Daniel Bensaïd est un charlatan qui fabrique de l'idéologie bourgeoise mystique : "Une histoire... sans garantie scientifique"
L'auteur de "Politique de Marx" est une variété de ces clowns que dénonçait Lénine dans son Matérialisme et empiriocriticisme.
Un clown titré "philosophe" !
Par Yanick Toutain
06/12/08 01:50
"Daniel Bensaïd enseigne la philosophie à l’université Paris VIII Saint-Denis. Il a récemment publié à La Fabrique Les Dépossédés. Karl Marx, les voleurs de bois et le droit des pauvres."
Il y a plus de 25 ans que j'ai renoncé à lire cet escroc intellectuel.
En 1992, dormant chez un camarade de la LCR (un des rares à pouvoir se regarder dans la glace quant à mon combat contre l'Éducation Nationale), j'eus l'occasion nocturne de feuilleter sa bibliothèque. Un livre récent du charlatan s'y trouvait.
Des mots, du baratin, de la rhétorique, des nuages de fumée. L'absence totale de réflexion sérieuse, l'absence totale de science, l'absence totale de faits classifiables, de thèses critiquables freinait la lecture. Ses bouquins ressemblent à des devoirs à corriger écrits par un élève fâché avec l'écriture.
Mais Daniel Bensaïd n'est pas fâché avec l'écriture, il est fâché avec la réalité.
Sa rupture - ancienne - avec la réalité est la cause fondamentale de sa rupture avec Marx et le marxisme.
LA FANFARE IDÉOLOGIQUE DU GANG POLITIQUE FORMOIS
Pour accompagner la dégénérescence politique de Krivine et Sabado, pour accompagner les expulsions hors de la Quatrième Internationale, les exclusions des rebelles, il fallait des baratineurs idéologues.
Il fallut une fanfare pour masquer le bruit des coups de Jarnac.
Il fallut une fanfare pour masquer les bruits de l'emprisonnement des trotskystes sud-américains par les crapules formoises sandinistes au Nicaragua, sous les applaudissements et à la probable demande des crapules Sabado, Krivine et de tous ces gangsters néostaliniens qui poursuivaient les vrais révolutionnaires dans toutes les vrais révolutions.
Le rôle des idéologues faux trotskystes du genre Bensaïd consistait à couvrir les bruits des coups.
Leur rôle consistait à fabriquer un nuage de fumée pour masquer leur adaptation politique, leur dégénérescence humaine.
Ce monsieur est professeur de philosophie.
S'il l'avait été, un tant soi peu, il m'aurait épargné des milliers d'heures de travail que je fus contraint de faire à cause de la parfaite fainéantise intellectuelle de ces gens, de ces "clowns titrés professeurs" comme les appelait Lénine.
Puthagoras comme précurseur de l'atomisme ?
Puthagoras et Democritos comme précurseurs de la physique atomique ?
Titus Lucretius comme constructeur de la compréhension rationnelle du vide ?
Titus Lucretius comme constructeur de la conception scientifique du vide et des atomOs ?
Newton comme précurseur de la conversion masse énergie ?
Newton comme scientifique comprenant que le photon est la brique de la matière ?
Newton comme matérialiste comprenant que la gravitation est le choc des photons ?
Le clown Bensaïd, tout comme le clown de Caen, Michel Onfray - le militant de l'apologie du capitalisme - n'en connaissent rien, absolument rien !
Ces fainéants, tout occupés à la construction de leur gloire médiatique, occupés à la construction de leurs réseaux d'influence, n'eurent jamais le temps d'y travailler.
Je dus tout faire.
De Lénine comme continuateur de Newton ?
De Lénine en tant que dernier défenseur de l'existence du vide en soi ?
De Lénine en tant que dernier défenseur de la possibilité des vitesses objectives, des vitesses absolues de Newton, des vitesses de la matière par rapport au vide.
Les deux clowns titrés philosophes n'en ont pas la moindre idée.
Les prétendus matérialistes étaient en réalité des ennemis infiltrés dans les lignes de la science, des ennemis infiltrés dans nos lignes révolutionnaires.
Daniel Bensaïd est, en fait, l'idéologue de la formoisie exploiteuse, il est le fabriquant de fumée de la classe exploiteuse dont Besancenot est devenu le héraut.
Daniel Bensaïd est le fabriquant de la bonne conscience de la formoisie de Montivilliers pour que puisse y mourir les SDF, un mardi de décembre.
Il faut que la formoisie ait bonne conscience.
Pour qu'elle puisse réclamer ses 1500 euros, ses augmentations des salaires de pilotes d'avion, ses augmentations des salaires des crapules du SAMU - les adhérents du syndicat de Patrice Pelloux, la crapule qui gagne 4200 euros et qui veut plus !
Pour que les Patrice Pelloux aient bonne conscience, il leur faut des marchands de fumée, des Bensaïd, il leur faut des fanfares pour que le bruit de la répression qui s'abat sur les pauvres ne vienne pas gâcher leur plaisir de recevoir un joli salaire en "respect de leurs qualifications acquises".
Mais, le brouillard de fumée que le charlatan Bensaïd fabrique depuis plus de 30 ans avait la même caractéristique que les charlataneries de Lacan ou d'Althusser. Soit une recopie pure et simple des textes des auteurs de références, soit un salmigondis incompréhensible qui aurait nécessité des heures de travail à décortiquer pour parvenir à y découvrir un semblant de noyau rationnel.
Le combat scientifique avait autre chose à faire.
Quand bien même Lénine, lui, fit un tel travail de bénédiction pour retrouver le semblant de raison qui subsistait dans les écrits imbéciles des partisans de Mach et de Berkeley, l'océan à explorer, l'océan de retard rendait absurde un tel travail à la loupe.
Mais aujourd'hui, il se trouve que l'ouverture du dernier ouvrage du charlatan - une réédition de textes de Marx - laissa apparaître, au beau milieu d'une page, une citation qui avait le mérite de montrer, en toute lumière, l'absolue dégénérescence intellectuelle du néostalinien Daniel Bensaïd.
Qui plus est une dégénérescence poussée jusqu'au point où l'idéologie formoisie du stalinisme en vint à rejoindre la dégénérescence intellectuelle de la bourgeoisie : L'idéologie proto-fasciste de la fin du déterminisme absolu.
Le charlatan de la LCR en est arrivé à un tel point de dégénérescence intellectuelle qu'il peut, aujourd'hui, écrire cela :
L'auteur de "Politique de Marx" est une variété de ces clowns que dénonçait Lénine dans son Matérialisme et empiriocriticisme.
Un clown titré "philosophe" !
Par Yanick Toutain
06/12/08 01:50
"Daniel Bensaïd enseigne la philosophie à l’université Paris VIII Saint-Denis. Il a récemment publié à La Fabrique Les Dépossédés. Karl Marx, les voleurs de bois et le droit des pauvres."
Il y a plus de 25 ans que j'ai renoncé à lire cet escroc intellectuel.
En 1992, dormant chez un camarade de la LCR (un des rares à pouvoir se regarder dans la glace quant à mon combat contre l'Éducation Nationale), j'eus l'occasion nocturne de feuilleter sa bibliothèque. Un livre récent du charlatan s'y trouvait.
Des mots, du baratin, de la rhétorique, des nuages de fumée. L'absence totale de réflexion sérieuse, l'absence totale de science, l'absence totale de faits classifiables, de thèses critiquables freinait la lecture. Ses bouquins ressemblent à des devoirs à corriger écrits par un élève fâché avec l'écriture.
Mais Daniel Bensaïd n'est pas fâché avec l'écriture, il est fâché avec la réalité.
Sa rupture - ancienne - avec la réalité est la cause fondamentale de sa rupture avec Marx et le marxisme.
LA FANFARE IDÉOLOGIQUE DU GANG POLITIQUE FORMOIS
Pour accompagner la dégénérescence politique de Krivine et Sabado, pour accompagner les expulsions hors de la Quatrième Internationale, les exclusions des rebelles, il fallait des baratineurs idéologues.
Il fallut une fanfare pour masquer le bruit des coups de Jarnac.
Il fallut une fanfare pour masquer les bruits de l'emprisonnement des trotskystes sud-américains par les crapules formoises sandinistes au Nicaragua, sous les applaudissements et à la probable demande des crapules Sabado, Krivine et de tous ces gangsters néostaliniens qui poursuivaient les vrais révolutionnaires dans toutes les vrais révolutions.
Le rôle des idéologues faux trotskystes du genre Bensaïd consistait à couvrir les bruits des coups.
Leur rôle consistait à fabriquer un nuage de fumée pour masquer leur adaptation politique, leur dégénérescence humaine.
Ce monsieur est professeur de philosophie.
S'il l'avait été, un tant soi peu, il m'aurait épargné des milliers d'heures de travail que je fus contraint de faire à cause de la parfaite fainéantise intellectuelle de ces gens, de ces "clowns titrés professeurs" comme les appelait Lénine.
Puthagoras comme précurseur de l'atomisme ?
Puthagoras et Democritos comme précurseurs de la physique atomique ?
Titus Lucretius comme constructeur de la compréhension rationnelle du vide ?
Titus Lucretius comme constructeur de la conception scientifique du vide et des atomOs ?
Newton comme précurseur de la conversion masse énergie ?
Newton comme scientifique comprenant que le photon est la brique de la matière ?
Newton comme matérialiste comprenant que la gravitation est le choc des photons ?
Le clown Bensaïd, tout comme le clown de Caen, Michel Onfray - le militant de l'apologie du capitalisme - n'en connaissent rien, absolument rien !
Ces fainéants, tout occupés à la construction de leur gloire médiatique, occupés à la construction de leurs réseaux d'influence, n'eurent jamais le temps d'y travailler.
Je dus tout faire.
De Lénine comme continuateur de Newton ?
De Lénine en tant que dernier défenseur de l'existence du vide en soi ?
De Lénine en tant que dernier défenseur de la possibilité des vitesses objectives, des vitesses absolues de Newton, des vitesses de la matière par rapport au vide.
Les deux clowns titrés philosophes n'en ont pas la moindre idée.
Les prétendus matérialistes étaient en réalité des ennemis infiltrés dans les lignes de la science, des ennemis infiltrés dans nos lignes révolutionnaires.
Daniel Bensaïd est, en fait, l'idéologue de la formoisie exploiteuse, il est le fabriquant de fumée de la classe exploiteuse dont Besancenot est devenu le héraut.
Daniel Bensaïd est le fabriquant de la bonne conscience de la formoisie de Montivilliers pour que puisse y mourir les SDF, un mardi de décembre.
Il faut que la formoisie ait bonne conscience.
Pour qu'elle puisse réclamer ses 1500 euros, ses augmentations des salaires de pilotes d'avion, ses augmentations des salaires des crapules du SAMU - les adhérents du syndicat de Patrice Pelloux, la crapule qui gagne 4200 euros et qui veut plus !
Pour que les Patrice Pelloux aient bonne conscience, il leur faut des marchands de fumée, des Bensaïd, il leur faut des fanfares pour que le bruit de la répression qui s'abat sur les pauvres ne vienne pas gâcher leur plaisir de recevoir un joli salaire en "respect de leurs qualifications acquises".
Mais, le brouillard de fumée que le charlatan Bensaïd fabrique depuis plus de 30 ans avait la même caractéristique que les charlataneries de Lacan ou d'Althusser. Soit une recopie pure et simple des textes des auteurs de références, soit un salmigondis incompréhensible qui aurait nécessité des heures de travail à décortiquer pour parvenir à y découvrir un semblant de noyau rationnel.
Le combat scientifique avait autre chose à faire.
Quand bien même Lénine, lui, fit un tel travail de bénédiction pour retrouver le semblant de raison qui subsistait dans les écrits imbéciles des partisans de Mach et de Berkeley, l'océan à explorer, l'océan de retard rendait absurde un tel travail à la loupe.
Mais aujourd'hui, il se trouve que l'ouverture du dernier ouvrage du charlatan - une réédition de textes de Marx - laissa apparaître, au beau milieu d'une page, une citation qui avait le mérite de montrer, en toute lumière, l'absolue dégénérescence intellectuelle du néostalinien Daniel Bensaïd.
Qui plus est une dégénérescence poussée jusqu'au point où l'idéologie formoisie du stalinisme en vint à rejoindre la dégénérescence intellectuelle de la bourgeoisie : L'idéologie proto-fasciste de la fin du déterminisme absolu.
Le charlatan de la LCR en est arrivé à un tel point de dégénérescence intellectuelle qu'il peut, aujourd'hui, écrire cela :
"La centralité de la lutte des classes et leur issue incertaine exigent en effet une part de contingence et une notion non mécanique de causalité, une causalité ouverte en somme, dont les conditions initiales déterminent un champ de possibles sans déterminer mécaniquement lequel l'emportera"
Une part de contingence ?
Pauvre crétin réformiste passé à l'adversaire.
Rappelons au lecteur égalitariste - ou simplement au lecteur honnête - que la contingence est le mot universitaire, le terme huppé signifiant "hasard".
Le verbe romain contingere signifie - le Larousse en atteste - "arriver par hasard".
L'imbécile Bensaïd s'arroge le droit de rééditer Marx. Il le fait dans une collection sponsorisée par la région Ile de France.
Qu'il vernisse son image "avec le concours" et les subventions contrôlées par les gangsters colonialistes ne peut que nous révéler la façon dont fonctionnent les réseaux du système bourgeois-formois.
Mais qu'il préface Marx en exigeant "une part de contingence" est une imposture absolue.
N'importe quel scientifique sait que le hasard n'est rien d'autre que l'ignorance provisoire.
Même Planck - celui qui ajouta "moins un" à la formule de Wien, et fut, pour cela considéré comme l'inventeur de la physique quantique -, même Planck refusait les aberrations intellectuelles dont le charlatan Bensaïd est l'apologiste.
Une notion "non mécanique de causalité" ?
Ces charlatans encaissent en fin de mois le virement bancaire que la bourgeoisie met, généreusement, à leur disposition, pour les récompenser du baratin qu'ils mettent dans le cerveau de malheureux étudiants de Jussieu et des universités bourgeoises.
Ils sont donc les bons larbins de la bourgeoisie, les gentils toutous bien obéissants.
Quelles sont ces causalité non mécaniques ?
N'importe quel matérialiste qui a compris ce que Laplace expliquait sait que les causalités sont absolues.
Il sait que les lois de causes et d'effets ne souffrent d'aucune restriction. Il sait, qu'au niveau des particules, tout s'explique.
Je vais rappeler ici les thèses fondamentales du "Manifeste matérialiste" de janvier 2006 :
SCIENCE DU MOUVEMENT DES ATOMOS
Cette science du mouvement des atomos s'appellera Mécanique de base.
Cette Mécanique de base est la brique de toutes les autres sciences.
Aucune science ne peut prétendre être en contradiction avec la Mécanique de base.
Les sciences physiques (mouvement des particules et des corps de l'Espace), les sciences biologiques et les sciences humaines étudient des corps, qu'ils soient inanimés ou vivants ou vivants - humains, dont le fonctionnement correspond à la Mécanique de base.
Un champion olympique gagne une épreuve parce que ses atomos (organises en vivant), mis au contact des atomos de la nature [socialisée partiellement] (stade, terrain, bateau etc.) organisée en inanimé, lui ont permis d'avoir la performance la "meilleure".
Connaître tous les atomos concernés par un "cent mètres sprint" permet évidemment de prévoir à l'avance le résultat de la course.
Cette assertion, cette affirmation est la base de toute science.
Celui qui la refuse quitte le groupe des scientifiques pour, rejoindre la horde de la crédulité superstitieuse.
Et cela, quand bien même cette horde obtiendrait des labels de la prétendue "communauté scientifique".
"Communauté scientifique" à laquelle Isaac Newton a craché, par avance, tout son mépris.(*)
* * *
LE TRAJET DES ATOMOS
Lorsqu'il l'a fait, en 1706, la Terre se trouvait à des milliards de kilomètres plus loin qu'aujourd'hui (des dizaines de milliers de milliards de kilomètres quasi certainement. (*)
Les atomos de la Terre de 1706, il y a 300 ans, ainsi que les atomos des êtres vivants qui s'y trouvent, se sont déplacés dans le vide à un vitesse probable de plusieurs millions de kilomètres à l'heure (possiblement vingt *)
* * *
Tous ces atomos ont fait un trajet. Trajet dont rend compte la Mécanique de base.
Ces trajets ont provoqué la Révolution Française, les molécules d'encre des pages des livres "Candide" édités (ouvrage de Voltaire), ont provoqué les creux des CD ROM nous permettant d'écouter la symphonie n°40 de W. A. Mozart.
La Mécanique de base explique tout cela : Avec les règles et les données, la Mécanique de base aurait même pu prévoir tout cela. Laplace, à la fin du 18° siècle, avait totalement raison.
Ses adversaires sont des imposteurs, des charlatans, des mystiques déguisés.
* * *
La seule science de base c'est la Mécanique des atomos (atomostikos => atomostique)
Ce sont les mouvements réels des atomos dans le vide qui sont la seule réalité qui existe. Il n'en existe pas d'autre.
Quiconque refuse cela est un idéaliste masqué.
* * *
BRIQUES PHYSIQUES, BRIQUES BIOLOGIQUES
La science a consisté à découvrir les briques de l'Univers. Ces briques sont physiques (électrons, protons, etc.) ou biologiques (ADN, etc.)
Mais les briques biologiques ont des briques physiques. Les briques de la matière vivante ont elles-mêmes des briques non-vivantes.
Dans un corps vivant, à un moment déterminé, il y a un nombre précis d'électrons et aussi, un nombre précis d'atomos.
Mais chaque électron, lui-même, contient un nombre précis d'atomos [on peut supposer que les modifications de l'orbite de l'électron de l'atome d'hydrogène sont liées à la variation de ce nombre d'atomos, précisément.]
Dans un corps vivant, à un moment déterminé, il y a un nombre déterminé de cellules. Chacune contient un nombre précis d'électrons, d'atomos, etc.
* * *
MODALITÉS PARTICULIÈRES DE DÉPLACEMENT
Les lois de la Mécanique de base permettront, lorsqu'elles seront complètes, de définir ce que signifie "vivant".
En effet, ce sont des modalités particulières de déplacement des atomos qui fabriquent du "vivant".
La matière vivante, faite de briques vivantes, est faite d'atomos. Mais ces atomos sont groupés d'une certaine façon, se déplacent d'une certaine façon. Et ce sont ces regroupements et ces déplacements qui donnent les briques de la matière vivante.
La clé de la biologie doivent donc être conformes, en conformité, avec les règles de la Mécanique de base, de la Mécanique atomostique.
C'est du domaine de la philosophie que de traiter de cette conformité.
* * *
TRANSFORMATION QUANTITE QUALITE
A titre d'exemple, une des lois fondamentales de la philosophie scientifique, c'est la loi de transformation Quantité Qualité (L.T.Q.Q.)
La L.T.Q.Q. est issue des travaux de Hegel, Marx et surtout Engels.
Elle décrit le fait que toute augmentation quantitative provoque une modification qualitative.
Augmenter la chaleur de l'eau d'une casserole induit un gaz, la vapeur d'eau.
La vapeur d'eau est une transformation qualitative de l'eau liquide."
Ce sont ces thèses que nie le charlatan. Il nie le fait que la causalité existe à tous les étages de la science.
Le fonctionnement du vivant est aussi un fonctionnement du non-vivant.
Les causalités absolues qui existent à l'étage des atomOs, à l'étage des photons, à l'étage des électrons, des noyaux, des atomEs, des molécules sont tout aussi absolues que les causalités qui existent à l'étage des particules du vivant.
Les lois qui régissent les cellules du vivant sont des RÉSUMÉS des lois de base.
Il n'existe aucun hasard ! Nulle part !
Ni à l'étage du non-vivant, ni à l'étage du vivant, ni à l'étage des sciences humaines.
La psychologie est une manière de résumer les sciences physiques : il n'existe aucun élément matériel qui fasse fonctionner un être humain autre que le noyau d'hydrogène et son électron.
De la même façon que l'atome d'hydrogène est formé d'un noyau et d'un électron et qu'il s'est complexifié pour devenir atome d'autre chose quand son noyau au grossi et qu'un deuxième électron, puis un troisième électron, puis un quatrième électron ... sont arrivés pour s'adjoindre aux constituants initiaux, en formant les atomes d'Hélium, de Lithium, de Berylium, l'accumulation de cellules a formé un être vivant de plus en plus complexe.
De la même façon que l'adjonction de 5 électrons à l'atome d'hydrogène a constitué un atome de carbone et que celui de 15 électrons a permis la formation d'un atome d'oxygène, par la présence de noyaux de plus en plus gros, de la même façon, l'adjonction de familles supplémentaires a fait passer l'humanité au stade des tribus, puis des peuples, puis des nations.
Mais ces évolutions sont descriptibles en termes biologiques, elle sont descriptibles en termes moléculaires, en termes photoniques.
Les lois qui régissent les déplacements des photons permettent AUSSI de décrire la réalité des sociétés humaines.
Le couteau qui frappe Henri IV détruit la vie, mais il est aussi métal.
Il est métal qui s'enfonce dans des cellules faites de carbone, d'hydrogène, d'eau.
