86. Le samedi 27 juin 2009 à 22:58, par YanickToutain
J'ai écrit un texte, hier, sur le sujet Michael Jackson : Mort d'un traître. Payerez-vous jusqu'au 25 juin 2079 ? jusqu'au 25 juin 2087 ? que j'ai posé sur mon blog et sur l'excellent site africain Abidjantalk. Il soulève d'intenses polémiques : mes cousins anti-France à fric étant les principaux "fans" du grand innovois.
Plusieurs points juridiques sont susceptibles de motiver des participants de haute qualité, habitués de ce blog, à cliquer sur le lien idoine.
extraits :
"… mort d'un vautour racketteur voleur de chansons qui se fit prendre la main dans le pot de confiture par le vautour* racketteur innovois Manu Dibango, voleur de la chanson « Soul Makossa » écrite par Manu Dibango, voleur qui eut le culot d'imposer un procès pour ne pas lâcher l'objet de son vol, un voleur de chansons protégé de ce délit par les lois de l'Etat bourgeois allié à la classe innovoise. Un Etat bourgeois qui ne pénalise pas le vol de chansons …. mais qui poursuit les … auditeurs !!!!"
(...)
"… mort d'un traître dont TOUT l'argent provenait du pillage des exploités du Sud, mort d'un traître dont chacune de ses dépenses de nabab milliardaire se faisait sur la mort d'un enfant exploité du Sud de la Terre, mort d'un abject élément de cette classe parasitique qui conduit l'Humanité à sa perte"
(...)
"Il avait acheté les « droits d'auteur » des Beatles, vautour exploiteur s'arrogeant le droit de racketter toute l'Humanité pour des chansons qu'il n'avait même pas écrites."
Le texte se conclue par une longue citation d'un texte de 1996
« ELEMENTS POUR UN MANIFESTE PROGRAMMATIQUE EGALITARISTE » 1996
texte dans lequelle l'innovoisie des droits d'auteur, la classe sociale responsable de l'HADOPI était CONCEPTUALISEE pour la première fois.
=== Le débat se poursuit par trois textes
dimanche 28 juin 2009
Chez "Maître" Eolas : Un texte censuré hier quant à la mort de Michael Jackson et l'innovoisie
J'ignore le nom du censeur. Est le ou la anonyme "Dadouche" celui ou celle qui avait signé le billet qui s'est autorisé à effacer ce qui avait déjà été affiché sous le numéro 86 ? Est-ce l'anonyme avocat "Maître Eolas".
Nonostant ces pratiques scandaleuses dignes d'un Moyen-Age occidental ou d'une Russie stalinienne, nonobstant l'anonymat de ces coupeurs de vérité, de ces obscurantistes - au sens étymologique de la chose, la révolution égalitariste mettra - et c'est un pronostic absolu d'historien scientifique - la lumière sur toutes les choses, sur toutes les censures, sur toutes les insultes en REPUBLIANT TOUTES LES ARCHIVES INTERNET avec les VERITABLES PATRONYMES de tous les censeurs, de tous les insulteurs.
La valeur numéro UN de la première moitié du 21° siècle, ce sera la REPUTATION.
La mienne est déterminée par l'usage public de mon véritable patronyme.
Le fait que j'apprécie la haute tenue des débats juridiques du blog de monsieur Eolas et l'intelligence juridiste et - aussi - sociétale - de nombreux participants ne m'empêche pas de conserver ma lucidité sur ce lieu.
J'escomptais y voir apparaître - sous anonymat éventuellement - des "Juge Borrel", des fonctionnaires inspirés et humanistes comme le furent les jeunes de Bordeaux qui eurent le courage - contre la Chancellerie de la bourgeoisie - de choisir le nom de ce martyr du droit.
Mais peut-être que le fait perpétuer le souvenir de ce juge, le fait de lutter pour la libération coloniale de l'Afrique, le fait de démasqur l'imposture de l'opération Michael Jackson et le niveau criminel des dépenses de ce monsieur, comme le fait de dénoncer les pratiques proto-fascistes de la classe innovoise sont moins bien acceptés sur ce blog que le fait de dénicher les meilleures techniques utilisables dans le code de procédure pénale pour permettre la libération rapide des gros trafiquants de drogue.
Libellés :
"Maître Eolas",
censure,
droit d'auteur,
Yanick Toutain
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire