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mardi 23 juin 2009

Sur Libération, un commentaire : Barbus bigots fascistes, le Tchador, le voile, et la burqa, برقع

Barbus bigots fascistes, le Tchador, le voile, et la burqa, برقع

En commentaire de mon poème, j'écris sur Libération

Barbus bigots, Hypocrites incroyants, Barbus fachos Islamistes en Iran



Ce poème est aussi une réponse au "débat" actuel sur la burqa, le Tchador, le Voile Islamique.
Ces instruments sont des SYMBOLES FASCISTES que les fascistes iraniens ont contraint les femmes iraniennes à porter, que les fasciste d'Afghanistan ont contraint les femmes afghanes à porter.
Les bigots fascistes ne croient à rien sinon à leur pouvoir qui est leur fond de commerce et aux forces sociales qui les soutiennent et les financent.

Voir ces symboles fascistes apparaître en France est le résultat de la "stratégie Langley" du crétin Sarkozy : il a voulu diviser les quartiers pauvres pour régner.
Il a réussi, il règne et se pavane à Versailles dans le palais construit sur la sueur et le sang des victimes Afro-Antillaises du génocidaire "Code Noir".

Il se pavane et prétend freiner l'invasion des symboles fascistes de l'islamo-fascisme.
Comme en 1979, en 2009 nous luttons contre les fascistes qui écrasent l'Iran.
Le film Persepolis de Marjane Satrapi est parfaitement représentatif de la façon dont les bigots ont écrasé la révolution anticapitaliste.

Laisser des partisanes du bigot-fascisme abhorrer leurs symboles est strictement équivalent à laisser abhorrer les symboles du nazisme.
Ce ne sont pas les laquais de Wall Street et du CAC 40 qui assureront le combat : le fascisme bourgeois dans toutes ses formes - nazisme ou bigotisme chiite est sa façon ultime de régner.
Les lois qu'ils voteront auront la même fonction que les lois de 1936 : ils chercheront à les retourner contre les révolutionnaires: ce qu'ils firent en 1973.
Toutes leurs lois contre les islamo-fascistes ils chercheront à les instrumentaliser pour leur propre intérêt.

La seule solution est le renversement des bourgeoisies... de toutes les bourgeoisies !

Sur Rue89, une réponse à Zéki : Iran, révolution de 1979, islamo-fascistes

Je dépose une réponse sur Rue89

Portrait de Yanick Toutain

à Zeki Portrait de Zeki De Yanick Toutain

Humain sur Terre | 21H49 | 23/06/2009 | Permalien

Beaucoup de mises au point fort utiles.

Il manque trois choses importantes :

1° De façon absolument scandaleuse, l'article ne prononce pas le mot « Savak »
Un simple saut sur Wikipédia aurait instruit l'auteur ignare de cet article de « décryptage » en carton-pâte :
citation wiki
===
http://fr.wikipedia.org/wiki/SAVAK#Histoire
« La SAVAK est fondée en 1957 avec l'assistance de la CIA et du Mossad avec pour mission de protéger le Shah, Mohammad Reza Pahlavi et de contrôler l'opposition, en particulier politique. Son premier directeur est le général Teymour Bakhtiar qui est remplacé par Hassan Pakravan en 1961 puis assassiné. Pakravan est remplacé en 1965 par le général Nematollah Nassiri, un proche du Shah, et le service fut réorganisé et devint de plus en plus “efficace” face à l'opposition islamique et communiste (Toudeh) de plus en plus remuante. La SAVAK était sous les ordres directs du premier ministre et possédait des liens étroits avec l'armée. »

===
C'était un Etat fasciste
===citation wiki
http://fr.wikipedia.org/wiki/SAVAK#Op.C3.A9rations
« La SAVAK avait virtuellement des pouvoirs illimités d'arrestation et de détention. Elle opérait dans ses propres centres de détention, comme la tristement célèbre prison d'Evin. Il est de notoriété publique que la SAVAK soumettait régulièrement ses détenus récalcitrants à la torture physique. »

===
N'importe quel militant ayant milité pour la révolution anti-impérialiste en 1979 SAIT que décrire cette police fasciste est le PRÉAMBULE de toute description sérieuse de l'Iran du Shah.

