Werner Heisenberg, idéologue fasciste déguisé en physicien. Commentaires.

Werner Heisenberg, idéologue fasciste déguisé en physicien. Commentaires.

Le texte précédent donnait la possibilité de lire directement les propos du fasciste. Cet exercice préparera les lecteurs matérialistes à la lecture des autres textes, des autres thèses de la crapule nazie, du criminel de l'hitlérisme que fut Werner Heisenberg.

par Yanick Toutain

8/1/2009

SES PROTECTEURS SE SONT GARDES DE METTRE EN LIGNE CES TEXTES : ILS NE SONT QUE DES NEO-NAZIS DEGUISES EN PHYSICIENS.

Le texte était précédé d'un avant-propos :
Le texte qui suit est un manifeste fasciste. Le héros de la physique du 20° siècle, le héros de la pseudo-science appelée « mécanique quantique » n'est pas seulement un imposteur protégé par la totalité des « clowns titrés professeurs » qui transmettent leur idéologie lamentable sous couvert de science, il est aussi et surtout un idéologue du fascisme.
Croire en Heisenberg est équivalent à préparer son esprit à la croyance au fascisme.
(…) Le lecteur égalitariste, le lecteur scientifique, pourra exercer sa sagacité en décryptant les messages subliminaux contenus dans ce texte. Ils sont les frères jumeaux des messages subliminaux contenus dans le charlatanisme de la mécanique quantique – messages subliminaux propagés par TOUS les enseignants titrés « professeurs de physique ».
La révolution mettra bon ordre à cette imposture, à cette propagande.

Extraits du livre « La nature dans la physique contemporaine ».

Pour resituer le débat dans son contexte, il faut savoir que, dans ses chapitres précédents, Werner Heisenberg vantait sa participation aux combats de Munich en 1919. Il faisait donc partie des gangsters proto-fascistes qui, tels des milices supplétives, participèrent aux combats contre les travailleurs allemands.
Après ce bon début, il ne pouvait continuer sa vie que comme un bon larbin du Furher.
Si la légende propagée par les crypto-fascistes de l'université française fait de Heisenberg le défenseur de Einstein, ces guignols omettent de signaler que ce fut par efficacité qu'il prit une telle position : il était convaincu que l'aberration relativiste allait pouvoir rendre service au système nazi. Sa défense des thèses de Einstein était une défense des intérêts bien compris du nazisme.
Et, quand il envoie sa mère rencontrer la mère de Himmler, c'est pour obtenir un appui de celui-ci, afin de précipiter la construction de la bombe atomique nazie : on est bien loin du prétendu démocrate humaniste que ses thuriféraires défendent en France.
Ce sont les préparatifs de cette bombe qui incitera les USA - prévenus par Fermi - à préparer la leur.
Les mêmes thuriféraires, prenant appui sur une légende mensongère, tirent argument de son incarcération par la Grande Bretagne à la fin de la guerre. Mais la seule chose qui pourrait ressortir de l'espionnage de ses propos serait le fait qu'il aurait été incapable de mener à bout son projet de bombe nucléaire.
Comme si le fait d'utiliser un pistolet défectueux réduisait la culpabilité d'une tentative d'assassinat.
Comme si le fait que l'assassin, par incompétence géographique, se trompe d'adresse, allait lui accorder des circonstances atténuantes.
Heisenberg est un alchimiste incapable.

LES INEGALITES DU CHARLATAN

Ses inégalités sont une pure imposture qui ne contient en aucune façon la preuve de l'indéterminisme de l'univers : tout juste le fait qu'il existerait un photon maximal, dont la longueur d'onde serait minimal, et la fréquence maximale.
Mais les partisans de Heisenberg, en bons petits soldats occultes du fascisme, ne débattent JAMAIS, absolument JAMAIS, des thèses qui leur sont opposés.
Ils se contentent de pratiquer la censure, l'insulte, la menace.
Comme le fait l'imbécile Robby-Fabrice.

"Par contre je ne pense pas aux dérangés comme jorisa, amphysique, toutain, ni
aux sales types comme FDA, qui relevent plutot de la modération, je pense. "

Dans des forums autres que scientifiques, il va déverser sa haine et son aspiration à un ordre nouveau, dans lequel Internet sera à la botte des fascistes masqués que sont les partisans de Heisenberg.

Le charlatan anonyme Robby-Fabrice revendique être "chercheur au CNRS" et être libre : attention, il a effacé ses messages)
Un alter ego, le Ricky s'était fait mouché plus d'une fois par SRP-André Michaud quant à la mécanique quantique. Je ne peux qu'inciter le lecteur à retourner lire, dans les débats de newsgroups, les – justes – colères homériques d'André Michaud, adversaire de la foutaise de Copenhague et de ses agents crétins. L'imbécile Robby n'avance jamais un seul argument raisonnable.
Il est digne de son maitre Werner Heisenberg.
Là aussi, la révolution mettra bon ordre : les partisans de Heisenberg seront éjectés des structures pédagogiques avec un pied au postérieur. Leurs foutaises nous ont fait perdre, depuis 1927, plus de quatre-vingt ans.

Divers indices indiquent une rédaction de ce texte en 1949.

V. LA FOI EN NOTRE TACHE (extraits de « La nature dans la physique contemporaine »)
« Avec cette constatation, je suis presque revenu à mon point de départ. A l'origine de la culture occidentale, on trouve cette relation étroite, établie par les Grecs, entre l'énoncé de la question de principe et l'action pratique. C'est sur cette relation que repose encore aujourd'hui toute la force de notre civilisation. De nos jours encore, presque tout progrès en dérive, et, dans ce sens, se déclarer pour la culture humaniste signifie aussi simplement se déclarer pour l'Occident et sa force, génératrice de culture. »
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A peine cinq années - nous sommes en 1949 - se sont écoulées que le protégé de Himmler reparle de « notre civilisation », qu'il recommence à déguiser son rêve de III° Reich éternel sous la dénomination hypocrite de « Occident ».
Ce nom était celui d'un groupe de gangsters matraqueurs des années 70.

Quand au débat qu'il prétend lancer, cela se résume à : faut-il faire du grec ? Faut-il lire Démocrite et Leucippe quand on est étudiant en science ? C'est tout.
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« Mais en avons-nous encore le droit, alors que la puissance et l'autorité de l'Occident ont diminué au cours des dernières décennies dans des proportions si effrayantes ? -
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Il est clair, ici, que la crapule ne parle pas des USA, pour lui, c'est la défaite de Hitler qui l'attriste et l'inquiète.
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« A cela, nous répondrons en premier lieu qu'il ne s'agit pas du tout ici de ce à quoi nous avons droit ou autres choses semblables, mais uniquement de ce que nous voulons. En effet, ce n'est pas sur une notion théorique que repose toute l'activité de l'Occident, en vertu de laquelle nos ancêtres se seraient estimés en droit d'agir ; les choses se sont passées tout autrement. »
Le plus frappant de cette phrase, c'est ce « nos ancêtres ».
A quoi fait-il allusion d'autre que celle de la « race supérieure » aryenne.
Il parle de « nos ancêtres » qu'auraient été les Grecs.
Quelle farce !
« En droit d'agir » ! Crétin !
« En droit » de condamner à l'esclavage les malheureux du Laurion ?
« En droit » de soumettre les peuples ? De confisquer le trésor de Delos ?
DE quel droit s'agit-il ? Du droit du plus fort ?
Certainement ! Heisenberg le fasciste vient de le pratiquer !
Il a juste failli dans la fabrication de la bombe atomique.
« Au commencement était - et est toujours dans des cas semblables - la foi. Je ne parle pas seulement de la foi chrétienne en un univers harmonieusement ordonné par Dieu, mais aussi, plus simplement, de la foi qui consiste à croire en notre tâche ici-bas. Bien entendu, croire ne veut pas dire ici : tenir pour vrai ceci ou cela, mais croire signifie toujours : voici ce à quoi je me résous, voici ce sur quoi j'engage mon existence! Lorsque Christophe Colomb entreprit son premier voyage vers l'ouest, il croyait que la terre était ronde et assez petite pour qu'on en puisse faire le tour. Non seulement cette théorie lui paraissait exacte, mais il engagea sur elle son existence. A ce propos, dans l'histoire de l'Europe telle qu'il l'a récemment relatée et où il parle de ces questions, Freyer emploie à juste titre la formule antique : Credo ut intellegam - « je crois afin de comprendre »; et, l'appliquant aux grands voyages, Freyer l'a élargie en y ajoutant un terme intermédiaire : Credo ut agam; ago ut intellegam - « je crois afin d'agir ; j'agis afin de comprendre ». »
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Cette « philosophie de la volonté » est à l'exact opposé de la science et de son application révolutionnaire.
Trotsky – après ses prédécesseurs – disait : « fais ce que dois, advienne que pourra ! »
Le scientifique cherche à comprendre et agit en conséquence.
J'ignorais où m'entrainerait – à partir de 1993 – la compréhension du concept de « classe formoise » et de l'exploitation par les diplômés.
C'est l'exact inverse de l'aberration de l'abruti.
Il se garde bien de nous expliquer ce qui détermine l'action. Il se garde bien de déterminer les causalités premières.
Il évoquait ce problème plus haut dans son livre, mais en faisant l'impasse par une pirouette. Heisenberg est un charlatan en sciences humaines comme il l'est en physique.
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« Cette formule s'adapte non seulement aux premières circumnavigations, mais aussi à tout le domaine des sciences occidentales de la nature, je dirai même : à l'entière mission de l'Occident. Elle contient à la fois la culture humaniste et les sciences de la nature. D'autre part, ne nous laissons pas aller à des excès de modestie : une moitié du monde contemporain, à savoir l'Ouest, est parvenue à un degré de puissance incomparable en matérialisant, à un degré jusqu'alors jamais atteint, l'idée occidentale de la domination et de l'exploitation des forces naturelles par la science. L'autre moitié du monde, l'Est, tire sa cohésion de la confiance qu'elle a mise dans les thèses scientifiques d'un philosophe et économiste européen. »
Il est extraordinaire de constater cette présomption du fasciste : Les ruines des villes allemandes ne sont pas encore relevées que le ganster récuse déjà la modestie. La preuve de la validité des thèses de ce qu'il appelle « occident » ne sont pas des « preuves » elles sont l »affirmation d'une « puissance ».
On retrouve là le misérable facsite décrit par Wilhelm Reich, dont la pathologie fasciste est le résultat de ses névroses sexuelles.
Il nous épargne la crainte des maladies vénériennes contenu dans « le sang pur » des délires d'Hitler, mais sa « puissance » révérée fait partie de la liste des conséquences des troubles de l'orgasme rédigée par Reich dans ses « Fonction de l'orgasme » et « Psychologie de masse du fascisme ».
Ce petit nazillon qui donna ses premiers coups de fusil contre les ouvriers de Munich en 1919, finit sa vie comme il l'a commencé : en petit gangster admirateur du chef de bande par une homosexualité refoulée et proto-fasciste.
Heisenberg n'est rien d'autre que le petit SA de la fausse physique.
Pour structure son délire, il sera nécessaire d'extraire son héros, Hitler, de la chaine des causalités ordinaires : celui qui porte la volonté, celui qui agit, ne peut pas être une crétin frustré, un peintre jaloux, un chauvin borné exaspéré par la défaite de 1918, il ne peut pas être déterminé par son passé et son époque.
Alors le fasciste Heisenberg va tout mettre en œuvre pour faire disparaître le déterminisme lui-même.

