dimanche 31 mai 2009

Ce texte a été censuré par Libération: Le clown Besancenot tombe son masque de colonialiste européen !

Les stalino-fascistes de l'aile kornilovienne du NPA font-ils la loi sur le site de Libération ?
Hier soir, la réponse était positive.
A un article où Besancenot veut "exploser la droite" , il y aurait - soi-disant- matière à redire ?
Est-ce l'insulte de Lénine qui déplait aux partisans du colonialisme NPA ?
La révolution n'a pas encore lieu que les bannissements se pratiquent sur le site de la LCR, que les insultes les plus diverses tombent.
Je reproduis ci-dessous les propos délirants du probable militant NPA : Libération affiche la réponse de GONG
(Lire aussi ses autres commentaires :
http://libeplus.liberation.fr/membre/gong/commentaires
On s'amusera de constater que mon message, reproduisant un article de Libération provisoirement inaccessible était - indirectement - un compliment sur la mise en lumière du Camerounais syndicaliste Michael Agbor !
Libération efface Libération !
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REPRODUCTION DU MESSAGE CENSURE :

Le clown Besancenot tombe son masque de colonialiste européen !

L'avantage avec le clown stalino-menchevique Besancenot, c'est qu'il dit tout haut ce que ses marionnettistes Olivier Sabado et Alain Krivine enveloppaient dans des kilomètres de phrases ronflantes :
[ce texte est en copie sur mon blog avec les liens cliquables]
http://monsyte.blogspot.com/2009/05/le-clown-besancenot-tombe-son-masque-de.html
citation
OB : "Pour nous, le socialisme sera sans frontières ou ne sera pas. Entre le repli franchouillard souverainiste, y compris chez certains à gauche, et la démarche d’amendement de l’Europe, notre troisième voie consiste à dire : il ne faut pas changer l’Europe, mais changer d’Europe. En faire une nouvelle avec une harmonisation par le haut, avec le salaire minimum, des services publics européens, une taxation des profits des multinationales."

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Le pillard formois, l'exploiteur des travailleurs africains, le propriétaire immobilier qui s'accapare (à deux) plus de 6000 euros par mois, le complice objectif de l'esclavagiste Bolloré, l'hypocrite qui se prétend "anticapitaliste" quand il défend une base sociale d'arrivistes formois dont le rêve secret est de consommer 2000 euros par mois, enlève son masque.
Son "socialisme sans frontières" se fait par une "harmonisation par le haut" consistant à "changer d’Europe".
Et tout cela quand notre cousin Michael Agbor semble avoir disparu depuis les menaces proférées contre lui par la milice fasciste de Paul Biya.
http://www.liberation.fr/actualite/economie_terre/314930.FR.php?rss=true&xtor=RSS-450
(non lisible aujourd'hui)

"C’est un Germinal sous les tropiques qui se joue dans la palmeraie de Kienké, dans le sud-ouest du Cameroun. Dans cette plantation de palmiers à huile de 9 000 hectares de la Société camerounaise des palmeraies (Socapalm) - filiale d’un groupe belge, Socfinal, lui-même détenu à près de 40 % par le français Bolloré aux côtés de son traditionnel partenaire, la famille belge Fabri -, les ouvriers sont en colère. Depuis novembre, ils ont plusieurs fois fait grève contre leurs conditions de vie et de travail. En retour, la police a arrêté et détenu pendant quelques jours leur leader, Michael Agbor.

«Une journée ne suffit pas pour décrire nos souffrances», assure Albert, un ouvrier. Depuis plusieurs années, il vit en permanence dans la palmeraie. Six jours par semaine, il coupe de lourds régimes de noix de palme. Sans gants pour protéger ses mains : ses paumes ont pris la couleur orange des noix que Socapalm transforme en huile de cuisine. Chaque matin, il s’entasse avec ses collègues et le matériel de coupe dans les camions, des épaves, qui s’enfoncent dans la plantation pour charger les régimes. Le soir, il doit marcher, parfois sur une quinzaine de kilomètres, pour rentrer dans un des sept campements d’ouvriers installés au cœur de la plantation.