2° La repression fasciste des islamo-fascistes débuta presque aussitôt le retour de Khomeini.
Les imbéciles staliniens du parti Toudeh crurent possible de passer des compromis avec les bigots chiites. Après les syndicalistes trotskistes de l'industrie pétrolière pour qui, de France nous faisions signer des pétitions, ce furent les staliniens eux-mêmes qui furent les victimes des bigots-fascistes.
Ce n'est pas dit, mais Anouche, l'oncle de Marjane Satrapi devait appartenir à ce groupe quand il fut condamné à mort.
===
A la recherche de documentations sur ces pétitions que nous faisions signer, je découvre un texte que je viens de lire partiellement et en diagonale. Je ne connais pas ce site. Mais le texte est passionnant.
Il éclaire d'un jour différent le déroulement exact de la révolution anti-impérialiste de 1978-1979
===
http://bataillesocialiste.wordpress.com/documents-historiques/2006-iran-…

L'auto-organisation ouvrière

Lorsque le vieil Etat a commencé à s'effondrer, le peuple ouvrier a pris le contrôle de structures sociales de base, les plus importantes étant les shorras (conseils) dans les lieux de travail. Ces shorras prenaient des formes différentes (rien qu'à Téhéran, il y en avait un millier) et dans les premiers mois de 1979, ils se sont multipliés [15].
Comme l'indique Maryam Poya :

« Les comités de grève dans toutes les usines, bureaux, écoles, universités et autres lieux de travail se reformaient et prenaient leur fonction en tant que shorras (conseils) : shorras d'ouvriers, shorras d'étudiants, shorras d'employés de bureaux. Dans les villages, les paysans établissaient leurs propres shorras de paysans. Dans les villes, le pouvoir passait aux mains de corps locaux appelés Komitehs (comités). Les membres des Komitehs étaient essentiellement des sympathisants des organisations de guérilla, mais comportaient aussi le clergé local et de partisans fanatiques de l'idée de république islamique. Au sein des minorités nationales, le pouvoir tombait aux mains de leurs shorras locales. »

Les shorras d'ouvriers étaient des comités d'usine, des organisations de base dont le comité exécutif représentait tous les travailleurs de l'usine ou d'un groupe industriel.
Ils élisaient aussi des sous-comités pour des tâches particulières. Leur préoccupation principale était le contrôle ouvrier. Bayat explique que « les shorras qui ont eu le plus de succès furent ceux qui exerçaient un contrôle total sur le lieu de travail sans aucun véritable pouvoir des directeurs officiellement nommés. Leur politique et leurs activités étaient indépendantes de l'Etat et des directeurs officiels et se basaient sur les intérêts de l'ensemble des travailleurs ».
Pour les meilleurs exemples, les shorras des usines Fanoos et Iran Cars, il y avait « un contact permanent entre la shorra et la base. Le résultat des activités ou de négociations avec une quelconque autorité était rapporté aux travailleurs. Cette forme d'intervention contrôlée par la base réduisait les tendances bureaucratiques [16] ».

Bayat explique que dans la période de février à août 1979, les travailleurs « mènent une lutte indépendante, et parfois directement opposée, aux leaders [cléricaux] de la
révolution ». Il considère que les shorras étaient des embryons de soviets ou conseils ouvriers.
Par exemple, à l'usine de textile Chite Jaghan, près de Téhéran, dans les premiers mois de 1979, la shorra a organisé l'augmentation de la production, doublé le salaire minimum en coupant dans les salaires des cadres supérieurs, et offert du lait gratuit aux ouvriers [17].
A l'usine Fanoos, la constitution de la shorra donnait au comité l'autorité de faire face au « sabotage contre-révolutionnaire », de faire des formations militaires et de « purger les éléments corrompus et anti-populaires, quel que soit leur position ».
Tout le monde, y compris la direction qui était accusée, prenait part à des meetings de masse pour décider de leur destin [18].
Les travailleurs luttaient pour des cantines, des cliniques et des écoles. Dans les lieux de travail où les patrons avaient fuit, les ouvriers prirent le contrôle de la production, organisèrent le travail, l'achat de matériel et la vente des produits.
Ils menaient aussi des actions pour obtenir le contrôle de leurs lieux de travail. Des assemblées générales de travail jugeaient des directeurs, des agents de maîtrise et des agents de la SAVAK et les licenciaient. A l'usine Arj, par exemple, un ouvrier expliquait « qu'après la révolution, la direction commença simplement les mêmes méthodes d'exploitation et d'oppression. Mais nos gars étaient devenus assez conscients pour ne plus tolérer de tels comportements. Aussi, nos gars ont rapidement foutu ces gentlemen à la porte [19] ».
A la Compagnie de Moteurs Eadem, en mars 1979, la shorra de l'usine a décidé de licencier onze directeurs après avoir enquêté sur leurs cas. A l'usine de voiture Pars, les ouvriers ont décidé que « les employeurs n'ont pas le droit d'embaucher ou de licencier quelqu'un sans consulter la shorra [20] ».


===
fin de citation
Je partage tout le début de leur conclusion :
===
citation
«


Conclusion

Le régime de Khomeyni était un gouvernement bourgeois, basé sur des fractions du capital national, la bourgeoisie des bazars et le pouvoir financier substantiel des mosquées. Ce fut une forme « d’anti-impérialisme réactionnaire », opposé à la domination du capital étranger mais particulièrement hostile à la classe ouvrière. Ce n’est pas un abus de langage de l’appeler fascisme clérical au vu de la destruction du mouvement ouvrier.
Khomeyni dirigea le mouvement de masse contre le Shah et déguisa son programme pour un Etat théocratique derrière de vagues phrases sonnant libérales.
Pourtant la gauche échoua à analyser la nature de ses plans tout comme à prévoir la forme de son règne. Comme le dit Nima : « les allusions rhétoriques de Khomeyni sur la liberté ne furent malheureusement pas comprises par l’opposition au Shah, y compris par la majorité de la gauche ».
La gauche échoua à préparer la classe ouvrière et à la mettre en garde sur ce qu’elle avait à craindre. Au contraire, la gauche utilisa de stupides analogies pour incorporer le mouvement de Khomeyni dans un mécanisme parodique de la « révolution permanente », fort éloigné de la théorie originelle de Trotski.

===
fin de citation

Ce que ce texte explique sur les pseudo-troskistes US du SWP est tout à fait exact.
Ce parti organisa le soutien “critique” en faveur de Khomeini comme il le fit en faveur des formois sandinistes.
Pendant que ces deux “leaders anti-impérialistes” Ortega et Khomeini organisaient la répression contre les véritables révolutionnaires.

