mercredi 24 juin 2009

"Les esclaves de Bolloré" clip de la chanson censuré sur Rue89

Je reposte sur Rue89 la deuxième vidéo effacée cette nuit.

Sur les trois vidéos effacées cette nuit, deux portaient sur les crimes de la France-à-fric.
La deuxième, c'est une chanson sur « Les esclaves de Bolloré ».
Elle décrit les menaces subies par le leader Michael Agbor, menaces de mort quand il réclamait quelques euros à Vincent Bolloré.
Ce criminel Bolloré qui paye ses employés 50 euros par mois à Kienké, au Cameroun, comme dans le reste de l'Afrique est le digne successeur des capitalistes amis de Hitler qui utilisaient une main d'oeuvre quasi-grautite.
Ce monsieur Bolloré a l'habitude corrompre - AU VU DE TOUT LE MONDE - le président de France Nicolas Sarkozy.

La censure France à fric pratiquée, cette nuit, par RUE89 est l'occasion de rappeler les paroles de la chanson.
Ces paroles sont issues d'un article du journal Libération.
Après avoir mis Michael Agbor en lumière…. il y a un an… celui-ci a disparu des centres d'intérêts de la TOTALITE des journalistes français.
Je suis le seul à assurer sa « présence » télématique sur Internet.
http://www.google.com/search ? hl=fr&rlz=1Q1TSEA_frFR307FR308&num=100&neww…
La « republication » par LIBERATION de leur article initial
http://www.liberation.fr/monde/06021026-gabon-a-travers-sarkozy-c-est-la…

C'est ….moi qui l'ai faite. L'article a disparu dans les ordinateurs … en maintenance !








extrait du Youtube (qui ne se trouvait pas sur la publication d'hier, censurée :
http://www.youtube.com/watch ? v=7LrKHcN2YiE
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ils se sont échappés
ils voulaient des salaires décents
ils se sont évadés
ils sont devenus des immigrants

ils ne sont pas restés
avec les syndicalistes
pas de grève à Kienké
avec Michel Agbor qui résiste

ils se sont échappés
ils voulaient des salaires décents
ils se sont évadés
ils sont devenus des immigrants

plus d'électricité
en pure vengeance
le patron l'a coupé
il voulait l'obéissance
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9000 hectares de Socapalm
appartiennent à Socfinal
lourds régime de noix de palme
en belgique le patron final

propriétaire famille Fabri
40 pour cent à Bolloré
le grand ami de Sarkozy
bateau avion on peut l'acheter
====

ils ne se sont pas échappés
ils veulent des salaires décents
ils se sont pas évadés
ils ne sont pas devenus des immigrants

les larbins de Bolloré
ont menacé leur leader
« si tu continues on va te tuer »
menaces contre Michel Agbor

Les représentants des autorités
ont arrêté le syndicaliste
les esclaves ne doivent pas protester
pour les larbins sarkozystes
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10 000 planteurs 50 euros
ça fait pas cher à leur verser
les assassins sont un cadeau
pour les esclaves de Bolloré

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ils ne se sont pas échappés
ils voulaient des salaires décents
ils ne se sont pas évadés
ils ne sont pas devenus des immigrants

les larbins de Bolloré
ont menacé leur leader
« si tu continues on va te tuer »
menaces contre Michel Agbor

nous on sait qu'on va les extrader
pour répondre de tous ces morts
ça leur pend au bout du nez
au corrompu et au corrupteur (bis)

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Cette chanson a été écrite juste après « Les évadés » et lui fait suite.
Elle fait partie de l'introduction à la chanson non encore enregistrée « L'aimes-tu ? » qui traite des mariages « forcés » : Il ne peut être question de comprendre ce qui se passe ici et en Afrique si l'on oublie que la fortune de Vincent Bolloré provient de ce qu'il est un esclavagiste qui verse 50 euros par mois à ses dizaines de milliers d'esclaves au Cameroun - comme partout ailleurs en Afrique - pour un travail quasi gratuit.
Les prétendus « immigrés » pourchassés par la police de celui qu'il a corrompu - Nicolas Sarkozy - (avec son avion, son bateau etc…) sont des esclaves en fuite qui fuient l'esclavage Bolloré, qui fuient le gigantesque camp de travail qu'est devenu l'Afrique occupée.
Les gens condamnés qui comparent la France à Vichy se trompent. Les Pétain-Laval ne sont pas en France, ils sont en Afrique, ce sont les anciens militaires français, qui, sous le titre de présidents du Gabon, du Cameroun etc … gèrent l'occupation des forces militaires qui surveillent le camp de travail.
La France, elle, elle doit se comparer à l'Allemagne nazie.
Il est même probable que la valeur globale du travail que la France vole quotidiennement à l'Afrique est bien supérieure à la valeur du travail volée par Hitler aux Français.
Quant au nombre de morts, il n'a aucune commune mesure : la France fait bien plus de victimes que ce que Hitler et les nazis ont fait : 3 millions de bébés africains de moins de un an meurent chaquze année. Le pic de la Shoah, en 1942 fut de 2 millions 600 000 victimes.
Sarkozy et Bolloré assassinent plus de bébés africains que le total des camps de la mort.
Et ils le savent : le nombre de trois millions est officiel pour l'année 2005 et figure sur le site gouvernemental de l'Institut National des Etudes Démographiques (INED).
Tout cela sera jugé !


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