lundi 19 mai 2008

Les staliniens et leur icône Mandela ont détruit la révolution anti-impérialiste en Afrique du Sud : larbins corrompus !


Je réponds sur abidjantalk à un texte de Barclays auquel abaslafrancafrique a répondu. Le débat porte sur les massacres xénophobes contre les populations qui ont fui le Zimbabwe.
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Si Mandela et tous ces traitres à leur peuple et à la classe ouvrière que sont les staliniens n'avaient pas vendu leur conscience et leur combat aux capitalistes étrangers, on n'en serait pas là.
Le résultat de leurs magouilles est une Afrique du Sud vendue aux capitalistes : de l'exploitation raciste visible et officielle sous l'apartheid, on est passé à l'exploitation "raciste invisible".
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En 1985, lors de son congrès de Lusaka, l'ANC démocratise ses règles de fonctionnement interne et rend public les 30 noms de son comité exécutif dont la moitié sont à l'époque membre du parti communiste d'Afrique du Sud comme Joe Slovo, seul blanc membre de l'organe suprême et chef d'état major d'Umkhonto we Sizwe.
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Les abrutis de racistes sont fabriqués avec les mêmes pierres biologiques que les nôtres.
La question est d'où viennent-ils ?

En France, un pourcentage énorme d'électeurs lepénistes sont issus du groupe des électeurs du PCF.
Que les Anciens viennent rappeler aux jeunes le cours politique xénophobe et raciste du parti communiste français.
Les expulsions récentes à Aubervilliers sont la suite du bulldozer de Vitry contre le foyer de travailleurs maliens.
Il y a trente ans , le PCF collait des affiches "produisons français".

Ce parti contient une aile raciste ; et cela dans toutes les sections au niveau mondial. Le stalinisme russe était antisémite et opprimait les nationalités des états du sud de l'URSS.

La classe formoise pour recueillir tranquillement les miettes de l'expoitation du Sud des mains des capitalistes a besoin de se mentir.
C'est pourquoi l'adhérent communiste ou socialiste est toujours un raciste qui s'ignore :
Combien d'entre eux savent que leur parti a assassiné 3 millions de bébés chaque année des gouvernement Fabius, Rocard, Mauroy, Jospin, etc ?...
Si le fait de savoir si Nelson Mandela fit ou non un militant communiste est un secret bien gardé, une chose est sure : sa ligne politique est une ligne politique stalinienne.

Les communistes sud africains, à l'intérieur de l'ANC - section de la 2° internationale, l'"Internationale socialiste" des colonialistes de la social-démocratie (comme le pantin compradore Gbagbo et son FCI) appliquèrent une ligne politique digne du Staline 1927.
Ils entrèrent dans l'ANC, en prirent le contrôle, firent alliance avec la bourgeoisie et sabotèrent la révolution.
Ce fut la ligne du stalinien Borodine en Chine en 1927.

La réussite du gang stalinien et de son icône Mandela fut l'échec du peuple et de son insurrection !
La pseudo élite des diplômés est parvenue à se transformer en une nouvelle classe capitaliste à peau foncée !
Le peuple lui, il meure !


Jean Nanga, le correspondant d’Inprecor (IV° Internationale) en Afrique subsaharienne. enlevait le masque hypocrite de Mandela et de Thabo Mbeki dans un article de mars 2006
Citation:
Ce sont aussi des altermondialistes d’Afrique Australe en général, d’Afrique du Sud en particulier, qui ont remis à l’ordre du jour la critique du NEPAD, comme projet. Elles et ils insistaient sur le rôle particulier de l’Afrique du Sud, dont le chef de l’État, Thabo Mbeki, est un promoteur du NEPAD, comme relais principal de l’impérialisme en Afrique (7). Depuis la présidence de Mandela, mais surtout sous Thabo Mbeki, l’État sud-africain perpétue sa nature de commis du capital sud-africain. Comme si la fin officielle de l’apartheid devrait, pour les multinationales sud-africaines, favoriser une sorte « d’Afrique aux capitalistes Sud-Africains » — du « Cap au Caire » dirait Cecil Rhodes — dans les secteurs où elles se considèrent « compétitives ».
Pourtant cette expansion africaine du capital sud-africain, à travers le NEPAD, a trouvé des défenseurs, parmi les participants.


Un autre auteur, Ann Talbot (5 Août 1999) (sur le site World Socialist Web Site (4°I)) nous décrit la face peu reluisante du petit larbin des capitalistes :

Citation:
Une des meilleures façons de détacher le vrai Mandela historique du mythe de Mandela, crée par les médias, c'est de tenir compte de l'héritage qu'il laisse à l'Afrique du Sud. Il conserve encore une très bonne réputation personnelle mais les attentes lumineuses de réformes liées à son accession au pouvoir se sont assombries à mesure que son pays s'est enlisé dans la pauvreté et la criminalité. La montée de la criminalité est la conséquence du degré de pauvreté sans précédent dans un pays industrialisé. Ceux qui vivent dans la misère du Tiers Monde voient la richesse occidentale s'étaler quotidiennement devant leurs yeux. Selon les calculs de la Banque Mondiale, le taux d'inégalité entre les revenus en Afrique du Sud fait partie des taux d'inégalité les plus élevés au monde. Seul le Brésil a un bilan plus négatif. Les revenus mensuels des foyers noirs sont de 757 rands en moyenne contre 4695 rands pour les blancs. Ce niveau de pauvreté, l'ANC l'a hérité de l'apartheid mais n'a rien fait pour réduire l'écart entre les riches et les pauvres. Même le programme relativement modeste de réformes sociales que l'ANC s'était fixé a été abandonné au profit d'une course effrénée pour s'enrichir de la part des dirigeants de l'ANC. A la pauvreté héritée de l'apartheid s'ajoute l'apparition d'un fossé qui se creuse entre les foyers noirs à mesure que se crée une classe moyenne noire.
Le chiffre le plus frappant de l'inégalité sociale en Afrique du Sud est le taux de mortalité infantile. De soixante dix à cent pour mille enfants noirs meurent à la naissance, un chiffre comparable à celui du Bangladesh, l' un des pays les plus pauvres du monde, tandis que le taux de mortalité est de neuf pour mille dans la population blanche.


Et, plus loin, Ann Talbot nous décrit le complot qui fut mis en oeuvre pour priver le peuple de son insurrection contre les racistes.

Citation:
Dès les années quatre vingt, les hommes d'affaires sud- africains faisaient pression sur le gouvernement pour parvenir à un accord avec l'ANC. En 1985, Gavin Relly, directeur général d'Anglo-American, la compagnie minière géante, s'envola pour Lusaka en Zambie, avec un groupe d'hommes d'affaires de premier plan, dans le but de rencontrer l'ANC. Ils eurent une impression positive des dirigeants de l'ANC. Selon les propos d'un des hommes d'affaires « il serait difficile d'imaginer un groupe de gens plus sympathiques et charmants.» (p.340). Sampson fait état de l'évolution des contacts. En 1986, la fondation Rockefeller, David Astor ainsi que Shell, mirent sur pieds le Projet sud- africain pour l'Education Supérieure afin de préparer la jeune élite de l'ANC aux fonctions gouvernementales et aux affaires. De son côté, Gold Fields, la compagnie fondée par Cecil Rhodes finança des rencontres secrètes entre intellectuels afrikaners et l'ANC à l'hôtel Compleat Angler, à Henley, dans le comté d'Oxford (p.362-63).

Il ne faut pas s'étonner de voir,maintenant, les militaires sud-africains main dans la main avec les colonisateurs françafricains.

Le gang pro-capitaliste qui est au pouvoir laisse tellement son peuple glisser vers la mort que le fils de Mandela est mort lui-même des crimes et des trahisons de son père : le SIDA que ces crapules de larbins des capitalistes ont laissé envahir leur pays a tué Makgatho Mandela.
La trahison de son père au profit des capitalistes impérialistes n'aura pas seulement tué un bébé sur dix, à cuse de la misère et de la destuction de l'appareil de santé, elle l'aura tué lui, le fils du prétendu libérateur. Ce Nelson Mandela qui, d'imbécile terroriste, à la mode stalinienne, est devenu le soi-disant héros, véritable marionnette impotente entre les mains de la bourgeoisie mondiale.

Seuls les corrompus et les naïfs extrèmes continuent d'honorer la mémoire de ce traitre.

Le racisme et la xénophobie qui ressurgissent sont les filles misérables de la pauvreté et de la trahison de la classe formoise : dans tous les pays, il faut se méfier comme la peste de tous les diplômés : leur privilèges ont pour eux plus de valeur que la vie des enfants des pauvres.
C'est vrai en Afrique du Sud, c'est vrai en Côte d'Ivoire, c'est vrai dans toute l'Afrique, c'est vrai sur toute la Terre.

Les partisans de Mandela se félicitent secrètement de trouver des boucs émissaires dans leurs voisins du Nord , tout comme le formois Gbagbo inventait des boucs émissaires dans les habitants du Nord de la Côte d'Ivoire et les habitants des pays limitrophes.
Le formois incompétent a toujours besoin d'accuser l'autre !

Tout diplômé qui ne renonce pas par avance à ses privilèges est un Mandela, un Mobutu, un Boumedienne,un Gbagbo en puissance : un traitre qui méprise les plus pauvres.*

Un traitre qui va rouler pour les couches "supérieures" de son peuple, et finalement,un traitre qui va trahir tout son peuple pour les impérialistes étrangers.

Le risque de mourir est le même pour un petiti bébé ivoirien que pour un petit bébé sud-africain !

Tout diplômé qui n'accepte pas le mot d'ordre "1000 euros pour tous les Terriens" finira par tirer sur la peuple.

Celui là ne se laissera pas faire éternellement !



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