mercredi 9 avril 2008

"...si c'était à refaire, je rentrerais dans la police, dans l'armée ou la SNCF : je gagnerais surement plus, (...) "



Les imbéciles parlent !

Ils ont même une tribune !

La disposition du combat entre les strates se précisent : les répétants imbéciles font l'apologie des profs cogneurs, ils veulent du fric et ne pas trop se fatiguer !

Celui-là a la franchise d'écrire que le malheur n'est pas pour la victime, celui qui se fait cogner !

Non, le malheur pour ce Christophe GAQUIERE, c'est le malheur du cogneur ! C'est le prof qui a le malheur de donner des claques !

"Bien entendu, si à (sic) contrario un prof a le malheur de donner la moindre claque à un élève, alors-là les choses vont très vite et le prof en question se retrouve illico devant la "justice"! Idem si il frappe un élève qui l'agresse : il n'a pas le droit de défendre son intégrité physique et doit se faire taper dessus docilement. Et bien croyez-moi, si c'était à refaire, je rentrerais dans la police, dans l'armée ou la SNCF : je gagnerais surement plus,j'aurais des CE, et au moins je serais soutenu par ma hiérarchie ! Toujours est-il que chaque fois que je rencontre un jeune qui nourrit le projet de devenir prof ,je l'exhorte à ne pas s'embarquer dans cette galère et à se trouver un job moins difficile, mieux payé et mieux reconnu!
Amicalement,
Christophe."



Mais cet imbécile partisan de frapper les élèves dans le but de réduire le temps de préparation pédagogique n'est pas un vieux professseur usé :

"Juste un mot. Je suis prof depuis 10 ans et je touche difficilement 1800 Euros par mois."

ose-t-il écrire en introduction de son texte.

Il est la preuve vivante de ces cargaisons d'incapables que le ministère a recrutées depuis 25 ans : des perroquets fonctionnaires sans aucun dévouement pour leurs élèves.

Il gagne plus de 3 fois les 534 euros que gagnent les assistants pédagogiques mais il trouve encore le moyen de se plaindre ! Les "réformes" des ministres ne l'empèchent pas d'innover, non, elles lui compliquent la vie !

"Je vois tomber d'incessantes réformes qui me compliquent la vie et augmentent ma charge de travail (note de vie scolaire,B2I,réunions incessantes...)."

Au bout de 10 années d'enseignement, il est tellement enkysté dans sa sclérose qu'il ose écire
"Depuis que je suis dans ce métier, j'entends répéter autour de moi que je suis "flemmard" (un grand classique), que j'ai trop d'avantages, que je suis trop payé et que je dois "me remettre en question.""

Rassurons le flemmard : ceux qui lui disent ces mots ne semblent pas avoir eu de pouvoir sur lui....

Mais, puisque c'est son voeu le plus cher, que sa timidité semble l'empécher de réaliser, les générations qui viennent vont agir : elles vont le foutre à la porte de toute structure éducative quelle qu'elle soit !

Avec en prime, une surveillance par les brigades d'enfants de ce qu'il s'apprête à infliger à ses propres enfants - si ce n'est déjà fait : des coups !


Pour les crétins : site de la pétition immonde du SNES
et celui des apprentis fachos du SNALC

Brutes imbéciles, allez vous dépêcher d'y placer votre nom : lorsque vous serez inculpés pour avoir tabassé un élève ou vos enfants, votre préméditation sera caractérisée par la présence de votre nom sur cette liste infame !

Véronique Combret, la directrice de l'école maternelle Varlin, n'a pas eu besoin d'y apposer sa signature : c'est d'elle-même qu'elle a pris l'intiative de révèler les coups qu'elle a portés au petit Luciano.

Il est vrai que c'était pour la bonne cause : il s'agissait, pour elle, d'impressionner Julie Amadis, dans le but d'étouffer le dernier scandale dans son école : la fessée contre le petit Kevin, 3 ans !

L'inspecteur d'académie adjoint, qui a promis aux syndicats de convoquer Julie Amadis pour recueillir son témoignage ne l'a pas fait :
En échange, celle-ci a reçu une lettre de sa principale, la menaçant de retenues de salaire si elle persistait à refuser d'aller travailler dans cette maternelle de brutes !

Cet inspecteur d'académie, s'il persiste à ne pas mener l'enquête va bientôt obtenir une célébrité internationale !

Cela donnera aux responsables des sites Internet de l'inspection académique de Rouen l'occasion de travailler un peu et d'indiquer le nom de l'inpecteur adjoint chargé du Havre : deux noms y apparaissent selon les pages que l'on découvre !

Yanick Toutain

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