Le sang du roi qui coule dans la rue de la Ferronnerie est aussi fait de molécules H2 O. Il est aussi une agglomération de non-vivant.
Et le cerveau de Ravaillac est aussi une formation de cellules, mais aussi une formation d'atomes.
Le complot réactionnaire des agents du Vatican prit aussi la forme des vibrations qui firent le trajet depuis le larynx des émissaires du catholicisme triomphant jusqu'au tympan de l'imbécile assassin.
Ces molécules aériennes restèrent sur place mais firent vibrer leurs voisines en transmettant le signal anti-protestant, le signal anti-bourgeois qui se matérialisa dans le geste musculaire de la marionnette meurtrière.
Il existe - et le marquis de Laplace serait le premier à le comprendre - un ordinateur potentiel qui contiendrait la totalité des informations des atomes des protagonistes - lieux, objets, humains.
Et cet ordinateurs partirait des mêmes causes pour aboutir aux mêmes effets.
Les mêmes déterminants produiraient les mêmes résultats.
Seuls les imbéciles anti-scientifiques sont incapables de comprendre cela !
Mais non, le crétin Bensaïd, corrompu par le joli salaire que la bourgeoisie lui verse, a quitté les rives du marxisme.
Naturellement, pour jouer son rôle de traître efficace, il rira encore prétendre qu'il serait marxiste !
Mais pour cela il lui faut introduire le hasard bourgeois, le hasard fasciste, dans la science !
Car le hasard est fasciste !
Quand l'abruti larbin de la bourgeoisie écrit :
"(...) les conditions initiales déterminent un champ de possibles sans déterminer mécaniquement lequel l'emportera"
Il permet l'arrivée du Führer, il permet l'arrivée du héros, il permet l'arrivée du Protagoniste Miraculeux.
Le scientifique, le marxiste, sait que les conditions initiales déterminent .... la conclusion !
Le scientifique sait que les conditions initiales sont les causes de la suite des évènements et que la suite est UNIQUE.
Le scientifique sait que TOUT EST ÉCRIT !
TOUT EST DÉTERMINÉ : L'HISTOIRE EST ÉCRITE
Car ce qui effraye les moineaux peureux de la science falsifiée c'est cela : L'Histoire est "écrite".
Tout est prévisible.
Tout est déterminé.
Depuis le probable Big-Bang (à clarifier) jusqu'en 2007 tout était écrit.
Prévisible.
Évidemment.
Oui, mais par qui ?
Effectivement, ce ne sont pas x milliards de photons partis en goguette à l'instant t0 + 5 Temps de Planck qui vont pouvoir prévoir Mozart, ni, même ce texte lumineux.
Ils ne sont même pas encore capables de s'agglomérer pour former un atome d'hydrogène, ni même un électron.
Tout était prévisible ...
Par personne.
Et alors !
Tout cela est parfaitement logique.
Connaître, en direct, le cerveaux de 2 grands maîtres des échecs permet de prévoir les 20 premiers demi coups de la finale.(...)
Si Louis XVI avait marché sur une crotte de chien dans le parc de son château le 14 juillet 1789, cela n'aurait pas modifié l'agglomération de troupes contre-révolutionnaires étrangères contre le peuple parisien.
Le scientifique sait que TOUT EST ÉCRIT !
La suite du manifeste de janvier 2006 anticipait même sur le degré de dégénérescence intellectuelle qui allait être celui de Bensaïd
PROPORTIONNALITÉ DES CAUSES ET DES EFFETS, CHAOS, ET CYCLES RÉPÉTÉS
Les partisans de la dernière goutte d'eau sont des imbéciles.
Si "elle fait déborder le vase", c'est au même titre que toutes les autres.
L'étincelle ne fait exploser que de la poudre, pas de la crotte de chien.
Les Crottoriciens du Chaos se prennent pour de grands découvreurs.
Ils ont redécouvert la TQQ pour les meilleurs, sans le dire, sans l'avouer (Thom est un pillard). Les autres font mumuse avec des pitreries.
Le papillon qui devait empêcher le cyclone Katerina est tombé à l'eau.
Pour ce coup-là (est-ce bien lui ?) Pascal avait raison : Les causes et les effets sont proportionnels.
Lorsqu'un avalanche se produit, la cause et les effets s'analysent en terme de Mécanique de base et de mécanique supérieure : Rien ne se perd, tout se transforme.
L'imbécile cahotique qui skie hors piste pour prouver qu'il déclenche des avalanches ne prouve rien :
il est le facteur ridicule.
Ces braves gens, valets serviles, veulent protéger la bourgeoisie putride par une bouillie idéelle : faire croire à la non proportionnalité des causes et des effets, faire croire à l'apparition hasardeuse des nouveautés, pour masquer l'inéluctabilité de sa faillite.
Les mêmes servent aussi la soupe de la "fin de l'Histoire", de l'"Histoire se répète" : La preuve - disent-ils - la Terre reste à tourner autour du Soleil (Soleil bien évidemment immobile) Combien d'ailleurs de "physiciens" connaissent la vitesse orbitale du Soleil ?
"La Terre revient au même endroit chaque année"
(...)
Qui a écrit cela ?
(...)
(...)
Entre les partisans du cahot chaotique et ceux des cycles à l'infini, il y a l'épaisseur d'une feuille pelure. S'y niche l'esprit réincarné des bouddhistes : Tran Xinh Thuan, le méchant qui insulte Newton en profitant de la naïveté de G. Gleick, lui, vend sa camelote : Dieu existe parce que les fleurs sont belles.
Quels groupes sociaux payent de pareils crétins des sommes telles ?
"La Terre revient au même endroit"
"La bourgeoisie règne éternellement, sur les siècles des siècles, dans l'espace claustrophobique d'une poubelle surchauffée : la Terre".
Bien heureusement, la TQQ va balayer tous ces gens.
Bien heureusement, dans quelques centaines de milliards de kilomètres, dans un ou deux zigzags terrestres, l'accumulation du principe de pauvreté, du principe d'insupportabilité va fusionner avec le principe novateur (mal) porté par la classe innovoise et développé par la strate innovante. Et, comme en 1789, à l'échelle mondiale, on verra balayer les classes bourgeoises, on verra fermer les Bourses.
"La Terre revient au même endroit" se rassurent-ils !
Les cahotiques vous le diront alors :
"C'était imprévisible"
Ces ignares n'auront même pas remarqué qu'au 2900ième mensonge de Georges Bush II, propagé mondialement, en vue d'attaquer un peuple supplémentaire, la révolution anti-capitaliste mondiale se propagera.
Certes, je le concède, il se trouvera une partie de la "communauté" "scientifique" qui réussira à prouver, pliures à l'appui, que cette 2900ième inanité de Georges Bush II avait un caractère particulier qui la rendait précisément déterminante.
Et qui la rendait, à elle seule, responsable de cette mobilisation planétaire.
Une autre partie de la toujours "communauté" toujours "scientifique" ira prétendre que ce 2900ième mensonge était totalement imprévisible.
Un sous groupe déviant ira même prétendre que ce n'est pas tant le mensonge proféré pendant son allocution qui a créé cette hostilité déterminante contre Georges Bush II que l'éternuement qui l'a saisi au milieu de la phrase.
(...)
Quels groupes sociaux payent de pareils crétins des sommes telles ?
"La Terre revient au même endroit"
"La bourgeoisie règne éternellement, sur les siècles des siècles, dans l'espace claustrophobique d'une poubelle surchauffée : la Terre".
Bien heureusement, la TQQ va balayer tous ces gens.
Bien heureusement, dans quelques centaines de milliards de kilomètres, dans un ou deux zigzags terrestres, l'accumulation du principe de pauvreté, du principe d'insupportabilité va fusionner avec le principe novateur (mal) porté par la classe innovoise et développé par la strate innovante. Et, comme en 1789, à l'échelle mondiale, on verra balayer les classes bourgeoises, on verra fermer les Bourses.
"La Terre revient au même endroit" se rassurent-ils !
Les cahotiques vous le diront alors :
"C'était imprévisible"
Ces ignares n'auront même pas remarqué qu'au 2900ième mensonge de Georges Bush II, propagé mondialement, en vue d'attaquer un peuple supplémentaire, la révolution anti-capitaliste mondiale se propagera.
Certes, je le concède, il se trouvera une partie de la "communauté" "scientifique" qui réussira à prouver, pliures à l'appui, que cette 2900ième inanité de Georges Bush II avait un caractère particulier qui la rendait précisément déterminante.
Et qui la rendait, à elle seule, responsable de cette mobilisation planétaire.
Une autre partie de la toujours "communauté" toujours "scientifique" ira prétendre que ce 2900ième mensonge était totalement imprévisible.
Un sous groupe déviant ira même prétendre que ce n'est pas tant le mensonge proféré pendant son allocution qui a créé cette hostilité déterminante contre Georges Bush II que l'éternuement qui l'a saisi au milieu de la phrase.
(...)
Il est frappant de constater que les partisans du cahot et ceux du cycle répété pour l'éternel ont en commun de détester Laplace et Épicure, en l'avouant, de détester Newton (en le cachant) et de prier Saint Einstein, qui, grâce au refus de l'anisotropie, leur permet de continuer à faire leur petite tambouille "comme si" la Terre restait immobile. La seule question qui reste posée est celle-ci : La diffusion de masse des éléments de base pour une nouvelle science matérialiste précédera-t-elle la révolution sociale et la révolution civilisationnelle ?
Le scientifique sait que TOUT EST ÉCRIT !
La réponse de l'imbécile Bensaïd à ce plaidoyer en faveur de la science est son propre plaidoyer en faveur des imbécillités du fasciste Heisenberg.
La même haine que celle des Bohr, des Heisenberg et tous ces imposteurs, tous ces clowns diplômés qui se prétendent physiciens depuis 1927.
La mécanique classique est la science, la physique classique est le socle de la science.
Et les crétins du genre de Thom cessent de dire des âneries quand ils commencent - sans le dire - à piller Engels.
Les bifurcations des charlatans sont les ruptures du déterminisme du fasciste Heisenberg et de la mécanique quantique.
Ces charlatans sont les ennemis du déterminisme, les ennemis des causalités, les ennemis de la science.
Il n'est point un hasard de voir, ici, apparaître l'idiot Blanqui.
Quand Marx et Engels travaillaient à la science, quand Darwin travaillait à la science, les crétins Napoléon Bonaparte et Blanqui travaillaient à leurs petits complots de crétins.
Il n'est pas un hasard de voir la Fabrique être devenu le repaire de Blanqui, le repaire de Bensaïd, le repaire de Coupat-le-raciste.
L'idéologie de la rupture des causalités est l'idéologie du refus de la science. Les classes exploiteuses craignent de se voir démasquées, elles craignent de voir leur ignominie apparaître sur la scène de l'histoire, elles craignent de voir leur destinée être inscrite dans l'inéluctabilité.
Le salaire de Bensaïd sera annulé, il touchera 1000 euros comme tout le monde et devra rembourser les droits à polluer de sa surconsommation de grand formois - surconsommation qui aura contribué à la destruction de la Terre.
C'est cela que craignent toutes ces crapules néostaliniennes : l'inéluctabilité de leur faillite.
Le fascisme de la formoisie a pour nom "stalinisme".
On en voit déjà les activités dans la pratique politique de la LCR. Comme sous le stalinisme, les orateurs égalitaristes se font huer dans les assemblées générales, comme sous le stalinisme, la menace de l'internement psychiatrique est devenue la formation de base de leur abruti militant débutant. Il suffit de lire leur site revolution-celeonet pour les voir déverser leur haine : dessins, photos d'ambulances psychiatriques.
Ils appellent de leurs vœux le goulag pour leurs adversaires. Ils défendent avec acharnement les assassins trafiquants de drogues des FARC.
Ils instrumentalisent pour leurs basses œuvres les crétins néostaliniens du PCF arracheurs d'affiches.
Ce n'est que le mensonge des historiens qui laissa croire que la relativité était compatible avec le matérialisme : les faits nous démontrent que Staline persécuta les partisans de Lénine et du matérialisme.
Ce n'est que le mensonge des historiens qui masqua le fait que la victoire de la mécanique quantique fut, au sein de la gauche, la défaite du siècle des Lumières, la défaite de tout progrès scientifique.
Il est amusant de comparer les propos de l'éditeur de Bensaïd - Éric Hazan -avec ceux de la veuve Kennedy. Il fait l'apologie du "possible", des "individus", de l'"évènement".
Le crétin Hazan apprécie - à moins que ce ne soit Bensaïd lui-même qui ait rédigé son texte apologétique - il apprécie "une histoire ... sans garantie scientifique" !
Le label lui convient bien.
Le crétin Hazan n'aime pas l'histoire avec "prédestination", il préfère les histoires où les héros peuvent découvrir des "points de bifurcation" !
Il nous décrit un Bensaïd dont les élucubrations seraient "À l’opposé d’un Marx figé dans le déterminisme".
Les deux crétins n'aiment pas le déterminisme, ils aiment les héros.
Les deux crétins Hazan et Bensaïd ont, en cela, une illustre devancière !
La veuve Jackie Kennedy voulait influencer un des biographes de son mari assassiné, le journaliste Teddy White, qui rédigeait un article pour le magazine Life.***
En conclusion, chers lecteurs et lectrices égalitaristes, si vous n'aviez pas compris, dans les délires anti-scientifiques de Daniel Bensaïd, où se trouvait cachée l'opération Besancenot, la magouille Besancenot, il ne vous reste plus qu'à imaginer, chez eux, la nuit, Sabado, Krivine, Bensaïd et toute la clique, écouter, tout émus, la musique de Camelot, avec dans le rôle principal, le charmant prince Arthur Cendrillon : Olivier Besancenot, dans le rôle du maître d'hôtel Michel Drucker, et dans celui de la citrouille le NPA et tous les rats néostaliniens qui nous ont insulté ou s'apprêtent à le faire.
Là, alors, tout s'éclaircit !
Les honnêtes et naïfs adhérents de la LCR - il y en eut encore - se retrouvèrent à acheter à Sabado et Krivine une Cocotte minute et le pont de Brooklyn !
