Bravo Joffrin !
Par Yanick Toutain
29/11/08 09:57
Le crétin raciste se rebiffe à bon droit.
Il prend la défense énergique de son journaliste -Vittorio de Filippis, ex-directeur de publication - interpellé comme un malandrin par une juge qui pète une durite.
A 6 h 40 du matin.
Menottes dans le dos !
Il donne (sur la radio) le nom de cette juge déséquilibrée "Muriel Josié" : il a raison !
Il assaisonne de commentaires méprisants cette imbécile : "Elle envoie la maréchaussée au petit matin", "Par le caprice d'un juge", il a raison !
"Attitude humiliante et scandaleuse", il a raison !
Il lui rappelle son code de procédure pénale : "peu d'instruction... encore moins de jugeote" : il a raison !
Si nous gardons la mémoire concernant Joffrin, le larbin du capitalisme qui croit que "juif" serait une race, si nous conservons, une fois la révolution arrivée, toutes voies de recours (y compris rétroactives) pour lui faire ravaler ses âneries racistes, pour ce qui concerne la plainte déposée par un capitaliste - qui plus est, un capitaliste débouté deux fois de ses plaintes - FREE, au nom mal choisi - il a cent pour cent fois raison !!!.
Pour que cette dame, au service de la criminelle classe capitaliste, au service de cette classe qui a détruit la Terre, en arrive à infliger au responsable d'un site Internet les humiliations médiévales que cette police proto-fasciste se croit obligée de considérer être l'ordinaire du Reich mondial auquel aspire l'oligarchie, il y a deux solutions : ou bien son attitude déséquilibrée relève de la nécessité urgente d'un congé maladie - congé que nous dissuaderons les officines patronales d'interrompre sous aucun prétexte -, ou bien son déséquilibre relève de pressions protofascistes d'un parquet sarkozyste n'ayant pas encore compris le syndrome Ceausescu dont ils seront bientôt infligés !
Cette dame Josié est vice-présidente du Tribunal de grande instance de Paris.
Mais où se croit arriver ce personnel judiciaire ?
Ils obéissent à un parquet dirigé par un corrompu notoire ! Ils prennent leurs ordres auprès d'une marionnette - Nicolas Sarkozy - marionnette manipulée par Vincent Bolloré dans le but d'assurer un niveau d'exploitation rentable : des salaires de 50 euros par mois dans ses plantations esclavagistes, au Cameroun, à Kienké, comme ailleurs en Afrique.
Un des rares honnêtes hommes de cette profession, le juge Bernard Borrel, a été assassiné par des gens dont les protecteurs appartiennent à cette profession elle-même !
Des juges, impunément, ont osé donner des conseils aux assassins.
Ont-ils reçu des ordres de Rachida Dati pour agir ainsi ?
Si la classe formoise ne cherche pas la vérité, ce sera la révolution qui le fera.
La révolution cherchera la vérité partout ! Elle cherchera la vérité des cadeaux faits au trafiquant de drogues dures, frère de Rachida Dati.
La révolution cherchera la vérité concernant la façon dont les commerçants des poisons qui tuent la jeunesse ont des protecteurs parmi les juges.
Il y a des juges pourris dans ce pays ! Des procureurs pourris jusqu'à la moelle !
Cette dame qui ose revenir aux lettres de cachets, qui a le vice suffisant pour infliger à un journaliste des explorations anales, aurait grand besoin de profiter de la construction d'une science psychologique efficace.
Elle aurait, certes, à se plaindre de l'état déplorable dans lequel les charlatans freudiens ont laissé la science psychologique.
Mais rassurons-la : il reste suffisamment de l'héritage de notre maître Wilhelm Reich pour que nous puissions, en parfaite connaissance de cause, lui indiquer d'où vient la pathologie qui consiste à vouloir faire des explorations anales policières réitérées à un journaliste en voie d'être inculpé pour diffamation : la cause en est clarifiée par Wilhelm Reich grâce à ses travaux sur "La fonction de l'orgasme", sur "La révolution sexuelle", sur "L'analyse caractérielle", et surtout son extraordinaire "Psychologie de masse du fascisme" !
La cause de cette volonté exploratoire matinale, c'est un problème sexuel !!
Elle pourra donc envisager de prendre à bras le corps ce qui a pu l'inciter à exiger de pareilles explorations anales de bon matin !
UNE MISE EN EXAMEN ANALE ?
Nous pourrions, dans d'autres circonstances lui pardonner son geste, mais la mise en examen qu'elle a prononcé avait, il y a encore peu de temps, le sens d'inculpation.
