lundi 23 février 2009

La Relativité par Albert Einstein. Sources. Chapitre 1. Une analyse critique détaillée du livre de Einstein le crétin.

Une analyse critique par Yanick Toutain
(23 février 2009)

La Relativité par Albert Einstein. Sources. Chapitre 1.


Les chapitres 7 et 8 sont, depuis longtemps, en ligne. Ils n'ont déclenché – de la part des crétins gardiens de l'orthodoxie - aucun critique construite.


YT : Ce chapitre 1– totalement inutile – ne sert qu'à mettre le lecteur en condition d'écouter les fariboles qui suivront dans les chapitres suivants.




PREMIÈRE PARTIE

LA THÉORIE DE LA RELATIVITÉ RESTREINTE (1)

(Traduit d'après la quatorzième édition allemande (M.S.))

[Ce M. S. abscons est probablement Maurice Solivine NdYT]

LE CONTENU PHYSIQUE DES PROPOSITIONS GÉOMÉTRIQUES

Sans doute avez-vous, cher lecteur, quand vous étiez jeune garçon, fait la connaissance du superbe édifice de la Géométrie d'Euclide, et vous vous rappelez peut-être, avec plus de respect que de plaisir, cette imposante construction sur le haut escalier de laquelle des maîtres consciencieux vous forçaient de monter pendant des heures innombrables. En vertu de ce passé vous traiteriez avec dédain toute personne qui regarderait même la moindre proposition de cette science comme inexacte. Mais ce sentiment de fière certitude vous abandonnerait peut-être, si l'on vous posait cette question : « Qu'entendez-vous par l'affirmation que ces propositions sont vraies ? » A cette question nous voulons nous arrêter un peu.


YT : La technique favorite de l'escroc est la déstabilisation préalable. Il invoque une autorité telle que celle de Euclide ou de Newton ou autre grande figure de l'histoire des sciences pour prouver à quelle point ce qu'il va nous révéler est extraordinairement extraordinaire. On montrera, plus loin, ce que recèle les apparents mystères dont il ne nous dévoile qu'une partie ici.


La géométrie part de certaines notions fondamentales telles que le point, la droite, le plan, auxquelles nous sommes capables d'associer des représentations plus ou moins claires, et de certaines propositions simples (axiomes), que nous sommes disposés à regarder, en vertu de ces représentations, comme « vraies ». Toutes les autres propositions sont ensuite ramenées, au moyen d'une méthode logique dont nous nous sentons forcés de reconnaître la légitimité, aux axiomes, c'est-à-dire démontrées. Une proposition est, par conséquent, exacte ou «vraie», si elle est déduite des axiomes de la manière généralement admise.

YT : Le matérialiste raisonne avec des volumes dont on peut décrire les longueurs ou les surfaces. Les lois géométriques, au même titre que n'importe quelle loi scientifique, doivent prouver leur pertinence et leur cohérence. Pertinence est l'adéquation au réel, cohérence, c'est la rationalité des assertions, qui sont le reflet de la loi générale de causalité.

La question de savoir si telle ou telle proposition géométrique est «vraie» se ramène, par conséquent, à la question de savoir si les axiomes sont «vrais».

YT : Vision idéaliste de la géométrie. On le voit ensuite sur la question des droites parallèles.

Mais on sait depuis longtemps que non seulement on ne peut répondre à cette dernière question au moyen des méthodes de la géométrie, mais qu'elle n'a en elle-même aucun sens. On ne peut pas demander s'il est vrai que par deux points il ne passe qu'une seule droite.

YT : Les crétineries commencent : tout le monde sait pertinemment que des droites sont des lignes qui prolongent deux segments parallèles, deux arêtes parallèles d'un volume rectangulaire. Elles ne peuvent donc pas se croiser, à moins de changer le sens du mot « parallèle ». Le crétin va s'y employer plus loin.

On peut seulement dire que la Géométrie euclidienne traite de figures qu'elle appelle «droites» et auxquelles elle attribue la propriété d'être déterminées d'une manière univoque par deux de ses points.


YT : Charabia ! Cette « propriété déterminée de manière univoque » c'est la définition. Ce n'est pas une « propriété » de la formoisie que d'être exploiteuse, c'est la définition de son « être ».