===

3° Carter : Le commentateur Zeki
http://www.rue89.com/riverain/zeki
remet les choses à leur place quant à Carter.
Il est juste nécessaire de préciser que Raymond Barre (le politicien bourgeois français antisémite) participait à la commission de l'organisation Trilatérale qui prit la décision de présenter James - Jimmy - Carter aux élections étasuniennes.
Ce fait - d'après ma mémoire et donc à confirmer - se trouvait mentionné dans le livre “Vodka Cola” portant sur les relations USA-URSS.
http://www.google.com/search ? q=vodka+cola+levinson&hl=fr&sourceid=gd&rlz…
C'était une stratégie mondiale qui consistait à lâcher de la pression face à la montée révolutionnaire.
Il suffit de constater la proximité du Nicaragua et du processus révolutionnaire qui venait interrompre la tentative fasciste mondiale (Chili 73)
Il fallut Thatcher, la répression contre les mineurs et les Malouines pour que la bourgeoisie mondiale reparte à l'offensive contre la classe formoise.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Margaret_Thatcher
On peut noter que ce choix de la bourgeoisie mondiale fait à la charnière de 1978-82 eut comme double “contrepartie” d'une part le soutien aux islamo-fascistes de Ben Laden et d'autre part le combat militaire contre l'Iran par un Saddam Hussein “laïc” marionnettisé avec le financement de son armement. Il s'agissait, derrière les bigots de l'islamo-fascisme d'Iran de combattre le peuple iranien, la formoisie iranienne et les petites et moyennes bourgeoisie d'Irant qui avaient oser renverser le pouvoir de la Savak et des amis de la Jet Set.
Dresser les deux peuples l'un contre l'autre avait l'avantage pour la bourgeoisie mondiale de stabiliser les deux dictatures : dictature en Irak et dictature en Iran.

===

Merci donc aux critiques construites de ces décrypteurs clowns de remettre l'Histoire à sa place. Merci à Zeki.
Et j'engage les lecteurs à faire comme moi : aller lire en détail le lien historique.


vendredi 19 juin 2009

Barbus bigots, Hypocrites incroyants, Barbus fachos Islamistes en Iran

Barbus bigots
Hypocrites incroyants
Qui pourrait croire
ne serait-ce qu'une seconde
Que ces gens prévoiraient
D'avoir des comptes à rendre ?
Barbus fachos
Islamistes en Iran
On peut les voir
Barbares aux crimes immondes
Au paradis ils auraient
Tous ces crimes à défendre ?
=
Quand le Shah fut reparti
Dans les bagages des Anglais
L'ami des Etats-Unis
Savak pantin de la CIA
Quand le roi fut emporté
Dans le train capitaliste
La torture fut arrêtée
Le temps que nous manifestions
Quand les morts furent enterrés
Revinrent tous les islamistes
Faux croyants aux simagrées
Ennemis des révolutions

Palahvi fut expulsé
Mais l'ordre fut rétabli
Juste une guerre pour écraser
Les rebelles tués soumis
=
Barbus bigots
Hypocrites incroyants
Qui pourrait croire
ne serait-ce qu'une seconde
Que ces gens prévoiraient
D'avoir des comptes à rendre
Barbus fachos
Islamistes en Iran
On peut les voir
Barbares aux crimes immondes
Au paradis ils auraient
Tous ces crimes à défendre
=
Le Bazar n'aimait pas
Sous le Shah se courber
Le commerce préféra
Les bigots des mosquées
Les gangsters recyclés
Comme police morale
Et les femmes emmurées
De tissus et de voiles
Les envies sexuelles
Des fachos névrosés
Mais les femmes rebelles
Furent toutes écrasées
Sous le poids des insultes
De minables abrutis
Tous les valets d'un culte
Masochiste et maudit.
=
Le chiisme des bigots
Sont le jour et la nuit
Quand les espoirs résonnent
Pour les uns un magot
Et pour l'autre la science
Les minables qui crient
Face à notre espérance

Le pouvoir des mollah
Est un vice refoulé
Le Coran comme Sésame
Et les femmes à leurs pieds
Les « Akbar », les « Allah »
Et le fric du crédit
La banque qu'on condamne
Leur pouvoir est fini
=
Barbus bigots
Hypocrites incroyants
Qui pourrait croire
ne serait-ce qu'une seconde
Que ces gens prévoiraient
D'avoir des comptes à rendre ?
Barbus fachos
Islamistes en Iran
On peut les voir
Barbares aux crimes immondes
Au paradis ils auraient
Tous ces crimes à défendre ?

Écrit de 5:29 à 6:01 le 19 mai 2009
par Yanick Toutain







vendredi 17 avril 2009

sur Rue89 : Résistance nécessaire au prosélytisme islamo-fasciste : Révolution anticapitaliste !

A LA UNE

Une doctorante licenciée pour port du voile islamique

Propagande islamo-fasciste délibérée. 
Signe ostentatoire de l'oppression et de la soumission de la femme ! 
Pourquoi pas de "foulards islamique" pour les hommes ? 
Mes élèves à ma demande ont, pendant 17 années, caché sous leurs pull leurs croix, étoiles de David etc ...  

L'offensive actuelle part des bigots michetons coupeurs de mains de l'Arabie Saoudite. 
Elle part de ces égoïstes dont le PIB aurait dû servir à aider les Palestiniens à développer leur économie.
wikipédia:http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_%C3%A9conomique_de_l%27Arabie_saoudite "Néanmoins, la majeure partie du développement s'est faite sous l'égide de plans quinquennaux, par l'intermédiaire de l'attribution de budgets d'État, culminant lors du second plan couvrant la période 1975-1980 où 195 milliards de dollars furent attribués et permirent la construction de 28 barrages, 4 ports, 175 000 nouvelles maisons, 24 000 km de routes et l'aéroport de Jeddah qui fut le plus grand du monde jusqu'à l'ouverture de l'aéroport de Riyadh. Avant et après cette période, des centaines de projets liés à la maîtrise de l'eau, servant au développement industriel ou à celui de l'infrastructure (comme la route d'un milliard de dollars desservant Bahreïn) furent menés à bien." 

Ils préfèrent attendre d'utiliser leur fric pour combattre la formoisie laïque de l'OLP d'Arafat
Mais l'offensive principale vint de Langley et de la CIA : développer des sectes protestantes ne leur suffisait pas. 
L'islamo-fasciste est le produit direct de l'offensive anti-URSS à partir de 1979 et de l'alliance avec les Ben Laden - ex hippies aux pattes d'eph reconvertis en machistes dont les femmes gardent le monnaie des (très gros) billets que leurs capitalistes de maris leurs accordent en aumône
Le livre de la belle-soeur de Ben Laden nous renseigne sur les moeurs médiévales de ces archéo-machistes dont le pouvoir est assis sur les braillements des bigots névrotiques de la fausse croyance en un dieu persécuteur des femmes. 

Le musulman peut tromper sa femme .... si c'est avec une esclave.  
Voilà la réalité livresque de ce qu'est l'islamo-fascisme.  

Que des imbéciles et des hypocrites bigots cherchent à nous faire croire le contraire , avec leur prosélytisme pro-fasciste, il n'y aura que la révolution anticapitaliste qui pourra en finir avec le véritable maître de tous ceux-là : le Dow Jones.  
Islamo-fascsistes, fascisto-sionistes, fascisto-catholiques, protestanto-fascistes: toutes boutiques concurrentes dont les filsl convergent à Langley, quartier général de la CIA.

mercredi 27 août 2008

Oussama Ben Laden, les vrais projets, le maître à penser, les soutiens



Le livre de Peter L Bergen est une mine pour connaître la véritable histoire de Ben Laden et des islamo-fascistes. "Ben Laden l'insaisissable" paru en 2006 chez Michel Lafon 2006 nous donne des extraits de dizaines d'articles et interviews pour connaître les proclamations et revendications de Ben Laden et de ses alliés.




Pour faire connaître les projets de son maître à penser Abdullah Azzam, Oussama Ben Laden finança son magazine Djihad.




Ce magazine diffusé dans 48 pays ne laisse aucun doute sur le projet islamo-fasciste de Azzam et de son disciple milliardaire saoudien Ben Laden.








"Abu Walid Al-Misri est un confident de Ben Laden. Il a écrit une histoire des Arabes qui ont fait le voyage d'Afghanistan pour soutenir le djihad. Voici un extrait d'Afghan Arabs, publié en décembre 2004 par Al-Sharq Al-A wsat.




Le magazine Djihad comptait parmi les projets les plus importants lancés par Azzam. C'était le principal moyen de communication entre les jeunes Arabes de partout et le réseau islamiste. L'édifice intellectuel construit par le docteur Azzar grâce à ce magazine reste le facteur déterminant dans la migration des volontaires arabes, dont la plupart venaient d'Arabie Saoudite, des États du Golfe, du Yémen. Ces volontaires ont voyagé sur les terres du djihad autour du monde.




Extrait d'un article signé d'Abdullah Azzam et paru en février 1987 dans le numéro 27 de Djihad."




Ben Laden l'insaisissable page 70 (Peter L. Bergen Michel Lafon 2006)








"Extrait d'un article signé d'Abdullah Azzam et paru en février 1987 dans le numéro 27 de Djihad.




Grâce soit rendue à Dieu, qu'il soit remercié, qu'Il nous apporte Son aide et Son pardon. Chaque fois qu'est mentionné le mot djihad, on voit surgir et se répandre le péché. Et chaque fois que les musulmans parlent de défendre leurs droits. les médias occidentaux entrent en jeu et diffament le nom des musulmans, et ils les représentent comme des extrémistes et des bêtes.




Les musulmans ont peut-être oublié les guerres qui ont eu lieu au siècle dernier entre la France, l'Angleterre et les autres pays européens. Les musulmans ont peut-être oublié les épreuves de deux guerres mondiales provoquées par l'Occident, qui ont duré vingt-cinq ans, tué cinquante millions de personnes et laissé derrières elles des gens blessés, mutilés, détruits. Ce fut une guerre horrible, basée sur la cupidité et la mesquinerie.




Les musulmans ne savent peut-être pas que la guerre culturelle a été répandue sur eux pour que soit diffamé le nom du djihad, afin que les musulmans apparaissent comme des bandits et des guerriers assoiffés de sang, afin que les musulmans renoncent au djihad ; et c'est ainsi que des histoires ont été créées de toutes pièces sur les assassinats d'otages, pour que les musulmans soient regardés comme des assassins.




L'Amérique est le nouveau maître du monde ou, mieux encore, une nation qui a bâti son empire sur le dos des premiers habitants du pays, les Indiens. On les a anéantis. Maintenant, les Indiens sont moins d'un million. On les a mis dans de petites réserves comme s'ils étaient des pièces de musée. ils vivent dans le Midwest, mais ils s'éclairent avec des lampes à kérosène et non à l'électricité. Or ces gens-là. ces Indiens à la peau rouge, étaient les premiers habitants de l'Amérique. Nous n'avons pas honte de notre religion, ni de l'ordre que nous a donné Dieu.




Nous le disons franchement, sans jouer sur les mots ni la déception. Que ce soit clair:




1. Le djihad est un devoir religieux pour les Oummas, les musulmans de par le monde, destiné à libérer les peuples et à leur offrir la justice islamique et la protection religieuse.




2. La religion de Dieu et la religion bénie est celle de toute l'humanité, et nous voulons la répandre aux quatre coins du monde.




3. Le djihad de Dieu signifiera tuer les infidèles au nom de Dieu et brandir le drapeau en Son nom. Et nous ne voulons pas que ce grand djihad se résume à des mots prononcés sur des podiums, ni à des articles publiés dans les journaux. Le djihad n'est accompli selon la volonté de Dieu que si vous combattez l'infidèle avec le sabre, jusqu'à ce qu'il se soumette à l'islam.




Rien ne doit vous empêcher d'accomplir le djihad afghan."




Ben Laden l'insaisissable page 69 (Peter L. Bergen Michel Lafon 2006)









Qu'il soit clair ici que c'est la Terre entière qui est désignée comme cible. Il n'est pas question de secteur privilégié, de terre islamique à reconquérir :la religion de Dieu

"nous voulons la répandre aux quatre coins du monde."


Et il faudra

"tuer tous les infidèles".


Cette stratégie "capitalisto-compatible" est l'exact décalque de la stratégie de Adolf Hitler. Les non musulmans sont les sous-hommes de Ben Laden. Et il veut les exterminer.




Seul la conversion est un échappatoire à la mort. Il est évident, pour autant, que ces larbins du capitalisme oublient les prescriptions du Coran qui seraient susceptibles de fermer les Bourses, fermer les banques, interdire le prêts à intérêts.Leurs maîtres capitalistes qui tiennent les ficelles de ces marionnettes fascistes d'un genre nouveau ne leur permettraient pas. Il suffirait que Ben Laden se souvienne tout à coup de cela et proclame la fermeture du capitalisme pour que les satellites de Bush ou d'Obama, comme par hasard, détecteraient tout à coup sa cache.Pour autant , les "jeunesse hitlériennes", comme modèle, ne sont pas oubliées :








"Le magazine Djihad comprend une chronique régulière intitulée " Avec un cadet volontaire ". Le numéro 81, daté d'août 1991, publie cette interview d'un garçon de cinq ans ; elle montre que les militants de Peshawar encourageaient même les plus jeunes à embrasser le djihad.




Question: Comment t'appelles-tu?




Réponse: Saleh.




Q: Quel est ton nom de famille?




R: Sayf Al-Rahman.




Q: Quel est ton pays d'origine?




R: La Palestine.




Q: Quel âge as-tu?




R: Cinq ans.




Q: Vas-tu à l'école?




R : Je vais à l'école Hadana Al-Ansaar et au centre d'apprentissage du glorieux Coran à Peshawar.




Q: Qui aimes-tu?




R: J'aime Dieu et Mahomet, le Messager de Dieu, louange à lui. J'aime aussi ma maman, mon papa et les moudjahidin.




Q: Question facile. Le missile Stinger, on l'utilise contre quelle cible ?




R: Contre les avions




Q: Et les roquettes lance-grenades?




R: Contre les guérilleros




Q: Comment s'appelle l'arme utilisée par les défenseurs?




R: La Kalachnikov !




Q: Quand tu auras tué les communistes infidèles en Afghanistan, que feras-tu?




R: Je veux aller en Palestine avec papa et les moudjahidin pour combattre les juifs infidèles."




Ben Laden l'insaisissable page 72 Peter L. Bergen Michel Lafon 2006





17 ans plus tard, ce malheureux petit garçon, s'il a survécu, a 22 ans. Quel a été son parcours ? Que lui ont-il laissé apprendre ? Sait-il seulement lire ?




L'ont-ils utilisé comme bombe humaine ?




L'exigence de la majorité électorale à 7 ans est à l'exact opposé de ce fascisme musulman : Il est hors de question de faire apprendre quoi que ce soit par coeur à qui que ce soit.




On retrouve ici, sans étonnement, les méthodes pédagogiques de la formoisie, méthodes préconisées par le capitalisme pourrissant : les questions réponses apprises par cœur sont aussi débiles que les poésies apprises par cœurs, que les tables de multiplication apprises par cœur.




Ces méthodes pédagogiques sont le terreau du fascisme. Elles sont les ennemies de l'intelligence. L'exact opposé de l'intelligence critique.




Il n'y a rien de surprenant que ces méthodes se retrouvent de plus en plus dans les programmes scolaires en France.




Que ce soient ces méthodes ou le tapis rouge fait aux force crypto fascistes de l'islam bigot et machiste par le biais du Conseil du culte musulman et autres concessions diverses et variées, on ne peut que constater l'appui international dont bénéficie l'islamo-fascisme de la part du capitalisme international.




La bourgeoisie impérialiste fait semblant de combattre les Taliban en Afghanistan , appuyant un gouvernement Karzaï formé de trafiquants de drogue.




Son but est de fabriquer le maximum de terroristes là-bas.




