vendredi 28 novembre 2008

Claude Lévi-Strauss (de l'Académie Française !) est un raciste








Claude Lévi-Strauss (de l'Académie Française !) est un raciste


Le raciste a cent ans



Par Yanick Toutain
28/11/08 16:14



Quand le raciste Péan est acquitté par un juge couché (couché par le parquet !), quand la ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie est complice des criminels de l'Hôtel Ivoire à Abidjan (le général Poncet et son gangs d'assassins) et est allée jusqu'à mentir pour les protéger, quand un des coupables du génocide au Rwanda, François Léotard (le ministre de l'Attaque Impérialiste à l'époque), persiste à venir se pavaner dans les médias en revendiquant le rôle "positif" qu'il aurait joué lorsqu'il a envoyé l'armée "française" exfiltrer les gangsters du Hutu Power, en 1994, lorsqu'il fait l'apologie d'une armée "française" qui a construit un barrage pour arrêter l'offensive des libérateurs du FPR (dirigés par Paul Kagamé) après que cette armée ait participé à la formation des génocidaires et qu'elle se soit même compromise à des opérations de police raciste, après qu'elle se soit compromise à des actions militaires contre le FPR, il fallait bien des idéologues pour donner à ces criminels - Péan, Alliot-Marie, Léotard et toute la liste des généraux français que la justice rwandaise vient de publier- une assurance intellectuelle.

L'humanité est gentille à deux conditions : le savoir et la bonne foi.
Le rôle des idéologues est de fabriquer la mauvaise foi des classes dominantes. Le rôle des médias bourgeois est de diffuser ce point mensonger tout autour d'eux.
L'usine à fabriquer le mensonge se trouve donc au coeur de l'Université française.
Il n'est donc pas étonnant qu'une crapule comme Lévi-Strauss soit honoré par les institutions de la classe bourgeoise exploiteuse, par la classe bourgeoise impérialiste, par la classe bourgeoisie génocidaire.
Il n'est pas étonnant que l'auteur de l'immondice ordurier appelé "Race et histoire" soit honoré par un pouvoir corrompu dont le président est littéralement acheté par le principal esclavagiste de l'Afrique - acheté par Vincent Bolloré contre l'aide apportée par l'occupation militaire et la surveillance des plantations de Bolloré.



Le fait que Nicolas Sarkozy soit un crétin dépourvu de culture ne suffit pas.

Sans les idéologues, son cerveau s'écroulerait en quelques heures, sans toute la clique des Lévi-Strauss et des seconds couteaux tels que Pierre Péan, son cerveau tel qu'il fonctionnait à l'âge de dix ans recommencerait à fonctionner.
Seul le mépris de nos cousins Africains peut autoriser le cerveau de ces gens à fonctionner sur un mode pathologique.
La "victoire" des protecteurs des Indiens - Las Casas etc...- rendit une âme aux habitants du continent qui allait être affublé du nom de l'obscur cartographe Américo Vespucci.
Il fallut que les idéologies de l'époque, les Claude Lévi-Strauss du 16° siècle fassent leur sinistre besogne pour que nos cousins d'Afrique, privé d'âmes, devenus "noirs", devenus "une race", soit razziés, il fallut cette sinistre besogne idéologique menés par les idéologues racistes du Vatican pour que les cerveaux des Espagnols puissent accepter l'esclavage et le triangle maudit.

Au Congo, ex Zaïre, quand le correspondant de la Frankfurte Algemeine Zeitung, le journaliste belge Thomas Scheen après un enlèvement de trois jours, vient nous rapporter les preuves de l'alliance totale entre les forces armées du fils Kabila, l'armée de RDC, les Maï-Maï et les génocidaires du Rwanda, il faut des Levi-Strauss pour cautionner l'inconscient de la bourgeoisie, il faut des idéologues racistes pour rassurer secrètement les lecteurs du Figaro sur le fait qu' "ils" - les Africains - ne sont pas tout à fait comme "nous".



Il serait encore possible de collaborer avec le fils de Kabila quand celui-ci met ses mains dans le sangs de victimes du génocide de 1994.

Le maire de Wimille distribuait des dictionnaires aux élèves de CM2. Gratuitement. C'est très bien.
Ce qui l'est moins, c'est le contenu de ce dictionnaire Larousse.
Une abjection raciste ! On y apprend l'existence des races !!
D'où les imbéciles du Larousse ont-il sortis leurs âneries abjectes ?
Mais du livre de l'ONU !!! du livre de l'UNESCO, du livre de Claude Lévi Strauss, du livre de crétin centenaire de la bourgeoisie.


"les grandes races primitives qui formaient l'humanité à ses débuts - blanche,
jaune, noire"

-==

Et les poils que nos ancêtres portaient, crétin ! Tu n'y a pas pensé ?
Comment faire foncer la peau de l'humanité "à ses débuts" lorsque nos ancêtres avaient encore leur pilosité ?


==

"Mais le péché originel de l'anthropologie consiste dans la confusion entre la notion purement biologique de race (à supposer, d'ailleurs, que, même sur ce terrain limité, cette notion puisse prétendre à l'objectivité ce que la génétique moderne conteste) et les productions sociologiques et psychologiques des cultures humaines."
==
Pour le crétin, il faut une notion de race, mais pas que notion "purement biologique"
===

"Aussi, quand nous parlons, en cette étude, de contribution des races humaines à la civilisation, ne voulons-nous pas dire que les apports culturels de l'Asie ou de l'Europe, de l'Afrique ou de l'Amérique tirent une quelconque originalité du fait que ces continents sont, en gros, peuplés par des habitants de souches
raciales différentes."

===
des "souches raciales" !!! On se croirait dans Mein Kampf !!!
==

Il y a beaucoup plus de cultures humaines que de races humaines, puisque les unes se comptent par milliers et les autres par unités : deux cultures élaborées par des hommes appartenant à la même race peuvent différer autant, ou davantage, que deux cultures relevant de groupes racialement éloignés.

===
Nous voilà édifiés : le crétin membre de l'Académie française connaît le NOMBRE DE RACES !!!!
Il a inventé un système de COMPTAGE !!!

Il est vraiment plus que temps de dégager de la scène de l'histoire cette pourriture dégénérée qu'est la classe bourgeoise.
Elle nous ressort de pauvres gâteux qui n'ont pas encore compris ce que fut le nazisme !

Mais pour l'édification complète du lecteur, je viens de scanner l'introduction et le premier chapitre de l'abjecte brochure.
Il pourra compléter son analyse et le "raisonnement" de l'imbécile usurpateur centenaire.
Pour ma part, je retourne respirer en relisant Bronislaw Malinowski et Wilhelm Reich !
Quand meurent des SDF honnêtes dans les Bois de Vincennes, il est logique que des Sarkozy honorent leurs intellectuels : occuper, piller l'Afrique, mérite d'honorer ceux qui légitiment cette abomination.


========
RACE ET HISTOIRE

Ce livre abject, écrit par un misérable crétin, est précédé d'un avertissement.
Cet avertissement nous montre que l'ONU n'était pas seulement - comme le fut la SDN - un repaire de brigands, mais aussi et surtout un repaire de crétins.
Jacques Diouf, qui ne démissionna pas après les 700 milliards de Obama, les 360 milliards de Sarkozy, les milliers de milliards d'euros distribués quand l'Afrique crève, réunit les deux caractéristiques.

===
AVERTISSEMENT


En 1952. l'Unesco publiait une série de brochures consacrées au problème du racisme dans le monde. Parmi celles-ci, Claude Lévi-Strauss donnait, avec “Race et histoire" un court essai qui dépassait de beaucoup son sujet pour introduire à une réflexion nouvelle sur la culture occidentale, le sens de la civilisation, le caractère aléatoire du temps historique, etc. En fait, c'était déjà quelques-uns des principes de la pensée actuelle de l'auteur qui, sans technicité exagérée et dans une langue toujours claire et précise, s'y trouvaIent formulés. Mais, à l'époque. Lévi-Strauss qui avait publié trois ans auparavant "Les structures élémentaires de la parenté" était connu des seuls spécialistes; il était encore le “ Professeur ” Claude Lévi-Strauss, Aujourd'hui, il est devenu le maître du structuralisme dont le nom est connu d'un large public.

L'ÉDITEUR.

