Besancenot et la LCR intrumentalisent Rue89 pour pipeauter.

Une réponse publiée sur le sympathique site rue 89 (qui ne censure rien !!))

La LCR est plus que chatouilleuse sur la question du véritable train de vie de Besancenot.
Elle a pour cela une excellente raison : les néomarxistes que nous sommes allons la déborder avec les mot d'ordre "salaire unique pour tous".
Ce que Trotsky a prévu de faire au parti cadet (KD) et à la bourgeoisie dès 1905, ce que Lénine a organisé à partir des thèses d'avril, mettre sur la touche la classe exploiteuse qui prétend incarner l'avenir, nous savons que nous allons le faire à la classe que représentent Krivine, Sabado et Besancenot : la classe des salariés exploiteurs, la classe des salariés qui gagnent plus que leur part, plus que le PIB mondial moyen (700 euros la part actuellement, 350 euros la demi-part)

Le clown menchévik Besancenot qui développe actuellement le programme de Staline en mars 1917 - construire un parti - au lieu de construire des soviets destinés à déborder les institutions bourgeoises est a chatouilleux du portefeuille.
Il poursuit, ainsi, une vieille tradition para-troskyste.
En effet, de 73 à 82 j'eus, à de multiples reprises, l'occasion de constater - un peu ahuri - la pingrerie qui était celle de beaucoup de prétendus militants trotskystes (depuis des militants de base jusqu'à des cadres)
Les débats en cellule sur les niveaux de cotisation déclenchaient de tensions gigantesques - et des rancunes tenaces : l'un des radins en question me menaçait encore lors du dernier Premier Mai des foudres de la justice bourgeoise : Je me contentais de raconter la façon dont il construisit une cabale à mon encontre pour dissuader l'Education Nationale de reculer davantage dans un contentieux.

Olivier Besancenot ment et les deux journalistes de Rue89 le savent.
Julien Martin et David Servenay se payent notre tête et sont indignes du sérieux de nombreux articles qui ont fait la réputation méritée de ce site.
Ils mentent, soit directement , soit par des omissions ridicules.
Quand Besancenot annonce gagner 1000 euros (c'est sa déclaration publiée par Le Monde) et qu'on ajoute ... 800 euros de plus, le lecteur ordinaire constate que Besancenot a menti à la bourgeoisie.
Il gagne donc 1800 euros.
Ce qui représente 2,5 part de PIB mondial.
Il est clairement un exploiteur.
Et un exploiteur qui invoque des déclarations mensongères faites à l'Etat bourgeois comme un argument valable.

Quand les deux valets de la LCR écrivent :

"Concernant l'emplacement dudit appartement, acquis à crédit avec sa compagne (il l'a donc remboursé pour l'heure à hauteur de 37 000 euros), il est bien situé dans le XVIIIe arrondissement de Paris, mais "pas dans le quartier du Sacré-Cœur en plein Montmartre", plus près du populaire quartier de Barbès que des rues plus huppées des Abbesses."

Ils mentent effrontément.
Un "patrimoine" déclaré à la bourgeoisie n'est en aucune façon le niveau d'un remboursement.
Quant au prix de l'appartement ?
Où est-il ?
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On le trouve sur wikipédia
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Facteur depuis 1997, d'abord à Levallois-Perret, avant d'être affecté à Neuilly-sur-Seine à partir de 2000, il est aujourd'hui à temps partiel, à 80 %, travaillant du mercredi matin au samedi[2]). Il déclare toucher 1 000 euros nets par mois[3]. En 2007, son patrimoine s'élève à 37 000 euros[3], 277 640 euros avec crédit[4]. Il se déclare athée[5]. En 2003, avec sa compagne Stéphanie Chevrier, directrice littéraire chez Flammarion[6], il a un enfant[7].

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Il faudra qu'il vienne nous expliquer ce qui relève du mobilier et de l'immobilier.
QUAND LA RÉVOLUTION ÉGALITARISTE VICTORIEUSE VIENDRA ÉGALISER LES PATRIMOINES, IL FAUDRA BIEN QU'IL RENDE GORGE DE SES ACCUMULATIONS D'EXPLOITEUR .... ET SANS MENSONGES !!!

Il aurait donc un crédit pour 277 640 EUROS

Un clown !!!
Comment pourrait-il prétendre préparer la révolution avec un boulet pareil au pied. Un crédit de près de 2 millions de francs !!!

Qui ment ?

Quant au niveau de la consommation du couple, les deux auteurs viennent nous sortir la convention collective du secteur de sa copine:
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Quant au salaire allégué, elle ajoute : "Qu'est-ce que j'aimerais que ce soit vrai !" En réalité, elle a le salaire d'un cadre dans le secteur de l'édition (la convention collective de l'édition indique un salaire minimum d'environ 2500 euros).

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On s'en fout de la convention collective.
Ce n'est que l'habituel rideau de fumée que faisait l'agrégé pseudo-Lubin dans les réunions de la LCR... Lui et sa bande de radins, ils avaient toujours des trucs spéciaux, des trucs extraordinaires pour justifier le niveau ridicule de cotisation qu'ils acceptaient de payer.
J'imagine Besancenot, dans sa cellule, venant débattre avec ses copains en leur présentant le document de la convention collective du secteur.
Que cette dame nous dis si oui ou non elle gagne 10000 euros, si oui ou non elle gagne 5000 euros, si oui ou non elle gagne 2500 euros !!!
Ce n'est pas compliqué !!!
Mes camarades de cellule - l'agrégé de mathématiques,etc... - m'envoyaient de belles carte postales, ... de Ceylan, du Mexique...
Ces camarades voyageaient...
Portugal des oeillets... Nicaragua sandiniste...

Ils voyageaient sur le dos de l'organisation qu'ils escroquaient, sur le dos de la LCR à qui ils mentaient....

Que Besancenot soit le défendeur de la classe formoise, de la classe des salariés exploiteurs est dans la nature des choses : depuis 70 ans et la mort de Trotsky, le trotskysme est mort.
Il a failli renaître par l'altruisme des jeunes des années 70.
Il s'est éteint en 1979 grâce à la bande Krivine.

Mais que cette classe, à qui nous IMPOSERONS de consommer 1000 euros par mois cesse de pleurnicher : les 30 glorieuses ce sont 30 années de VOL du Tiers Monde,30 années d'exploitation des travailleurs du Sud;

Besancenot n'est pas seulement un exploiteur formois, pas seulement un clown menchevik, il est, sur ce débat autre chose : UN MENTEUR !
.... et ses larbins... de misérables fabriquants de fumée !!!

(L'ascension du clown menchévik depuis l'aile gauche de la LCR sera l'objet d'un autre texte)


J'avais déjà traité le cas Besancenot :

PRIVILEGES ET CORRUPTION DES LEADERS : LE CAS BESANCENOT; LE CAS LUBIN (cotisations, salaires, revenus, trains de vie)

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