Voilà une contribution au débat :
Pablico a écrit :
"on a beaucoup de progrès à faire, surtout contre le corporatisme."
Le corporatisme, il ne s'agit pas de faire "des progrès", il s'agit de l'extirper définitivement.
Ceux qui croient que l'Éducation Nationale est un fromage pour les engraisser ou financer leur névrose pavillonnaire n'ont rien à faire dans aucun système éducatif.
Le distingo entre l'enseignant et le fonctionnaire pourra s'opérer quand le salaire de 1000 euros sera versé à tous les Terriens : On verra, alors, ceux qui persisteront à rester des pédagogues et ceux qui iront déposer leurs pénates plus loin.
Quand je fus convoqué au commissariat de police en compagnie de Julie Amadis, je savais que je n'avais strictement aucun soutien ni - a fortiori - aucune pitié à attendre des fonctionnaires.
Ils savaient que le petit Kevin de maternelle avait été frappé par une femme de ménage, ils étaient bien convaincus que la directrice de l'école maternelle Varlin avait tapé le petit Luciano.
Mais, dans le collège de Julie Amadis, certain(e)s de ceux qui se revendiquaient LCR en venaient à justifier ces actes en révélant TAPER LEURS PROPRES ENFANTS.
Sur la totalité d'un collège, seules deux personnes peuvent se regarder dans la classe. Elles restèrent – a minima - aimables avec Julie Amadis... au moment où elle subissait un harcèlement insupportable... suivi d'un licenciement de facto.
Mais qu'il soit bien clair que malgré l'omerta qui protège les coupables des coups et leurs complices, ceux-ci seront jugés par une justice révolutionnaire et, les menottes aux poignets, s'excuseront auprès des deux petits enfants.
La page Google des coupables est tellement envahie des mes propres textes (et des copies des courriers de Julie Amadis aux responsables supérieurs, en particulier sa chronolige complète pour le Recteur de Seine Maritime) que l'administration n'a pas jugé bon de s'associer à la plainte en diffamation déposée par Véronique Combret et Carole Hervieu.
Elles porteront leur croix jusqu'à ce que la révolution prononce la déchéance de leurs droits civiques.
La justice bourgeoise SEMBLE avoir - dans le secret - classé sans suite cette plainte scandaleuse.
Nos réclamations seront portées devant une justice populaire : quand ce sont les brutes et leurs complices qui portent plainte, les dénonciateurs de coups que nous sommes trouveront grande satisfaction à ester en dommages et intérêts - devant des juges qui ne seront pas couchés devant un parquet ... et un tribunal ne pratiquant pas le faux en écritures publiques.
Tout ce qui précède est le décalque de mon propre blog.
Les coupables et leurs amis de l'administration bourgeoise semblent avoir renoncé à blanchir leur réputation devant des tribunaux.
Que les lecteurs de ce texte et les défenseurs de enfants courent écouter "'La brute soutient la brute".
Que cette chanson, écrite le lendemain de l'interview faite par le capitaine Maelle, soit un drapeau pour l'avenir.
Les auteurs de « blogs scolaires » comme Victor ont tort d'utiliser l'anonymat : Julie Amadis revendique haut et fort sa DEFENSE des deux petits battus, Kévin et Luciano.
Elle le revendique tellement que – après qu'elle ait été chassée de son collège par la principale Hervieu -, le rectorat a, pour autant, été contraint de valider SA PROMOTION : d'assistante pédagogique, elle est maintenant devenue INSTITUTRICE SUPPLÉANTE DANS UN COURS PRÉPARATOIRE.
Le recteur aurait eu tout loisir de poursuivre la répression Hervieu en refusant de valider la nomination de Julie Amadis dans une école privée. S'il n'a pas eu le courage de poursuivre lui-même les coupables de coups contre les petits, il n'aura – pas davantage – eu le "courage" (réactionnaire) de persister dans la répression contre cette enseignante courageuse.
On signalera, en conclusion, que ce sont ces dénonciateurs publics qui sont les porteurs de l'avenir : il est certain que des milliers de petits se font cogner tous les jours par des enseignants abjects : la protection que ces gens-là obtiennent de la part de l'administration est l'exacte déqualque que celle que Xavier Darcos a offerte à José Laboureur : Qu'un délinquant, depuis condamné par des juges debouts, puisse obtenir une pareille protection sans que le ministre ne soit contraint de démissionner est révélateur d'un pays dont le premier magistrat est un corrompu notoire marionnette du premier esclavagiste de France, Vincent Bolloré.
Il faudrait des centaines de Victor sans anonymat.
Ce seront les élèves eux-mêmes qui rendront cette justice : filmer les brutes, les racistes, les insulteurs, les méprisants seront les pratiques de la nouvelle Guépéou populaire qui assainira le climat de cette république bourgeoise esclavagiste dégénérée qu'est la France.
Ce pays abjecte sera remplacé par un Etat qui criminalisera TOUS les coups contre TOUS les petits de moins de 7 ans.
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PS A Victor.
N'ayant pas Internet, il me fallait télécharger vos textes pour pouvoir les lire ce soir.
Par impatience, j'en ai parcouru certains :
Ne lâchez rien, reprenez votre démission, forcez-les à vous virer, ils n'oseront pas : tous ces fainéants craignent la lumière !
Quant à la prof qui cogne, nous serions curieux de savoir quelles sanctions ont été prises et de connaître le devenir de l'élève : donnez-lui une petite page sur votre blog, vous feriez oeuvre pédagogique !
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