La confusion qu'elle semble - par un coup de surchauffe cérébral - avoir opéré entre le terme "inculpation" et l'expression "mise en examen" a trop de similitudes avec les caméras que veut placer partout la protectrice du général Poncet - Michèle Alliot-Marie - pour que nous puissions passer l'éponge aussi facilement !
Cette violence policière a trop de similitudes avec des brutalités qu'aurait opéré la police fasciste dont nous aurions subi les conséquences si Le Pen était arrivé au pouvoir pour que nous puissions se contenter d'un simple constat.
Cela pourrait être drôle si une police proto-fasciste n'avait pas mis des menottes - dans le dos !!! - à Vittorio de Philippi.
Qui plus est, en présence de ses propres enfants !!!
Je fus victime d'un groupe de protofascistes de ce genre, il y a une dizaine d'années : menottes dans le dos pour avoir pris la file de gauche d'un boulevard afin de bifurquer, au feu vert, vers la gauche : "Vous zigzaguiez", prétendait l'imbécile crétin, l'imbécile menteur !"
Menottes serrées dans le dos. A mes protestations sur la légalité de leurs actes, sur la façon dont les bracelets étaient scandaleusement serrés, le plus jeune des crétins en uniforme de policier de la cinquième section répondit : "La loi, c'est nous qui la faisons !"
Il résumait, par-là, le niveau d'infiltration fasciste de l'Etat bourgeois.
La libération du frère de Rachida Dati, les protections des assassins du juge Borrel par des juges dégénérés sont, au même titre que les brutalités policières organisées par cette juge stupide et fatiguée sont, eux aussi, les signes qui indiquent le niveau d'infiltration fasciste de l'Etat bourgeois.
Cette dame croit que c'est elle "qui fait la loi".
Cette dame croit qu'un corrompu notoire, tel que Sarkozy, lui aurait conféré une grâce jurisprudentielle, qui lui permettrait, selon son bon vouloir, selon les idées diverses et variées, qui lui passent par la tête, selon les résultats des surmenages qui la guettent quand elle croit voir l'exercice d'une intelligence brillante et extraordinaire, de faire ce que bon lui semble : rédiger des lettres de cachet !
Elle aurait raison si ses comparses proto-fasciste avaient réussi à approfondir leur pouvoir.
Mais la bourgeoisie craint ce qui se prépare.
Lorsque le procureur - supérieur des crétins de la cinquième section policière - osa me transmettre un faux en écriture publique, ces imbéciles crurent que le vent tournait définitivement en faveur de l'arbitraire, ils crurent avoir le vent - fasciste - en poupe.
Mas cet imbécile de procureur avait oublié un petit détail : des dizaines de copies circulent sur Internet décrivant l'étendue de leur comportement proto-fasciste.
Ils ne pourront jamais plus effacer cela !
Et la révolution n'aura qu'à recueillir ces dizaines de petits cailloux pour trouver le chemin de la répression anti-fasciste.
Car, seuls les imbéciles ne peuvent le comprendre, la révolution est inéluctable, ainsi que sa victoire.
Elle est inéluctable car seul le bolchevisme libéral que sera l'égalitarisme permettra de faire cesser la destruction actuelle de la Terre.
Les imbéciles de la cinquième section, une fois arrivés au commissariat reprirent leurs esprits et effacèrent toutes traces des événements.
"Leur loi" proto-fasciste avait perdu ses moyens !
Mais rien ne sera oublié !
Rien !
Je mets, régulièrement, une petite piqûre de rappel sur le crime que commit ce procureur (crime sans prescription possible car faux en écritures publiques !!!).
Et ces imbéciles ne peuvent rien faire !
Ils ont déshonoré le nom de la juge Monique Paillette, ce procureur a eut le culot de vouloir, par un courrier signé PCC, faire porter le chapeau à quelqu'un d'autre.
Mais rien ne sera oublié !
Ces imbéciles n'ont toujours pas compris le pouvoir d'Internet !
Ils n'ont toujours pas compris qu'il s'agit d'un journal, mais un journal que chacun pourra, en tant que journaliste libre, rédiger, mais un journal dont les archives sont en permanence accessibles.
Mais un journal qui deviendra l'aune de réputation de chacun.
Même les stalino-capitalistes, bourreaux de la Chine l'ont compris ! Mais cette dame, elle n'a rien compris.
Elle n'a pas encore compris que ses petits enfants, ses petits-neveux, arrière-petits-neveux, arrière arrière-petits-enfants se gausseront de ses délires dans trente ans.
