lundi 2 février 2009

Mercure, mouvement elliptique, périhélie et charlatanisme relativiste






MERCURE

MOUVEMENT ELLIPTIQUE

PÉRIHÉLIE ET

CHARLATANISME RELATIVISTE

par Yanick Toutain

samedi 19 mai 2007

19/05/07 18:13

Citations exactes du crétin relativiste Einstein (extraites du livre papier "La relativité" de Albert Einstein Petite Bibliothèque Payot. P 145-147)

Traduction Maurice Solivine

La fainéantise des relativistes est toujours telle que seul mon site vous permet de lire (et de critiquer) les textes originaux du crétin. Les liens que j'ai mis dans les forums font toujours apparaître que les chapitre 7 et chapitre 8 sont uniquement visibles sur monsyte.

Extrait du chapitre 3 des appendices de la 3° partie du livre.


1 LE MOUVEMENT DU PÉRIHÉLIE DE MERCURE

D'après la Mécanique de Newton et sa loi de la gravitation, une planète isolée tournant autour d'un soleil décrirait une ellipse autour de celui-ci

YT : C'est faux : cela n'est vrai que si le Soleil est immobile. Newton n'excluait pas le contraire.

(ou plus exactement autour du centre de gravité commun du soleil et de la planète).

YT : Idem : cela implique que le Soleil soit parfaitement immobile.

Le soleil (ou le centre de gravité commun) se trouve à l'un des foyers de l'orbite elliptique, de telle sorte que la distance soleil-planète croît, au cours d'une année planétaire, d'un minimum à un maximum, et puis décroît jusqu'au minimum.

YT : Einstein ignore la différence entre l'aphélie vrai et l'aphélie réel : le trajet des photons le 3 juillet n'est pas égal à la distance entre le Soleil et la Terre: si la Terre fuit en direction de l'étoile Ain Al Rami (hypothèse provisoire) les photons-image qui quittent le Soleil doivent faire un trajet supplémentaire pour atteindre la Terre. La longueur de l'aphélie observé est plus grande que l'écart réel.

Si l'on remplace dans le calcul la loi d'attraction de Newton par une autre un peu différente,

YT : Quel culot ! Sa relativité est l'exact contraire de la grille théorique de Newton ! Elle est une attaque en règle contre le fondement de la théorie de Newton : l'espace absolu (objectif)

on trouve que le mouvement qui obéit à cette loi devrait encore être tel que la distance soleil-planète oscille périodiquement;

YT : Il confond constamment la distance entre deux corps et la longueur du trajet que les photons parcourent pour aller d'un corps à l'autre !

mais l'angle décrit pendant une telle période (d'un périhélie au périhélie suivant) par la ligne joignant le soleil à la planète serait différent de 360°. L'orbite ne serait pas fermée, mais couvrirait au cours du temps une portion annulaire du plan orbital (entre le cercle de la plus petite et le cercle de la plus grande distance de la planète au soleil).

YT : Son explication ressemble tellement à du charabia qu'on en vient même à s'interroger s'il connaît le mot "élongation"

D'après la Théorie de la relativité générale, qui s'écarte un peu de celle de Newton,

YT : Être menteur à un tel point laisse rêveur : il SAIT que l'école à laquelle il appartient a lutté avec rage contre l'espace absolu, les lieux absolus, les mouvements absolus, les vitesses absolues !

Ce crétin menteur SAIT qu'il est le pire adversaire des thèses fondamentale de Newton !

il doit y avoir aussi un petit écart de la loi du mouvement orbital de Kepler-Newton, de telle sorte que l'angle décrit par le rayon soleil-planète entre un périhélie et le suivant diffère d'un angle de révolution complète (c'est-à-dire de l'angle 2 pi dans la mesure absolue d'angles employée en Physique) de la quantité

(24 pi^3 ~* a²) / (T² c² (1-e²)

Dans cette expression a représente la moitié du grand axe de l'ellipse[on appelle ça le demi-grand axe], e son excentricité, c la vitesse de la lumière, T la durée d'une révolution. Ce résultat peut aussi être exprimé de la façon suivante: D'après la Théorie de la relativité générale, le grand axe de l'ellipse tourne autour du Soleil dans le sens du mouvement orbital de la planète. Cette rotation doit atteindre, d'après la théorie, pour la planète Mercure 43 secondes d'arc par siècle, mais pour les autres planètes de notre système solaire elle est si petite qu'elle ne peut pas être constatée.

En fait, les astronomes ont trouvé que la théorie de Newton ne suffit pas pour calculer le mouvement observé de Mercure avec l'exactitude actuellement accessible à l'observation.

YT : Les astronomes dont il parle ne connaissaient pas l'existence de notre Galaxie ni le mouvement orbital du Soleil autour du centre ce cette Galaxie à la "vitesse" orbitale de 250 km par seconde.

Ces astronomes ne prenaient pas en compte le mouvement du Soleil vers l'apex - mouvement du Soleil découvert par Herschel, mouvement qui détruit toute théorie fondée sur l'immobilité totale du Soleil.

Après avoir tenu compte de toutes les influences perturbatrices que les autres planètes exercent sur Mercure, on reconnut (Leverrier en 1859 et Newcomb en 1895)

YT : Il se retranche derrière des gens qui PRÉCÉDENT Hubble et les astronomes des années 20 qui ont découvert le mouvement orbital du Soleil dans la Voie Lactée.

qu'il restait encore à expliquer un mouvement du périhélie de Mercure, qui ne diffère pas sensiblement des + 43 secondes d'arc par siècle dont nous venons de parler. Ce résultat empirique concorde avec la conclusion de la Théorie de la relativité générale à quelques secondes près.

YT : Pour conclure : le charlatan escroc vient prétendre avoir justifié d'une variation de 43 secondes d'arc.

Il est suffisamment malhonnête pour ne pas nous donner les mesures exactes.

Mais il est tellement bête qu'il ajoute "à quelques secondes près."

Combien sont ses quelques secondes ?

Elles sont au minimum 2 pour justifier le pluriel.

Une marge d'erreur de deux secondes pour une mesure de 43 secondes, cela fait 2/43 : 4.65 %

Mais ces deux sont le strict minimum. Dans le cas d'une marge d'erreur de trois secondes, on a 3/43 soit 7 % et pour quatre secondes, 9.3 %

On a la théorie du génie du vingtième siècle qui est "prouvée" à 9.3 % près !

Quelle farce !

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Conclusion : le cours n° 2 de science objective précise les détail de la véritable analyse du phénomène : lorsque nous voyons Mercure, il faut déterminer où la planète se trouve réellement, et à quel endroit, au même instant, se trouve le Soleil. Ce n'est que comme cela qu'il est possible de connaître la distance exacte entre le Soleil et Mercure.




















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