « éditeurs ». Cela se passait en des temps reculés avant que le Saint-Georges de la profession, notre saint René, ne parvint à vaincre – au moins provisoirement - le Dragon-Edition.
Crawlens Georges fut renvoyé dans les ténèbres de la mémoire collective pour un autre mobile : il était le dessinateur – le créateur – du gorille Gareoo !
Ce gorille, dans des aventures toutes plus passionnantes les unes que les autres cherchait son plaisir auprès d'une profession très particulière. Une profession étrange ayant pris l'habitude saugrenue de se déguiser en noir et dans des tenues que les préjugés de cette époque reculée considérait comme l'apanage des membres du sexe opposé : en un mot, le gorille Gareoo se précipitait sur tout professionnel vêtu d'une robe noire, dans l'exercice de sa profession : les juges.
Mais vous n'aurez jamais l'occasion de lire les aventures de Gareoo le gorille. En effet, son frère cadet, pour des mobiles inavouables, détruisit toutes les preuves de son forfait : Brassens Georges a brulé toutes les planches des aventures de Gareoo le gorille.
Et cela, pour masquer son pillage !
Que dis-je ?
Sa contrefaçon .
Pire encore : son parasitisme de l'œuvre de Crawlens Georges.
Brassens Georges était un parasite que les juges actuels condamneraient sans hésitation ! (sans hésitation car, dès qu'un des « jupé de noir » hésite, il subit une remontrance grave de l'étage du dessus, et l' « appel » qu'il se prend entre les oreilles de la part de la « Cour » a vite fait de lui remettre les idées en place.)
Mais ces juges vaillants et courageux n'existaient pas à l'époque et Brassens Georges pilla et parasita son aîné Crawlens Georges.
Et il lui vola Gareoo le Gorille.

Sur Rue89 : Le vrai libéralisme est opposé au capitalisme . Une réponse à Padiran

Dans ce même débat sur le libéralisme, je poste une réponse à Padiran


"Le libéralisme demande de bien vouloir, éventuellement, si possible et sans contrainte de participer à l'économie réelle d'un pays et c'est là que le bât blesse. " Le libéralisme, c'est la loi du marché appliquée aux OBJETS et aux MACHINES matérielles. Vous confondez "libéralisme" et "capitalisme". Je suis LIBERAL et ANTICAPITALISTE ! Partisan de la fermeture immédiate des BOURSES ET DES BANQUES. JE suis libéral et préconise la mise aux enchères annuelles de TOUS les logements disponibles. La fin de la propriété immobilière qui empêche l'existence d'un véritable MARCHE de la location. Et tous les cioyens de la Terre, utilisant la fraction souhaitée de leur salaire égal de 1000 euros par mois seront acteurs d'une véritable concurrence entre tous les logments disponibles à la location. Ce sont les capitalistes - rois de la subvention, ennemis de la libre circulation de la main d'oeuvre, esclavagistes en Afrique tel Bolloré - qui OSENT de prétendre libéraux quand ils ne sont que vautours bourgeois ennemis de la concurrence libérale !
=

Lire aussi

Sur Rue89-Eco89, je suis Libéral-Egalitariste ! Une réponse à Pascal Riché et RégisL

Pascal Riché fait état d'un vaste questionnaire adressé à des économistes.

Dans la tête des économistes français : des idées de gauche

"Au départ, c'est une bonne idée, empruntée outre-atlantique : sonder les économistes français pour déterminer quels sont les sujets qui, entre eux, font l'objet d'un consensus, et quels sont ceux qui les divisent.

Deux professeurs de Sciences Po, Etienne Wasmer (blogueur occasionnel sur Eco89) et Thierry Mayer se sont donc attelés à rédiger un questionnaire détaillé : les économistes sont invités à donner leur degré d'adhésion (de « tout à fait en désaccord » à « tout à fait d'accord ») à 82 affirmations. Eco89 est partenaire de l'opération".



Seulement voilà, l'aveuglement idéologique des "sondeurs" enferme le débat dans les limites de l'idéologie formoise. Et ne répond donc pas à la véritable problèmatique qui résoudra la crise économique mondiale.
Je réponds donc à Pascal Riché ainsi qu'à RégisL qui écrit

De RegisL

Inge | 22H55 | 12/11/2009 | Permalien

Que des communistes en France !
Ce n'est pas pour rien qu'ici le mot "libéralisme" est une insulte.


=
Bonjour
Je crois que vos préjugés vous aveuglent.
Je traçais, en pensée, les grandes lignes de l'article que je prévoyais en réponse à celui de Pascal Riché.
Votre réaction m'amène à vous le dédier.
"communisme" ! ???
Votre pensée aurait un fond de vérité historique et de logique économique si vous remplacez "communiste" par "formois".

"46% (contre 39%) pensent que « l'Etat devrait nationaliser tout ou partie du secteur bancaire français afin de garantir la stabilité du secteur en France »."

Pour développer un pareil souhait, il faut avoir l'intention de structurer l'économie de telle façon qu'elle permette à la classe sociale des diplômés, à la bourgeoisie des diplômes de pouvoir exploiter les sans-diplômes.

En effet, et Pascal Riché ne relève pas ce point : entre la banque capitaliste (mâtinée de subventions étatiques) et la planification bureaucratique stalinienne, il existe une TROISIEME VOIE.
Une voie non capitaliste.
RENDRE L'INVESTISSEMENT AU CITOYEN
La création de l'agriculture a - au néolithique - progressivement écarté chaque travailleur du choix d'investissement. Cela consistait, à l'époque, à diviser le temps entre le temps consacré à la production directe - consommable - et le temps consacré à la production d'outils (investissement machine) ou consacré à l'apprentissage (investissment "talent" cf Adam Smith)
Pour en finir avec cette PREHISTOIRE, je préconise de rendre 300 euros par mois à chaque citoyen.
Il pourra les investir où bon lui semble.
Sans dividende, sans profit.
Dans des secteurs où sa consommation personnelle n'entrainerait pas l'accusation d'abus de biens sociaux.

JE SUIS UN LIBERAL EGALITARISTE.

La société que je préconise distribuuera 1000 euros à chaque Terrien qui - en rendant des comptes à la société par son blog web - travaillera librement.
Dans le domaine - principalement - de l'innovation.
Une société où la strate des innovants a pris le leadership craint le FASCISME INNOVOIS, elle craint le FASCISME HADOPI.
Et a sorti l'immatériel du secteur marchand.
Comme elle aura sorti le travail du marché.

Seuls les biens de consommation et les services directs seront marchandisés.

Et la question posée par les "deux professeurs de Sciences Po, Etienne Wasmer (blogueur occasionnel sur Eco89) et Thierry Mayer" ne fait que révélé leurs limitations intellectuelles, des limitations de classe, des limitations purement idéologiques.
Les réponses
==
"Détail qui ne surprendra pas, les maîtres de conférence, chargés de recherche et professeurs du secondaire sont bien moins favorables au marché et à sa main invisible que les professeurs d'université et directeurs de recherche.

Ces derniers, par exemple, sont majoritairement défavorables la nationalisation des banques (56%), à la différence des premiers (seulement 29% y sont hostiles). Comme souvent, les convictions des économistes sont aussi liées à leur position sociale."
==
.. révèlent ces appartenances de classes et de couches.
Les professeurs de la très haute formoisie sont complices avec la classe bourgeoise comme les très bourgeois du 18° siècle étaient complices avec la classe féodale : investisseurs de la Ferme Générale et de la Traite Esclavagiste.
Les hauts formois que sont les "maitres de conf" et les profs certifiés et agrégés eux, en sont encore à rêver à un "stalinisme light" qui leur accorderait des salaires conformes à ce qu'ils estiment correspondre à la valeur "objective" du fructus de leur "capital humain".

En conclusion, RegisL passe à côté du véritable débat : mes ennemis sont Georges Bush (et Obama) et Olivier Besancenot (et tous les stals et Mélenchon colonialistes).
Je suis un égalitariste libéral qui exige que tous les politiciens - même délégués révocables - n'aient DEFINITIVEMENT plus AUCUN accès à la clé du COFFRE.

C'est LE citoyen qui doit investir : ni les Bourses, ni les Banques, ni les actionnaires, ni les bureaucratie Besancenot !!!

=

jeudi 12 novembre 2009

En soutien à Bob Garcia (contre Nick Rodwell et toutes les bureaucraties fascistes innovoises) ... avec une réponse de Bob Garcia...


=
En soutien à Bob Garcia, je viens de (réussir à) poster plusieurs messages sur son blog. (après lecture du dossier sur Rue89) .Il est en butte à Nick Rodwell, un bureaucrate innovois qui est la préfiguration de l'ennemi que nous aurons à combattre politiquement. Je renvoie le lecteur sur les liens donnant les détails des maneuvres de cette bureaucratie vautour innovoise qui prépare un nouveau fascisme. Après Tintin 1942, on a maintenant Rodwell 2009 !
=
Yanick Toutain a dit…

Je vous ai déposé ce message le 2 novembre. Mais votre blog (bug ?) refusait mes messages.
10 jours plus tard, le voici.
===
(écrit le 2/11/2009)
Bonjour.
Lecteur hebdomadaire de Pilote en 1962, je lisais les albums de Tintin (de mes cousins) chez mon oncle Roger.
C'était la principale chose qui m'intéressait dans cette visite chez des cousins plus âgés tout le temps absents. Ma tante avait la gentillesse d'aller les chercher pour "meubler" ma visite ennuyeuse.
J'ai grandi depuis. Et j'ai compris que le développement des nouvelles technologies allait rendre inéluctable deux choses :
1° Le seul travail restant aux humains sera le travail innovant.
2° Pour ne pas à avoir à fliquer tous les ordinateurs, les téléphones etc... il faudra passer au salaire mondial unique en laissant les créateurs , et donc tous les humains, libres d'utiliser leur temps.
Si je peux comprendre un "droit moral" - qui resterait gratuit - destiné à protéger l'usage d'un personnage.... pour autant ce qui se passe là est abject.
Je vous renvoie à la lecture du long article (conceptuel en économie politique et en sociologie) que je viens de rédiger pour mon blog Monsyte et dont je viens de placer la copie sur RUE89 .
qui en déclencha l'écriture (Article de Augustin Scalbert) .

Je en vous placerai juste un petit extrait ci-dessous.

5 remarques de gestion :

1° Vous disposez d'un moyen de rendre "cliquables" les liens que vous nous donnez en utilisant des balises
ouvrir crochet
a href="adresse à indiquer" fermer crochet texte qui sera affiché ouvrir crochet /a fermer crochet
C'est ainsi que je vous donne l'adresse où se trouve .
mon texte dénonçant cette bureaucratie innovoise parasite fasciste .

2° Vous pouvez vous inscrire - si ce n'est fait - par votre compte Google à Analytics.
Vous aurez le nombre de vos visiteurs. La carte du monde des villes de vos lecteurs. Les pages qu'ils lisent. Le temps pe leur lecture etc...
Cela vous encouragera à résister.

3° Placer une copie de vos textes sur les Google groupes (fr.soc.politique ou en anglais politics etc ...)
augmentera beaucoup la diffusion de vos protestations. En effet ces GROUPES Usenet sont DUPLIQUES par d'autres sites et cela augmente énormément le référencement par Google.

4° J'apprécierai de pouvoir lire les textes des tribunaux. Vous pourriez les placer dans un article Il y a une icone blogspot pour le téléchargement d'image.

5° Idem pour le commandement à payer. Si vous le téléchargez en grandeur nature, vos sympathisants pourraient en lire le détail et le faire connaître en dupliquant l'image.
Ce Nick Rodwell verra, peu à peu, son référencement Google être envahi, sur sa page de recherche, par nos protestations.
J'ai pratiqué cette méthode contre des brutes tapant des enfants de maternelle. C'est très très efficace.
Et toute réaction supplémentaire des imbéciles aggrave - leur encontre - la médiatisation Google de leurs méfaits.

==
Pour finir, une blague extraite de mon texte.
==

Une autre blague anti-innovoise : sur Nick Rodwell

Question : vous savez pourquoi les ayant-droits de Tintin - Hergé- ont "effacé" le nez crochu caricatural – censé lui donner la caractéristique " juif" - du commerçant du livre «L'Etoile Mystérieuse » ?

Réponse : Ils ont craint d'avoir un procès de la part des ayant-droits du livre « Mein Kampf » de Hitler. Un procès en contrefaçon !

TINTIN a contrefait MEIN KAMPF !
TINTIN a préparé la Solution Finale !

++++++++++

Yanick Toutain a dit…

POST SCRIPTUM (12/11/2009)
Ne parvenant pas à vous écrire sur votre blog et ne trouvant pas votre email, j'avais cru intelligent de déposer ce message sur le blog de Pierre Assouline.
Malheuresement, mon soutien à votre cause (notre cause ?) n'a pas dû lui sembler positif et il refusé - de facto - de valider mon message qui n'apparut ... jamais.
En voici pourtant le courtois en-tête.
Ma naïveté et des intérêts supérieurs m'ont donc empêché de vous apporter - en temps utiles - directement mon soutien.

=====
mon message sur le Blog de Pierre Assouline :

Bonjour Pierre Assouline.
J''ai écrit, il y a deux jours sur le Blogspot de Bob Garcia un message pour lui.
Mais un bug incompréhensible empêche l'envoi.
Je mentionnais un texte que j'ai écrit sur mon blog Monsyte.
Je tente de publier cette lettre publique à Bob Garcia sur votre blog :

Yanick Toutain a dit…

post post scriptum
Bonjour Bob Garcia,
Quelques remarques de gestion :
Vos textes placés sur la colonne de gauche semblent très intéressant, mais sont ... illisibles tellement ils sont petits.
Etant moi-même chez Google-Blogspot, je peux vous affirmer que je n'ai aucun problème pour placer des images de très grandes dimensions.
J'ai placé des copies de lettres GDF-SUEZ, des copies de graphiques EXCEL de très grandes dimensions.
Il suffit pour cela, lorsque vous rédigez votre texte dans l'éditeur de blogspot, de cliquer sur une petite icône : celle qui se trouve à droite de ABC (vérifier l'orthographe), l'icône "ajouter une image".
Vous cliquez dessus après avoir placé l'image que vous voulez nous présenter et elle s'affichera EN PETIT à l'intérieur même du texte et ... nous la verrons EN GRAND en cliquant de dessus.
Vous comprendrez que le lecteur solidaire pourrait même voir le détail de la lettre de saisie.
Et nous pourrions même COPIER COLLER l'adresse Blogspot de votre image ( de saisie, d'extraits de journaux etc ...) pour les afficher sur NOS blog ...


