mercredi 28 octobre 2009

Eddington à Principe 1919 ou Les mensonges des charlatans relativistes - les Jacques Merleau-Ponty, Paul Langevin, Stephen W. Hawkins, Etienne Klein .

Eddington à Principe 1919 ou Les mensonges des charlatans relativistes - les Jacques Merleau-Ponty, Arthur Eddington, Paul Langevin, Stephen W. Hawkins, Etienne Klein et les Albert Einstein de la secte relativistes ont détruit la science du 20° siècle.

Par Yanick Toutain
27/10/2009
Réécrit et complété le 28/10/2009

Jacques Merleau-Ponty est un apologiste de Albert Einstein, un thuriféraire acharné. Même un menteur patenté qui veut nous faire prendre des couleuvres pour de gentils animaux de compagnie et nous faire avaler ses potions d'alchimiste de l'Histoire : L'escroquerie de Eddington devient « des observations astronomiques » dont la publication « annonce la gloire » du crétin Einstein (p.42), le succès de ses expéditions « fut, du point de vue de Einstein,total ». Merleau-Ponty ose écrire (p. 57-58) – quant à la séance d'annonce des résultats que


« Le physicien J.J. Thomson, qui présidait, n'hésita pas à qualifier la théorie d'Einstein d' « un des plus grands monuments de l'histoire de la pensée humaine ».
Annoncé à Londres, à la Royal Society, le résultat des observations prenait un relief particulier parce qu'elles semblaient mettre fin au règne de Newton, dont le nom était naturellement associé depuis deux cent ans en Grande-Bretagne non seulement à la fondation de la science moderne mais aussi à l'idée d'une théologie naturelle capable d'accorder les conquêtes de la raison et de l'expérience avec les enseignements du christianisme. »

Il n'hésite pas à tremper sa plume dans le fiel du complot des charlatans et à participer sans scrupule au lavage de cerveau de la population naïve (p. 214 dans la partie « pseudo-scientifique » de l'ouvrage) en défendant la prétendue véracité d'une:

« valeur qui comme on sait devait être vérifiée de façon satisfaisante en 1919 et plusieurs fois depuis.(...) Le calcul du mouvement séculaire du périhélie de Mercure n'occupe qu'une demi-page à la fin du grand mémoire sur les « Fondements », part très disproportionnée à l'importance objective du résultat, et à celle qu'Einstein lui attribuait à l'époque et qui est attestée par les documents biographiques. (…) Sur la question de la gravitation et et de la lumière, les recherches des newtoniens, après Michell, Laplace, Soldner, donc depuis plus d'un siècle, avaient été abandonnées. Einstein innovait donc presque complètement.... »

Même le relativiste borné, l'Anglais Stephen W Hawkins, s'est cru obligé de reconnaître le mensonge que Merleau-Ponty s'acharne à propager : Dans son ouvrage « A brief history of time », il écrit (P. 32) :

« The proof of a German theory by British scientists was hailed as a great act of reconciliation between the two countries after the war. It is ironic, therefore, that later examination of the photographs taken on that expédition showed the errors were as great as the effect they were trying to measure. Their measurement had been sheer luck, or a case of knowing the result they wanted to get, not an uncommon occurrence in science. The light deflection has, however, been accurately confirmed by a number of later observations. »

« Des erreurs aussi grandes que l'effet qu'ils voulaient mesurer. » cela s'appelle une « absence totale de professionnalisme ».
Eddington et Einstein auraient de la « chance » ? Une farce.
Ce n'est même pas la peine d'énoncer une alternative : c'est la deuxième hypothèse qui est la bonne, le fait qu'il « connaissaient le résultat qu'ils voulaient obtenir ».
Cela s'appelle « une escroquerie », du charlatanisme, des pratiques mensongères.

Mais, Hawkins, cet ami du mensonge, s'il se croit contraint de rétablir la « vérité épistémologique » - en 1988 -, se sent tenu de verser son écot à l'entreprise de lavage de cerveau : ce qui était faux en 1919 aurait été « exactement confirmé par nombre d'observations ultérieures ».

Stephen W. Hawkins est un menteur.

Ce charlatan occupe le siège de Newton de façon totalement scandaleuse. Mais cette usurpation aura un mérite : il ne pourra pas prétendre ignorer l'existence de Newton, l'existence des Principia, l'existence du concept de « lieu absolu », l'existence du concept de « vitesse absolue ».

Et cela suffit à démonter l'imposture : Lui et ses comparses de la secte relativiste prétendent connaître « le lieu » du périhélie de Mercure … en refusant l'existence des « lieux ».

A quel endroit, la course de Mercure entraine-t-elle cette planète à proximité du Soleil, à son point le plus proche ? Impossible de le savoir si l'on ignore de quelle distance la Terre s'est déplacée durant le trajet de l'image de Mercure jusqu'à la Terre.
Il est pourtant facile de comprendre que l'image du Soleil que nous voyons n'est pas contemporaine de l'image de Mercure vue au même instant.
Il est pourtant facile de comprendre que pendant les plus de 8 minutes – durée du trajet de ces deux images – il est évident que la Terre ne s'est pas immobilisée dans l'espace vide.
Il est évident que la Terre a franchi une distance entre le moment où les composantes de l'image se sont formées – troupeau de photons ayant pris leur envol pendant une durée de plus de deux secondes – et le moment où les images ont été captées sur la Terre.
Et il est impossible de connaître cette distance sans connaître la VITESSE ABSOLUE de la Terre.
Mais tous les Stephen W. Hawkins refusent cette notion, ils refusent les « vitesses absolues », ils refusent cette quête, refusent cette recherche, refusent cette découverte.
Ils préfèrent insulter Newton et tenter de le faire passer pour un imbécile.

Ces insultes, ces mensonges, ces paranoias utilisées par la secte contre l'ennemi matérialiste vont de pair avec les insultes à l'adresse de Newton, comme à l'adresse de Lénine.




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