Il efface mon message protestant contre la publication du lien donné par Adurien.
Mais, en tant que formois néo-stalinien, il tente d'effcacer toutes traces de mon existence. Il en vient à effacer la totalité des messages que j'ai publié sur la page.
Mais, ne parvient pas, psychologiquement, à franchir l'étape ultime en effaçant les messages de ceux qui me répondent.
Il en serait bien embêté : il figure dans la liste de ceux qui m'avaient répondu.
Heureusement, le cache Google, la copie faite par le ROBOT moteur de recherche, nous donne l'état de la page.
Message Google attestant de l'authenticité de cette page :
Ceci est le cache Google de http://nbaillargeon.blogspot.com/2009/05/introduction-la-philosophie.html. Il s'agit d'un instantané de la page telle qu'elle était affichée le 1 juin 2009 09:58:57 GMT.
On y lit voit clairement l'affichage du lien délictueux. Tel qu'il apparaissait le PREMIER juin et donc de façon, d'ailleurs, postérieure aux engagements de l'anonyme Adurien de faire disparaître son site illégal.
La copie faite par le robot Google 16 mai 2009 08:22:39 GMT atteste, elle aussi, de ces effacements scandaleux, atteinte à la fois à la liberté d'expression mais aussi à l'histoire des idées, à l'épistémologie.
L'acharnement de Normand Baillargeon a effacer toutes traces de mon existence est le décalque parfait de l'attitude de Staline et de ses gansgters censeurs occupés à effacer toutes les traces de Léon Trotsky et de tous les opposants.
Naturellement, la classe sociale de Normand Baillargeon n'a pas encore le pouvoir : leur "socialisme" dictatorial ne s'est pas encore instauré. Ni en France, ni au Canada, ni même au Québec.
Quand on voit le niveau de dégradation morale où est arrivé l'auteur du Petit cours d'autodéfense intellectuelle.
Quand on constate que pour faire valider sa thèse, pour réussir à faire croire au lecteur que j'aurais refusé un débat courtois, argument contre argument, fait établi contre fait établi, cohérence logique contre cohérence logique, pour réussir à faire croire au lecteur naïf de son blog que je n'aurais fait que tenir les propos qu'il m'attribue, il en est venu à se retrouver dans la situation de Joseph Staline après 1917 : les preuves historiques attestant du contraire de ses élucubraction.
Il lui fallait donc effacer TOUS mes messages.
Certes, j'avais des copies de ces débats : mes réponses rédigées hors connection me contraignent à prendre des sauvegardes des pages de débat - celles où j'interviens, celles que je consulte en prévision d'une réponse ou les plus passsionnantes que je n'ai pas le temps de lire pendant mon - bref - créneau Internet.
Monsieur Baillargeon risquait donc de tomber de bien haut, même sans ces copies Google. Leur mérite est, quant aux nouveaux arrivants, le caractère d'AUTHENTICITE de ces pages.
Les juristes auront, dans l'avenir, de plus en plus de cas dans lequels ces PREUVES GOOGLE seeront soumises à des tribunaux comme - ce sera l'objet de ces débats juridistes - PREUVES, COMMENCEMENTS DE PREUVE, ou autres...
Pour le moment, c'est d'histoire des sciences qu'il s'agit. Et le préfacier de Jean Bricmont vient, là encore, de lui rendre un bien mauvais service, un vilain service.
En effet, si les lecteurs attentifs de Monsyte ont pu accumuler de larges preuves des pratiques de trucages qui sont le quotidien de la clique relativiste, on n'avait, jusqu'à présent relevé aucun cas de trucage aussi éhonté de la part d'un relativiste médiatisé.
Ce que des sites tels que Futura Sciences - sous l'anonymat des pseudonymes utilisés - s'était permis, des gens tels que Jean Bricmont ou Normand Baillargeon ne pouvaient se le permettre : A mes courriers, Jean Bricmont répondit par un silence total : il s'était revendiqué des thèses philosophiques de Lénine.
Se voir au pied du mur l'avait fait "réagir" par un silence total et méprisant.