Et même : cerise sur le gâteau ... vous pourriez même nous donner certains de VOS DESSINS à l'intérieur même du texte de chacune de nos contributions.

Tous ces détails techniques ont, naturellement, vocation de mettre hors d'état de nuire le bureaucrate de l'innovoisie fasciste Nick Rodwell.
Bon courage à vous !
Nous vaincrons !

Bob Garcia et le Spectre du tocard a dit…

Bonsoir Yanick,
Merci pour votre soutien.
Vos remarques et suggestions techniques semblent en effet intéressantes, mais je suis grâvement largué avec cet outil...
Je galère depuis le début et ne m'en sors pas. C'est déjà un miracle que ce blog existe (avec l'assistance de mon entourage)...
L'idée du "référencement Google" paraît super. Mais je n'y comprends strictement rien et je serais incapable de mettre cela en oeuvre...
Désolé,
Amitiés,
Bob

=




LIRE AUSSI

J'ai pris connaissance du dossier par

lundi 2 novembre 2009

Quand l'innovoisie parasite enlève son masque hideux. Le vol du 29 lui suffit plus. Protégée par les juges bourgeois, elle crée le fascisme HADOPI ..

Quand l'innovoisie parasite enlève son masque hideux.
Le vol du 29 lui suffit plus.
Protégée par les juges bourgeois,
elle crée le fascisme HADOPI
et met à la rue un tintinophile.
OU
Fascisme HADOPI = fascisme Rodwell
Même crapules, même combat anti-innovois

mercredi 11 novembre 2009

Sur Plume de Presse : En soutien contre Régis Soubrouillard

=

@ Olivier Bonnet

suivant votre lien - légèrement interloqué et désireux d’affiner mon point de vue - je lis le début de la prose Soubrouillard, commence à élargir mon empan - finissant par prélever plusieurs lignes à chaque photographie - j’en viens, après avoir sauté des blocs entiers ... à la conclusion :

"La terre, les traditions, l’histoire, autant d’éléments nécessaires aux efforts permanents de redéfinition et de réappropriation de ce qui fait la nature même de l’identité française quand l’actualité apporte chaque jour sont lot de démentis au mythe contemporain du dialogue des civilisations, sentiment bienheureux des cultures en marche vers un monde meilleur, posture aussi aveuglante que confortable des Lou Ravi de la mondialisation."

Comme quoi l’alliance de la matière grise de Jean-François Kahn - matière neuronique du camp d’en face que je respectais - avec Bayrou-la-claque n’était qu’une étape dans la descente aux enfers de ce qui fut un journal intéressant. Autrefois.

Cette prose vichyste m’inspire les commentaires suivants : Mon identité est faite de mon admiration pour les Grecs physiciens et philosophes Puthagoras, Democritos et Polubos, pour le Romain Titus Lucretius, pour l’Anglais Isaac Newton, pour l’Anglais Graham Nash, le Canadien Neil Young et les Etasiniens David Crosby et Stephen Stills.

Il faut ajouter à cela l’étasunien que j’admirais depuis mes ... 10 ans, Walt Disney, le franco-argentin René Goscinny.

Le belge Jean-Michel Charlier est peut-être un des auteurs dont j’ai le plus lu, lu et relu les oeuvres.

Mon maître Wilhelm Reich dont les apports en psychologie, en ethnologie et même en physique et en philosophie reviendront à la lumière au 21° siècle était autrichien. Developpa sa SEXPOL avec ses collaborateurs Allemands, émigra aux USA et fut persécuté par les charlatans freudiens d’Autriche et du reste de la planête, les nazis d’Allemagne, les staliniens d’Allemagne, et finira ses jours emprisonnés par les capitalo-fascistes des USA.

Karl Marx et Friedrich Engels étaient allemands, Patrice Lumumba était congolais (belge !), Thomas Sankara était burkinabé, VI. Lénine, Léon Trotsky, Alexandra Kollontaï, et Chliapnikov étaient russes.

Bill Gates et les auteurs de Google, Larry Page et Sergey Brin sont étasuniens. Mais Sergey Brin est né à Moscou et a quitté l’URSS à six ans en 1979.

Les Beatles sont Anglais. Paul Simon et Arthur Garfunkel sont étasuniens.

Mais Mozart est autrichien.

L’explorateur Zheng_He était chinois. "Né en 1371 dans la province du Yunnan, dans le sud-ouest de la Chine" était peut-être d’origine vietnamienne.

Malcolm X était Afro-Américain. Les trotskystes et les révolutionnaires d’Amérique du Sud qui tentèrent de résister au fascisme des années 60-70 étaient chiliens, argentins, colombiens etc... Comme était Argentin Ernesto "Che" Guevara.

Les trotskystes de Brest avaient la nationalité française mais leurs amis soldats de la Wehrmacht - avec qui ils construisirent un réseau de résistance interne à l’armée d’occupation étaient ... allemands.

Le "pro-formois" Ken Loach, l’innovois Jean-Paul Rappeneau sont des gens dont j’admire le travail.

"Reds", "Capitaines d’Avril", "Once", "Les Visiteurs 1" .... sont des films que j’admire : France, Irlande, USA, Portugal sont autant mes patries.

Le rebelle Voltaire vécu en France, en Angleterre, à Berlin en Prusse... en Suisse...

Et vous voudriez que j’ai une affection particulière pour les gens qui sont nés et habitent à moins de 1000 kilomètres de là où je vis ? Et pourquoi donc ?

Ma communauté, mes communautés ce sont tous les humains qui partagent mes sympathies avec tous mes "héros", tous mes phares, tous mes maîtres.

Si Régis Soubrouillard a limité ses sympathies, ses phares, ses héros, ses maîtres à ceux qui vivent à moins de 1000 kilomètres de lui ... je le plains sincèrement !

Quelles limites !

Son écriture s’en ressent !

Tellement !

NB sur le site de Besson, mon message que j’y ai déposé (message effacé par un fasciste, naturellement) énonçait ce qui suit (copié collé)

===== "C’est se battre contre la France-à-fric, lutter contre le crime colonial, lutter contre les responsables qui assassinent, par génocide sanitaire, 3 millions de bébés africains chaque année, c’est se battre pour le mot d’ordre "Troupes françaises hors d’Afrique !", c’est lutter pour la mise hors d’état de nuire du gang Sarkozy-Bolloré qui contraint les Africains à travailler pour 50 euros par mois dans les camps de travail sous la surveillance des KAPOS Biya, Bongo 2 et autres Déby ...

C’est se battre pour le Nuremberg de l’Afrique et le jugement de tous les Alliot-Marie-criminelle de guerre à l’Hôtel Ivoire en novembre 2004, pour le jugement des amis du Hutu Power génocidaires du Rwanda qui cherchaient des aéroports disponibles en juillet 1994, pour le jugement de tous les Sarkozy et autres criminels contre l’Humanité, bourreaux de l’Afrique.

Lutter contre les bourreaux du genre humain."

===

Mon lien : Mes textes

Répondre à ce message




lire aussi

lundi 2 novembre 2009

Identité nationale de Besson quand des mercenaires étrangers -au service de Bolloré et du crime colonial vont tuer les Africains "au nom de la France"


mardi 10 novembre 2009

Sur le site de l'UGTG, je dépose une copie de mon texte sur François Ruffin "Oui-Oui Ruffin au pays de Domota"

Nul doute que le modérateur prendra la peine de le lire attentivement ... et de le valider pour le porter à la connaissance des adhérents de l'UGTG et des lecteurs de son site.
Je n'imagine pas que le stalinisme pourrait faire adopter des mesures qui auraient fait hurler mes anciens camarades d'organisation du GRS !

=

Une flammèche obstinée a embrasé la Guadeloupe - Par F. Ruffin - Yanick Toutain

Bonjour Puisque le commerce et les droits d’auteur de monsieur Ruffin nous empêchent de pouvoir lire son texte... le lecteur curieux de ce site pourra - si la censure ne frappe pas - lire le texte que je lui ai consacré. Ce texte complète d’autres textes que j’ai écrits sur la question et en particulier mon analyse complète du programme du LKP qui fut effacée et censurée sur le site du dit LKP. scientifique, d’ailleurs). samedi 14 février 2009 Liyannaj-Kont-Pwofitasyon ! Une analyse révolutionnaire egalitariste du programme des faux rebelles de Guadeloupe.

=== Oui-Oui Ruffin au pays de Domota.


Oui-Oui Ruffin au pays de Domota.

par Yanick Toutain
10 novembre 2009


L'apprenti journaliste de la formoisie « lutte des classes » est devenu... le principal conseiller politique de cette classe sociale
Il est 15h40, il parle chez le concierge – censeur – de la formoisie, Daniel Mermet, Là bas si j'y suis.
On est dans la mini-table ronde du Monde Diplomatique.

François Ruffin pour "Une flammèche obstinée a embrasé la Guadeloupe" ==> (son)

Frnaçois Ruffin a trouvé la solution. Que dis-je, il a trouvé LA solution.


Il faut et il suffit de réimprimer – comme l'UGTG – une brochure de syndicalisme « lutte de classe » de 1975. Telle quelle.

Ensuite, il faut que le leader de la CFDT – le bureaucrate fils de bureaucrate - retrouve le ton et le contenu des motions de congrès de la CFDT des années 70.

Mais tout cela ne suffit pas : les militants guadeloupéens vont distribuer des tracts (en papier !!! si ! si !) …. à la sortie de la messe !

"Là, il y a un travail de tractage permanent, à la sortie des cimetières, le dimanche à la sortie de la messe, et ainsi de suite (...) " citation du clown formois François chez Daniel Mermet Là-bas si j'y suis 10/11/2009

Le clown-professeur de la formoisie précise bien cela en indiquant qu'ils n'ont « pas de mailing liste » !

Le voilà le problème : les Français utilisent Internet !
Ils ne se rendent plus – comme ils le faisaient, dans doute, en 1975 (!!!???) - aux sorties des messes pour y distribuer leurs tracts lutte de classe.


Seulement voilà !

L'arrogant professeur, l'imbu de lui-même, l'orgueilleux ignare, le «professeur rouge» de la formoisie n'est qu'un clown !


EN UN GESTE, ÔTER LE COSTUME DU CLOWN RUFFIN !


Une question, une seule question suffit à remettre l'ensemble des « remarques » du chouchou du concierge dans son état de vacuité creuse. Une remarque, une seule suffit à faire apparaître totalement absurdes l'ensemble de ses remarques, l'ensemble de ses conseils.


Mais alors, il n'y aurait pas d'équivalent, en France, à l'UGTG ?


La réponse parle toute seule : SUD-rail, CRC santé sont les stricts équivalents – formois pseudo-radicaux – de ce qu'est l'UGTG.
On pourrait même faire remarquer que la caractéristique « Front populaire » de ce qu'est le LKP, place cet organisme – et donc la ligne politique de Domota et ses acolytes formois – à la droite de ce qui se passe en France.


La véritable question, la véritable cause de ce qui s'est passé à la Guadeloupe, Oui-Oui Ruffin est complètement passé à côté.

C'est l'analyse égalitariste révolutionnaire qui clarifie – dans ses grandes lignes – cela.


UNE FORMOISIE QUI CRAINT L'EGALITARISME


Elie Domota est un militant formois. Un militant de cette classe privilégiée qui refuse avec acharnement – comme un bull dog avec son os – de partager le revenu consommable entre tous les Terriens.
Elie Domota et toute la direction formoise du LKP sont des militants des privilèges salariaux.
Ils sont prêts à tout pour maintenir leurs privilèges. Ils sont prêts à tout pour empêcher les 30 (et plus) pour cent de chômeurs de Guadeloupe (22,7% officiels en 2007) d'exiger le PARTAGE INTÉGRAL de la consommation disponible sur l'ile.

Ils sont prêts à tout pour empêcher les pauvres guadeloupéens de réclamer leur dû.


UN PARE-FEU FORMOIS


Quand l'incendie menace et qu'il risque d'embraser votre territoire, il existe une solution : incendier préventivement une zone intermédiaire. Un petit incendie contrôlé. Afin que le véritable incendie ne trouve que végétaux calcinés lorsqu'il arrivera.


C'est exactement ce que la clique Domota a fait en Guadeloupe !
Ils sont déclenché un mouvement simulacre. Ils ont lancé les pauvres de la Guadeloupe sur une apparence de rébellion.


Qui pourrait donc, parmi les gens raisonnables de l'île, imaginer qu'une véritable obtention des véritables revendications pourrait se produire sans une extension ? Une extension en Martinique. Une extension en Guyane. Une extension à la Réunion. Une extension en métropole. Quel naïf pourrait s'imaginer qu'une véritable solution aux maux qui assaillent la Guadeloupe depuis 1802 pourraient être trouvée sans une extension de la lutte à Madagascar, une extension au Sénégal, une extension au Cameroun, en Côte-d'Ivoire, au Gabon, au Burkina-Faso, au Mali, une extension en Guinée Conakry et dans tous les autres « territoires-CFA », une extension vers tous les Territoires Occupés par l'armée d'occupation fasciste colonialiste de la France à fric ?
Une extension de la révolution égalitariste dans les Antilles, à Cuba – avec l'éjection de la clique castriste par la révocabilité permanente des délégués – extension vers l'Amérique du Sud et le Mexique.


300 euros … et pas de travail ? Une solution pour la bourgeoisie !


La tactique « Domota » visait à maximiser le nombre de gesticulations. A maximiser le nombre de fausses « menaces ». La vidéo montrant le clown menchévik a été promptement censurée sur Internet : les menaces de morts faites par l'irresponsable nous prouvent qu'il est le principal responsable des causes qui ont entrainé la mort du militant LKP !




"Jeudi 12 février, elie domota mets les points sur les I, "si l'on touche à un manifestant ou à une personne du LKP il y aura des morts" "


en cliquant sur menu puis sous titre, vous aurez la traduction en français (provient de Daily Motion)


Toutes les déclarations hypocrites qui ont suivi – déclarations de la formoisie et déclarations de la bourgeoisie – ne sont que nuages de fumée produits par les deux classes exploiteuses, par les deux larrons en foire que sont bourgeoisie et formoisie.


Quand on entend les propos du stalino-menchévik Domota proclamer cela, il faut garder en tête le fait qu'il fut le premier à mettre de l'huile sur le feu.

Même si la police politique néo-stalinienne a réussi à en effacer les traces, (preuves sur Wikio

preuve sur Technorati, preuves sur Google ) Elie Domota avait bel et bien énoncé des menaces de mort en cas de blessés parmi le LKP.

Et Jacques Bino est clairement la victime de ces propos incendiaires du crétin réformiste qu'est Elie Domota.

C'est cet abruti qui a excité les jeunes imbéciles qui ont tiré et tué Jacques Bino.

Même si la bourgeoisie et le formoisie sont, maintenant, complices pour étouffer la vérité ! (Monsyte YT. 28 avril 2008 : Hoax, Guadeloupe, Elie Domota l'irresponsable contre-révolutionnaire menchévik, quand il mettait de l'huile sur le feu. )



Pour les capitalistes de France, il fallait dé-responsabiliser l'irresponsable Domota. Il ne fallait pas incriminer ses déclarations criminelles : Qui a besoin d'un affrontement armé quand le pouvoir populaire n'est pas encore structuré ?

La réponse est simple : les fascistes et les crétins réformistes irresponsables.


L'HUILE SUR LE FEU DOMOTA

Mettre de l'huile sur le feu était une tactique pour masquer la stupidité profonde de sa stratégie : Aucun appel à la délégation générale révocable : dans toutes les Antilles, dans toutes les Amériques, dans toute l'Afrique, dans toute l'Asie, dans toute l'Europe.
Mettre de l'huile sur le feu visait à masquer son refus de l'auto-organisation de pauvres.
Mettre de l'huile sur le feu visait à masquer son boycott du mot d'ordre : EMBAUCHE DE 5 MILLIONS DE CHÔMEURS dans toute la France.

Mettre de l'huile sur le feu et laisser – par ses stupides barrages provocateurs – monter un simulacre de guerre civile avait pour fonction de masquer son refus de mener le combat pour : TROUPES FRANCAISES HORS D'AFRIQUE ! BAS LES PATTES SUR LES ANTILLES ! BANDES ARMEES DU CAPITAL DEHORS !

Ses gesticulations étaient les mêmes que les gesticulations historiques de tous les réformistes.
Ces réformistes du 20° siècle étaient même prêts à passer à la lutte armée. Ils le faisaient chaque fois qu'ils craignaient d'être débordés par les pauvres.
Même encore aujourd'hui, le clown menchévo-stalinien Besancenot et son maitre Krivine se félicitent du ralliement du terroriste assassin Jean-Marc Rouillan.

Jacques Bino est mort des gesticulations stupides et irresponsables de Domota ! Il est mort victime des appels au meurtre du crétin Domota !


C'est un combat politique qu'il faudra mener – en Guadeloupe comme ailleurs – contre tous ces clowns de la formoisie qui ont renoncé, depuis belle lurette, au renversement de la bourgeoisie et qui ne font que saboter la véritable révolution anti-capitaliste.


Oui-Oui Ruffin, en thuriféraire de Elie Domota est bien dans son rôle : aujourd'hui comme hier, il fabrique du nuage de fumée, il fabrique de la légende mensongère, il fabrique de l'idéologie formoise.


La raison pour laquelle il n'y a – même pas – de structure cartélisée en métropole de France est très simple : le sabotage opéré par la LCR-NPA est encore suffisant à empêcher le développement de la révolution anticapitaliste.
Le sabotage – par la magouille et le corporatisme – de tous ces SUD, CRC et autres « syndicats » rebelles est suffisant à empêcher que la mobilisation puisse se développer !

A peine vous verrez se développer un véritable mouvement que tous les NPA, les LO, les anarchistes-réformistes de tous poils tenteront désespérément d'en prendre le contrôle : cartel central parachuté ou magouilles et manipulation d'assemblées générales de base : l'éventail est large. L'école de la magouille pseudo-trotskyste qu'est devenu le NPA a formé suffisamment de magouilleurs cyniques pour qu'un « opération Domota » puisse être tentée lors du démarrage de la révolution anticapitaliste.

Et Besancenot et Krivine réimprimeront leurs brochures !!!

Ils sont même allés juqu'à sortir du placard leur ancienne revendication « troupes françaises hors d'Afrique » … juste pour en faire un … auto-collant – que me montra le – sympathique NPA droitier Vincent Alès. « Et tu en colles ? Lui demandé-je ? « Tu en as assez pour en coller* ? ...»

Il faut que tous les Guadeloupéens honnêtes tirent le bilan de la catastrophe Domota : il a joué son rôle de dirigeant saboteur au service de SA classe, la formoisie.
La bourgeoisie s'est maintenue et l'énergie des Guadeloupéens les plus pauvres s'est répandue dans l'air sans véritable résultat. Comme un feu pare-feu a empêcher la généralisation de l'incendie révolutionnaire.


Il faudra que l'égalitarisme et la production conceptuelle qui en fut l'origine deviennent – en Guadeloupe, comme en Afrique, comme en France et ailleurs – la « Nouvelle Etincelle » !



*Ce n'était que « taquinerie » de sa part. Depuis 1996 je le harcelais lui et ses camarades de la JCR puis de la LCR … sur deux choses : la démocratie sans magouille sans les mobilisations de la jeunesse et la revendication « Troupes françaises hors d'Afrique ». Il n'était pas dupe de l'abandon total de fait de ce combat par Krivine-Besancenot-Sabado-Mathieu.


lundi 9 novembre 2009

Chute du Mur de Berlin; le 9 novembre 1989 : Une défaite politique majeure de la formoisie (2)

Si le contenu de cette deuxième partie n'est pas encore écrite (Je profite de mon créneau Internet pour recueillir de la documentation avec des liens cliquables), le contenu est parfaitement clair : la formoisie russe envahit les pays de l'Est. Elle est contrainte de construire des Etats formois.
Mais va devoir contraindre une partie de la haute et moyenne formoisie à rester (celle qui produit le capital humain) et va devoir exploiter la petite formoisie et le formariat.
Les murs, les frontières, les assassinats aux frontières serviront à cela : empêcher le capital humain de s'enfuir !!!
De s'enfuir pour se faire exploiter ailleurs ou pour aller récupérer davantage de butin colonial.
En exergue, la citation - amusante - que je viens de trouver résume l'analyse :

"La construction du Mur de Berlin, expliquai-je lors d'un meeting en plein air organisé près de Sauchiehall Street, avait une fonction évidente : empêcher les " éléments bourgeois ", vitaux pour la croissance économique, de quitter le pays. Lorsqu'une espèce de brute s'exclama : " Foutaise ! C'est pour garder les travailleurs dedans ! ", je choisis, fort commodément (et pertinemment), de le cataloguer comme un ivrogne."
Tony Cliff Un monde à gagner Introduction - Paul Foot 1998
2° partie LES CHARS RUSSES DE LA FORMOISIE EN 1945
à paraître

Chute du Mur de Berlin; le 9 novembre 1989 : Une défaite politique majeure de la formoisie (1)

Quand, deux jours plus tard, le milliardaire Antoine Riboud prête son jet privé au violoncelliste virtuose cachetois Rostropovitch, les deux complices se sont pas dupes :

Au petit matin du 11, il appelle son vieil ami le capitaine d'industrie Antoine Riboud, président de Danone, qui avait tant soutenu les initiatives du violoncelliste, notamment au Festival d'Évian qu'ils avaient créé : qu'il fasse, lui dit-il, préparer son avion privé. Riboud lui signale qu'il a tout de même besoin de connaître la destination, ne serait-ce que pour demander l'autorisation d'atterrir. Slava lui répond : «Nous partons pour Berlin.» Et voici deux hommes et un violoncelle envolés pour ce qui n'était pas encore redevenu la capitale allemande. Une fois arrivés, ils montent dans un taxi, mais pour aller où ? Le mur de Berlin est très étendu ! Ils optent pour Check Point Charlie, le point de passage symbolique de l'Est à l'Ouest. Rostropovitch et Riboud descendent de voiture, le musicien sort son violoncelle de l'étui et se rend compte qu'il a oublié un détail : il n'a pas de chaise. Riboud ne se laisse pas perturber par si peu : il entre dans une guérite de gardiens et emprunte le siège de l'un d'eux, récalcitrant au début, puis dubitatif, et enfin résigné. Rostro s'assoit devant le Mur et se met à jouer Bach, que cet homme profondément spirituel avait toujours associé à Dieu. (Le Figaro Christian Merlin 09/11/2009 )

Ils vont fêter la victoire de la classe capitaliste.

La victoire de la principale classe exploiteuse des 19° et 20° siècle sur sa principale classe ennemie. Une victoire qui réjouit les classes exploiteuses secondaires alliées à la bourgeoisie : classe innovoise, classe « cachetoise », classe « gangsteroise », classe « égérioise » et toutes les autres.... Une victoire qui réjouit donc tous les Rostropovitch de la planète – cachetois corrompus de l'Ouest capitaliste et cachetois corruptibles de la geôle formoise stalinienne qui vont pouvoir participer au partage du butin colonialiste.

Tous les Riboud de la planète, tous les Rostropovitch de la planète sont des crapules. Des crapules dignes des crapulerie des crapules staliniennes. Le luxe de ces gens-là, les émissions carbone de ces gens-là sont la cause de la destruction de la planète Terre.


Mais les crapules staliniennes de l'Est ont – elles aussi – contribué à cette destruction. Et dans le combat entre les gangsters capitalistes et les gangsters formois, nous ne sommes pas partie prenante. Notre combat est celui des classes exploitées, celui des classes qui vivent actuellement avec moins de 600 euros par mois.

1° partie : DÉFAITE DE 1989, VICTOIRE DE 1927

Cette défaite de 1989, cette défaite de la classe formoise que vont fêter les gangsters exploiteurs Riboud et Rostropovitch est la clôture d'un cycle entamé en 1927.

En janvier 1922, le salaire d'un ingénieur russe atteint et dépasse celui d'un ouvrier. Le processus ne cessera plus jamais.

« Au ­cours de l'année 1922, il est clair que l’appareil du parti est en train de prendre la haute main sur l'ensemble de l'organisation, et, par elle, sur la vie du pays tout entier, de se substituer en somme au parti, comme le parti s'était substitué aux soviets. Cela est clair dans l'évolution des commissions de contrôle, qui deviennent un appendice de la bureaucratie qu'elles avaient pour mission de combattre. » (Pierre Broué Le parti bolchévik La montée de l'appareil après le X° Congrès.On peut télécharger le livre entier sur Marxists.org Toutes les citations proviennent de l'ouvrage)


Si c'est en 1922, en janvier, qu'on peut considérer être la date du début du Thermidor contre-révolutionnaire formois, c'est en 1927 que la victoire est acquise par la nouvelle classe exploiteuse. Le 1927 stalinien est l'équivalent du 1794 de la bourgeoisie. La défaite du processus de révolution égalitariste.

« C'est dans cette ambiance que Staline va redemander au comité central qui siège du 21 au 23 octobre l'exclusion de Trotsky et Zinoviev. Le récit de ces scènes de sauvagerie a été fait maintes fois : Trotsky à la tribune, protégé par ses amis, injurié, menacé - on lui lancera des livres, des encriers, un verre - martèle ses mots, méprisant : « Le caractère fondamental de notre actuelle direction est sa croyance dans l'omnipotence des méthodes de violence - même à l'égard de son propre parti. [...] Vos livres, on ne peut plus les lire, mais ils peuvent encore servir à assommer les gens »1. Il dit que Staline veut maintenant tracer entre l'opposition et le parti un « trait de sang », prédit les massacres et l'épuration, conclut : « Vous pouvez nous exclure. Vous ne nous empêcherez pas de vaincre ». Staline, aussi calme que Trotsky dans cette assemblée de démons déchaînés, répond à Zinoviev, qui a évoqué le testament de Lénine et le post-scriptum sur sa brutalité : « Oui, je suis brutal, camarades, avec ceux qui travaillent brutalement et déloyalement à ruiner et scinder le parti. Je ne l'ai jamais caché »2. Pour lui, l'opposition, l'affaire de l'imprimerie le démontre, a été épaulée « contre son gré et contre sa volonté par les éléments anti-soviétiques ». Elle s'engage dans la voie de la scission. Il faut la frapper : Zinoviev et Trotsky sont exclus du comité central, dompté. »


Les gangsters politiques de la formoisie que sont les staliniens vont se déchainer lors de l'anniversaire du 7 novembre 1917. C'est le 7 novembre 1927 que les masques tombent définitivement et que l'école de la violence stalinienne montrait son visage hideux sur la scène politique. Une école de la violence politique dont, au 21° siècle, un des élèves appliqués – l'élu émule PCF-Montivillers Aurélien Lecacheur - arrachait, en mimant des menaces physiques additionnelles, les affiches égalitaristes de Julie Amadis –.


« La manifestation du 7 sera bien préparée des deux côtés : à ce jeu, pourtant, les oppositionnels, poignée courageuse de lutteurs dans la masse indifférente, sont battus d'avance. On a peu de détails sur l'échec de la manifestation de l'opposition à Kharkov, où Racovski conduit les hommes dans la rue. A Léningrad, ils parviennent avec leurs pancartes jusqu’à la tribune officielle, mais sont adroitement déviés ensuite par le service d'ordre qui les isole de la foule et retiendra Zinoviev et Radek jusqu'à ce que chacun soit rentré chez soi. Il y aura quelques accrochages entre la milice et plusieurs centaines de manifestants conduits par Bakaiev et Lachévitch, en uniforme. A Moscou, l'affaire sera plus sérieuse : les manifestants de l'opposition, dispersés par petits groupes dans la foule qui converge vers la place Rouge, déploient pancartes et banderoles, plus d'une centaine, selon l'estimation d'un renégat de l'opposition, immédiatement brisées ou déchirées par les activistes postés le long du parcours et qui encadrent ensuite les porteurs. Seuls les étudiants chinois parviendront à conserver les leurs jusqu'à la place Rouge. Aussitôt après, les groupes ainsi repérés sont dispersés, frappés, certains manifestants arrêtés. Un commando pénètre dans la maison des Soviets, ou Smilga a accroché au balcon de son appartement une banderole et les portraits de Lénine et Trotsky : les militants présents sont frappés. Les mêmes incidents éclatent à l'hôtel du Grand Paris où Préobrajenski, qui a dirigé la manifestation, est roué de coups. Trotsky, venu en voiture, tente de haranguer une colonne d'ouvriers place de la Révolution. Il est aussitôt encadré par les miliciens et conspué, un coup de feu claque, brisant les vitres de l'auto. Il doit renoncer. »


Et, tout au long du 20° siècle, les crapules staliniennes vont tout faire pour empêcher de nouvelles révolutions anticapitalistes. A commencer par le sabotage de la Révolution Chinoise à Shanghai en 1927. (Il faut lire Les Conquérants et la Condition Humaine de André Malraux, livre écrit avant qu'il ne se soit stalinisé puis devenu …. ministre gaulliste.).
Ce sabotage contre-révolutionnaire aura pour « nom de code » le « socialisme dans un seul pays ».

Il mènera au soutien objectif de l'arrivée d'Hitler au pouvoir en 1933 en Allemagne. Ce sabotage utilisera à grande échelle le crime.
Crimes à l'intérieur de l'URSS, crimes à l'extérieur de l'URSS. Depuis les procès de Moscou jusqu'à assassinat en Espagne, jusqu'au meurtre de Léon Trotsky au Mexique.

Dès 1935, les signes avant-coureur montraient jusqu'où allait aller le crime stalinien, jusqu'où la classe formoise était prête à faire couler le sang :

« Jdanov succède à Kirov et Nikita Khrouchtchev, le 9 mars, est nommé premier secrétaire du parti à Moscou.

Il est difficile, a posteriori, de nier la préparation d'une répression quand on examine les mesures législatives adoptées dans la première moitié de l'année 1935 : un décret du 30 mars punit de cinq ans de prison le port ou la possession d'un couteau ou d'une arme blanche. Celui du 8 avril étend les pénalités de droit commun, peine de mort comprise, aux enfants à partir de douze ans. Celui du 9 juin punit de la peine de mort l'espionnage, le passage à l'étranger; les membres majeurs de la famille qui n'auraient pas dénoncé un crime sont considérés comme complices et passibles de deux à cinq ans de prison et de la confiscation de leurs biens. S'ils peuvent prouver qu'ils ignoraient l'intention du criminel, ils sont encore passibles de cinq ans de déportation. Ainsi s'établit la responsabilité familiale collective. »


En 1936, la barbarie stalinienne enlève son masque :

Le 19 août s'ouvre le « procès des Seize », le premier des«procès de Moscou ».

Le procès des Seize.

L'acte d'accusation est publié le même jour. C'est le procureur Vychinski qui le présente devant le tribunal militaire de la cour suprême de l'U.R.S.S., formé de trois juges militaires et présidé par Ulrich. Les seize accusés forment, au premier abord, un ensemble assez hétérogène. Il y a en effet parmi eux quatre des plus connus des représentants de la vieille garde, les anciens dirigeants de la « nouvelle opposition », Zinoviev, Kamenev, Evdokimov, Bakaiev. déjà plusieurs fois condamnés, dont une fois pour complicité dans l'assassinat de Kirov; on peut rattacher à leur groupe les personnalités moins connues des vieux responsables que sont Pickel, ancien secrétaire de Zinoviev, et Reingold, ancien collaborateur de Sokolnikov aux finances, tous deux, comme les précédents, anciens membres de l'opposition unifiée. Les anciens trotskystes de l'opposition de 1923, de l'opposition unifiée et de l'opposition de gauche constituent un deuxième groupe :

Ivan Nikititch Smirnov et Serge Mratchkovski, anciens dirigeants de l'opposition, ont renoncé à la lutte en 1928-29. Dreitser, officier de l'armée rouge, proche collaborateur de Trotsky qu'il a soutenu pendant la lutte de 1926-1927, Ter Vaganian, écrivain et journaliste de la jeune génération, ont également capitulé à cette époque. Un haut fonctionnaire, Goltsmann, a rendu visite à Trotsky pendant sa déportation, mais, s'il a sympathisé avec l'opposition il n'en a pas été membre. Le dernier groupe enfin est formé d'inconnus chez qui l'interrogatoire révèlera un passé ténébreux : ce sont Olberg, Berman-Iourine, Fritz David, Moïse et Nathan Lourié. Tous ces hommes annoncent qu'ils plaideront coupables et refusent l'assistance d'avocats.

La thèse de l'accusation affirme qu'à la fin de 1932 Smirnov, Mratchkovski et Ter Vaganian, « ex-trotskystes réintégrés », ont constitué avec Zinoviev et Kamenev un « centre » afin de préparer et d'exécuter des attentats terroristes contre les dirigeants du parti et du pays. Trotsky et Sédov ont, dans ce but, envoyé en U.R.S.S. des terroristes, les six inconnus du banc des accusés, munis de passeports et de visas fournis par la Gestapo. C'est le centre qui, par l'intermédiaire de Zinoviev, a transmis l'ordre, donné par Trotsky, de tuer Kirov. Il n'y a pas de preuve matérielle : l'acte d'accusation ne s'appuie que sur les aveux des inculpés, obtenus d'ailleurs depuis peu, puisque Kamenev n'a avoué que le 13 juillet, Mratchkovski le 20, Pickel le 23 et d'autres à la veille même du procès, Evdokimov le 12 août, Smirnov le 13, Ter Vagaman le 14.

Les contacts du centre avec Trotsky sont attestés par Goltsmann, qui dit avoir eu une entrevue avec Sédov en novembre 1932 à l'hôtel Bristol de Copenhague, puis avec Trotsky lui-même, dans la même ville, et en avoir reçu des instructions pour développer le terrorisme. Mratchkovski déclare qu'en décembre 1934 il a reçu, par l'intermédiaire de Dreitser, qui avait rencontré Sédov à Berlin, une lettre de Trotsky écrite à l'encre sympathique, fixant comme tâche « l'assassinat de Staline et de Vorochilov ». Moïse Lourié avoue avoir reçu, en mars 1933, à Berlin, des instructions de Trotsky de la bouche de Ruth Fischer et Maslow. Bakaiev s'accuse d'avoir veillé aux préparatifs de l'assassinat de Kirov. D'autres accusés avouent avoir préparé des attentats contre des personnalités diverses, Staline, Vorochilov, Kaganovitch, Jdanov, Ordjonikidzé, Kossior, Postychev. Les dirigeants reconnaissent avoir participé personnellement à l'organisation de ces crimes. «Nous brûlions de haine » affirme Zinoviev, après que Kamenev ait dit : « Ce qui nous a guidés, c'était une haine sans borne contre la direction du parti et du pays, la soif du pouvoir » .

Le procureur Vychinski requiert la peine de mort contre « ces clowns, ces pygmées », « ces aventuriers qui ont essayé de piétiner de leurs pieds boueux les fleurs les plus odorantes de notre jardin socialiste » : « Il faut fusiller ces chiens enragés. » La presse orchestre le réquisitoire dans le même style; les Izvestia du 23 août écrivent : « Ils n'ont rien dans l'âme, si ce n'est une haine bestiale mûrie durant dix années contre notre soleil Staline et le génie victorieux de l'impureté contre-révolutionnaire. » Le 24, tous les accusés sont reconnus coupables et condamnés à mort. Les Izvestia célèbrent « le seul humanisme, [... ] la défense du régime qui, sous la direction du grand Staline, assure à des millions d'hommes la vie nouvelle, la vie libre ». Le 25, les seize condamnés sont exécutés. La Pravda écrit : « Depuis que c'est fait, on respire mieux, l'air est plus pur, nos muscles acquièrent une vie nouvelle, nos machines marchent plus allègrement, nos mains sont plus prestes. »


Comme tous les criminels ne sont que de rusés crétins, la suite de l'ouvrage de Pierre Broué démontait toute la machinerie du formois stalinien procureur Vichinski

« (…) Bientôt d'ailleurs, l'édifice précaire s'effondre sous les investigations de ceux qui vérifient ce qui est vérifiable. On apprend du Danemark que l'hôtel Bristol, où Goltsmann a avoué avoir rencontré Sédov à la fin de décembre 1935, a été démoli en 1917 et qu'il n'y a plus à Copenhague d'hôtel de ce nom. Sédov prouve d'ailleurs par des témoignages comme par ses visas de l'époque qu'il ne s'est jamais rendu à Copenhague. (…)



La formoisie russe voulait mettre au pas le peuple russe et le soumettre à son idéologie, à l'acceptation de ses privilèges. Il fallut massacrer en masse :


« L'ampleur de l’épuration, le nombre des arrestations et des exécutions n’ont jamais été officiellement révélés. Alexandre Weissberg parle de sept millions de personnes arrêtées. Dallin et Nicolaievski estiment que de sept à douze millions de soviétiques ont été condamnés aux travaux forcés. Ces estimations, invérifiables, ne semblent pas invraisemblables, dans la mesure où les successeurs de Staline ont accumulé les précautions pour dissimuler le chiffre exact des arrestations arbitraires qu'ils dénonçaient. Sur ce nombre, combien d’exécutions? (…) »
L'extermination des bolcheviks.

Cependant, si les dimensions de la purge restent aujourd’hui encore du domaine des hypothèses, il n'en est plus de même de sa signification. La grande purge a frappé d'abord et avant tout la vieille garde des bolcheviks, les survivants du parti de Lénine, ceux qui reparaissent aujourd’hui, les uns après les autres dans les notices biographiques à la fin des œuvres de Lénine avec la mention. «Tomba victime des calomnies des ennemis.»
L'établissement d'une liste complète des militants et diri­geants bolcheviques, cadres de la révolution et de l'Etat soviétique du temps de Lénine, exécutés pendant la grande terreur est une tâche irréalisable aujourd'hui. Une simple énumération, pourtant, s’impose, en soi déjà terriblement significative. Les plus connus des vieux-bolcheviks, Zinoviev, Kamenev, Boukharine, ont disparu, exécutés après leurs procès : ils étaient, avec Staline et Trotsky, les sur­vivants du bureau politique du temps de Lénine. Nous avons vu que les condamnés des grands procès étaient parmi les hommes les plus représentatifs de la vieille garde bolchevique : Bakaiev dirigeait la Tcheka, Racovski Ivan Smirnov, Sérébriakov, Piatakov étaient membres du comité central pendant la guerre civile et tous les hommes cités par le testament de Lénine, sauf Staline et Trotsky ont été exécutés, comme traîtres. (…) Les militants disparaissent par pans entiers : ainsi, d'un seul coup, tous les communistes russes, techniciens ou diplomates ayant joué un rôle en Espagne, Antonov-Ovseenko comme Rosenberg, le général Berzine et Stachevskl comme Michel Koltsov, l'envoyé spécial de la Pravda. Presque tous les communistes étrangers réfugiés à Moscou sont frappés. Ainsi disparaîtront les Allemands Heinz Neumann, Remmele, Fritz Heckert, vétéran spartakiste, le spécialiste des questions militaires Kiepenberger, et d’autres noms connus, toute la vieille garde du parti communiste polonais, Warski, l'ami de Rosa Luxembourg, Wera Kostrzewa, déjà citée, Lenski et Bronski, combattants de la révolution russe, les Hongrois dont la liste s'allonge aujourd'hui à la fin des œuvres rééditées de Béla Kun: et d'abord Béla Kun lui-même. (…)

C'est la vengeance des menchéviks formois, des planqués et même des larbins du tsarisme sur les vrais bolchéviks.


Une analyse par secteurs de l'activité soviétique de l‘origine politique des victimes de la purge fait apparaître clairement, non seulement que les cadres d'origine révolutionnaire ont été exterminés, mais encore que la majorité des «ralliés» a survécu à la purge et en a bénéficié. Parmi les économistes, Boukharine, Smilga, Préobrajenski, Bazarov ont été liquidés : l'ancien menchevik Stroumiline, collaborateur du gouvernement tsariste pendant la guerre, devient le théoricien officiel. Les diplomates d’origine révolutionnaire, Krestinski, Iouréniev, Karakhane, Antonov-Ovseenko, Kotzioubinski, sont exécutés : les anciens mencheviks. Maiski, Troianovski, l'ancien bourgeois démocrate Potemkine, tous ralliés tardivement, survivent et progressent dans la hiérarchie. Tous les premier. Tchékistes fameux Lettons Peters, Latsis, Peterson, les premiers collaborateurs de Dzerjinski, Agranov, Pauker, Kedrov, Messing, Trilisser, sont exécutés avec l'avènement d'Ejov, mais Zakovski, rallié après la guerre civile, survit et dirige les interrogatoires. (…) La comparaison des listes d'exécutés avec celle des organismes dirigeants est édifiante : plus de la majorité absolue des membres du comité central de 1917 à 1923, les trois secrétaires du parti entre 1919 et 1921, la majorité du bureau politique entre 1919 et 1924. »


Deuxième et troisième procès de Moscou, sabotage de la Révolution espagnole, massacre de toute la hiérarchie de l'Armée Rouge, pacte germano-soviétique, politique de reparution de l'Humanité en France, accords de Yalta, en tous temps, en tous lieux, la formoisie stalinienne ne faisait que défendre ses privilèges tout en cherchant à limiter la surface géographique de la défaite du capitalisme.
Paradoxe ?
Aucun paradoxe : la formoisie russe craignait comme la peste la
confrontation avec une révolution concurrente : des révolutionnaires chinois victorieux en 1927 auraient fait trembler son pouvoir fragile : Les trostkystes – malgré leur confiusion sur la question de l'égalitarisme – aurait pu trouver en Chine un asile pour leur combat antibureaucratique.

Une victoire de la paysannerie – en Chine ou en Espagne – aurait remis en cause l'explosion brutale de la grille des salaires russes, en faveur de la haute formoisie.

Ce fut d'ailleurs – plus tard – la véritable cause (restée occultée) de la rupture sino-soviétique.

Après la 2° Guerre Mondiale, le sabotage de la révolution grecque, la tentative de sabotage de la révolution yougoslave n'avait pas d'autre cause : il fallait que la formoisie russe conserve le contrôle politique absolu. Et donc, qu'elle parvienne à empêcher – tant qu'elle le pouvait – la construction d'Etat formois concurrents à l'URSS formoise.
La victoire de la Révolution chinoise, en 1949, se produisit malgré les souhaits de Staline.


2° partie LES CHARS RUSSES DE LA FORMOISIE EN 1945
à paraître