jeudi 23 octobre 2008
Violence sur France 2 : A quand Darcos à la maternelle Varlin ?
La secrétaire d'Etat Valérie Létard est sur place !
LES INFILTRÉS ONT DÉCLENCHÉ UNE RÉACTION
La maltraitance contre les personnes âgées suscite l'indignation.
Ou est-ce le passage à la télévision ?
Car pour ce qui concerne la fessée qu'a reçue le petit Kévin, l'administration laisse courir...
Pas de visite de Darcos à l'école maternelle Varlin pour interroger la coupable ATSEM;
Ni de convocation de la témoin Julie Amadis !
Car pour ce qui concerne la vantardise de la directrice Véronique Combret qui se vantait de taper le petit Luciano, pas de visite de Darcos à l'école Varlin de Caucriauville !
Ni de convocation de la témoin Julie Amadis.
Car pour ce qui concerne l'enfant battu qui s'était plaint d'avoir été jeté à terre par sa mère, pas de visite du ministre Darcos à l'école Varlin.
Ni de convocation de la témoin Julie Amadis qui demanda aux instits si elles avaient fait un signalement.
Car pour ce qui concerne l'enfant qui s'était fait tirer les cheveux... aucune réaction de l'administration.
Pourtant l'Inspecteur d'Académie du Havre avait annoncé aux syndicats qu'il allait convoquer Julie Amadis !!!
Quelle infamie !
Pourtant deux lettres en recommandé ont été postées par Julie Amadis au mois de juin à destination du Recteur de Seine Maritime (en sus de la transmission par voie hiérarchique)
Julie Amadis demandait - en sus de la reddition des comptes et de la chronologie des faits - à quelle école elle pourrait postuler où elle ne risquerait pas de voir des violences physiques ou psychologiques (comme à la maternelle Varlin, comme au collège Léo Lagrange - qu'elle avait déjà signalées en juin 2006)
La violence est acceptée par le Recteur de Seine Maritime.
Il a trouvé une solution pour cela :
Julie Amadis, le témoin a été victime d'un licenciement déguisé : son contrat d'un an n'a pas été renouvelé par la complice des brutes, la principale Carole Hervieu.
Vous êtes prévenu : vous êtes témoin, donc vous allez vous retrouver à l'ANPE, aux ASSEDIC - comme Julie Amadis (qui de plus subi la vengeance hypocrite de l'administration : pas un centime versé depuis la fin août !!! et cela pour quelqu'un qui touchait 534 euros par mois)
Ces gens ont des comportements abjects, infâmes.
Les violences contre les personnes âgées que la télévision a mises en lumière sont indignes.
Les coupables devront être sanctionnées.
Elles devront être purement et simplement licenciées et interdites de se trouver en position de réitérer leurs actes délictueux.
Les coupables des mauvais traitements à l'encontre des enfants de la maternelle Varlin du Havre, les enseignants infâmes, la maîtresse qui tire les cheveux du petit Oussine, la directrice qui se vante de taper le petit Luciano, doivent être purement et simplement licenciées.
Elles doivent être interdites de travailler en présence d'enfants.
Et toute la chaîne hiérarchique qui a protégé les brutes, depuis la principale du collège Carole Hervieu jusqu'au Recteur de Seine Maritime - en passant par l'Inspecteur local IDEN Patrick Deplanque qui a tout couvert en protégeant avec acharnement Véronique Combret - doivent être licenciée et interdite de travailler en situation de réitérer leurs délits.
Et toute la chaîne des coupables et de leurs protecteurs devra voir la totalité de ses droits civiques supprimée.
Taper des enfants de moins de sept ans sera un crime dans la législation révolutionnaire.
Ce que la bourgeoisie ne fera pas dans le cadre de son administration, les classes exploitées, les classes dominées, les classes humiliées le feront.
La colère du peuple sera terrible !
Rien ne sera oublié !
L'auteur de ce texte a été convoqué à la police (ainsi que Julie Amadis) pour répondre d'une menace d'inculpation en diffamation.
Une plainte déposée par deux coupables - Véronique Combret et sa protectrice en violence Carole Hervieu.
Au mois de juin.
Aucune nouvelle n'a été reçue de cette plainte.
A moins qu'une décision de classement sans suite n'ait été prise dans la clandestinité.
Ce serait bien dans les traditions d'un tribunal où la transmission de faux en écritures publiques ne semble pas gêner cette hiérarchie judiciaire locale, tradition qui aurait fait éclater de rire notre chère Antigone !
Nous serons dignes de son combat !
L'illégalisme ne dérange pas une administration qui garde à sa tête un Xavier Darcos qui se faisait l'avocat d'une brute alcoolique qui frappa le jeune Alexandre (le fils du gendarme qui eut le courage de faire son devoir – lui !).
La - faible - condamnation de cet agresseur à une ridicule peine d'amende aurait du inciter le défenseur de celui-ci à démissionner de son poste.
Toutes les brutes inhumaines seront sanctionnées !
NOTES
La chronologie des faits (lettre recommandée au Recteur de Seine Maritime)
jeudi 10 juillet 2008
VOLTAIRE REVIENS ! ILS SONT DEVENUS FOUS !
VIOLENCES CONTRES LES ENFANTS : VARLIN LE HAVRE
VOLTAIRE REVIENS ! ILS SONT DEVENUS FOUS !
Ou comment c'est le témoin des brutalités Julie Amadis est licencié,
comment les deux brutes mentent et se pavanent,
comment la hiérarchie
(inspecteur Patrick Deplanque,
inspecteur d'académie du Havre,
recteur de Rouen)
construit une omerta scandaleuse que la révolution viendra sanctionner très sévèrement,
et comment le journaliste bloggueur Yanick Toutain est menacé de poursuite
(plainte en diffamation d'une des deux brutes - Véronique Combret -
et de sa première protectrice - Carole Hervieu)
et convoqué au poste de police
mardi 24 juin 2008
2° lettre au Recteur de l'académie de Rouen (droit de retrait et 3° cas de violences physiques dans l'école maternelle)
http://monsyte.blogspot.com/2008/06/2-lettre-au-recteur-de-lacadmie-de.html
jeudi 19 juin 2008
Lettre au Recteur de l'académie de Rouen
De Julie Amadis,
http://monsyte.blogspot.com/2008/06/lettre-au-recteur-de-lacadmie-de-rouen.html
jeudi 19 juin 2008
Violence contre les enfants : C'est le témoin qui est sanctionné !
http://monsyte.blogspot.com/2008/06/violence-contre-les-enfants-cest-le.html
mercredi 18 juin 2008
violence contre les enfants : Chronologie des faits
http://monsyte.blogspot.com/2008/06/violence-contre-les-enfants-chronologie.html
+ sur les forums : http://groups.google.fr/group/fr.misc.droit.travail/browse_thread/thread/b2a9bb8143aa4430
mercredi 18 juin 2008
violences contre les enfants, lutte des classes, luttes des strates
http://monsyte.blogspot.com/2008/06/violences-contre-les-enfants-lutte-des.html
mardi 17 juin 2008
violence contre les enfants : Nous avons discuté avec Antoine Rufenacht sur un trottoir de l'avenue René Coty
http://monsyte.blogspot.com/2008/06/violence-contre-les-enfants-nous-avons.html
dimanche 15 juin 2008
Violence à l'école : On laisse le personnel de l'Éducation nationale taper les enfants
http://monsyte.blogspot.com/2008/06/violence-lcole-on-laisse-le-personnel.html
samedi 14 juin 2008
Bayrou, Darcos, Laboureur, Combret, Hervieu, SNES
http://monsyte.blogspot.com/2008/06/bayrou-darcos-laboureur-combret-hervieu.html
samedi 14 juin 2008
http://monsyte.blogspot.com/2008/06/la-brute-soutient-la-brute.html
vendredi 13 juin 2008
Fessées contre Kévin et Luciano : Je suis l'objet d'une plainte en diffamation de Véronique Combret et Carole Hervieu
http://monsyte.blogspot.com/2008/06/fesses-contre-kevin-et-luciano-je-suis.html
mardi 20 mai 2008
Des enfants de maternelle "notent" (à leur manière) leur enseignante
http://monsyte.blogspot.com/2008/05/des-enfants-de-maternelle-notent-leur.html
jeudi 24 avril 2008
534 euros : la réforme de N. Sarkozy pour l'Éducation
http://monsyte.blogspot.com/2008/04/534-euros-la-rforme-de-n-sarkozy-pour.html
dimanche 13 avril 2008
En soutien à Alexandre (le fils du gendarme), l'élève agressé par le brutal José Laboureur, J'attendais une contre-offensive des humains.
