vendredi 21 novembre 2008

J'ai découvert récemment que le "gentil" Christian Lecaude de la CAMIF m'avait menti

J'ai découvert récemment que le "gentil" Christian Lecaudé de la CAMIF m'avait menti

Christian Lecaudé fut vice-président de la CAMIF de 1998 à 2006.

www.camif.coop/COOP_espsoc_journal_2006.htm

Mais il était déjà, depuis longtemps membre de l'équipe de direction de la CAMIF.
Il devint, en 1987, président du conseil de surveillance de l'entreprise FIL, le principal éditeur de logiciel pédagogique informatique en France, l'entreprise qui fut la quasi exclusive bénéficiaire du plan Informatique Pour Tous de Chevènement.
C'est sous la présidence de ce Christian Lecaudé, un an plus tard, que la CAMIF a fait couler France Image Logiciel.

LECAUDE FOSSOYEUR DE LA PÉDAGOGIE INFORMATIQUE EN FRANCE

En consultant Internet, j'ai découvert que le "gentil" Lecaudé m'avait délibérément menti : Il m'avait présenté François Robineau le PDG de FIL - qu'il disait "être venu de Thomson", comme le méchant de l'affaire. Mais j'ai ignoré, pendant 20 ans, un détail fondamental :

La CAMIF avait déjà pris le contrôle de l'entreprise France Image Logiciel lorsque son PDG François Robineau est revenu sur "sa parole" et a refusé d'éditer mon projet BIZOUK

En tant que gagnant numéro deux du concours Micropresse FIL, mon projet Bizouk devait être édité par FIL.
L'oral devant le jury avait eu lieu en janvier 1987. La proclamation des résultats le premier mercredi de mars en présence du ministre Monory.

Cela avait été (dixit Robineau en octobre 1987) sur sa demande personnelle que le jury formé de gros pontes de l'industrie informatique avait décidé qu'en sus du projet "Europe" du gagnant numéro un - Jean Yves Cantoni - mon projet Bizouk allait être édité par l'entreprise numéro un du logiciel pédagogique, le principal bénéficiaire du plan informatique pour tous.

L'ESCROQUERIE ET L'ESCROC EN CHEF

C'est, précisément, juste après que la CAMIF ait racheté à Thomson et à Answare la totalité de leurs actions de FIL, et soit devenu actionnaire unique, que le PDG Robineau, organisateur de l'escroquerie, a commencé à inventer des prétextes pour refuser de m'accorder le prix que j'avais gagné, l'édition du logiciel Bizouk.- y compris en refusant d'accepter que je puisse être simplement stagiaire non rémunéré !!! (de cela, les crapules tirèrent argument plus tard)

Sur Internet, il apparaît - je l'ignorais - que cette prise de contrôle par la CAMIF date du printemps 1987 et non de la période ultérieure.
http://www.obsolete-tears.com/thomson-dossier-11.html
Il devient de plus en plus probable que ce Christian Lecaudé haut dirigeant CAMIF qui devait devenir le président du Conseil de surveillance de FIL a participé activement au sabotage de l'édition de mon projet informatique. Il aurait agi ainsi pour que mes droits d'auteur qui auraient représenté plus de 80 % du chiffre d'affaire de l'entreprise (gammes de logiciels pédagogiques plus moteur graphique, plus moteur jeu vidéo)*** ne me permettent pas d'avoir accès à la véritable comptabilité de l'entreprise.
Il devient de plus en plus clair que FIL cachait une escroquerie de Thomson (ce que Lecaudé m'avait expliqué), certes, mais une escroquerie dont le parti socialiste tirait bénéfice par le biais de Thomson, une escroquerie que Christian Lecaudé aurait tout fait pour la cacher.
Une escroquerie que la direction de la CAMIF (et donc Christian Lecaudé) aurait connu bien avant qu'ils n'ont prétendu en prendre connaissance.

La révolution mettra le projecteur sur tout cela !!!

Les crapules sociales démocrates qui de décembre 1987 à 1991 ont accumulé les incriminations, y compris les accusations les plus imbéciles, qui sont allé jusqu'à manipuler des élèves pour les inciter à faire le souk dans ma classe (directeur Mouette, témoignage spontané d'une élève dix ans plus tard, Ninon D. "toutes les instits de l'école sauf une" lui faisait comprendre qu'elle la soutenait pour flanquer la pagaille dans ma classe ,"y compris le directeur" Mouette) contre mes méthodes pédagogiques, contre la valeur de mon prototype etc ... , qui obtinrent même une inspection spéciale contre moi (qui me valut le soutien, enfin !, de Francis Blanch, inspecteur IDEN), poursuivaient en fait le plan des Lecaudé.
Il fallait me casser sur le plan professionnel, construire une réputation pourrie pour empêcher toute possibilité de soutien des collègues.
Si l'imbécillité de leurs méthodes (plainte du directeur social-démocrate Redon d'être allé dans la classe d'un instit - Sabatier- sans l'avoir prévenu personnellement) se retourna contre eux : on ne peut pas accuser de ne pas avoir travailler à l'expérimentation sur le terrain et - dans le même temps - accuser d'avoir travailler sur le terrain sans y avoir mis toutes les formes [c'était l'instit qui avait oublié de prévenir son directeur]; mais globalement, ils réussirent néanmoins à compliquer le contentieux a volo, jusqu'à le rendre incompréhensible pour les collègues. C'était le but.
L'administration, totalement infiltrée par les sociaux-démocrates et les staliniens, marchait de concert avec leurs alter ego.*
In fine, ils me devaient 7 mois de salaire mais m'avaient remboursé 3 mois et demi indûment en inventant un poste bidon rétroactivement.*
Je me faisais voler de 3 mois et demi de salaire, plus de 3700 euros.
Mais surtout, ils avaient fait disparaître de leurs archives - celle de l'administration - tous mes courriers et rapports pédagogiques.
In fine, ils avaient construit une situation dans laquelle tous les imbéciles hostiles à l'informatique chantaient sur tous les toits que mon projet ne valait rien, que l'informatique ne servait à rien, que je "pétais plus haut que mon cul", selon l'élégante expression de Patrice Vérin, l'alter ego de la candidate LCR NPA de 2008 Sylvie Vérin qui participa à l'appel téléphonique adressé à l'administration de Rouen afin d'inciter l'Inspection académique à ne pas céder sur le contentieux administratif; cet appel fut le fait de la crapule PCF Pierre Toutain , le responsable local du syndicat SNIPegc. Celui-ci fut aussi certainement dans les coulisses du (criminel et non prescriptible) faux en écriture publique commis par la responsable du trésor de la mairie que dirigeait l'autre crapule stalinienne Gérard Eudes.
Je n'ai pas d'indices indiquant que leur parti, le PCF, pourrait avoir été bénéficiaire des largesses de Thomson et de l'escroquerie FIL : la haine syndicale vouée par ces deux crapules contre l'extrême gauche était, à l'époque, suffisante pour motiver leur comportement. Mais on ne peut, rétrospectivement, être certains de rien : Il est avéré que le PCF, nationalement, était corrompu par les entreprises capitalistes et avait bénéficié d'autres vols. Et ces gens étaient militant d'un parti qui fut plusieurs fois condamné pour ces vols

LA MISE EN DISPARITION PRÉCIPITÉE DE FIL POUR CACHER L'ESCROQUERIE : LES SOCIAUX-DÉMOCRATES ROIS DE LA MAGOUILLE

La mise en redressement judiciaire de FIL, en novembre 1988, suivie, une semaine après de la liquidation judiciaire avait pour but de masquer toutes les preuves de ces voleurs.
Le PDG est resté en poste bien longtemps après (le minitel en faisait foi) : Lecaudé interrogé sur cette curiosité ne trouva rien à répondre : Christian Lecaudé était devenu président du conseil de surveillance de FIL mais faisait croire qu'il ne connaissait pas grand chose à ce qui s'y passait réellement.
C'est la technique habituelle du social-démocrate de l'Éducation nationale : se faire passer pour plus idiot, pour moins informé qu'il ne l'est.
C'est de façon réitérée que je l'interrogeais sur les raisons pour lesquelles ils ne faisaient pas un procès à Robineau et à Thomson - procès pour escroquerie.
Il osa répondre que "d'une certaine façon, la CAMIF avait considéré qu'elle n'avait pas été complètement perdante, qu'elle était finalement bénéficiaire".

OPÉRATION BLANCHE

Alors même que l'investissement de Thomson et de Answare - "opération blanche" avait dit Lecaudé - avait été récupéré par ces deux entreprises par une escroquerie de Robineau : "il avait fait racheter à FIL une somme équivalente de vieux stocks".
"Opération blanche" m'avait révélé Lecaudé.
Mais ce n'est que plus tard que je compris qui était la véritable victime : c'était l'élève de l'Éducation Nationale : je comprenais d'où venaient les logiciels FIL pourris, d'une nullité pédagogique absolue, logiciels livrés dans la "valise informatique".
C'était ça les "vieux stocks" pourris.
On a du faire comprendre à Lecaudé qu'il était hors de question que la CAMIF porte plainte contre Thomson.

REFUS DE PORTER PLAINTE !

Il me concéda un "procès commercial", mais resta sans argument que celui cité au-dessus lorsque j'insistais sur l'importance d'un procès en escroquerie.
Leurs réseaux étaient assez puissants pour empêcher la médiatisation de cette opération délictueuse sur le dos de la pédagogie, au détriment de l'avenir.
Ils ont détruit FIL pour effacer les traces.
Ils m'ont pourri la vie pendant 13 ans, eux et leurs alliés PCF et LCR jusqu'en octobre 2000. SDF, je n'avais plus longtemps à vivre et ne devenait plus un danger pour eux et leurs magouilles.
La crapule syndicale Dominique Delahaye allait pouvoir continuer les magouilles de couloirs qu'il opérait depuis les années 70, quand il me succéda comme unique élu École Émancipée SNIPegc.
(Des heures de polémiques en cellule contre cette girouette opportuniste à demi fainéante - et ses comparses fatigués - expliquent l'accumulation de ses crapuleries suivantes : jusqu'en 1982, la direction locale LCR les faisait céder, à chaque fois, ainsi qu'à chaque congrès. Ma sortie de la LCR lui ouvrit un boulevard de magouilles, à commencer par le fait qu'il s'incrusta sur un poste d'élu que nos statuts limitaient à SIX mois. Il s'y agrippa pendant des années.)

Tous les routiniers pédagogiques, les conformistes, toutes cette formoisie pourrie allait pouvoir vivre leurs petites vies pavillonnaires sans opposition !
Et surtout, les responsables de l'Éducation Nationale (depuis les inspecteurs locaux jusqu'au Recteur de Rouen) qui ont fait disparaître tous les rapports pédagogiques que je leur avais transmis de 1987 à 1988, allaient pouvoir dormir tranquille sur leurs deux oreilles.
Leurs forfaits de délinquants allaient pourvoir disparaître dans l'ombre du passé !
Ils n'avaient pas envisagé la lumière Internet ! Cette affaire n'est pas finie : Elle ne finira que par la mise en lumière de toute l'histoire de Thomson, du plan IPT de Chevènement, et l'arrestation de tous les saboteurs, de tous les escrocs, de tous les voleurs !

LA FAILLITE DE LA CAMIF EST LA FAILLITE DE DIRIGEANTS SOCIAUX-DÉMOCRATES CAPABLES D'ESCROQUERIE

Les travailleurs de la CAMIF auraient tout intérêt à aller fouiner les comptes de la CAMIF actuelle.
Vingt après, il n'y a pas de raison, que le modèle de crapule socialiste, que le moule de pilleurs d'entreprises ait été cassé.
Quand on sait que le fric des logiciels du plan informatique pour tous a été "pompé" par Thomson, on peut s'interroger sur l'endroit où ont pu passer les pertes de la CAMIF !
Ce que le parti socialiste et leurs alliés gaullistes ont volé dans la caisse de l'école entre 1985 et 1988, il n'y a pas de raisons que ces magouilleurs sans scrupules aient hésité à en poursuivre l'application depuis 20 ans.
D'autant plus que ce Christian Lecaudé qui fut le fossoyeur de la principale entreprise de logiciels pédagogiques fut, jusqu'en 2006, vice-président de la CAMIF.
Après avoir fait couler France Image Logiciel, il a quitté la direction du navire juste avant de faire couler la CAMIF elle-même !!!
www.camif.coop/COOP_espsoc_journal_2006.htm

PARTI SOCIALISTE, PARTI DE CORROMPUS, PARTI DE VOLEURS DE l'AFRIQUE

Sur l'Afrique et la corruption socialiste, Vershave comparait l'épicier de Lionel Jospin aux supermarchés des requins-éléphants socialistes.