Nous leur ferons ouvrir les yeux en leur imposant des motions exigeant 1000 euros pour tous les Terriens.
Les honnêtes voteront pour et les malhonnêtes iront rejoindre la chorale des charlatans, des escrocs et des gangsters formois :"Que l'on n'oublie pas qu'il y eut un jour, pendant un bref moment étincelant, un lieu connu sous le nom de Camelot."
=========
NOTES ET SOURCES
Un lecteur de rue 89, en réponse à un texte apologétique (et mensonger) sur Besancenot nous présente Bensaïd comme un des actuels dirigeants de la IV° internationale.
La référence qu'il en donne est un article de l'Express du 24 mai 2004.
Pour L’Express (24 mai 2004), il “ serait le dirigeant le plus influent de la Ligue ”. Il siège au bureau de la IVe Internationale, signe de son rôle majeur, tout comme Alain Krivine, et trois autres presque inconnus, Christophe Aguiton (fondateur de Sud et pilier de l’altermondialisme), Daniel Bensaïd et Janette Habel.
Par ailleurs, Michel Onfray, le traître qui passa de la candidature Bové au soutien à Besancenot quand il vit que les sondages avaient varié, balance sur son blog les charlatans :
"Dans un dîner qui nous rassembla avec Alain Krivine et Daniel Bensaïd, Olivier Besancenot affirmait ne pas être trotskyste, et je le crois volontiers, car lui-même et ses deux comparses savent que les temps ont changé et que la cristallisation d’une gauche mouvementiste peut constituer une identité nouvelle pour une Ligue rénovée."
http://michelonfray.blogs.nouvelobs.com/
John Mullen (LCR Montreuil) démasque partiellement Bensaïd :
"Il poursuit en accusant les bolcheviques d’avoir sous-estimé l’importance de la démocratie, le pluralisme et la décentralisation. Nous trouvons là pourtant que Bensaïd tombe dans un piège. Critiquer les bolcheviques est tout à fait légitime. Mais quand les critiques sont extrêmement vagues, comme cela nous semble être le cas ici, elles ne permettent pas de clarifier l’avenir, elles ouvrent simplement la porte aux conclusions anti-révolutionnaires de nos adversaires. Les critiques que nous faisons de Lénine doivent être précises, et nous croyons qu’une présentation précise permet de défendre la ligne générale du gouvernement bolchevique dans les premières années après la révolution. On peut également regretter la diffusion ridiculement réduite de la brochure de Bensaïd, et son ton parfois excessivement universitaire (la citation de Kant contient une phrase de 72 mots). L’extrême gauche a sous-estimé l’importance de cette bataille idéologique. Il est déjà à noter à quel point l’anticommunisme a avancé quand on voit les défenseurs du marxisme devant écrire des brochures de réponse, à petite diffusion, à des best-sellers anticommunistes. On aurait préféré que la droite soit obligée de répondre à un best-seller “ En défense de Lénine ” ! Ceux qui connaissent la tradition théorique d’où sort la présente revue ne seront pas surpris de nous entendre ajouter un argument supplémentaire. Et si les crimes de Staline ou de Mao en Chine ou de Hoxha en Albanie…, et les horreurs décrites dans Le livre Noir du capitalisme avaient la même cause ? En effet, la définition des États de ce type comme une nouvelle variante, non de communisme, mais du capitalisme, le capitalisme d’État d’État, peut permettre d’éclairer le lien entre dictature et conditions économiques. Les camps de travail, le massacre des opposants, la collectivisation forcée et le stakhanovisme sont tous des phénomènes liés entre eux et causés par la décision de Staline de permettre à l’économie d’être entièrement dominée par la concurrence - le ‘besoin’ de ‘rattraper, puis dépasser’ les économies occidentales. Le livre noir du communisme est évidemment une partie d’une campagne idéologique qui vise à défendre le capitalisme. Mais son succès est aussi en partie le prix que paie la gauche radicale pour avoir défendu une analyse fausse des États dits communistes.
==
bibliographie
sur le site de La Fabrique Le baratin des charlatans
Inventer l’inconnu
Karl Marx, Friedrich Engels
Textes et correspondance autour de la Commune
Précédé de Politiques de Marx, par Daniel Bensaïd
Dès avant la guerre franco-allemande de 1870, Marx et Engels échangent toute une correspondance sur les événements d’Europe, qui se poursuit pendant les combats, le siège de Paris et la Commune. Ce livre présente ces lettres peu connues, avec les textes célèbres autour de la Commune, dont l’Adresse à l’Internationale du 30 mai 1871, souvent appelée La Guerre civile en France. Cet ensemble poursuit le travail de Marx entrepris vingt ans plus tôt avec Le Dix-huit Brumaire de Louis Bonaparte et Les Luttes de classes en France. On voit s’y élaborer les thèmes de l’État moderne, des guerres nationales, du bonapartisme, de la république, de la démocratie, de la transfiguration des classes sociales dans leur représentation politique. L’impératif de solidarité envers les insurgés parisiens n’interdit jamais la lucidité et la critique devant l’écheveau de contradictions, les hésitations ou les inconséquences des acteurs, la tragédie du trop tôt ou trop tard. Que Marx soit autre chose qu’un théoricien de l’économie, que chez lui “ l’action politique ne se réduit jamais à la plate traduction d’une logique historique ”, c’est le sujet principal du texte de Daniel Bensaïd, Politiques de Marx. À l’opposé d’un Marx figé dans le déterminisme, ce qui se passe dans ces textes, ce n’est “ pas une mécanique du progrès, ni l’accomplissement d’un destin, mais une histoire où l’événement, les individus, les caractères ont toute leur place, où le possible n’est pas moins réel que le réel (…) Une histoire profane, sans prédestination divine ni garantie scientifique. Une histoire stratégique, qui se joue dans le conflit, aux points de bifurcation ”. Un passionnant dossier sur la Commune, qui “ a anticipé en actes sur le possible et l’impossible, de sorte que même ses projets et décisions inapplicables gardent un sens profond ”.
Daniel Bensaïd enseigne la philosophie à l’université Paris VIII Saint-Denis. Il a récemment publié à La Fabrique Les Dépossédés. Karl Marx, les voleurs de bois et le droit des pauvres.
Sortie le 14 novembre
300 pages /18 euros
ISBN 978-2-91-3372-85-6
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Je n'ai pas lu l'ouvrage au titre crétin :
Et cela ne me manque pas
Karl Marx. Les hiéroglyphes de la modernité. Daniel Bensaïd, Textuel, Paris, 2001. Une biographie complète, enrichie d’extraits de ses textes et de sa correspondance.
*** source "Jackie" page 338 par David HEYMAN Stuart-Laffont 1989. Un livre passionnant ! (20 centimes aux vide greniers)
La réponse de l'imbécile Bensaïd à ce plaidoyer en faveur de la science est son propre plaidoyer en faveur des imbécillités du fasciste Heisenberg.
"La logique historique s'apparente alors davantage au chaos déterministe qu'à la mécanique classique"écrit le crétin.
La même haine que celle des Bohr, des Heisenberg et tous ces imposteurs, tous ces clowns diplômés qui se prétendent physiciens depuis 1927.
La mécanique classique est la science, la physique classique est le socle de la science.
Et les crétins du genre de Thom cessent de dire des âneries quand ils commencent - sans le dire - à piller Engels.
"Pour départager les interprétations, les écrits politiques sur les luttes des classes en France, sur la colonisation anglaise en Inde, sur les révolutions espagnoles ou sur la guerre de Sécession sont certainement plus utiles que les spéculations logiques. La centralité de la lutte des classes et leur issue incertaine exigent en effet une part de contingence et une notion non mécanique de causalité, une causalité ouverte en somme, dont les conditions initiales déterminent un champ de possibles sans déterminer mécaniquement lequel l'emportera. La logique historique s'apparente alors davantage au chaos déterministe qu'à la mécanique classique : tout n'est pas possible, mais il existe une pluralité de possibilités réelles entre lesquelles c'est la lutte qui tranche. Ici encore, il faut faire appel au Blanqui de l'Éternité par les Astres
pour qui, après les défaites récurrentes de 1832, 1848, 1871, "seul le chapitre
des bifurcations" restait "ouvert à l'espérance".
Les bifurcations des charlatans sont les ruptures du déterminisme du fasciste Heisenberg et de la mécanique quantique.
Ces charlatans sont les ennemis du déterminisme, les ennemis des causalités, les ennemis de la science.
Il n'est point un hasard de voir, ici, apparaître l'idiot Blanqui.
Quand Marx et Engels travaillaient à la science, quand Darwin travaillait à la science, les crétins Napoléon Bonaparte et Blanqui travaillaient à leurs petits complots de crétins.
Il n'est pas un hasard de voir la Fabrique être devenu le repaire de Blanqui, le repaire de Bensaïd, le repaire de Coupat-le-raciste.
L'idéologie de la rupture des causalités est l'idéologie du refus de la science. Les classes exploiteuses craignent de se voir démasquées, elles craignent de voir leur ignominie apparaître sur la scène de l'histoire, elles craignent de voir leur destinée être inscrite dans l'inéluctabilité.
Le salaire de Bensaïd sera annulé, il touchera 1000 euros comme tout le monde et devra rembourser les droits à polluer de sa surconsommation de grand formois - surconsommation qui aura contribué à la destruction de la Terre.
C'est cela que craignent toutes ces crapules néostaliniennes : l'inéluctabilité de leur faillite.
Le fascisme de la formoisie a pour nom "stalinisme".
On en voit déjà les activités dans la pratique politique de la LCR. Comme sous le stalinisme, les orateurs égalitaristes se font huer dans les assemblées générales, comme sous le stalinisme, la menace de l'internement psychiatrique est devenue la formation de base de leur abruti militant débutant. Il suffit de lire leur site revolution-celeonet pour les voir déverser leur haine : dessins, photos d'ambulances psychiatriques.
Ils appellent de leurs vœux le goulag pour leurs adversaires. Ils défendent avec acharnement les assassins trafiquants de drogues des FARC.
Ils instrumentalisent pour leurs basses œuvres les crétins néostaliniens du PCF arracheurs d'affiches.
Ce n'est que le mensonge des historiens qui laissa croire que la relativité était compatible avec le matérialisme : les faits nous démontrent que Staline persécuta les partisans de Lénine et du matérialisme.
Ce n'est que le mensonge des historiens qui masqua le fait que la victoire de la mécanique quantique fut, au sein de la gauche, la défaite du siècle des Lumières, la défaite de tout progrès scientifique.
Il est amusant de comparer les propos de l'éditeur de Bensaïd - Éric Hazan -avec ceux de la veuve Kennedy. Il fait l'apologie du "possible", des "individus", de l'"évènement".
Le crétin Hazan apprécie - à moins que ce ne soit Bensaïd lui-même qui ait rédigé son texte apologétique - il apprécie "une histoire ... sans garantie scientifique" !
Le label lui convient bien.
"ce n’est “ pas une mécanique du progrès, ni l’accomplissement d’un destin, mais une histoire où l’événement, les individus, les caractères ont toute leur place, où le possible n’est pas moins réel que le réel (…) Une histoire profane, sans prédestination divine ni garantie scientifique. Une histoire stratégique, qui se joue dans le conflit, aux points de bifurcation ”.
Le crétin Hazan n'aime pas l'histoire avec "prédestination", il préfère les histoires où les héros peuvent découvrir des "points de bifurcation" !
Il nous décrit un Bensaïd dont les élucubrations seraient "À l’opposé d’un Marx figé dans le déterminisme".
Les deux crétins n'aiment pas le déterminisme, ils aiment les héros.
Les deux crétins Hazan et Bensaïd ont, en cela, une illustre devancière !
La veuve Jackie Kennedy voulait influencer un des biographes de son mari assassiné, le journaliste Teddy White, qui rédigeait un article pour le magazine Life.***
“ " L'histoire n'est écrite que par des hommes amers et vieux, déclara-t-elle. La vie de Jack [surnom de John Kennedy, NdY] tient davantage du mythe, de la légende magique, de la saga et de l'histoire que de la théorie ou de la science politique. " C'est là qu'elle me parla de sa théorie de Camelot, rêve utopique de la célèbre comédie musicale américaine. Elle croyait, et John Kennedy partageait cette croyance, que l'histoire appartenait aux héros et que les héros ne devaient pas être oubliés. Elle ne voulait pas que John soit oublié, ni que ses actes soient fixés par la postérité sous une lumière défavorable. Elle voulait qu'on se souvienne de lui comme d'un héros. Elle me confia que souvent, la nuit, il écoutait Camelot sur leur phonographe et qu'il s'identifiait personnellement à travers les paroles de l'air final :" Que l'on n'oublie pas qu'il y eut un jour, pendant un bref moment étincelant, un lieu connu sous le nom de Camelot."
“ Elle en parlait avec une telle passion que, sous un certain angle, cela prenait presque un sens. J'avais bien conscience que c'était là une mauvaise interprétation de l'histoire, mais j'étais piégé par l'habileté
de Jackie à présenter la tragédie en des termes si humains et si romantiques. Il y avait aussi quelque chose d'extrêmement convaincant en elle. A ce moment précis, elle aurait pu me vendre n'importe quoi, une Cocotte minute ou le pont de Brooklyn.
" Mais, tout ce qu'elle voulait, c'était que je construise l'épilogue de Life autour du concept de Camelot. Ca ne semblait pas une demande si extravagante. Et je me dis en moi-même : pourquoi pas ? Si c'est tout ce
qu'elle veut, donnons-lui satisfaction. C'est ainsi que l'épitaphe de l'administration Kennedy est devenue Camelot - un épisode magique de l'histoire américaine, au cours duquel des hommes galants dansèrent avec des femmes superbes, de grandes actions furent accomplies et la Maison-Blanche devint le centre de l'univers."
En conclusion, chers lecteurs et lectrices égalitaristes, si vous n'aviez pas compris, dans les délires anti-scientifiques de Daniel Bensaïd, où se trouvait cachée l'opération Besancenot, la magouille Besancenot, il ne vous reste plus qu'à imaginer, chez eux, la nuit, Sabado, Krivine, Bensaïd et toute la clique, écouter, tout émus, la musique de Camelot, avec dans le rôle principal, le charmant prince Arthur Cendrillon : Olivier Besancenot, dans le rôle du maître d'hôtel Michel Drucker, et dans celui de la citrouille le NPA et tous les rats néostaliniens qui nous ont insulté ou s'apprêtent à le faire.
Là, alors, tout s'éclaircit !
Les honnêtes et naïfs adhérents de la LCR - il y en eut encore - se retrouvèrent à acheter à Sabado et Krivine une Cocotte minute et le pont de Brooklyn !
Nous leur ferons ouvrir les yeux en leur imposant des motions exigeant 1000 euros pour tous les Terriens.
Les honnêtes voteront pour et les malhonnêtes iront rejoindre la chorale des charlatans, des escrocs et des gangsters formois :"Que l'on n'oublie pas qu'il y eut un jour, pendant un bref moment étincelant, un lieu connu sous le nom de Camelot."
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NOTES ET SOURCES
Un lecteur de rue 89, en réponse à un texte apologétique (et mensonger) sur Besancenot nous présente Bensaïd comme un des actuels dirigeants de la IV° internationale.
La référence qu'il en donne est un article de l'Express du 24 mai 2004.
Pour L’Express (24 mai 2004), il “ serait le dirigeant le plus influent de la Ligue ”. Il siège au bureau de la IVe Internationale, signe de son rôle majeur, tout comme Alain Krivine, et trois autres presque inconnus, Christophe Aguiton (fondateur de Sud et pilier de l’altermondialisme), Daniel Bensaïd et Janette Habel.
Par ailleurs, Michel Onfray, le traître qui passa de la candidature Bové au soutien à Besancenot quand il vit que les sondages avaient varié, balance sur son blog les charlatans :
"Dans un dîner qui nous rassembla avec Alain Krivine et Daniel Bensaïd, Olivier Besancenot affirmait ne pas être trotskyste, et je le crois volontiers, car lui-même et ses deux comparses savent que les temps ont changé et que la cristallisation d’une gauche mouvementiste peut constituer une identité nouvelle pour une Ligue rénovée."
http://michelonfray.blogs.nouvelobs.com/
John Mullen (LCR Montreuil) démasque partiellement Bensaïd :
"Il poursuit en accusant les bolcheviques d’avoir sous-estimé l’importance de la démocratie, le pluralisme et la décentralisation. Nous trouvons là pourtant que Bensaïd tombe dans un piège. Critiquer les bolcheviques est tout à fait légitime. Mais quand les critiques sont extrêmement vagues, comme cela nous semble être le cas ici, elles ne permettent pas de clarifier l’avenir, elles ouvrent simplement la porte aux conclusions anti-révolutionnaires de nos adversaires. Les critiques que nous faisons de Lénine doivent être précises, et nous croyons qu’une présentation précise permet de défendre la ligne générale du gouvernement bolchevique dans les premières années après la révolution. On peut également regretter la diffusion ridiculement réduite de la brochure de Bensaïd, et son ton parfois excessivement universitaire (la citation de Kant contient une phrase de 72 mots). L’extrême gauche a sous-estimé l’importance de cette bataille idéologique. Il est déjà à noter à quel point l’anticommunisme a avancé quand on voit les défenseurs du marxisme devant écrire des brochures de réponse, à petite diffusion, à des best-sellers anticommunistes. On aurait préféré que la droite soit obligée de répondre à un best-seller “ En défense de Lénine ” ! Ceux qui connaissent la tradition théorique d’où sort la présente revue ne seront pas surpris de nous entendre ajouter un argument supplémentaire. Et si les crimes de Staline ou de Mao en Chine ou de Hoxha en Albanie…, et les horreurs décrites dans Le livre Noir du capitalisme avaient la même cause ? En effet, la définition des États de ce type comme une nouvelle variante, non de communisme, mais du capitalisme, le capitalisme d’État d’État, peut permettre d’éclairer le lien entre dictature et conditions économiques. Les camps de travail, le massacre des opposants, la collectivisation forcée et le stakhanovisme sont tous des phénomènes liés entre eux et causés par la décision de Staline de permettre à l’économie d’être entièrement dominée par la concurrence - le ‘besoin’ de ‘rattraper, puis dépasser’ les économies occidentales. Le livre noir du communisme est évidemment une partie d’une campagne idéologique qui vise à défendre le capitalisme. Mais son succès est aussi en partie le prix que paie la gauche radicale pour avoir défendu une analyse fausse des États dits communistes.
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bibliographie
sur le site de La Fabrique Le baratin des charlatans
Inventer l’inconnu
Karl Marx, Friedrich Engels
Textes et correspondance autour de la Commune
Précédé de Politiques de Marx, par Daniel Bensaïd
Dès avant la guerre franco-allemande de 1870, Marx et Engels échangent toute une correspondance sur les événements d’Europe, qui se poursuit pendant les combats, le siège de Paris et la Commune. Ce livre présente ces lettres peu connues, avec les textes célèbres autour de la Commune, dont l’Adresse à l’Internationale du 30 mai 1871, souvent appelée La Guerre civile en France. Cet ensemble poursuit le travail de Marx entrepris vingt ans plus tôt avec Le Dix-huit Brumaire de Louis Bonaparte et Les Luttes de classes en France. On voit s’y élaborer les thèmes de l’État moderne, des guerres nationales, du bonapartisme, de la république, de la démocratie, de la transfiguration des classes sociales dans leur représentation politique. L’impératif de solidarité envers les insurgés parisiens n’interdit jamais la lucidité et la critique devant l’écheveau de contradictions, les hésitations ou les inconséquences des acteurs, la tragédie du trop tôt ou trop tard. Que Marx soit autre chose qu’un théoricien de l’économie, que chez lui “ l’action politique ne se réduit jamais à la plate traduction d’une logique historique ”, c’est le sujet principal du texte de Daniel Bensaïd, Politiques de Marx. À l’opposé d’un Marx figé dans le déterminisme, ce qui se passe dans ces textes, ce n’est “ pas une mécanique du progrès, ni l’accomplissement d’un destin, mais une histoire où l’événement, les individus, les caractères ont toute leur place, où le possible n’est pas moins réel que le réel (…) Une histoire profane, sans prédestination divine ni garantie scientifique. Une histoire stratégique, qui se joue dans le conflit, aux points de bifurcation ”. Un passionnant dossier sur la Commune, qui “ a anticipé en actes sur le possible et l’impossible, de sorte que même ses projets et décisions inapplicables gardent un sens profond ”.
Daniel Bensaïd enseigne la philosophie à l’université Paris VIII Saint-Denis. Il a récemment publié à La Fabrique Les Dépossédés. Karl Marx, les voleurs de bois et le droit des pauvres.
Sortie le 14 novembre
300 pages /18 euros
ISBN 978-2-91-3372-85-6
==
Je n'ai pas lu l'ouvrage au titre crétin :
Et cela ne me manque pas
Karl Marx. Les hiéroglyphes de la modernité. Daniel Bensaïd, Textuel, Paris, 2001. Une biographie complète, enrichie d’extraits de ses textes et de sa correspondance.
*** source "Jackie" page 338 par David HEYMAN Stuart-Laffont 1989. Un livre passionnant ! (20 centimes aux vide greniers)
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