=====

1 RACE ET CULTURE


Parler de contribution des races humaines à la civilisation mondiale pourrait avoir de quoi surprendre, dans une collection de brochures destinées à lutter contre le préjugé raciste. Il serait vain d'avoir consacré tant de talent et tant d'efforts à montrer que rien, dans l'état actuel de la science, ne permet d'affirmer la supériorité ou l'infériorité intellectuelle d'une race par rapport à une autre, si c'était seulement pour restituer subrepticement sa consistance à la notion de race, en paraissant démontrer que les grands groupes ethniques qui composent l'humanité ont apporté, en tant que tels, des contributions spécifiques au patrimoine commun.
Mais rien n'est plus éloigné de notre dessein qu'une telle entreprise qui aboutirait seulement à formuler la doctrine raciste à l'envers. Quand on cherche à caractériser les races biologiques par des propriétés psychologiques particulières, on s'écarte autant de la vérité scientifique en les définissant de façon positive que négative. Il ne faut pas oublier que Gobineau, dont l'histoire a fait le père des théories racistes, ne concevait pourtant pas 1' ~ inégalité des races humaines, de manière quantitative, mais qualitative : pour lui, les grandes races primitives qui formaient l'humanité à ses débuts - blanche, jaune, noire - n'étaient pas tellement inégales en valeur absolue que diverses dans leurs aptitudes particulières. La tare de la dégénérescence s'attachait pour lui au phénomène du métissage plutôt qu'à la position de chaque race dans une échelle de valeurs commune à toutes; elle était donc destinée à frapper l'humanité tout entière, condamnée, sans distinction de race, à un métissage de plus en plus poussé. Mais le péché originel de l'anthropologie consiste dans la confusion entre la notion purement biologique de race (à supposer, d'ailleurs, que, même sur ce terrain limité, cette notion puisse prétendre à l'objectivité ce que la génétique moderne conteste) et les productions sociologiques et psychologiques des cultures humaines. Il a suffi à Gobineau de l'avoir commis pour se trouver enfermé dans le cercle infernal qui conduit d'une erreur intellectuelle n'excluant pas la bonne foi à la légitimation involontaire de toutes les tentatives de discrimination et d'exploitation.
Aussi, quand nous parlons, en cette étude, de contribution des races humaines à la civilisation, ne voulons-nous pas dire que les apports culturels de l'Asie ou de l'Europe, de l'Afrique ou de l'Amérique tirent une quelconque originalité du fait que ces continents sont, en gros, peuplés par des habitants de souches raciales différentes. Si cette originalité existe - et la chose n'est pas douteuse - elle tient à des circonstances géographiques, historiques et sociologiques, non à des aptitudes distinctes liées à la constitution anatomique ou physiologique des noirs, des jaunes ou des blancs. Mais il nous est apparu que, dans la mesure même où cette série de brochures s'est efforcée de faire droit à ce point de vue négatif, elle risquait, en même temps, de reléguer au second plan un aspect également très important de la vie de l'humanité : à savoir que celle-ci ne se développe pas sous le régime d'une uniforme monotonie, mais à travers des modes extraordinairement diversifiés de sociétés et de civilisations ; cette diversité intellectuelle, esthétique, sociologique, n'est unie par aucune relation de cause à effet à celle qui existe, sur le plan biologique, entre certains aspects observables des groupements humains: elle lui est seulement parallèle sur un autre terrain. Mais, en même temps, elle s'en distingue par deux caractères importants. D'abord elle se situe dans un autre ordre de grandeur. Il y a beaucoup plus de cultures humaines que de races humaines, puisque les unes se comptent par milliers et les autres par unités : deux cultures élaborées par des hommes appartenant à la même race peuvent différer autant, ou davantage, que deux cultures relevant de groupes racialement éloignés.
En second lieu, à l'inverse de la diversité entre les races, qui présente pour principal intérêt celui de leur origine historique et de leur distribution dans l'espace, la diversité entre les cultures pose de nombreux problèmes, car on peut se demander si elle constitue pour l'humanité un avantage ou un inconvénient, question d'ensemble qui se subdivise, bien entendu, en beaucoup d'autres.
Enfin et surtout on doit se demander en quoi consiste cette diversité, au risque de voir les préjugés racistes, à peine déracinés de leur base biologique, se reformer sur un nouveau terrain. Car il serait vain d'avoir obtenu de l'homme de la rue qu'il renonce à attribuer une signification intellectuelle ou morale au fait d'avoir la peau noire ou blanche, le cheveu lisse ou crépu, pour rester silencieux devant une autre question à laquelle l'expérience prouve qu'il se raccroche immédiatement s'il n'existe pas d'aptitudes raciales innées, comment expliquer que la civilisation développée par l'homme blanc ait fait les immenses progrès que l'on sait, tandis que celles des peuples de couleur sont restées en arrière, les unes à mi-chemin, les autres frappées d'un retard qui se chiffre par milliers ou dizaines de milliers d'années? On ne saurait donc prétendre avoir résolu par la négative le problème de l'inégalité des races humaines, si l'on ne se penche pas aussi sur celui de l'inégalité - ou de la diversité - des cultures humaines qui, en fait sinon en droit, lui est, dans l'esprit public, étroitement lié.

Aucun commentaire: