La Relativité par Albert Einstein. Sources. Chapitre 3. Une analyse critique détaillée du livre de Einstein le crétin.
par Yanick Toutain
10/03/02009
Les chapitres 7 et 8 sont, depuis longtemps, en ligne. Leur analyse matérialiste n'a déclenché – de la part des crétins gardiens de l'orthodoxie - aucun critique construite. Ni celle des chapitres 1 et 2. Les crétins orthodoxes insultent. Mais n'argumentent jamais !
Analyse critique du chapitre 3 (texte critique n°1)
en cours d'édition
YT : Le crétin entre dans le vif du sujet. Quittant les grandes généralités abstraites, approchant du territoire de la physique, approchant du domaine de Newton, il va, dans ce chapitre 3, commencer à énoncer ses premières stupidités avec un aplomb hallucinant. On voit, ici, les briques de stupidités qui forment les fondations de la crétinerie qu'il appela « relativité restreinte », une négation du vide absolu de Newton, des lieux absolus, des vitesses absolues.
« «ESPACE ET TEMPS DANS LA MÉCANIQUE CLASSIQUE
Si, sans trop me faire scrupule et sans entrer dans des explications détaillées, je définis la tâche de la Mécanique dans les termes suivants : « La Mécanique doit décrire comment les corps changent de lieu avec le temps », je charge ma conscience de quelques péchés mortels contre le saint esprit de la clarté, et ces péchés doivent tout d'abord être dévoilés. »
YT : Le vocabulaire « amusant » à connotation religieuse n'est pas là par hasard. Son déisme est un déisme d'opportuniste : un bigot incroyant tout prêt à accepter les avances du sioniste Weizmann pour boycotter un congrès de physique Solvay pour se rendre aux USA collecter de l'argent pour la cause : une prétendue université hébraïque à Jérusalem, véritable cheval de Troie de l'invasion impérialiste à venir. Sa tournée de 1921 fut le remerciement du charlatan au lobby sioniste. Il la complèta par ses remerciements aux lobbies des autres boutiques du mysticisme, en commençant par le lobby catholique en Espagne et en finissant par le grand Mufti de la bigoterie islamique. Le premier et le dernier finirent dans le camp fasciste. Rien n'est hasardeux : la relativité, comme le fascisme, sont des armes de la bourgeoisie contre la révolution montante. « Saint esprit », « péchés », « conscience » ne sont que des formules de l'hypocrite qui sait qu'il est un bateleur de foire vendant sa camelote avariée.
LIEUX IMMOBILES OU ENDROITS EN MOUVEMENT
« Il n'est pas clair ce qu'il faut ici entendre par « lieu » et « espace ». »
YT : Newton a consacré des dizaines de pages sur cette question. Nous, matérialistes, appelons maintenant « endroit » ce que le crétin Einstein appelle « lieu ». C'est Isaac Newton, dans sa polémique avec Descartes qui a apporté toute la clarté sur cette question (cf de Gravitio) : en effet, définir un lieu – et donc le changement de lieu, et donc les vitesses – en faisant référence à des « lieux » déterminés par le voisinage d'un autre corps n'apporte aucune réponse, ne clarifie absolument rien. Je renvoie le lecteur à la lecture directe du texte du "de Gravitio" et du "de Motu".
Pour un matérialiste, un lieu est la place occupée par un corps dans l'espace, dans le vide. Pour un matérialiste, l'univers se résume à des atomOs se déplaçant dans le vide. Les corps sont des agglomérations d'atomOs. Les corps sont des agglomérations de photons, mais ces photons sont formés d'un nombre variable d'atomOs.
Ces atomos vont d'un lieu à l'autre.
Quant aux « endroits » ils sont les coordonnées relatives d'un corps par rapport à un autre :
Les lieux sont immobiles.
Les endroits ne cessent de bouger : ils se déplacent en même temps que le corps de référence change d'endroit. (on pourrait dire les 4 corps de référence qui forment le repère définissant -relativement- les endroits.).
« Supposons que, me trouvant devant la fenêtre d'un wagon d'un train en marche uniforme, je laisse tomber, sans lui imprimer une impulsion, une pierre sur le talus. »
YT : L'escroquerie commence ici : l'imbécile qui ne cite jamais Newton, le crétin qui ne mentionne pas la violente polémique de Newton contre Descartes va développer son baratin de camelot de foire.
Si l'on a un train en mouvement, c'est qu'il se trouve sur une voie ferrée.
La voie ferrée se trouve sur Terre.
LA TERRE EST
EN MOUVEMENT ABSOLU,
EN MOUVEMENT OBJECTIF
La Terre bouge : elle change constamment de lieu, elle se déplace d'un lieu à un autre.
Pour l'heure, sa vitesse de déplacement sera approximée à 5011 kilomètres par seconde (avec une variation périodique annuelle et galactique). Les éditions ultérieures de ce texte affineront ce chiffre de 5011 km/s. C'est l'hypothèse Aïn Al Rami : elle consiste à considérer le vecteur de translation absolu du Soleil (dans le vide) comme appartenant au plan écliptique et à supposer la variation de distance réelle (absolue, objective) entre le Soleil et la Terre comme égale à zéro. Cela équivaut à prendre une excentricité elliptique nulle. Le niveau actuel de la science ne permet pas de savoir si la distance Soleil-Terre est constante ou non.
Comme la voie de chemin de fer se trouve sur la Terre, elle zigzague dans l'espace, elle appartient à la rotation quotidienne de la Terre en translation. Elle devra aussi intégrer une variation de vitesse à périodicité quotidienne (+/- 465 m/s fois le cosinus de l'inclinaison de la Terre sur le vecteur de la translation absolue de son centre).
La voie de chemin de fer est donc en mouvement. Elle va d'un lieu à un autre.
Pour ce qui suit, on prendra comme hypothèse un bref instant pendant lequel la translation de la voie de chemin de fer d'un lieu à un autre se produira à la fois de façon rectiligne et à la fois à une vitesse constante.
Pour simplifier, le lecteur n'a qu'à imaginer la gare se déplaçant dans l'espace d'un lieu à un autre, en parcourant, en une seconde, une distance correspondant à sa vitesse objective dans le vide.
Cette vitesse objective dans le vide sera, naturellement, une fraction de la vitesse de la lumière.
Et les deux lieux ainsi définis nous donnent un axe sur lequel on placera la gare suivante. Qui se déplacera, elle aussi, d'une distance égale au déplacement de la première gare.(Le vecteur translation des deux gares est co-axial au segment reliant les deux gares).
D'un point de vue newtonien, on clarifie alors, très simplement les crétineries de l'imbécile ignare.
La pierre - qui tombe - a une vitesse de chute qui va être – pendant un bref instant – non pas tributaire de l'équation de Newton, mais plus simplement, de celle de Galileo Galilei : ½ de a t².
Le produit du temps (du délai) au carré multiplié par la moitié d'une accélération constante : 9,81 m/s².
En une seconde, la pierre aura donc parcouru (on arrondit) 5 mètres, et 20 mètres en 2 secondes (20 = 10/2 * 2²)
Dans ce même temps, la voie de chemin de fer aura avancé d'une distance égale à 5000 kilomètres.
Et à ces 5000 kilomètres parcourus par la voie de chemin de fer, il suffit d'ajouter la distance parcourue par le train lui-même.
Mais on remarquera, alors, qu'un train – rapide - ayant une vitesse de 360 kilomètres à l'heure, parcourra 6 kilomètres en une minute. Et 60 fois moins en une seconde.
Ce train – si lent, finalement - n'aura parcouru que 100 mètres en une seconde.
Et ces 100 mètres qu'il aura parcourus sur la voie de chemin de fer ne seront qu'une toute petite fraction des 5000 kilomètres que son support (les rails de la voie de chemin de fer) aura parcouru : 100 mètres sont 50 000 fois plus petits que les 5000 kilomètres parcourus par la gare elle-même en une seconde.
On va donc changer d'unité et faire notre expérience de pensée avec des données imaginaires dont les proportions permettront la visibilité des schémas. Ces données caricaturales sont dans la tradition des foutaises du charlatan : il y est contraint lui-même pour faire apparaître l'effet, dans les mesures, de la vitesse de la lumière.
On aura donc une voie ferrée se déplaçant à la vitesse phénoménale (et impossible pour un corps) de 60 000 kilomètres par seconde. Soit 1/5° de la vitesse de la lumière.(c/5). "c" étant, conventionnellement la vitessse de la lumière.
