dimanche 13 avril 2008

La France torture l'Afrique (2)

La rédaction de rue89 a déplacé vers la première page le texte de réponse que je faisais à l'intéressant article de Pascal Riché.
Le nombre de lecteurs qui liront cette réponse dans la sélection de rue89 augmentera d'autant.

Google a pris acte de l'intérêt de ma réponse, complémentaire de l'article : la recherche sur le nom "Christophe Rastouil" donne ce résultat

On découvre sur un des liens que sa promotion comme colonel eut lieu sous le gouvernement de Lionel Jospin.
Je n'ai pas trouvé la page avec la signature.

Sans préjuger de l'annonce officielle de sa condamnation (quoi que le silence général des médias français peut s'interprêter comme un aveu généralisé de la culpabilité effective de l'armée française de ce dont les soldats suèdois l'accusent, on peut remarquer que ce Lionel Jospin -ex faux-trotskystes, ex vrai-lambertiste, a participé à la nomination d'un paquet de massacreurs d'Africains.
En effet, ce Christophe Rastouil porte la culpabilité collective du décès quotidien de 8200 petits bébés africains, morts chaque jour de sa présence en tant que gradé de l'armée d'occupation fasciste : qu'il ait ou non participé à la torture et à l'asssassinat du congolais Joseph n'est qu'un meurtre à ajouter ou non à la liste des meurtres dont l"armée de Vincent Bolloré est coupable pour assurer les salaires de misère de ses esclaves africains.

La lâcheté des militaires français coupables de ces crimes est proportionnelle à la fortune de Vincent Bolloré , lâcheté proportionnelle au degré de corruption qu'a atteint le sommet de l'Etat en la personnne de Nicolas Sarkozy, corrompu notoire à la face de tout le monde (bateau, avions etc..).
Armée sans honneur, armée de lâches, armée de protecteurs du corrupteur et du corrompu.
Ces gens verront leurs drapeaux brûler !
Ce sera le signe de leur insignifiance, de leur petitesse, de leur lâcheté, face au courage qui fut celui des militaires portugais qui, eux, réussirent à en finir avec l'esclavage colonial.

Aucun commentaire: