La classe formoise veut toujours plus.
La bourgeoisie des diplômes, la bourgeoisie du capital humain veut toujours consommer davantage.
Elle sabote les révolutions depuis les sabotages de Bersntein, Noske et autres crapules sociales démocrates.
Elle sabote les révolutions comme elle sabotait la révolution russe sous le déguisement menchévik.
Elle organisa la contre-révolution stalinienne à partir de janveir 1922 pour augmenter au maximum les écarts de salaire.
Mais cette classe d'exploiteurs dont le quartier général - après 1927 - était à Moscou (comme le quartier général de la classe capitaliste est à Langley) , alla jusqu'au crime pour préserver son pouvoir.
Le sabotage de la révolution allemande, le sabotage de la révolution chinoise avortée de 1927 ne lui suffisait pas : il fallut massacrer la totalité du parti bolchévique.
La crainte de l'égalitarisme augmentait les pathologies de Joseph Staline, le grand leader de la formoisie dans des proportions considérables.
Ce fut le fils de la criminelle stalinienne Eustacia María Caridad del Río Hernández
(qui aurait assassiné 20 militants trotskystes espagnols), lui-même agent du NKVD, qui sera chargé du meurtre de Trotsky.
Pour protéger les intérêts de la bourgeoisie de la formation, il fallait empêcher la construction d'une véritable Quatrième Internationale égalitariste. Il fallait empêcher de nouvelles révolutions bolchéviques, il fallait empêcher de nouvelles révolutions égalitaristes.
L'assassinat de Trotsky au Mexique devenait une urgence.
Le crime sera perpétré le 20 août 1940 dans la banlieu de Mexico.
Sous le double pseudonyme de Jacques Mornard et de Franck Jackson, l'agent stalinien Ramón Mercader commis le crime formois après avoir séduit une sympathisante troskyste.
STALINE CONTRE L'EGALITARISME
La lutte acharnée de la formoisie et de son chef contre l'égalitarisme rendait nécessaire le meurtre contre Trotsky.
La lutte de juillet 1917 des menchéviks, des socio-révolutionnaires et de leur chef Kerensky contre l'égalitarisme les avait entrainé les leaders formois jusqu'à passer alliance avec les fascistes des groupes racistes pro-tsaristes.
En août 1917, Kérensky complotait avec le général Kornilov.
Le but de la classe formoise était alors d'empêcher à tout prix le reversement de la classe capitaliste.
C'était la même crainte qu'avait la classe formoise - dans sa composante russe et internationale -. La bourgeoisie du capital humain craignait le renversement de la classe capitaliste et l'aspiration à l'égalitarisme qui allait monter.
Il avait fallu assassiner en Espagne et détruire la révolution anticapitaliste.
Les staliniens étaient allé jusqu'aux meurtres : assassinat des militants du POUM et des anarchistes.
L'inégalité des salaires que revendique le NPA et Olivier Besanenot est le point fondamental du programme de cette classe exploiteuse criminelle.
Cette classe formoisie profite des miettes distribuées par les esclavagistes tel Vincent Bolloré.
Miettes volées sur le dos des Africains.
Cette tradition du vol colonial, la direction pseudo-trotskyste du SWP la reprit : Ils soutinrent - avec l'aide de Krivine Mandel Sabado and Co, la répression contre le groupe "Brigade Simon Bolivar" de soutien à la révolution nicaraguayenne, groupe internationaliste créé à l'initiative de Nahuel Moreno.
La ligne politique du SWP qui évalua de plus en plus en faveur de Cuba était logique : Il fallait que les faux trotskystes de la formoisie étasunienne passent alliance avec l'ami de l'assassin de Trotsky.
Il était logique que la formoisie, base sociale de Krivine et de Besancenot glisse peu à peu en direction de Fidel Castro, le protecteur de Ramon Mercader.
Il est incarcéré à la prison Lecumberri de Mexico. Au bout de quelques années, il demande une libération sur parole qui lui est refusée par le médecin Jesus Siordia et le criminologue Q. Cuaron. Il n'est libéré que le 6 mai 1960 et se rend à La Havane, où il est bien accueilli par le gouvernement de Fidel Castro. En 1961, il part pour l'URSS ; il est fait Héros de l'Union soviétique et chevalier de l'ordre de Lénine. Il travaille à l'Institut du marxisme-léninisme. Il passe le reste de sa vie entre l'URSS et Cuba, travaillant pour le KGB et comme conseiller de Fidel Castro. Il meurt à La Havane en 1978.
Les Jeannette Habel et les autres - crypto staliniens déguisés en faux-trotskystes - sont bien les fidèles amis du protecteur de l'assassin de Trotsky.
Faire le grand écart n'a jamais gêné Jeannette Pienkny.
Mais, à la LCR, parfois, une voix sincère dévoile le pot aux roses.
A la LCR il existe Jeannette Habel, que j'apprécie beaucoup, mais surtout, son lien organique amitiées intime avec Fidel, le che et le PCCubain, amie de cuba ... même si elle reste aprés 40 ans la "cubaine", elle a pas sa langue dans la poche
Soutien à cuba libre...
Si tu ne connais pas Jeannette
tu peux lire...
HABEL JEANNETTE, RUPTURES A CUBA, 19,81., sa bio du che à moins que cela soit déjà fait...
Nos liens avec Cuba vont plus loin que tu ne peux l'imaginer... La preuve on a jamais voulu y construire une section... Plus encore...
Un cri de guerre... "Fidèl(e) à Cuba, CHE CHE GUEVARRA"...
Ils sont "trotskystes" comme le moyen d'emêcher la croissance de groupes égalitaristes. Ils sont "trotskystes" comme Jospin est "socialiste" et Buffet "communiste".
Des menteurs qui crachent sur Trotsky et le marxisme.
Une seule et unique chose compte pour eux : la défense acharnée des intérêts de la bourgeoisie des diplômes.
On lira avec intérêt le récit de la mort de Léon Trotsky par sa compagne,
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