La bourgeoisie mondiale espère réaliser en Afghanistan ce qu'elle a échoué à faire en Irak : elle espérait que l'occupation de l'Irak incite des Irakiens fanatisé à venir en France et ailleurs organiser des attentats terroristes.




Son plan a échoué.




Les islamo-fascistes eux-mêmes se désolent de l'échec de leurs tentatives d'implantation dans les masses arabes.




Dans les dernières pages de son livre de 2006, Peter L. Bergen nous décrit les regrets des islamo-fascistes.




Même s'il se trompe dans son pronostic sur l'Irak, il nous montre bien l'échec actuel de la stratégie des Ben Ladenistes : L'anticapitalisme reste la césure fondamentale. Ils ne sont pas parvenu à construire une fausse frontière entre islam et reste du monde.








"(..). Le 11 septembre nous aura notamment appris que nous devrions accorder plus d'attention à ce que disent réellement les djihadistes. Et ce qu'ils disent du li septembre, c'est que les attentats ont peut-être été une victoire tactique, mais qu'ils étaient un désastre stratégique en provoquant la perte de l'Afghanistan comme base et en amorçant la campagne des États-Unis pour faire incarcérer les membres des mouvements djihadistes autour du monde. C'est pourquoi les militants islamistes ont été heureux de la décision (le l'administration Bush d'envahir I `Irak. Sans cette guerre, leur mouvement, assailli de l'extérieur et fragmenté en interne, aurait implosé peu ou prou un an après le 11 septembre. Pour l'heure, Ben Laden surfe sur la vague des revers américains en Irak et l'allégeance que lui a prêtée l'insurgé clé irakien, Abu Mussab AI-Zarqaoui en reconnaissant la primauté d'AI-Qaïda dans le mouvement djihadiste. Mais le grand projet de Ben Laden déclencher un choc des civilisations entre l'Occident et le monde musulman - conflit qu'il est convaincu de gagner -, a été un échec.




Al-Zawahiri déplorait dans sa biographie de 2001, Chevaliers sous la bannière du Prophète, que les masses n'aient pas adhéré à Al-Qaïda. Et cela bien que Ben Laden jouisse d'une grande popularité personnelle dans le monde musulman pour s'être dressé contre les États-Unis. Dans un passage cité dans ce chapitre, Zawahiri explique " Le mouvement djihadiste doit se rapprocher des masses. Nous devons gagner leur confiance, leur respect et leur adhésion, " Mais ce ne sera pas possible alors que tout musulman sait que tuer des civils est explicitement interdit par le Coran et qu'Al-Qaïda ne présente aucune vision positive du monde qu'il veut créer, en dehors de vagues références à la restauration du califat. (...)"




Ben Laden l'insaisissable page 472 Peter L. Bergen Michel Lafon 2006





L'échec de Ben Laden est aussi l'échec de la stratégie de l'impérialisme mondial : la bourgeoisie peut craindre à tout instant que s'élève une vague historique contre la classe des exploiteurs, contre la classe des destructeurs de la Terre.




L'échec de Ben Laden est l'échec de la tentative d'imposer aux peuples de la Terre une fausse guerre des civilisations destinée à masquer la lutte des classes.




Les efforts des Bush , Sarkozy et autres marionnettes en Afghanistan pour nous faire avaler leurs couleuvres seraient risibles si la morts d'hommes, de femmes et d'enfants n'était pas le résultat de leur mascarade.




Le seul résultat notable de la stratégie de la bourgeoisie en France est d'avoir imposer l'étoile jaune des femmes : le Tchador, le voile islamique, est le seul point de l'offensive islamo-fasciste que les complices de la fausse guerre aient réussi à marquer en 20 ans.




Il nous reste à renverser cette bourgeoisie pour interrompre définitivement cette fausse guerre des bigots, imposer le suffrage révocable direct et la délégation démocratique pour en finir avec ces imbécillités dignes d'une préhistoire de crétins.