«Esclaves». Le tout pour pas grand-chose : il gagne 22 francs CFA pour un régime de 15 kg. En moyenne, il touche 35 000 francs CFA (environ 53 euros) par mois, ce qui ne lui permet pas de vivre décemment. Il a néanmoins plus de chance que ceux qui coupent les régimes de 10 kg pour 8 francs CFA. «Les retenues sur nos salaires sont courantes. Nous sommes souvent payés en retard voire pas du tout», précise-t-il. Albert n’est pas affilié à la sécurité sociale et n’a pas de couverture médicale. «Beaucoup voudraient partir mais ne le peuvent pas, parce qu’ils n’en ont pas les moyens et parce qu’ils attendent qu’on paie leurs arriérés de salaire», affirme-t-il. «Nous sommes les esclaves de la Socapalm», soupire un de ses collègues. Ce n’est cependant pas auprès de l’entreprise, qui contrôle 80 % du marché de l’huile de palme au Cameroun, qu’ils peuvent se plaindre : celle-ci ne les emploie pas directement, mais a passé des contrats de sous-traitance avec une soixantaine de sociétés pour la gestion de l’essentiel de la main-d’œuvre.

«Nous savons que les ouvriers ne s’en sortent pas, que leurs employeurs les paient en retard», reconnaît Marc Mutsaars, le patron de Socapalm. La situation est la même dans les autres plantations du pays, explique-t-il pour tempérer. Il assure que l’entreprise va réduire de moitié le nombre de sous-traitants pour mieux contrôler leurs pratiques. Cette mesure permettra-t-elle d’améliorer aussi les conditions de logement ? «Nous vivons comme des animaux», indique, dégoûté, Albert. Il n’y a pas d’eau, pas de sanitaires et seulement quelques heures d’électricité par jour dans le campement où il vit avec sa famille. Surpopulation, insalubrité et promiscuité font le reste du quotidien de ces vieilles baraques de bois grisâtre et étroites, collées les unes aux autres. Un hôpital, des écoles pour les enfants qui habitent trop loin de l’unique établissement scolaire de la plantation : Michael Agbor tient scrupuleusement la liste des réclamations depuis qu’il a été élu à la tête d’une sorte de syndicat, créé il y a quelques mois par les ouvriers.

«Notre messie». Vulgaire «agitateur» pour Socapalm, il est devenu un héros dans les campements. Ses collègues, qu’il estime au nombre de 10 000, savent que son intransigeance et sa détermination face aux entreprises sous-traitantes sont exceptionnelles dans un pays où les syndicats sont systématiquement achetés. Le lendemain de son arrestation, en décembre, certains ont marché sur 15 km, jusqu’à Kribi, où il avait été amené par la police, en scandant : «No Michael, no work!» «Nous n’avons pas peur, nous sommes tous mobilisés», commente Albert. Il raconte comment l’électricité a été coupée dans son campement lors du dernier débrayage. «Qu’ils fassent grève. Quand ils auront faim, ils reviendront travailler», leur auraient répondu les patrons.

«Michael est notre messie», avouent plusieurs salariés de Socapalm, mécontents de leurs salaires et de leurs conditions de vie. De peur des représailles, ils restent cependant à l’écart des mouvements des ouvriers. Michael Agbor a fait également profil bas pendant plusieurs jours en janvier. Après que des représentants des autorités camerounaises lui ont glissé : «Si tu continues, on va te tuer.» Il venait de refuser l’augmentation de 3 francs CFA par régime proposée par les sous-traitants. Depuis, ses collègues lui ont conseillé de ne plus travailler dans la plantation."

Source Libération du 11 mars 2008 (copie exact à partir du site de Libération)

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info reprise sur Cameroon info
http://www.cameroon-info.net/cmForumNG/viewtopic.php?t=16612&sid=ab91fd69def16f53912f62b731f32198
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Pas un seul des partisans de Olivier Besancenot n'est venu apporter son soutien à cette campagne de mise en lumière du syndicaliste Michael Agbor menacé pour avoir réclamé quelques euros
J'avais écrit une chanson sur "Les esclaves de Bolloré".

La formoisie des exploiteurs du NPA se contrefiche.

"Ils peuvent crever" nous dit la campagne politique en faveur de l'Europe de Olivier Besancenot.
Seuls comptent les travailleurs de l'Europe colonialiste.

Il ne leur reste plus qu'à construire un parti des colonialistes formois d'Europe : Un NPAE !

La boucle de l'imposture colonialiste sera bouclée !

Libellés : Alain Krivine, colonialisme, François Sabado, LCR, NPA, Olivier Besancenot, Yanick Toutain
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En réaction à «Mélenchon veut fumer le PS. Nous, on veut exploser la droite»

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VOICI LA REPONSE (D'ANTHOLOGIE) REDIGEE PAR UN ANONYME "GONG" QUE LA CENSURE DE LIBERATION AFFICHE A MON TEXTE ... EFFACE ...

On retrouve le ton des journées de Juillet 1917 : Ce Gong du NPA a les accents des partisans de Kornilov accusant Lénine d'être payé par l'argent allemand !!!

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gong (12)
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j 'en parlerai à mon cheval
franchement vous auriez pu nous épargner, ce discours fleuve tronquer d'inepties... je me demande même si vous méritez qu 'on vous réponde 
ou vous laisser errer dans votre médiocrité 

vous vous êtes régler sur de pseudos informations ça sent, sa suinte le petit soldat de plomb d'inspiration UMP 
tendance 3 ème REICH 

Vos analyses sont à l'image , d'une radio Facho dont je tairais le nom 
car rien qu 'a la citer j"ai envie de vomir 
vous devez certainement, l ignorer où êtes dénué de tout sens critique mais le clown que vous martelez avec le maillet de l 'inconscience , se retourne invariablement contre vous car à en croire une grande majorité de gens , la seul équipe de clown, est ce gouvernement et d'ailleurs je rectifie j'ai trop de respect pour les clowns 
Mes clowns sont nobles et appartiennent au monde subtile qui pour vous relèverait de la fiction dont vous ne pourriez même pas entrevoir la grandeur d'âmes 

Bref , donc pour revenir à vos élucubrations intempestives je tiens à vous signaler que vous vous êtes dotez d'ouvrages où d'informations qui vous ont fait défaut
et malheureusement je ne peux vous aider car vous semblez irrécupérables.
samedi 30 mai à 22h36

2 commentaires:

souklaye.sylvain a dit…

L’overdose de temps libre provoque des abus de langage sémantique, des prises d’otage de figures historiques, des jumelages outranciers de luttes issues de la famine et de l’obésité. Voilà les bases de l’économie du romantisme revendicatif dans les pays occidentaux.
Lorsque nous effectuons une analyse des modèles ou des structures de contestation, nous constatons une chose commune : la non tolérance des partisans du pour ou du contre.
Il y a une prétention bien malhonnête à avoir la rébellion systématique quand nous sommes à l’abri du besoin matériel garantissant la diffusion la propagande de canapé et que, dans le même temps, nous pouvons nous plaindre tranquillement et judiciairement de cette oppression machiavélique tuant les dissidents apolitiques à coup de cancer de la prostate ou du sein.
La suite ici :
http://souklaye.wordpress.com/2009/04/02/alternative-univoque-ennemi-intime-ou-conspiration-collective/

Yanick Toutain a dit…

Monsieur souklaye.sylvain êtes-vous prêt à vous contenter de 1000 euros par mois pour votre consommation ?
Etes-vous prêt à partager avec Michael Agbor et ses amis ?

L'"overdose" de vocabulaire dont vous êtes - vous-même - victime empêche le lecteur de connaître la réponse à cette question.

C'est pourtant la question fondamentale