La notion de «vrai» ne s'applique pas aux énoncés de la géométrie pure, car par le terme «vrai» nous désignons, en dernier ressort, toujours la concordance avec un objet « réel ». Or, la Géométrie ne s'occupe pas du rapport entre ses notions et les objets de l'expérience, mais seulement du rapport logique de ces notions entre elles.


YT : C'est une vision a-scientifique de la géométrie : il prétend conserver la notion cohérence mais de jeter par-dessus bord la pertinence, l'adéquation au réel.

Que nous nous sentions quand même portés à regarder les propositions de la Géométrie comme «vraies», cela est facile à expliquer. Aux notions géométriques correspondent plus ou moins exactement des objets déterminés dans la nature, qui sont indubitablement la seule cause de leur naissance. Libre à la Géométrie, pour donner à sa construction la plus grande cohésion logique possible, de ne pas en tenir compte. L'habitude, par exemple, de nous représenter une droite par deux points marqués sur un corps pratiquement rigide est profondément enracinée dans notre esprit.


YT : Le mot important de la phrase est : « corps rigide ». Le crétin va fonder ses inepties sur une apparence de réalité, un fantôme d'univers. Mais le caractère fantomatique de l'Univers de Einstein, son refus crypto-idéaliste de l'existence de l'Univers « en soi » - et donc de la sciences comme DÉCOUVERTE des lois intrinsèques de l'Univers, le crétin va le déguiser. Pour ce déguisement il va constamment utiliser son « corps rigide » comme un outil médium magique. Grâce à cette règle en bois, l'imbécile va pourvoir opérer ses opérations magiques de disparition de l'univers newtonien.
L'habitude qu'il dénonce de « nous représenter une droite par deux points marqués sur un corps pratiquement rigide », l'imbécile va tenter de la discréditer. Il n'a pas encore avancé un argument qu'il vient nous faire le reproche qu'elle soit « profondément enracinée dans notre esprit ». Nous serions des imbéciles qui nous représentons les droites ainsi. Pour nous imposer son univers délirant de draps qui tordent l'univers et qui font tourner les planètes quand elles croient aller tout droit, le crétin commence,ici, par nous reprocher nos « habitudes » .


Nous sommes, en outre, habitués à supposer que trois points se trouvent sur une droite si, par un choix approprié du point de vision, nous pouvons faire coïncider leurs positions apparentes.

YT : Cette ânerie – pseudo concrète – on va la retrouver plus loin : cet imbécile, limité intellectuellement, passe régulièrement par ce type d'argument « concret » pour faire avaler ses salades.

Nous n'avons pas besoin de faire « un choix approprié » pour comprendre que 25 points se trouvent sur une ligne droite.
Ce qui est extraordinaire, chez Einstein, c'est la différence de vitesse entre les explications extraordinairement détaillées qu'il fournit à certains endroits - en ralentissant l'argumentaire dans des proportions considérables – et la soudaine accélération, en d'autres endroits, où le lecteur doit gober des dizaines d'assertions sans avoir le temps – ni la méfiance – d'en trouver les contre-arguments.


Si maintenant, en suivant nos habitudes de pensée, nous ajoutons aux propositions de la Géométrie euclidienne la seule proposition qui affirme qu'à deux points d'un corps pratiquement rigide correspond toujours la même distance (droite), quels que soient les changements de position que nous lui fassions subir, les propositions de la Géométrie euclidienne deviennent des propositions sur la position relative possible de corps pratiquement rigides (1).

  1. Par là on coordonne aussi à la ligne droite un objet naturel. Trois points A, B, C d'un corps rigide sont alors situés sur une droite si, A et C étant donnés, le point B est choisi de telle sorte que la somme des distances AB et BC est aussi petite que possible. Cette indication incomplète est ici suffisante.


YT : La traduction, en bon français, de ces stupidités est : on place C entre A et de B.
C'est tout ce qui importe.
Mais le crétin se croit obligé d'ajouter que la somme des distances AB et BC serait la plus petite possible.
Cet ajout – qu'il présente comme une condition, un critère – est stupide. Le simple fait que C soit ENTRE A et B a , non seulement, comme conséquence le fait que le point C se trouve sur le segment AB et sur la droite AB, mais aussi – mais en conséquence – le fait que les mesures soient celles qu'il décrit. Le lecteur sevra s'habituer au fait que Einstein est doublement un crétin.

