jeudi 19 juin 2008

Violence contre les enfants : C'est le témoin qui est sanctionné !

Le contrat reconductible de Julie Amadis n'est pas renouvelé


Voilà la punition contre le témoin de violences contre les enfants.

L'incapable Carole Hervieu, principale du collège Varlin Le Havre, laisse ses enseignants prendre le risque de recevoir un coup de compas dans le dos (nous reviendrons sur ce scandale qui s'est produit lundi 19 juin, il y a 3 jours : une professeur débutante qui a la pagaille dans sa classe depuis janvier a été laissée à l'abandon par sa hiérarchie, sa principale Carole Hervieu : en punition Julie Amadis avait été nommée dans cette classe (de façon délibérée et réitérée )

Mais cela ne suffit pas : elle vient de pratiquer au licenciement déguisé de Julie Amadis.

Le comité directeur du plan ambition réussite (ambition de taper les petits ? réussite d'étouffer le scandale ?) vient de se réunir cet après-midi. Il a avalisé le non renouvèlement du contrat d'assistante d'éducation de Julie Amadis.


Les coupables de violence, l'Atsem, femme de ménage et la directice de la maternelle Varlin n'ont eu aucune sanction, la principale du collège Varlin qui a étouffé le scandale et l'inspecteur Patrick Deplanque n'ont eu aucune sanction pour cela.


Bien au contraire : ils conservent leur pouvoir de nuisance contre le témoin principal et cautionnent le licenciement déguisé de Julie Amadis.


Combien de temps l'inspecteur d'académie du Havre va-t-il continuer à soutenir ce scandale : Il a promis aux délégués syndicaux de convoquer le témoin, Julie Amadis, il y a plusieurs mois. Celle-ci attendait depuis cette convocation.*


Mais, est-ce qu'il a craint d'entendre la vérité ? Est-ce qu'il a craint d'entendre l'exposé détaillé des coups qu'a reçu le petit Kévin ?

Est-ce que l'inspecteur d'académie du Havre a craint d'entendre Julie Amadis lui relater les propos de la directrice Véronique Combret qui s'est vanté d'avoir tapé le petit Luciano, sans éprouver de sentiment de culpabilité ?


Pour l'instant, il est devenu le nouveau maillon de responsabilité.


Julie Amadis, a posté, aujourd'hui, la chronologie complète, au recteur de l'académie de Rouen.


Combien de temps ce scandale va-t-il continuer ? Combien de temps, ce seront les témoins qui seront menacés, qui seront sanctionnés ?

Ces gens croient nous impressionner ? Mais il se trompent radicalement !

La question qui se pose est : faudra-t-il la révolution pour faire cesser les coups contre les petits de trois ans.


Cette Véronique Combret, cette Carole Hervieu, ce Patrick Deplanque prennent les petits enfants pour des animaux, ils prennent les petits enfants de trois et quatre ans pour des chiens qu'il faut taper.


Ils se soutiennent mutuellement dans l'abjection de leur position ! Ils essayent de construire une omerta, une loi du silence. Ils cherchent à menacer les témoins, ils cherchent à sanctionner les témoins.


Après la plainte en diffamation déposée par Combret-la-brute, après la plainte en diffamation déposée par Hervieu-je-vire-le-témoin, de quoi ces gens-là sont-ils capables.


Ils ne réussiront jamais à baillonner Julie Amadis, ils ne réussiront jamais à me faire taire. Et tous ceux et celles qui oseront soutenir les coupables, tous ceux et celles qui oseront prendre le parti de brutes qui prétendent trouver normal de taper les petits enfants comme des animaux seront démasqués et dénoncés leur tour.


Il est temps d'en finir avec l'omerta


Et ce tribunal qui instruit une plainte en diffamation contre moi, quel est son degré de complicité avec les deux brutes ?

Car il s'agit d'y voir clair : ce tribunal est saisi d'une plainte en diffamation concernant des coups contre des petits de trois et quatre ans.

Et que fait-il ?


Va-t-il interroger les témoins sur les coups contre les petits ?

Que nenni !!

Va-t-il instruire en urgence ?

Va-t-il, le jour même dépécher du personnel pour protéger les petits et leur témoignage ?

Que non !


L'urgence est la diffamation !

De qui se moque-t-on ?


Nous saurons, un jour, le nom du fonctionnaire qui a commis cette forfaiture ; ne pas instruire une enquête pour protéger ces deux enfants !

Il y avait urgence à déplacer ces responsables de coups, il y avait urgence à instruire concernant la véracité des faits, pour protéger les enfants.

La diffamation éventuelle aurait été éclairée dans la procédure!


Mais non ! Ce tribunal se moque des enfants ! Il fait comme l'inspecteur d'académie du Havre : l'autruche sur le principal du dossier.


UN TRIBUNAL QUI POSTE DES FAUX EN ECRITURE PUBLIQUE


L'explication est là : ce tribunal se contre-fiche des petits enfants qui sont tapés comme des chiens de la même façon que depuis 20 ans il se contrefiche de la légalité.

J'ai déjà écrit, plusieurs fois que ce tribunal a une caisse noire et de quelle façon je reçus, il y a près de quinze ans, un chèque provenant de ce tribunal d'instance.


Une caisse noire bien pratique : ce tribunal, sur la base d'une absence de contenu juridique s'était cru autorisé à ordonner une saisie sur mon salaire. Cette saisie de 194F91 faisait suite à une demande (illégale) des services financiers du rectorat de Rouen.

Je passe sur les détails que je relaterai plus tard: pour couvrir ses illégalités, il finit par me rembourser la somme sur la caisse noire (avec un chèque du tribunal !!!) . Seulement, j'exigeai du procureur (il fallut deux courriers en accusé de réception) le texte qui validait ce remboursement.

Qu'à cela ne tienne, la responsable (PCF) de la recette perception d'Harfleur (elle devait faire partie de la bande ou avait des services à leur rendre) leur rédigea un FAUX EN ECRITURE PUBLIQUE justifiant ce reboursement par cette caisse noire sous un prétexte bidon : je leur aurais (faux) payé en liquide (faux) la somme à leurs caisses (tout faux : ce fut un prélèvement sur salaire).

Et ce faux en écriture publique, dont la fonction était de jouer à saute-mouton par dessus les textes et de truquer le déroulement du contentieux, me fut transmis par le tribunal d'instance du Havre.(J'ai toujours 3 mois de salaire à récupérer depuis 1988 et un an pour 1991 : la révolution me les remboursera s'il faut attendre jusque là !)

Comme je me suis aperçu, il y a peu de temps, qu'il n'y avait pas de prescription concernant ce type de faux, je l'ai rappelé sur Internet : j'allais, enfin, être interrogé sur ces accusations.


Mais non !

Ce tribunal laisse les citoyens écrire, paisiblement, qu'il a une caisse noire sortant de la légalité et qu'il transmet (PCC juge Paillette) des faux en écriture publique à ceux qui portent réclamation au procureur du lieu.


L'état actuel de dégénérescence de l'Etat bourgeois prend des proportions ahurissantes !

Il est évident que derrière l'affaire de la fessée, il n'y a pas seulement que des barbares qui considèrent les petits enfants de trois et quatre ans comme des animaux qu'il faut punir avec des coups, avec des fessées, il y a aussi des groupes organisés qui ont pratiqué le harcèlement et la calomnie à grande échelle à mon égard depuis 1987 et mon projet de logiciel Bizouk : syndicalistes, jaloux et dévoyés, fonctionnaires dans l'illégalité absolue, politiciens renégats ayant abandonné les idéaux de leur jeunesse, politiciens cyniques défendant des puissants.

Drogue (en partie celle vendue par deux employés municipaux sur la plage), secte (temple solaire) coups contre des jeunes, j'eus, à plusieurs reprises, au Havre, l'occasion de mettre mon grain de sel dans des affaires fort dérangeantes pour plusieurs.

Qu'ils souhaitent profiter de cette affaire pour me baillonner, l'agression verbale dont je fus l'objet par l'ex militant de la ligue communiste révolutionnaire le premier mai – Dominique Delahaye – 'avec menace de plainte devant les tribunaux) et de ses complices dans leur campagne de calomnie depuis 20 ans, Sylvie Vérin (candidate LCR aux municipale) et son mari-complice Patrice Vérin – le prouve.

Ces gens-là ont feint la commisération pendant 20 ans pour débiter leurs saloperies sur mon dos.


Qu'ils sachent tous que ce sera crédibilité contre crédibilité.

Mais maintenant, cela n'a plus lieu dans les couloirs et les recoins des sycophantes patentés, dans les réseaux de leurs mandes de calomniateurs organisés. Cela aura lieu en pleine lumière.


Et ce seront les libres citoyens, les libres lecteurs de l'Internet qui pourront juger sur pièce, qui pourront lire les arguments des uns et des autres.


Argumenter ?

On a vu comment les brutes et leurs soutiens ont procédé : un licenciement déguisé !


Mais tout cela sera su, mis en lumière : aucune plainte en diffamation ne permettra de retrouver l'honneur perdu par ces gens-là.


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