mardi 16 juin 2009

Omar Bongo. une lettre sur "les arènes.fr", le "parrain régional" tentait d'activer ses réseaux mafieux ! Il perdit son procès contre "Noir Silence"!

En cherchant une version téléchargement du livre "Noir Silence" sur le site de l'éditeur "les arènes",(dirigé par l'éditeur Laurent Beaccaria) une perle est apparue sur la page consacrée au livre "Noir Silence".
Le chef mafieux, le gangster de la colonisation France-à-fric-haine osait se plaindre. Un Pétain-Laval rédigeant une lettre de réclamation à la Puissance Occupante.

C'est aux obsèques de l'auteur de ce paragraphe que le corrompu notoire Nicolas Sarkozy vient de se rendre.... pour s'y faire siffler :
"En page 198, M. F-X. Verschave, à propos de l’élection présidentielle au Gabon explique : " Bongo n’est pas seulement devancé : selon des sources locales, les décomptes réels l’auraient carrément relégué en quatrième position ! Évincé du second tour, il trouve plus simple de se proclamer vainqueur du premier, avec 51% des voix..."

On devine quels sont les rêves secrets de ce président français qui utilise, comme ministre de l'Intérieur, les services d'une criminelle de guerre qui sera extradée vers le Nuremberg de l'Afrique. Il est vrai que ce même Nicolas Sarkozy a trempé jusqu'au cou dans les livraisons d'armes aux Hutu Power des fascistes du Rwanda.


Extraits de la lettre d’Omar Bongo au ministre des Affaires étrangères

" [...] L’auteur me qualifie, en pages 45 et 46 de " parrain régional ", expression qui désigne un chef mafieux.

Cette expression est à nouveau utilisée pour me désigner en page 196 ; l’offense est ainsi renouvelée dans le même livre.

En page 56, l’auteur se citant lui-même, évoque " les régimes corrompus du Gabon, du Cameroun et de Guinée-Équatoriale... ". [...]

L’auteur maniant l’insulte comme s’il était sûr de l’impunité, écrit en page 443 " Les Déby, Sassou, Bongo, Compaoré, usent et abusent des frères français pour perpétuer leurs dictatures criminelles ou leurs démocratures prédatrices. "

En page 198, M. F-X. Verschave, à propos de l’élection présidentielle au Gabon explique : " Bongo n’est pas seulement devancé : selon des sources locales, les décomptes réels l’auraient carrément relégué en quatrième position ! Évincé du second tour, il trouve plus simple de se proclamer vainqueur du premier, avec 51% des voix... "

Enfin je relève en page 35 un dernier passage où l’auteur montre à nouveau l’usage pernicieux qu’il sait faire du conditionnel : " Elle recrute 25 sous-officiers français pour encadrer 600 soldats congolais. Ils monteront dès septembre des opérations commando dans les fiefs Ninjas. Le financement passerait par la banque FIBA, d’Elf et Bongo... ".

Ce passage me décrit comme ayant eu une participation active aux " horreurs planifiées à Brazzaville " (titre du chapitre) [...] "

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