Il est un crétin par sa croyance en la relativité – une croyance issue de son refus de Newton, son refus de l'espace vide, son refus de lieux absolus, son refus du temps absolu, son refus des mouvements absolus et des vitesses absolues de Newton. Il est un crétin en ce qu'il croit en une relativité qui nie l'existence de l'univers « en soi » et la réalité des lois objectives reflet de cet univers réel.
Mais il est aussi un crétin dans ses modalités d'argumentation des thèses qu'il prétend défendre.
Des dizaines et des dizaines de « trous logiques » dans le raisonnement, des assertions complètement stupides qui donnent la conclusion avant la fin : des étoiles « immobiles », des stupidités placée tout en dessous de la surface apparente du raisonnement – comme la voie de chemin de fer immobile dans l'espace -, ou encore des descriptions qu'il fait où il ne sait même plus lui même s'il parle de ce qui se passe « en soi » ou de ce que VOIT l'observateur – le caillou.


La Géométrie ainsi complétée doit être traitée comme une branche de la Physique. Et c'est avec raison que la question de la « vérité » des propositions géométriques ainsi interprétées peut maintenant être posée, car on peut se demander si ces propositions sont aussi valables pour les objets réels que nous avons coordonnés aux notions géométriques. D'une façon quelque peu imprécise nous pouvons, par conséquent, dire que nous entendons par la «vérité» d'une proposition géométrique en ce sens sa validité dans une construction avec le compas et la règle.


YT : L'imbécile conclue son charabia par un retour à la règle et au compas. Ce que le crétin feint d'ignorer – ou ignore réellement -, c'est que ces démonstrations à la règle et au compas ont une propriété occulte : elles nient le fait que les traits au crayon sont formés de molécules. Elles lient le fait qu'elle dessinent des « segments quantiques », des segments formés d'un nombre entier de points. Ces démonstrations nient le fait que les cercles n'existent pas : le compas permet de dessiner des polygones. Elles nient en effet l'absurdité de l' »infiniment petit » , l'absurdité de la continuité, l'absurdité de l'ensemble R des nombres rationnels. Mais on ne peut pas demander au « pauvre Einstein », à ce pauvre abruti sorti de son néant par la conjonctions des lobbies mystico-fascistes et staliniens coalisés, de connaître les travaux de Puthagoras et les combats de Kronecker et de Boltzmann. Il peut citer le dernier. Mais il aura passé sa vie à nier la réalité qui est à la source de l'origine corpusculaire et donc quantique – énombrable UN par UN – de l'Univers.


La conviction de la «vérité» » des propositions géométriques en ce sens repose naturellement sur des expériences assez imparfaites. Nous voulons pour le moment admettre la vérité de ces propositions ; nous verrons ensuite, dans la dernière partie de nos réflexions (quand nous traiterons de la Théorie de la relativité générale), qu'elle est limitée et dans quelle mesure elle l'est.


YT : Le crétin poussera alors son délire, après avoir nié l'objectivité de la vitesse, jusqu'à nier la relativité de l'accélération. Le premier délire anti-matérialiste portera le nom de « relativité restreinte » ( ou « special relativity » en anglais) et le deuxième, quand il découvrira, après 1905, que son premier délire permet encore à l'Univers d'avoir une réalité objective, par le biais de la réalité objective de l'accélération. Ce deuxième délire – de 1915 – il l'intitulera « relativité général » ou « general relativity ». Il aura eu besoin d'utiliser les services de son ami WWW et les travaux absurdes de gens s'étant amusé à inventer des mondes où les parallèles se croisent : Lobatchevski , Riemann etc.... Ce sont ces âneries auxquelles le crétin fait allusion lorsqu'il « limite la vérité de ces propositions ».


7 commentaires:

Alex B a dit…

Bonjour, Je ne cherche pas a t'insulter, loin de là, mais tout ce que fait Einstein, c'est montré un point de vue et je te demanderais juste un peu de respect a l'égard d'Einstein. Maintenant que tu ne soit pas d'accord est tout a fait normal - bien que cela ne lui mérite pas le titre de "crétin" - car il bouleverse la géométrie tel que toi et moi l'avons apprise, mais en s'intéressant un peu plus aux géométries décrites par Riemann ou de Lobatchevski on comprends peut-être mieux ce que veux dire Einstein.