FAIRE DISPARAÎTRE LE DETERMINISME

Il va inventer un délire – encore enseigné par les abrutis titrés professeurs – selon lequel « dans l'infiniment petit » , les causalités disparaitraient.
Plus haut, dans le livre – j'y reviendrai une autre fois – l'abruti ose titrer un chapitre « La décomposition du déterminisme » (V dans « La théorie de la relativité ») .
Il serait plus sage de parler de la « décomposition du cerveau de Heisenberg », de la « décomposition » du cerveau des abrutis qui se font payer des milliers d'euros dans les amphithéâtres de France et du reste de la planète pour venir faire leur propagande fasciste de la « décomposition du déterminisme ».
Il sera bientôt temps que les imbéciles qui bloquent les mobilisations étudiantes – en France et ailleurs – soient mis de côté pour retrouver les belles traditions des années 70.
Nous laissions les réactionnaires faire leurs cours, mais, dans tous les amphis, le contenu réactionnaire de TOUS les cours était démasqués.
Les bloqueurs, craignant pour leurs notes, pour leurs petits examens, pour leurs petits diplômes, pour leurs petits concours, se gardent bien de remettre en cause le CONTENU des cours.
En bloquant, ils empêchent les profs de faire des contrôles en leur absence, mais ils bloquent aussi toute possibilité de remettre en cause le contenu fasciste des cours.
Il serait temps que l'avant-garde égalitariste réussisse à empêcher de nuire la formoisie LCR et que les débats aient enfin lieu sur le CONTENU de ce qui est enseigné dans les universités – de France et d'ailleurs.
Il serait temps que les impostures de Einstein et de Heisenberg soient démasquées comme charlataneries imbéciles.
Il serait temps que la bigoterie égocentrique de l'évêque Berkeley que contient la « relativité » soit mise en lumière.
Il serait temps que le hasard fasciste et la volonté fasciste que contiennent les fariboles de la mécanique quantique soient mises en lumière.
Et que les profs qui les enseignent soient démasqués comme les propagandistes du Vatican et de l'hitlérisme.
Il serait temps que la révolution commence dans les universités, dans les lycées, dans les collèges.
Il serait temps que Newton revienne prendre ce qui lui est dû et que cessent les mensonges des baratineurs titrés.
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Personne ne sait ce que l'avenir nous réserve, ni quelles sont les puissances spirituelles qui gouverneront le monde, mais il nous faut commencer par croire à quelque chose et vouloir quelque chose.
Nous voulons que la vie spirituelle redevienne florissante ici, et qu'ici, en Europe, continuent à naître les idées qui déterminent l'aspect du monde. Nous engageons notre existence sur le pari que, dans la mesure où nous saurons nous souvenir de notre origine et retrouver le chemin vers la coopération harmonieuse des forces de notre continent, même les conditions matérielles de la vie en Europe deviendront plus heureuses qu'elles ne le furent au cours des dernières cinquante années. Nous voulons que notre jeunesse, en dépit du chaos extérieur, grandisse dans l'atmosphère spirituelle de l'Occident, et qu'elle puise aux sources de la force qui a fait vivre notre continent pendant plus de deux mille ans. Ne nous soucions qu'en second lieu des points de détail! Il n'est pas d'une importance primordiale que nous nous déclarions pour l'enseignement humaniste ou pour un autre système scolaire. Mais en tout cas et avant toute autre chose, nous devons nous déclarer pour l'Occident!
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Le « chaos extérieur » pour le fasciste, ce sont les mobilisations de nos cousins du Sud, c'est la victoire des troupes révolutionnaires en Chine contre la barbarie impérialiste, contre les marchands de drogue, contre les marchands d'opium, contre les criminels de l'impérialisme anglais et de leurs alliés compradores.
Ce « chaos extérieur » qui angoisse le fasciste, il l'a combattu en pourrissant les universités de l'intérieur par la défaire de Newton, par la défaite de Lénine.
Nous saurons recommencer et vaincre par les révolutions scientifiques matérialistes, en physique et en philosophie.
Les trois révolutions sociales en gestation et la révolution civilisationnelle mettront de l'ordre dans tout cela.
Elles seront aussi bien révolutions abolissant la propriété immobilière pour mettre fin à l'assassinat des SDF – par les bourgeois et les classes exploiteuses que révolutions intellectuelles pour mettre l'intelligence au poste de commande.
Mais cela les crétins ne peuvent pas le comprendre : seuls les plus lucides commencent à évoquer leur crainte de finir comme Louis XVI !
C'est un début vers la sagesse !

Traduction des textes du fasciste Heisenberg : A E Leroy.