On aura un train avançant dans le vide à la vitesse de 150 000 kilomètres par seconde, soit c/2 ou la moitié de la vitesse de la lumière.
Et donc, ce train aura une vitesse relative à la voie de chemin de fer égale à la soustraction de ces deux vitesses :
150 000 – 60 000 = 90 000 kilomètres par seconde.
On va donc changer d'unité pour ne pas avoir à la répéter constamment. Le Mégamètre (Mm) ou milliers de kilomètres sera l'unité utilisée dans le reste du texte.
300 sera la vitesse de la lumière. Ce seront donc 300 Mm , 300 mégamètres. ( Le lecteur oubliera momentanément le nombre 299 792 458 m/s ou 299, 792458 Mm/s qui est la véritable vitesse de la lumière dans le vide).
L'accélération gravitationnelle sera, elle-aussi modifiée et transformée en 1 Mm/s², un mégamètre par seconde carrée.
En 20 secondes, la pierre lâchée par le passager du train de l'imbécile aura donc parcouru une distance égale à 1 divisé par 2 multiplié par 20 au carré.
Soit une distance de 200 Mégamètres (200 Mm ou 200 tout court).
Nous sommes donc outillés pour la suite :
Comme la descente de la pierre vers la voie de chemin de fer correspond à une équation du second degré, et que l'avancée du train est rectiligne à vitesse uniforme, la trajectoire de la pierre sera donc une PARABOLE.
LA TRAJECTOIRE OBJECTIVE
DE LA PIERRE
EST UNE PARABOLE
C'est un fait objectif.
Les points d'abscisses seront 150, 300, 450 etc ….
Ils correspondent à l'avancée du train par rapport au vide.
Ils correspondent donc aussi à l'avancée de la pierre avant qu'on la lâche.
Mais ils correspondent donc aussi à l'avancée de la pierre après que le passager cesse de la tenir (c'est la loi d'inertie qu'on verra plus tard : le crétin se contrefiche de la logique de l'exposition , il introduit l'inertie discrètement pour mieux embrouiller comme on le verra plus loin).
Et les points d'ordonnées seront -0,5 (après une seconde) puis, après 2 secondes : -2 Mm, puis -4,5 puis -8, puis -12,5 et, enfin, -200 Mm après 20 secondes.
C'est le tracé d'une parabole.
En « raison double du temps » - ainsi qu'ils le disaient autrefois -, en fonction du carré du temps, la pierre tombe du train et se rapproche de la voie de chemin de fer.
Mais, on remarque que l'avancée de la pierre est la même que celle du train, elle n'est pas celle de la voie de chemin de fer.
On remarque que les abscisses successives de la voie de chemin de fer sont celles qui sont données par la vitesse de la voie elle-même.
C'est à dire 60, 120, 180 etc....
UNE DROITE
OU
DES SEGMENTS OBLIQUES ?
« Je vois alors (abstraction faite de l'influence exercée par la résistance de l'air) la pierre tomber en ligne droite. »
YT : On entre, plus encore, dans le vif du sujet.
Le crétin « voit » une droite.
Qu'est-ce que cela signifie ?
Puisqu'il « voit », cela signifie qu'une image a fait un trajet.
Le sens de « voir » est le suivant :
Un groupe de photons quitte un objet.
Ces photons ne quittent pas l'objet tous ensemble.
En effet, cette différence sera un des points essentiels des découvertes que le nouveau matérialisme promet pour l'avenir.
Un groupe de photon quitte un objet et va se diriger vers un capteur. Ce groupe de grains lumineux va atteindre les yeux de l'observateur ou l'un des appareils qu'il aura mis en place.
Le crétin nous dit qu'il « voit » une droite.
Où est-elle ?
On a une pierre qui effectue une translation accélérée vers le bas (le "bas" indique son rapprochement en direction de la voie de chemin de fer).
Cette translation accélérée de raison double est composée avec une translation rectiligne de direction perpendiculaire.
A chaque seconde (par exemple), un flash lumineux (un signal, une image) part de la pierre en direction des yeux du passager.
Puisque le lecteur a déjà compris que la pierre reste en-dessous du passager, puisque le matérialiste a déjà compris que la pierre conserve la même vitesse de translation rectiligne (parallèle à la voie de chemin de fer) et que cette vitesse est composée avec (a lieu en même temps qu') une translation accélérée de direction perpendiculaire, il aura compris que les yeux de l'observateur et la pierre forment un axe, forment un segment dont la longueur (variable) sera proportionnelle à la formule de Galileo Galilei que les crétins appellent encore Galilée.
