Par Yanick Toutain
09/12/08 20:54
Le crétin est mis en lumière par le Figaro du mardi 9 décembre page 11.
Sous le titre
"Des programmes "négatifs" et "compassionnels" ",
...la journaliste Marie-Estelle Pech nous décrit l'imbécile.
"Jugeant les programmes trop lourds, la commission présidée par Roger Guesnerie, professeur au Collège de France...
Cet article du Figaro papier d'hier mardi 9 décembre semble avoir disparu d'Internet
Si un lecteur le trouvait, merci de donner le lien.
Il va falloir retourner scanner ce bel article
Curieusement, un autre article (non visible sur le site du Figaro semble avoir pris sa place !!!)
Y aurait-il eu une censure contre cette journaliste ?
On retrouve la même haine bourgeoise du déterminisme que chez le fasciste Heisenberg, on retrouve la même idéologie fasciste du refus du déterminisme que je dénonçais avant-hier dans les imbécillités de Jean-Luc Nothias.
Ces crétins nient la causalité absolue, ils nient la science, ils nient le Siècle des Lumières.
TOUT EST ÉCRIT
Le futur est inéluctable. Voilà le socle de la science.
Il est vrai que les crétins - clowns titrés professeurs - du Collège de France sont nommés par le président de la République.
Il n'est plus étonnant, alors, que le mot "compassion" soit devenu, dans la bouche de ces gens-là, une insulte, et l'adjectif "compassionnel" susceptible d'être quantifier et d'atteindre un maximum tolérable.
LA COMPASSION COMME DÉFAUT ?
Après la révolution, devrons-nous être "trop compassionnels" avec le crétin Guesnerie et des acolytes de sa commission d'ignares bidons ?
Après la révolution devrons-nous être "trop compassionnels" avec Michèle Alliot-Marie, la protectrice des assassins de l'Hôtel Ivoire d'Abidjan ?
Devrons-nous être "trop compassionnels" avec le jeune abruti de la SDAT qui est venu avec ses cagoulés diriger l'attaque de l'épicerie de Tarnac en tutoyant des "suspects" déjà condamnés par sa hiérarchie proto-fasciste françafricaine?
Devrons-nous être "trop compassionnels" avec le provocateur qui a déposé des gilets pare-balles ?
Devrons-nous, aussi, être trop compassionnels avec les coupables de mise en examen anale du journaliste de Libération de Victor de Filippis ?
Devrons-nous, aussi, être trop compassionnels avec les flics fascistes qui humilièrent l'épicier haut formois Benjamin Rosoux en exigeant à répétition des mises en examen génitales ?
Devrons-nous être "trop compassionnels" avec tous ces juges, ces policiers qui tolèrent les médiévales cages de Louis XI qui révèlent la barbarie bourgeoise dans les caves du - mal-nommé - Palais de Justice, "la souricière" ?
UN AVENIR COMPASSIONNEL POUR LES BARBARES ?
Et, pour l'avenir, devrons-nous, après la révolution, filmer tous ces juges, un par un, dans ces grottes préhistoriques ? Devrons-nous filmer leurs mises en examens ? Anales ? Génitales ? Devrons-nous - à leur tour - les filmer dans l'état d'humiliation que ces barbares osent infliger à des êtres humains ?
Devrons-nous les filmer et mettre les vidéos sur YouTube, après la révolution, pour qu'ils se rendent compte que leur absence totale de compassion révèle le niveau d'aberration fasciste qu'a atteint leur cerveau malade ?
LES BARBARES SUR YOU TUBE ?
Ce projet, il faut que chaque révolutionnaire, chaque militant de l'égalitarisme l'ait constamment en tête !
Il faut le leur rappeler dans toutes les circonstances.
Il faut leur rappeler l'édifiante histoire du policier Faux-pas Bidet à qui il arriva une bien triste mésaventure. Il avait été chargé, avant la Guerre 14-18 de raccompagner Trotsky dans son expulsion hors de France vers l'Espagne - puis vers New York.
TROTSKY ET FAUX-PAS BIDET
Mais, quelques années plus tard, il lui advint d'être, lui-même "raccompagné" en direction du bureau de Trotsky, à Moscou. Le politique maudit dont l'était débarrassé le gouvernement français était devenu, dans l'intervalle de temps, commissaire du peuple d'URSS. Et le policier maladroit s'était fait pincer à Moscou pour espionnage de l'Etat Soviétique.
L'Histoire ne dit pas ce qu'aurait donné une mise en examen barbare de ses sous-vêtements !
Que chaque révolutionnaire ait la certitude qu'après la victoire, après le renversement du capitalisme, après la fermeture des banques et la fin du crédit, tous ces fascistes policiers et idéologues seront mis en examen compassionnels : leur bêtise méchante soulèvera notre compassion !
Et les sanctions que la révolution triomphante leur appliquera auront pour but - compassionnel - d'essayer de retrouver l'enfant qu'il furent néanmoins. La révolution victorieuse devra trouver, pour eux, pour tous ces barbares, les travaux horticoles qui furent utiles à l'empereur de Chine pour le réinsérer dans la famille humaine.
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