Le relativiste Normand Baillargeon, comme le lecteur pourra le lire ci-dessous, avait réagi à mes messages en parlant guitare, puis par les prétextes de "surbooking" :
@M.Toutain: ne m,en voulez pas, mais je n'aurai pas de temps pour cela.
Mais, "grâce" aux provocations du provocateur relativsite anonyme Adurien, Normand Baillargeon s'est retrouvé face à un dilemme : effacer les liens et les propos du provocateur ou profiter de l'occation pour PARTIPER LUI-MEME A CETTE PROVOCATION.
Choisissant de participer à la diffusion du lien en direction du site contrefait, Normand Baillargeon espère construire un mouvement d'opinion en sa faveur.
Les relais politiques formois qui sont les siens - dans toutes les composantes des diverses boutiques de cette classe exploiteuse formoise - lui donnent l'illusion de la victoire certaine.
Il se trompe.
Beacuoup d'imbéciles, en 1905, considéraient stupides les analyses de Parvus-Trotsky.
Ce Normand Baillargeon qui bafoue le droit d'auteur, qui participe à cette diffusion de plagiat se rendra compte de la dislocation idéologique en cours de la classe formoise à laquelle il appartient.
Le raidissement du parti KD, le raidissement du parti des capitalistes russes, après 1905, est l'exact situation du raidissement actuel de la classe formoise.
Mais l'intelligence est de notre côté. Intelligence scientifique, par notre retour à Isaac Newton. Mais aussi intelligence historique.
Ces gens sont des fantômes qui avancent dans le néant historique du brouillard de leurs idées.
Réfléchir - réellement - pendant trois minutes - aurait convaincu Normand Baillargeon du caractère de suicide médiatique de sa censure.
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26 commentaires:
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Prometteur. Je déplore néanmoins de ne pas voir figurer le nom de Hegel, autant pour la transdisciplinarité de son oeuvre que pour l'influence qu'elle exerça sur de nombreuses visions du monde. Puis, peut-être que Bergson pour le langage ...
Merci pour vos travaux et ce blog,
Bien à vous,
Yannick
Bonjour, Yannick, Merci de votre mot. Je pense que ça vous a échappé, mais j'ai mis Hegel dans la chapitre sur l'esthétique.
Normand
Pour inspiration,
La voix de Gilles Deleuze : http://www.univ-paris8.fr/deleuze/
Le monde de Sophie
Le petit livre de la philosophie pour la salle de bain, de Gregory Bergman.
Bonjour,
Ecrire une introduction à la philosophie est difficile. Les choix sont tous discutables. Faut-il se contenter des grands auteurs ? Faut-il parler de la philosophie chinoise, hindoue ou arabe ? Faut-il aborder des thèmes (justice, vérité, langage) ou des domaines ? Je vous laisse vos choix. Mais vous pose aussi deux questions plus précises. Pourquoi un chapitre "épistémologie" puis un chapitre "philosophie des sciences" plutôt qu'un premier chapitre sur la vérité en général puis un second sur l'épistémologie ou la vérité scientifique en particulier. Personnellement, je ferai alors quelques mises au point sur la démonstration en évoquant la vérité (avec Platon mais pas seulement) puis abordant l'épistémologie je ferai mention de Darwin, dont l'oeuvre me semble décisive à l'instar de de celle de Descartes. Deuxième observation, 4000 mots pour renvoyer à 10 expériences de pensée... cela me semble mal calibré, les expériences de pensée comme tous les paradoxes n'apportant pas de résultats simples, interprétables une fois pour toutes. Pourquoi ne pas renvoyer à 10 oeuvres littéraires, Oedipe-Roi, L'Utopie, Don Quichotte, A la recherche du temps perdu... qui conjuguent une grande puissance d'imagination et une intelligence aiguë des possibilités et des limites de la condition humaine. La véritable introduction à la philosophie n'est-ce pas cette grande littérature qui a une portée universelle et un message jamais épuisé ?
Bon courage dans votre travail et votre rédaction. Stéphane
Bonjour
Joli projet! Sous quelle forme sera-t-il publié ? Ici même ou fera-t-il l'objet d'un ouvrage à part entière ?
Bon courage pour vos travaux.