Yanick Toutain a dit…

Bonjour
Malgré votre anonymat (création d'un compte ad hoc anonyme sur Google Blogspot) et ce tutoiement quelque peu intempestif, j'ai - néanmoins - validé votre message.
Sur le fond, votre "contribution" est inSIGNIFIANTE et ferait perdre le temps des lecteurs matérialistes de Monsyte si cela restait en l'état.
Vous mettez en cause le concept de "crétin".
Mais aucune citation, aucune analyse du défaut de pertinence ou du défaut de cohérence de mon ANALYSE.
Le texte ci-dessus contient plus de dix fois le terme qui caractérise les stupidités énoncées par Albert Einstein.
exemple :
"Le crétin va fonder ses inepties sur une apparence de réalité, un fantôme d'univers. Mais le caractère fantomatique de l'Univers de Einstein, son refus crypto-idéaliste de l'existence de l'Univers « en soi » - et donc de la sciences comme DÉCOUVERTE des lois intrinsèques de l'Univers, le crétin va le déguiser. "
Qu'avez-vous à répondre à cela ? Quelle est VOTRE regard sur l'Univers ? Est-ce que mon existence personnelle est indépendante de votre perception ?
Vous ne vous prononcez pas !...

Quand j'écris :
"Il est un crétin par sa croyance en la relativité – une croyance issue de son refus de Newton, son refus de l'espace vide, son refus de lieux absolus, son refus du temps absolu, son refus des mouvements absolus et des vitesses absolues de Newton. Il est un crétin en ce qu'il croit en une relativité qui nie l'existence de l'univers « en soi » et la réalité des lois objectives reflet de cet univers réel.
Mais il est aussi un crétin dans ses modalités d'argumentation des thèses qu'il prétend défendre.
Des dizaines et des dizaines de « trous logiques » dans le raisonnement, des assertions complètement stupides qui donnent la conclusion avant la fin : des étoiles « immobiles », des stupidités placée tout en dessous de la surface apparente du raisonnement – comme la voie de chemin de fer immobile dans l'espace -, ou encore des descriptions qu'il fait où il ne sait même plus lui même s'il parle de ce qui se passe « en soi » ou de ce que VOIT l'observateur – le caillou."
... vous ne prenez même pas la peine de donner votre opinion, votre analyse, votre parti pris dans ce combat bi-millénaire entre les matérialistes atomistes et les relativistes continuistes empiriocriticistes !

Il ne "bouleverse" rien. Il nous ressort les mêmes billevesées que combattait Democritos et Titus Lucretius, les mêmes stupidités relativistes que le jeune Isaac Newton avait démontées avant sa 25°année. Einstein ne fait que ressasser les mêmes stupides "vitesses relatives " que le crétin René Descartes prétendait conceptualisait ... en refusant le concept de "vitesses absolues".

....

Yanick Toutain a dit…

... Que répondez-vous à :

"L'imbécile conclue son charabia par un retour à la règle et au compas. Ce que le crétin feint d'ignorer – ou ignore réellement -, c'est que ces démonstrations à la règle et au compas ont une propriété occulte : elles nient le fait que les traits au crayon sont formés de molécules. Elles lient le fait qu'elle dessinent des « segments quantiques », des segments formés d'un nombre entier de points. Ces démonstrations nient le fait que les cercles n'existent pas : le compas permet de dessiner des polygones. Elles nient en effet l'absurdité de l' »infiniment petit » , l'absurdité de la continuité, l'absurdité de l'ensemble R des nombres rationnels. Mais on ne peut pas demander au « pauvre Einstein », à ce pauvre abruti sorti de son néant par la conjonctions des lobbies mystico-fascistes et staliniens coalisés, de connaître les travaux de Puthagoras et les combats de Kronecker et de Boltzmann." ?
... le lecteur l'ignorera !

La stupide négation de l'objectivité de l'accélération, le lecteur ne comprendra que vous en êtes le partisan que par la dissimulation sous les mots de votre acceptation de cette stupide "Relativité Généralisée".

"Le crétin poussera alors son délire, après avoir nié l'objectivité de la vitesse, jusqu'à nier la relativité de l'accélération. Le premier délire anti-matérialiste portera le nom de « relativité restreinte » ( ou « special relativity » en anglais) et le deuxième, quand il découvrira, après 1905, que son premier délire permet encore à l'Univers d'avoir une réalité objective, par le biais de la réalité objective de l'accélération. Ce deuxième délire – de 1915 – il l'intitulera « relativité générale » ou « general relativity ». "

C'est votre invocation aux absurdités de Rieman et de Lobatchevski qui révèle votre appartenance à la secte "Relativiste Générale".

Notre combat pour renverser ces impostures est en passe d'être vainqueur.
Il ne vous reste que peu de temps pour abandonner ce navire de l'obscurantisme qui détruisit la science du 20° siècle.

PS : Vous êtes prié de ME vouvoyer ainsi que les autres lecteurs de ce blog - en tout cas, ceux avec qui votre trajectoire professionnelle ne vous aura pas amené à garder - de concert avec eux - les chèvres. Merci.

Alex B a dit…

Tout d'abord veuillez m'excuser si mon tutoiement vous a offensé, ce que je comprends maintenant en relisant mon message. Ensuite je ne remet a aucun moment votre raisonnement, c'est pourquoi je ne vous cite pas. Mais j'essaie juste de vous dire que traiter Einstein de crétin ne fera pas avancer le débat, une argumentation courtoise permettra une meilleur vulgarisation, au sens premier du terme, de vos idées. Je vous prie, encore d'accepter mes excuses si je vous ai offensé. Cordialement,
Alexandre BELLAN

Thomas.D a dit…

Bonsoir,
Je vais me permettre de formuler un commentaire sur ce que je viens de lire.

1)Premier paragraphe, premiere critique :

Terme d'escros. Il est bien déplacer de prononcer cela d'un tel personnage, surtout dans l'élaboration d'une critique réfléchie d'un des textes important d'Einstein.
Rien que dans le titre, tout lecteurs avertis qui voit la critique reste "choqué" mais intriguer par les futurs propos qui s'annoncent.
De mon avis, pour affirmer fournir une critique crédible, les termes sont bien mal choisis.

Ensuite, vous vous permettez d'interpréter l'évocation de la géométrie d'Euclide par Einstein comme un coup d'escroc. A la lecture du texte ce qui ressort tout d'abord, c'est que cette première partie fait office d'introduction, dans laquelle Einstein amène sa problématique par l'intermédiaire de l'évocation de la géométrie d'Euclide.
De plus, ce texte n'est pas destiné au premier lecteur venu. Il est nécessaire de connaitre la géometrie d'Euclide, d'avoir certaine notion sur les mathématiques pour bien comprendre le propos.
Einstein, ici, n'essaye pas de soumettre le lecteur a une entité importante et écrasante, mais de montrer par cette entité solide, dont la logique est irréfutable, que certaines questions restent sans réponses mais qu'il est important de toujours les poser et d'y réfléchir. Et l'auteur s'y attelle.


2) Deuxième paragraphe, deuxième critique.

Comme nous pouvions en douter, la réflexion n'est pas toujours présente dans votre argumentation. Je prend l'exemple :
"Les lois géométriques, au même titre que n'importe quelle loi scientifique, doivent prouver leur pertinence".
Je m'arrête dessus car en aucun cas les mathématiques, pure, donc la géométrie, ne sont pertinentes. Les mathématiques sont une science dont le raisonnement est l'axiomaticodéduction. En aucun cas la mathématique pure n'a d'adéquation avec le réel, tout simplement parce que les perceptions sensibles n'ont pas lieu d'être dans le raisonnement axiomaticodéductif.
Il en va de même pour la Géométrie Euclidienne.

Einstein n'a donc pas une vision idéaliste de la géométrie, mais il se base sur le fonctionnement universelle de celle-ci. Si des axiomes, par une déduction logique "parfaite", on déduit des proposition vraies, alors les axiomes qui n'ont pas de démonstration logique, sont nécessairement vrais.

Einstein pose donc la question de la véracité des axiomes, ce qui remet en cause la valeur de vérité des propositions géométrique.

3)Troisième critique.

Là, je suis étonné. Einstein définit un axiome : Par deux points ne passent qu'une seule droite. Je ne comprend pas le rapport avec votre critique et votre évocation des droites parallèles.
De plus, votre définition des droites est quelque peu douteuse.
Les 3 notions fondamentales de la géométrie, sont le point, la droite et le plan. La droite n'est en aucun cas le prolongement de segment. Par contre le segment, lui, est une portion définie, précise, d'une droite. Votre commentaire sur la pertinence de cette connaissance semble donc déplacé. Vous parlez de volume rectangulaire et droite parallèle, mais avant tout il serait nécessaire de maitriser les fondamentaux.

Thomas.D a dit…

La suite me surprend encore plus. J'en viens a me demander si vous avez étudier la géométrie.
Il ne suffit pas que C soit simplement entre A et B pour que C appartienne a la droite (AB). Prenez une droite, placé deux points A et B non confondus. Tracé la médiatrice du segment [AB]. Placez différents points sur cette médiatrice et vous verrez que le seul qui est sur la droite (AB)et celui dont sa distance a A et a B est la plus petite (et égale)

Au fur et a mesure qu'on avance, votre argumentation se dégrade et l'ont retrouve sans cesse un manque de respect envers ces penseurs.
Vous osez prétendre que la règle permet de tracer des droites, et que le compas permet de tracer des cercles ou des polygones (d'après vous). Mais ignorez-vous que les notions géométrique ne peuvent être véritablement et avec certitude tracées. Elles sont simplement "représentées" par l'intermédiaire d'outils. Vous le dites vous même : le cercle n'existe pas.



Enfin pour finir, Lobatchevski , Riemann, ne se sont pas "amusés comme des imbéciles a montrer que des droites "parallèle" se croisent".
Ils ont simplement modifier une conventions (axiomes) et regarder les effets que cela donnait sur la géométrie. En procédant par un raisonnement logique irrévocable, ils ont obtenus bien d'autre théorèmes que ceux d'Euclide. Ils sont donc arriver a étable une nouvelle géométrie, un nouvel univers géométrique.


J'espère que vous publierez mon commentaire dans l'espoir d'avoir un débat instructifs sur nos propres idées que nous avons avancé.
Ps: (mon commentaire est en plusieurs partie, restriction du nombre de caractères oblige).
Thomas.D

Thomas.D a dit…

4) Quatrième critique.

Je vous cite : "Charabia". Le charabia est quelque chose qu'on ne peut comprendre. Ce qui prouve que vous n'avez pas compris ce que dit Einstein.
La géométrie Euclidienne (comme les autres formes de géométrie) est un univers finit, logique, se basant sur des axiomes précis, et dont tous les théorèmes sont déduits de ces derniers.
Par raccourcis, les axiomes peuvent être définis comme des conventions.
La géométrie euclidienne se base donc sur des conventions établies, dont l'une d'elle est : Par deux points ne passe qu'une seule droite.
La géométrie euclidienne garde sa valeur logique tant qu'on reste dans son univers. La valeur de vérité des axiomes ne se pose pas dans l'univers de la géométrie Euclidienne, ce que montre Einstein.

5) Cinquième critique.

De part sa démonstration précédente, Einstein conserve la cohérence, la logique de la géométrie euclidienne.
La notion d'adéquation au réel ne peut pas être établie pour la géométrie euclidienne car celle-ci est fondée sur un raisonnement axiomaticodéductif rejetant toutes perception sensible. Le lien au réel ne peut etre fait qu'avec la considération des perceptions sensibles.
La géométrie Euclidienne correspond, dans une certaine limite, a notre perception de l'espace, du réel. Mais cette géométrie ne part, et n'est jamais partie de l'observation sensible.
Remarque: Les sciences n'ont pas forcement de liens avec le réel.
Les mathématiques ne l'ont pas, la géométrie de même. Cependant, on remarque des similitude entre la déduction logique et raisonnée et l'observation du réel, ce qui donne la physique, par exemple.


6) Sixième critique.

"L'habitude, par exemple, de nous représenter une droite par deux points marqués sur un corps pratiquement rigide est profondément enracinée dans notre esprit."

Einstein ne se contredit pas, au contraire, il montre que nous, notre raison, par habitude, (de manière générale et non universelle), se base sur les perceptions sensible. ce qui fait le liens entre la géométrie et les axiomes et le réel.
Pour nous, cette représentation par l'intermédiaire du réel et une évidence dont on ne peut se défaire.

Dans le paragraphe suivant, Einstein montre tout simplement que les perceptions sensibles (point de vision) ne sont pas toujours fiable.
Et là, ne pas avoir compris cela, est une terrible erreur.
Vous limitez votre réflexion a ce que vous percevez naïvement.
Vous considériez le volume tout a l'heure.
Prenez un cube. Considérez 3 sommets.
Si vous mettez le plan, dans lequel ces 3 sommets sont contenus, en adéquation avec votre ligne de vue, d'une certaine manière ces points seront alignés.
Or si vous réfléchissez, 3 sommets d'un cube ne peuvent pas être contenus sur une même droite. Ils sont seulement dans le même plan (dans le cas de 3 sommets d'une face)