http://monsyte.blogspot.com/2008/04/en-soutien-alexandre-le-fils-du.html
sur les forums :
Carole Hervieu, principale du collège Varlin Le Havre poursuit son harcèlement moral contre Julie Amadis
http://groups.google.com/group/alt.politics/browse_thread/thread/9331467b8dd1b44a
Re: Le Conseil de l'Europe veut en finir avec la fessée
http://www.niouzes.org/education-divers/244031-re-conseil-de-leurope-veut-en-finir-avec-la-fessee.html
mardi 24 juin 2008
2° lettre au Recteur de l'académie de Rouen (droit de retrait et 3° cas de violences physiques dans l'école maternelle)
Assistante pédagogique
Collège Eugène Varlin
Le Havre
de Seine Maritime
Rouen
Objet :
- Refus de prendre un coup de compas dans le dos
- Droit de retrait
en PS : 3° cas de violences physiques
Monsieur le Recteur,
Monsieur Cagnotis, responsable de la SEGPA, m'a retiré des classes de 6e et de 5e SEGPA, le jeudi 29 mai. Il a considéré que ma sécurité n'y était pas assurée (insultes d'élèves, simulacre de rassemblement hostile au supermarché "ED" du quartier).
Mme Hervieu, principale du collège Varlin Le Havre, a alors fait injonction formelle de m'y placer de nouveau, le mercredi 4 juin.
Cela apparaît effectivement comme une sanction déguisée.
"C'est votre punition" m'a déclaré le fonctionnaire de police, capitaine, qui m'a auditionné le mercredi 11 juin, suite à la plainte en diffamation, déposée par ma principale à l'encontre de celui qui n'a fait que rapporter la vérité concernant les brutalités sur les petits (plainte en diffamation déposée de concert avec la directrice de maternelle, Véronique Combret, que j'accuse formellement de s'être vantée d'avoir tapé le petit Luciano sans avoir "culpabilisé pour autant").
Le choix de Mr Cagnotis était d'autant plus pertinent qu'à la date du 16 juin, 5 jours après mon audition au commissariat de police, la professeur débutante enseignant dans cette classe depuis le début janvier, a reçu un compas dans le dos.
Le choix de Mme Hervieu de m'imposer une classe où je me fais traiter de "pute" a intrigué un nombre très important de gens à qui j'ai demandé conseil.
Je suis persuadée que la principale, madame Carole Hervieu, cherche à construire une situation déclenchant à mon encontre l'hostilité des élèves.
Et cela dans le but d'empêcher ou de freiner le mouvement d'opinion en ma faveur dans le quartier : personne n'aime savoir que son petit enfant de 3 ou 4 ans, son petit frère ou sa petite sœur risque de recevoir une fessée en allant à la maternelle Varlin.
Je mène actuellement une enquête sur la façon dont mon témoignage des incidents qui se sont produits dans cette classe de SEGPA est finalement reproduit. En effet, un délégué de classe croisé par hasard en ville (il chantait hier 21 juin) m'a rapporté que mon témoignage concernant une élève aurait été utilisé dans l'acte d'accusation pour exclure un autre élève.
Ce climat délétère fait suite à l'abandon complet depuis janvier 2008 d'une professeur dans sa classe.
Le coup de compas dont elle a été victime, j'aurais pu tout aussi bien en être victime.
C'était ma punition pour la fessée que j'ai vu le petit Kévin 3 ans subir, c'était ma punition pour avoir rapporté la vantardise de Mme Véronique Combret d'en faire autant contre le petit Luciano, 4 ans.
Ces scandales à répétition qui font suite au refus complet de signalement concernant le petit Jordan, claqué sur le sol par la mère et recousu à l'hôpital montre qu'il est plus que temps que le Conseil de l'Europe applique sa sagesse à cette école Varlin, à ce quartier, ce département, à ce pays : "Aucune religion, situation économique ou méthode d'éducation ne saurait justifier de frapper un enfant, de le gifler, de lui donner la fessée, de le maltraiter, de l'humilier ou de recourir à toute pratique qui porte atteinte à sa dignité".
Le témoin de la fessée contre le petit Kévin en maternelle que je suis refuse, à compter du lundi 23 juin, de prendre le risque de prendre un coup de compas dans la classe de la 6e ou de la 5e SEGPA.
Pour autant, je considère que les élèves qui m'ont insultée ou entourée au supermarché ED sont eux aussi les victimes de l'incapacité de Mme Hervieu à diriger un établissement : Quand on est occupé à monter une cabale, à organiser des représailles, à inventer des punitions contre les témoins de fessées, on n'a pas de temps suffisant pour sortir de son bureau et aller visiter la classe du prof qui se fait insulter depuis le mois de janvier. (Le témoignage de son abandon est de la professeur elle-même. Devant son isolement, elle venait de prendre contact avec la solidarité laïque, peu de temps avant le coup de compas.)
Quand on met des débutants dans de pareilles classes, au lieu d'y mettre des enseignants chevronnés, il faut en assumer les conséquences.
L'absence de règle, en amont, l'absence de sanctions dès les premières infractions, ensuite, aboutit à un laxisme total dont l'apogée effrayant est le coup de compas reçu par cette convalescente.
Cette classe d'enfants posés sur des voies de garage, dès la sixième, dès l'age de 11 ans mérite des soins particuliers.
C'est précisément ce genre d'élèves qui m'a motivée à être enseignante.
Mais pas dans un établissement qui part à vau-l'eau, ni un établissement dans lequel les témoins de châtiments corporels sont insultés et sanctionnés.
Je ne suis pas une menteuse. Et vos services auront, au besoin, l'occasion de s'en convaincre dans les années qui viennent.
Dès lundi, j'utilise mon droit de retrait et refuse de travailler dorénavant dans ces deux classes.
Recevez, Monsieur le Recteur, l'expression de mes sentiments les plus dévoués à l'avenir des élèves.
Julie Amadis
Victime de licenciement abusif depuis le 19 juin d'un poste d'assistante pédagogique par non reconduction de son contrat.- licenciement à compter du 31 août 2008. (après 28 mois d'embauche précaire)
Post-scriptum : un 3° cas de violences physiques dans cette école Varlin :
Après la rédaction de ce courrier, en promenade sur la plage du Havre, ce dimanche, à 19 heures, je croise une mère d'élève de la maternelle Varlin dont l'enfant, le petit Houssine me reconnaît et me sourit.
J'informe la mère de la situation, des fessées, de l'omerta, des accusations de mensonge et de la sanction finale, le licenciement déguisé du témoin
Cette mère m'informe alors de sa visite qu'elle a effectué auprès de la directrice de l'école en début d'année, suite à la plainte de son petit enfant qui s'était fait tirer les cheveux par sa maîtresse.
C'est le troisième cas d'agression physique contre un enfant de l'école maternelle Varlin
Cette mère s'est, de facto, fait traité de menteuse : sans mener aucune enquête la directrice a accusé le petit Houssine d'être un menteur.
Compte tenu de ce que j'ai vu et de la façon dont je suis traitée (insultée par cette directrice qui récuse le témoignage de mes sens), j'accorde, pour ma part bien plus de poids au témoignage de cet enfant et de sa mère.
Le petit Houssine, interrogé, alors, par Yanick Toutain, a précisé que cette maîtresse ne lui a plus tiré les cheveux de l'année. Ce dernier a conseillé à cette mère d'utiliser son ordinateur pour effectuer un enregistrement audio du témoignage de son enfant.
Yanick Toutain a conseillé à Houssine de dire la vérité parce que ses mots seront mis sur Internet, et que l'enregistrement y restera pour toute sa vie.
Le petit Houssine a parfaitement compris qu'il pourra réécouter son témoignage quand il sera devenu grand.
Il a eu alors un large sourire : le sourire des victimes qui trouvent enfin l'écoute institutionnelle pour les sévices qu'elles ont subis.
J'ai engagé la mère à porter plainte. Elle m'a dit, alors, en avoir énoncé la menace à l'institutrice de son enfant au début de l'année si les sévices se reproduisaient.
Je suis témoin de la façon dont, tout au long de l'année, cette mère d'élève a été systématiquement dénigrée et calomniée par la maîtresse de Houssine, sans jamais, naturellement, que les mobiles de cette enseignante calomniatrice ne soient énoncés : j'ignorais que cet enfant avait été victime de sa maîtresse et donnait crédit à ces propos calomnieux.
Je lui ai conseillé, par ailleurs, si elle le souhaitait de placer son témoignage sur Internet à la suite des textes ou de la chanson "La brute soutient la brute".
Je lui ai conseillé, enfin, de susciter une réunion de parents, ainsi que de recueillir les témoignages d'autres coups éventuels.
Trois agressions physiques découvertes par hasard ne peuvent, statistiquement, pas être isolées. Il est quasiment certain que nous en découvrirons d'autres.
Vous pourrez facilement comprendre, monsieur le Recteur, que puisque la police est occupée à instruire des plaintes en diffamation déposées par des fonctionnaires menteurs, (se prévalant, dans leur plainte, d'un statut dont elles ne sont plus dignes, d'ailleurs), cette police, n'a, donc, pas le temps d'instruire, au fond, sur les cas réels des coups portés à ces petits enfants.
Ce seront donc les parents de ces enfants qui devront pallier à ce manque de temps fort dommageable en cherchant les noms des autres éventuelles victimes de cette école maternelle Varlin.
Le harcèlement moral dont je suis victime a maintenant son mobile : l'omerta pour les coups portés aux petits.
PPS : Suite à mon licenciement (déguisé) arbitraire - sous la forme du non-renouvellement de mon poste d'assistante pédagogique - je vous prie de m'indiquer, monsieur le Recteur, la liste des chefs d'établissements dont vous connaîtriez l'hostilité à l'usage des châtiments corporels (en particulier contre les petits de 3 et 4 ans), chefs d'établissement dont l'hostilité à ces sévices barbares les aura amené a en avoir éradiqué l'usage sur le secteur dont ils ont la charge (primaire et maternelle inclus), chefs d'établissement dont le sens du service public les aurait amenés à me féliciter d'avoir pris autant de risques pour témoigner dans l'intérêt des enfants.
Une telle liste me permettra de savoir où postuler pour la rentrée de septembre.
Après le scandale Léo Lagrange dont j'ai témoigné auprès de vos services, le scandale Varlin rend nécessaire et urgent pour moi, comme d'ailleurs pour le public, la réception et la connaissance d'une telle liste.
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erratum : sur la chronologie, les faits cités pour la date du mardi 3 juin, sont du mercredi 4 juin.
Je réitère ma demande de remise en ligne des histoires des CP rédigées au printemps 2007. Personne n'a le droit d'effacer d'Internet les travaux des enfants. Ils devront pouvoir tout lire lorsqu'ils seront adultes.
Google n'est tout de même pas chargé d'archiver la totalité de la production de l'humanité.
jeudi 19 juin 2008
Lettre au Recteur de l'académie de Rouen
De Julie Amadis,
assistante pédagogique
collège Eugène Varlin Le Havre
A l'intention de Monsieur le Recteur de Rouen,
PJ :
- Chronologie du déroulement des faits
- Contrat de travail
- Lettre de mission 2006/2007
- Lettre de menace de retenue sur salaire
- Mail de Mr Deplanque
- Lettre remise à l'Inspecteur d'académie
Objet :
Affaire de fessées dénoncées (faits étouffés)
Le Havre,
Le 19 avril 2008
Monsieur le Recteur,
Je vous rappelle brièvement les faits évoqués à la personne chargée des affaires juridiques au rectorat lors de mon appel du Jeudi 27 Mars.
Le 22 mars, j'ai reçu en accusé de réception une lettre de mise en demeure avec menace de retenue sur salaire suite à mon refus de travailler dans une école ou j'avais dénoncé une fessée auprès de la directrice de maternelle Mme Véronique Combret qui a couvert son ATSEM en avouant avoir déjà agi de manière similaire : ""par exemple Luciano, ça m'est déjà arrivé de lui mettre une fessée et je n'ai pas pour autant culpabilisé car à ce moment là, il y a que comme ça qu'il pouvait comprendre"".
Cette affaire a été étouffée par toute la hiérarchie.
Lors de mon entretien avec Mr Deplanque vendredi 14 Mars, j'ai clairement exprimé ma position : "je ne retournerai pas dans cette maternelle tant qu'aucune sanction ne sera prise contre les personnes qui ont tapé les enfants". Rien n'a été fait qui aille dans ce sens. L'enquête n'a même pas été menée. Les parents du petit Kevin n'ont pas été mis au courant de cette affaire. (j'ai rencontré, par hasard, sa mère, il y a un mois). Je suppose qu'il en est de même pour le petit Luciano (je n'ai pas vu ses parents depuis).