Ils se gausseront en se passant le mot comme se passent le mot les jeunes apprentis juristes se gaussant des arrêts de c. cass. les plus scandaleux, les plus scabreux !
Elle n'a pas compris que chacun de ses actes sera soumis au jugement de la totalité de sa famille à venir, et cela pendant plus de quatre générations !
Cette dame est aussi stupide que le furent les plaignantes Combret et Hervieu : en nous accusant de mentir, ces dames ont définitivement perdu leur honneur !
Et cela avant même que la révolution victorieuse ne leur aura supprimé leurs droits civiques et interdit toute approche d'enfants.
En mettant Vittorio de Philippi en examen, cette dame vient de se casser elle-même, définitivement !
Rien ne sera oublié !
Rien !
Lorsque le collègue de cette dame surmenée - procureur du Havre - eut l'indécence scandaleuse de convoquer Julie Amadis et moi-même suite à la plainte en diffamation déposée par une brute directrice d'école maternelle -Véronique Combret - et sa protectrice principale de collège Carole Hervieu, il se contenta d'un petit papier déposé dans une boîte aux lettres.
Si le motif n'y figurait pas, pour autant, il n'y eu ni menottes ni aucune autre humiliation.
Le policier gradé fut d'une courtoisie inconnue des primitifs de la cinquième section "qui font la loi eux-mêmes".
Il put même comprendre le cadre dans lequel le combat contre les violences criminelles exercées par l'une des plaignantes contre les petits de maternelle s'inscrivait dans un combat pour le renversement définitif de la classe capitaliste et de toutes les classes exploiteuses, dans le but de sauver la planète tout en protégeant les enfants et en leur assurant un avenir d'innovants.
Il n'y a rien d'étonnant à ce que ceux qui se trouvent près des égouts du sarkozysme puissent être ouverts à comprendre une lueur d'avenir possible.
On n'en dira pas autant des procureurs, inspecteurs et recteur d'Académie qui se comportèrent en protecteurs des criminelles brutes qui usent de violence contre des petits de moins de sept ans.
Ce n'est pas en crime ? Pas encore ?
Que nenni ! La révolution rendra rétroactive la loi punissant les coups contre les petits enfants ne sachant pas lire, contre les petits de moins de sept ans.
Et la Combret et ses complices, procureur, inspecteurs, et Recteur seront jugés pour ces crimes et les complicités.
L'Histoire en témoignera !
Sans un De Gaulle pour interrompre les procédures ! Sans un De Gaulle pour freiner l'épuration de l'Etat fasciste !
Laurent Joffrin a raison !
Qu'il tente d'utiliser le droit de la bourgeoisie pour faire cesser le scandale ! Mais quoi qu'il advienne, cette dame aura, de toute façon, des comptes à rendre à la révolution elle-même.
Ces gens ne semblent pas comprendre qu'il leur fallut un De Gaulle pour "égarer" les partisans de l'épuration "dans les maquis de l'administration" - ainsi qu'il s'en vanta dans ses mémoires concernant les collabos fascisants de Toulouse qu'il voulut blanchir.
La révolution ne blanchira personne, et surtout pas cette dame.
L'épuration sera impitoyable : il n'y aura aucun pardon pour les imbéciles !
La révolution lui prêtera le livre qui me fut volé, en mai 1977, par la sécurité militaire, au 34° RG, à Épernay, la révolution lui prêtera l'ouvrage "La fonction de l'orgasme".
Elle comprendra pourquoi, et par quelle méthode, je me moquais en 1977, des gradés sous-officiers, rigidifiés par leur cuirasse musculaire, leur cuirasse caractérielle.
Il serait temps qu'elle guérisse sa propre cuirasse caractérielle et qu'elle foute la paix au journaliste Philippi.
Quant au désaccord que les égalitaristes ont avec son patron Joffrin, il ne reviendra pas à cette dame ni à aucun rigidifié proto-fasciste de se mêler de ce qui ne le regarde pas.
Heureusement, l'an dernier, à Bordeaux, les jeunes magistrats de l'école idoine eurent le bon goût de relever l'honneur du droit et la tradition de notre chère Antigone : quand une dame, à la cuirasse caractérielle défectueuse, en vient à des mises en examen scatologiques, eux, eurent l'intelligence constructive de choisir comme nom de leur promotion le nom du juge Borrel.
Tout n'est pas perdu !
La révolution mettra bon ordre à tout cela !!!
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PS (22h00)
maître Eolas assimile une mise en examen anale à une PERQUISITION !
samedi 29 novembre 2008
Bravo Joffrin !
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Vittorio de Filippis,
Yanick Toutain
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