A l'instant UN, ce segment mesure donc 0,5 Mégamètre.
On en a calculé la valeur plus haut : L'accélération (1 Mm/s²) divisée par deux et multipliée par le carré de 1.
Si le passager se déplace avec une règle graduée, il aurait pu voir, s'il avait des yeux au bon endroit, à proximité du trait de sa règle graduée, que la pierre se trouve effectivement près du trait correspondant à un demi Mégamètre.
Mais le crétin ne nous parle pas de ce qui se passe.
Il ne nous parle pas du processus objectif, il nous parle de ce que « voit » le passager.
Ce que le crétin ne semble pas comprendre – et c'est une constante chez l'imbécile – c'est le fait que nous ne voyons pas la réalité telle qu'elle est mais telle qu'elle fut.
Ce que le crétin ne comprend pas c'est le fait que la pierre qu'il vient de lâcher, pour qu'il puisse la voir, cela implique que les photons qui vont être « image de la pierre », devront parcourir un trajet.
Ce que le crétin ne comprend pas c'est que sa « droite » elle n'existe nulle part;
Ce que le crétin ne comprend pas c'est la fait que l'image de la pierre qui va atteindre ses yeux de crétins, si elle REMONTE vers le haut, si elle effectue un trajet perpendiculaire à la voie ferrée en espérant y trouver les yeux du crétin... elle ... ne trouvera rien.
Car le crétin qui lâche des pierres aura bougé.
Il s'est déplacé d'un lieu à un autre.
En effet, après une seconde, la pierre a effectué une chute de un demi Mégamètre.
C'est de ce lieu dans l'espace que l « 'image-pierre » va partir.
Mais elle va se déplacer de façon oblique par rapport à la voie ferrée.
En effet, elle devra s'incliner d'un certain angle (cherchez-le) pour rejoindre les yeux du crétin qui se déplace à la vitesse de 150 Mégamètres par seconde.
Ce seront donc une succession de segments que devront parcourir – dans le vide – les « photons-image ».
Ce seront ces segments successifs dans le vide, segments de longueurs différentes qui seront les trajets objectifs de la lumière dans le vide.
Il n'y a pas UNE droite comme l'écrit le crétin. Il n'y a pas UN segment comme le répètent ses partisans en changeant le vocabulaire du livre.
Ce sont des aberrations de crétins relativistes.
Le lecteur s'en convaincra en calculant lui-même la dimension des segments successifs.
On peut poser le problème d'une façon différente : « quel délai mettre l'image de la pierre pour atteindre les yeux de l'observateur ? »
Et « quelle seront les longueurs successives parcourues par les successives images provenant de la pierre ? » .
Et que le lecteur ne s'imagine pas trouver la solution dans le texte suivant.
Apprendre c'est comprendre.
Mais comprendre c'est travailler à comprendre.
Que le lecteur dilettante passe son chemin.
La solution de ce petit problème sera donnée en annexe de cette étude critique du chapitre 3 de Einstein.
Pire encore pour le lecteur : ce petit travail qui lui est demandé est un pré-requis pour comprendre le texte 2.
En effet celui-ci – d'un niveau plus élevé – traitera de ce que la vache Albertine perçoit en restant le long du quai.
Elle étudiera l'imbécilité suivante du crétin qui osa écrire :
« Mais un piéton qui observe le méfait du sentier constate que la pierre dans sa chute décrit une parabole. »
YT : Nous étudierons, dans le texte deux, de quelle façon la parabole du crétin est en réalité une fonction numérique comportant des racines contenant elle-même le temps élevé à la puissance quatre.
Ce sera donc l'objet du texte suivant.
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PS: corrections de forme
11/09/2009.
Par ailleurs, mon accès aux forums Google est bloqué (depuis deux accès). Bug ? Censure ? L'avenir le dira. Je ne peux ni lire ni écrire dans tous les forums.
16/09/2009.
Ajout de titres et quelques améliorations . Ce texte n'a toujours pas pu être publié dans les groupes usenet.
1 commentaire:
Je ne vois pas bien où vous voulez en venir, il semble évident que par "X voit" Einstein veut simplement dire "en prenant X comme référentiel" ?
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