J'attends de vous que vous meniez enfin l'enquête concernant ce qu'ont subi Kévin et Luciano et que vous fassiez le nécessaire pour protéger les enfants de cette école.
Aussi, j'espère que les mesures nécessaires pour qu'à l'avenir de tels évènements ne se reproduisent plus, seront prises. Le personnel de l'éducation nationale ne doit à aucun moment lever la main sur un enfant.
Depuis mon appel téléphonique au rectorat, l'ignominie envers ceux qui combattent la violence envers les enfants a atteint un degré supplémentaire. Il ne 'agit plus ni de harcèlement, ni de menace de retenue sur salaire mais de plainte en diffamation.
Mme Carole Hervieu, principale du collège Eugène Varlin et Mme Véronique Combret, directrice d'école porte plainte parce que mon ami Yanick Toutain a rapporté, tel un journaliste, les faits dont elles sont protagonistes, sur Internet, en y ajoutant le qualificatif de "brute" pour Véronique Combret qui avoue avoir fessé Luciano, 4 ans et d'"incapable" Carole Hervieu qui a étouffé cette affaire, qui m'a harcelé et menacé de retenue sur salaire et de licenciement. Mme Véronique Combret ose me traiter de menteuse.
Je tiens à vous préciser, monsieur le Recteur, que personne ne m'avait jamais avant ces dames traité de menteuse (cf. lettre de Véronique Combret intégrée au dossier de plainte qui ose prétendre "Julie Amadis a donc menti")
Ce n'est certainement pas concernant les brutalités subies par deux petits de trois et quatre ans que je vais laisser de pareilles insultes calomniatrices se répandre.
Les menaces pour faire taire les témoins de violence contre des petits sont véritablement des méthodes scandaleuses.
Je ne commencerai pas une carrière d'enseignante en cautionnant tout cela par mon silence. Je ne cèderai devant aucune intimidation.
Je précise que l'inspecteur d'Académie en résidence au Havre qui s'était engagé, devant une délégation de plusieurs syndicalistes, à me convoquer, ne l'a jamais fait.
En conséquence, et comme votre responsable des affaires juridiques joint au téléphone me l'avait conseillé, je vous écris le déroulement des faits sous une forme chronologique (voir ci-joint la chronologie).
Je vous remercie d'étudier avec sérieux ce dossier.
(Naturellement, au vu de l'ampleur des pressions inqualifiables dont je suis l'objet, je rends ce courrier public.)
Veuillez recevoir, Monsieur Le Recteur, mes meilleures salutations
Julie Amadis
Assistante pédagogique au collège Eugène Varlin, le Havre
PS : il y a un troisième cas de violence, parentale celle-là, avec refus de signalement sur cette école maternelle Varlin. (menton recousu à l'hôpital). Le petit Jordan (4 ans) m'a déclaré "Ma mère m'a claqué par terre". Plusieurs enseignantes l'avaient déjà entendu leur dire. Sans aucune réaction. Elle se sont moquées de moi. Je l'avais aussi signalé à madame Hervieu ainsi qu'à l'infirmière de l'école et l'assistante sociale du collège.
PPS : J'ai découvert hier que mon travail avec des petits élèves de CP (mise en ligne de 6 histoires écrites entièrement et illustrées par 60 petits enfants de cours préparatoire) a été effacé du site du collège Varlin.
Je trouve, là encore, ces méthodes scandaleuses : quand on veut accuser son chien on dit qu'il a la rage. Il s'agit pour les protagonistes de cette affaire d'effacer toute preuve de mes compétences professionnelles.
Cette fois-ci, encore, au détriment des enfants : tous les travaux des élèves devront être archivés pour qu'ils puissent les consulter tout au long de leur vie et les montrer à leurs propres enfants et petits-enfants.
Je réclame de vos services que ces textes soient remis en ligne aux mêmes adresses télématiques que précédemment : Je ne suis pas dupe du fait qu'il s'agit de déclencher des erreurs pour celles et ceux qui voudraient suivre les liens que j'ai déposés sur Internet depuis deux ans pour faire connaître mon travail et celui des petits élèves de cours préparatoires.
Sachez que si vos services persistaient à censurer ces travaux, je mettrai en ligne moi-même les histoires des petits écrivains.(De toute façon Google a archivé la preuve de ces effacements)