"Le stock total des casseroles de Jospin et de son courant politique ressemble à celui d'une petite épicerie face aux supermarchés d'autres courants socialistes et aux hypermarchés de la droite" (Noir Silence FX Vershave p. 461 Arènes 2000)

Il n'y a pas de raisons que ces gens-là aient acquis, en vieillissant, la notion de ce qu'est l'honnêteté !

21/11/08 12:01 France Info : Quand le gangster socialiste Jean Paul Huchon pique dans la caisse en magouillant avec sa femme, on voit des juges couchés lui rendre sa capacité de nuisance : la cour d'appel des juges larbins de la bourgeoisie vient de lui rendre son droit à être élu ! (annule son inéligibilité)
Un nouveau scandale !
Les crapules formoises peuvent continuer à voler la société : la bourgeoisie et ses juges les protègent !

La révolution mettra bon ordre à tout cela et placera les responsables CAMIF, THOMSON, FIL and C° en accusation !


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NOTES

*plus, formellement, un an de salaire pendant lequel je fus en grève sans qu'ils osèrent me licencier !
C'est pendant ma grève que poursuivant mes recherches pédagogiques, j'affinai les méthodes pour enseigner, à huit ans, puissances, racines et surtout logarithmes, dérivées, intégrales, primitives, équations différentielles.
J'avais un logement de fonction. Pas de salaire. Pas de chauffage. Pas d'électricité, pas de lumière. Cela dura 9 ans. Jusqu'en octobre 2000.

**Je ne parvins jamais à obtenir les comptes-rendus des CAPD - commissions paritaires - qui accumulèrent les décisions illégales à mon encontre, ni de l'administration, ni des dirigeants sociaux démocrates, ni de l'élu local d'extrême gauche, au titre de l'École Émancipée - j'ignorais, à l'époque que cette crapule ex LCR était un - très - proche de Sylvie Vérin.
Ils avaient, tous, tripoté les textes pour être certain de mon enterrement professionnel et craignaient, de concert, que la lumière soit faite sur l'accumulation de leurs magouilles.
Même le dirigeant "historique" de l'École Émancipée, Michel Chauvet, en vint à tremper dans leur sac de nœuds en refusant finalement de faire pression pour faire toute la lumière sur ces décisions illégales.

*** Il faut rendre hommage au directeur de l'INPI qui, le jour de la proclamation des résultats, me fit venir et sur un ton confidentiel m'expliqua que mon projet allait avoir des incidences sous formes de "jeux de plateaux", de "peluches" etc ... Il m'expliquait que mon personnage Bizouk , le héros principal de tous les jeux vidéos et du langage informatique lui-même allait avoir des applications dans pleins de domaines. Il me conseilla, gentiment, de déposer la marque "BIZOUK".
Il fut quasiment le seul de toute cette histoire à ne pas avoir un comportement de gangster. Qui plus est, à avoir un comportement humain.
Je suivis son conseil à l'automne 87, et, grâce à la disponibilité de sa secrétaire (et la sienne sans doute), je pus déposer les noms des autres personnages, les graphismes, les couleurs, pour un prix modique.
Je n'avais pas saisie, par la gentillesse de ses conseils et l'amabilité de ses propos QUI était réellement ce personnage ni sa fonction. Ce n'est que plus tard que je compris à la fois à quel point il avait vu juste : l'entreprise BIZOUK aurait pu être - et sera un jour - quelque chose de gigantesque, et à la fois l'énormité des obstacles qui allaient être érigés : ils sont plusieurs dizaines à avoir couvert le faux en écriture publique commis par la fonctionnaire des finances : il servit à colmater une brèche dans l'édifice de toutes leurs crapuleries illégale. Ce qui est un crime imprescriptible devait servir à valider toutes leurs magouilles commises à l'Inspection Académique du Havre et de Rouen, celles commises au Tribunal du Havre, celles commises dans divers services financiers.
Ce faux en écriture publique me fut transmis à la suite d'une réclamation (deux lettres avec accusé de réception) que je fis auprès du procureur de la République du Havre.
La réponse, signée PCC juge Monique Paillette, contenait ce faux en écriture comme pièce justificative.
Les malhonnêtes, les gangsters, les criminels - un tel faux est un crime - sont au pouvoir.
La révolution mettra bon ordre à tout cela !!!

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