@Monique. Merci. J'ai vu Le petit livre de la philosophie pour la salle de bain, de Gregory Bergman.Chouette.
Normand
@ Stéphane.Merci de vos commentaires.Vous avez tout à fait raison que les choix sont discutables et j'ajouterais déchirants. Vous questions. Je vais suivre (et tenter d'imposer) la pratique anglophone qui distingue, sagement je trouve, la théorie de la connaissance (épistémologie) de la philosophie des sciences. Dans le chapitre épistémo, je traiterai donc, par exemple, du rationalisme, de l'empirisme (Locke, Berkeley, Hume) et de Kant. Dans le chapitre Philo des sciences, de Popper, Kuhn, Bachelard, etc.
Vous me faites réfléchir sur les 10 expériences de pensée: il y a peut-être mieux à faire. Soit ce que vous proposez, soit encore dix ouvrages de philo incontournables ue je présenterais et résumerais en donnant envie de les lire.
Merci, donc.
Normand
@314r: Le livre est pour un éditeur québécois. J'ai déjà ma date de tombée: le premier novembre.
Normand
Bonjour,
le 1er novembre ... triste date pour un livre sur la philo !
Mes connaissances limités n'apporteront qu'un faible éclairage sur la chose. Mais je connais tout de même quelques unes des expériences de pensée présentées là et il me paraît en effet difficile de tout faire en 4000 mots. Mais je trouverais dommage qu'elles n'y soient pas ! Cruel dilemme que d'écrire un livre j'imagine ! Effectivement, il faudrait peut-être trouver autre chose ... l'idée de Stéphane est assez bonne, ça ramène la philosophie à quelque chose de plus accessible comme la littérature. Ou alors dix anecdotes croustillantes sur les philosophes eux-mêmes car ils sont avant tout humains !
Aknot, Kanarchiste
@aknot:Merci de cette idée.
Décidément, il me fat repenser ces dix machins-trucs
Normand
Bonjour,
J'ai récemment lu un livre que je recommande chaudement à tous les lectrices/lecteurs de ce blog (si ils ne le connaissent pas déjà), "Le C.V. de Dieu" de Jean-Louis Fournier, paru en 1995.
Voici la présentation de l'éditeur :
"Le ciel était fini, la terre était finie, les animaux étaient finis, l'homme était fini. Dieu pensa qu'il était fini aussi, et sombra dans une profonde mélancolie. Il ne savait à quoi se mettre. Il fit un peu de poterie, pétrit une boule de terre, mais le coeur n'y était plus. Il n'avait plus confiance en lui, il avait perdu la foi. Dieu ne croyait plus en Dieu. Il lui fallait d'urgence de l'activité, de nouveaux projets, des gros chantiers. Il décida alors de chercher du travail, et, comme tout un chacun, il rédigea son curriculum vitae..."
A un moment du récit, Dieu se retrouve devant le recruteur d'une grande multinationale. Parmi les questions que ce dernier pose à Dieu (je cite de mémoire) :
Le Recruteur : _ Êtes-vous pour ou contre la peine de mort ?
Dieu : _ Contre. La vie est sacrée, sans exception.
Le Recruteur : _ Vous êtes quand même un sacré faux-cul !
Voilà une suggestion, M. Baillargeon, qui me semble intéressante pour vos "machins-trucs" !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Louis_Fournier
http://www.amazon.fr/CV-Dieu-Jean-Louis-Fournier/dp/2234062055
Sympa, j'ai hâte de pouvoir lire tout ça :)
@CHOMSKYPHILE: merci de ces suggestions.
normand
Pour ma part, je crois que les 10 expériences de la pensées sont une merveilleuse idée. Pour le profane en philosophie, ce sont souvent ces situations qui sont les plus intéressantes, qui marquent l'imagination et qui finalement initient un raisonnement critique plus poussé.
J'ai bien hâte de lire cet ouvrage, qui promet d'être excellent.
Bien à vous,
Olivier
@Blogger Au lit vie et : mecide votre mot. Je vais continuer à y réfléchir. De mon côté, en tout cas, les jeux d'esprit, énigmes, expériences de pensée, paradoxes etc. sont une intarissable source de plaisir intellectuel.
Normand
Comme en physique, le matérialiste militant que je suis est en total désaccord.
La philosophie est une SCIENCE.
Son fondateur Puthagoras (appelé Pythagore par les colonialistes) considérait que seuls les nombrentiers, nombres entiers étaient raisonnables.
J'ai écrit le texte suivant il y a un an.
Il alimentera le débat.
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http://monsyte.blogspot.com/2008/06/cours-trs-rapide-de-philosophie-en-365.html
mardi 24 juin 2008
COURS TRÈS RAPIDE DE PHILOSOPHIE en 365 mots
Elle fut inventée par Puthagoras. La philosophie était la science.
Un vrai philosophe comme Newton intitula son livre de physique en utilisant le terme de philosophie naturelle.
La première loi philosophique majeure fut découverte par Puthagoras : seuls existent les nombres entiers pour décrire l'univers.
La deuxième loi philosophique majeure fut énoncée par Democritos, puis Epicuros et Titus Lucretius : Les grains qui forment la matière sont cassables jusqu'au dernier niveau. On trouve alors les briques ultimes, incassables, les atomOs.
Dès cette époque, deux groupes s'opposèrent à la science et à la philosophie.
Le premier groupe est formé des anti-philosophes, partisans de la continuité, partisans de l'infiniment petit et de l'immobilité, adversaires des atomOs.
Tous ces Aristotelès et autres Claudius Ptolémée géocentristes qui fournirent le socle idéologique des bigots du christianisme.
Le deuxième groupe est le groupe des mercenaires baratineurs : les rhéteurs et autres sophistes.
Socrate et Platon ont décrit l'imposture de ces mercenaires du discours, prêts à vendre leur capacité oratoire au plus offrant, dans le Gorgias.
Les soi-disant professeurs de philosophie pour les classes de lycée sont les héritiers de ces mercenaires.
Le triple mouvement, thèse, antithèse, synthèse, n'a qu'un rapport mercenaire avec la dialectique du matérialisme : ce n'est qu'une technique de manipulation psychologique en vue de convaincre par duperie l'auditeur considéré comme un mouton naïf.
Au 19° siècle, la philosophie, voyant s'autonomiser, peu à peu, toutes les différentes sciences, devint la science du global; elle devint l'ensemble des lois scientifiques qui s'appliquent dans les trois domaines : sciences physiques, sciences biologiques, sciences humaines.
Engels définit les trois premières de ces lois en s'appuyant sur les acquis antiques et les travaux de Hegel et de Marx.
Transformation quantité qualité, interpénétration de contraires et contradiction dans la contradiction sont les trois premières lois de cette science philosophique à construire.
Quant à l'aspect gnoséologique, il fut étayé et défendu avec vigueur par V.I. Oulianov Lénine dans son "Matérialisme ou empiriocriticisme" contre les nouveaux partisans de l'évêque Berkeley.
J'ai commencé des travaux sur ces lois philosophiques de Engels vers 1997. (avec des courbes, études des maxima, des points d'inflexion etc...).
Ces travaux ont été détruits par mon expulsion locative et mon statut de SDF.
Bonjour,
@ Yanick Toutain :
En quoi appeler Pythagore, Démocrite, Lucrèce et les atomes : "Puthagoras", "Democritos", "Epicuros", "Titus Lucretius" et "les atomOs" est-il anticolonialiste ? Après tout, les Grecs (et les Romains après eux) ont, à mon sens, été les premiers colonisateurs de l'histoire de l'Occident (voir l'Asie Mineure et la Sicile, rebaptisée "Grande Grèce" pendant l'Antiquité).
Sinon, je ne comprends pas un traître mot de votre texte. En ce qui concerne Lénine, vous feriez bien d'en lire ce qu'en dit Chomsky dans son interview du "Cahier de l'Herne" : à savoir que Lénine était un "dictateur" qui a mené une "contre-révolution" en octobre 1917 contre la révolution socialiste authentique de février 1917. Lui, Trotsky et Staline par la suite ont choisi d'appeler cette "monstruosité" le "socialisme" pour des raisons de propagande, alors qu'il s'agissait d'un "système tyrannique" de "gestion centralisée". "Nous pouvons choisir d'être des esclaves de la propagande si cela nous plaît, mais c'est un choix, pas une nécessité." (p. 40)
@ Normand Baillargeon :
Merci de vos remerciements !
@yanick: je suis sincèrement désolé d'apprendre votre expulsion locative et votre statut de sdf.
Je suis aussi curieux de ces cours de guitare que vous offrez — je gratte moi aussi.
Normand
@yanick: Vous avez écrit :
"Le triple mouvement, thèse, antithèse, synthèse, n'a qu'un rapport mercenaire avec la dialectique du matérialisme : ce n'est qu'une technique de manipulation psychologique en vue de convaincre par duperie l'auditeur considéré comme un mouton naïf."
Je suis étudiant à la maîtrise dont les connaisances philosophiques sont malheureusement assez limitées. Je m'initie présentement aux méthodologies de la recherche et j'ai choisi la méthode de la dialectique (thèse, antithèse, synthèse) pour mon projet de recherche.
Pourriez-vous me suggérez des lectures concernant la dialectique matérialiste qui pourrait me faire comprendre en quoi c'est une manipulation psychologique comme vous le mentionnez?
Je désire m'en servir pour tenter d'expliquer un fait socio-territorial en géographie humaine...
Comment démêler dialectique et dialectique matérialiste?
Bonjour
Vous êtes le premier partisan de Einstein sur Internet à parler aimablement à un matérialiste.
Il me reste un peu plus de 5 minutes avant la fermeture (du WIFI). Je m'en voudrais de n'avoir pas mis cette réponse minimale.
J'ai bien lu toutes les réponses et re-répondrai hors ligne en publiant dès demain ces réponses.
Pour la guitare, mon YouTube donne le début.
Plus simple encore :
5° corde (pas la plus grosse, la précédente) on appuie sur la 2° case.
On obtient (on se fiche du nom mais c'est pour les savants) un Em7 qui se traduit par E mineur 7° (les savants savent que cette septième est une septième mineure et non une septième majeure)
C'est l'accord le plus simple avec les 6 cordes qu'on peut frapper ou caresser avec les doigts ou le médiator.
On peut s'entrainer (avec le doigt gauche posé sur la corde) avec la main droite à taper 8 fois de suite.
On peut appuyer sur la 3° case de cette corde (toujours corde numéro 5) en ajoutant un autre doigt sur la corde numéro 4.
Il faut appuyer le doigt sur la case numéro 2 de cette corde numéro 4.
Ces deux doigts nous donnerons (on s'en fiche toujours) les notes "c" et "e".
Ces notes c et e sont les deux jambes de l'accord C (avec une majuscule car on parle de l'accord et non des notes)
Comme on ne va appuyer que ces deux cases ( ces deux cordes) on aura une suite de notes : e c e g b e
Et ces 4 notes différentes sont les notes de l'accord CM7
C le nom de l'accord
M7 pour indiquer Majeur 7°
(quand la 7° est mineure on ne le précise pas : c'est l'inverse du nom de l'accord : l'accord est majeur quand on ne le précise pas et mineur quand on l'appelle "mineur")
Si vous me parlez toujours aussi aimablement, monsieur Normand Baillargeon, je m'engage à poursuivre ces exposés - y compris en les adaptant à votre niveau actuel : mon exposé ci-dessus est délibérément "auberge espagnole" pour tous les niveaux.
Si vous tentez d'argumenter sérieusement quant à la question de la relativité... et en particulier sur la question de l'inertie - OBLIGATOIREMENT PAR RAPPORT AU VIDE - je complèterai volontiers nos échanges de YouTube guitaristique.
Faire avec de la musique entre partisans de Newton et (adversaire) partisans de Einstein ce que les Chinois ont fait avec du ping-pong pour s'attirer les bonnes grâce de leur futurs amis "Tigres de papier" impérialistes US me parait "historiquement productif".
Comme j'ai du "rab" de temps (on est vendredi), je rajouterai ceci pour la musique :
On appuye sur une touche de la main gauche : on descend 7 cases plus bas.
On a une note plus aigue.
La particularité physique des ces deux notes est la suivantes :
Le seconde fait 50% d'allers et retours que la premières.
On obtient la même chose sur un piano : on appuye sur une touche.
Puis (en comptant ZERO pour celle ci) on va 7 notes plus loin.
La septième note (en comptant touches blanches et touches noires) vibrera à une vitesse égale à 1,5 fois la vitesse (la fréquence musicale) de la première note.
Le vocabulaire orthodoxe (et compliqué) de la musique, appelle cela un écart de quinte.
@MatLak qui a dit...
"Pourriez-vous me suggérez des lectures concernant la dialectique matérialiste qui pourrait me faire comprendre en quoi c'est une manipulation psychologique comme vous le mentionnez?
Je désire m'en servir pour tenter d'expliquer un fait socio-territorial en géographie humaine...
Comment démêler dialectique et dialectique matérialiste?"
Pour les lectures, je vous renvoie à ce que j'ai écrit sur mon blog Monsyte. Il y a beaucoup de référence sur la gnoséologie matérialiste de Lénine (chose en soi etc) ... qui est celle de Isaac Newton.
Quant à l'aspect dialectique, un texte comme le vôtre m'incitera à réécrire mon long texte perdu en 2000.
Vous pouvez aller lire Engels
Dialectique de la Nature.
http://classiques.uqac.ca/classiques/Engels_friedrich/dialectique/engels_dialectique_nature.rtf
LE résumé, c'est le fait que l'accumulation de quantité fait apparaître une nouvelle qualité.
(cette fois-ci mon resto wifi ferme réellement !!!)
@ M. Toutain: on s'est mal compris pour la guitare: j'en joue depuis 35 ans!
normand
Bonjour
J'avais écrit :
"Si vous me parlez toujours aussi aimablement, monsieur Normand Baillargeon, je m'engage à poursuivre ces exposés - y compris en les adaptant à votre niveau actuel : mon exposé ci-dessus est délibérément "auberge espagnole" pour tous les niveaux."
@Normand Baillargeon qui a dit...@ M. Toutain: "on s'est mal compris pour la guitare: j'en joue depuis 35 ans!"
Mais je n'ai pas écrit le contraire.
Toutes les hypothèses étaient possibles et donc intégrées dans ma réponse : vous sembliez intéressé par le contenu de ce que j'aurais pu écrire à l'intention d'un débutant (Ce qui est le cas pour mon "cours rebelle de guitare"... qui, à mon souvenir est le seul endroit où j'ai exposé quelque chose à ce sujet).
Maintenant, cela ne retire rien à ce que j'écrivais sur la possiblité d'un exposé contradictoire des techniques pédagogiques d'enseignement du solfège guitaristique (abandon des absurdes "do ré mi" qui sont conceptuellement faux (non corrélé à une fréquence fixe, usage des échelons (UN échelon égal à un DEMI-ton) pour l'exposé des règles du solfège.
Maintenant sur le fond, j'attendais de rédiger mon épisode 4 critique de votre apologie des absurdités antimatérialistes et antinewtoniennes de Einstein avant d'en faire mention dans un lien "commentaire" à la suite de votre texte.
... Il m'avait semblé, hier, qu'il aurait été plus direct de commencer par débattre de philosophie et en particulier de gnoséologie :
Le lien direct entre l'existence de l'univers en soi et l'existence corpusculaire de la matière par des mouvements d'atomOs dans le vide, tels que décrits par Titus Lucretius, Democritos etc...
Cela impliquerait une réaction de votre part concernant la validité scientifique de mes 355 mots en tant que définition valide de ce qu'est la "philosophie en tant que science".
@M.Toutain: ne m,en voulez pas, mais je n'aurai pas de temps pour cela.
N.B.
Les questions auquelles Yanick Toutain, ce grand génie de la physique, n'a jamais répondu car elles mettent par terre son newtonisme:
http://monsytte.blogspot.com
@Adorien. Merci du lien. M. Toutain semble un drôle d'oiseau; je ne débats pas avec des gens qui insultent tout le monde comme il le fait (il m'a traité de tous les noms; Einstein aussi; tout le monde en fait.)
Normand