Affichage des articles dont le libellé est capital humain. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est capital humain. Afficher tous les articles

dimanche 21 décembre 2008

Un texte de janvier 2008 UN PROGRES DANS LA RECHERCHE ECONOMIQUE

Je republie, à la suite du texte sur le capital humain comme point aveugle de la théorie économique, ce texte de janvier 2008 publié sur le site.
Ce texte est publié en complément du texte nouveau sur les Les clowns diplômés professeurs de l’économie et le PIB

UN PROGRÈS DANS LA RECHERCHE ÉCONOMIQUE :
Le crétinisme sarkozyste



Yanick Toutain
vendredi 4 janvier 2008
04/01/08 05:13

Dans les années 60, la bourgeoisie demandait à ses intellectuels, à ses universitaires, d'évaluer son système éducatif.
C'est l'époque où les libéraux américains Schultz et Denison faisaient des calculs sur les gains de productivité obtenus grâce au système de formation américain.
C'est aussi l'époque où leur collègue russe stalinien Stroumiline faisait les mêmes calculs et obtenait les chiffres suivants :
Un an de formation donne une productivité supérieure de 30 %
4 ans de 80 %
13 ans et demie 320 %.
C'etait l'époque où les économistes cherchaient la variable cachée des facteurs de production.
C'était l'époque où ces chercheurs, suivis par Becker, remettront à l'actualité le concept forgé en 1935 par un chercheur : celui de capital humain.




CAPITAL HUMAIN


En fait, tous ces chercheurs faisaient faire un pas en avant à la recherche en économie en actualisant des propos tenus, bien longtemps auparavant par Adam Smith : celui-ci avait déjà compris la similitude dans les gains de productivité entre le temps passé à fabriquer un outil et le temps passé à acquérir une formation.
L'auteur de ce texte a d'ailleurs, en 1993, dévoilé l'erreur de Marx qui s'est obnubilé sur le capital machine, en refusant de voir la détention d'un capital humain, d'un capital formation comme le moyen d'obtenir des gains de productivité et donc de faire glisser de la plus-value depuis le moins formé vers le plus formé.


UN PROGRÈS DANS LE CRÉTINISME


En 2008 le crétinisme a fait des progrès considérables.
Le crétin Sarkozy a franchi un cap considérable dans l'importance de l'évaluation de la formation.
Il a chargé un cabinet privé - Mars & Co - d'évaluer les performances du ministre de l'éducation français.
Celui-ci (comme ses collègues) devra faire état des performances du secteur qu'il a en charge.


PRODUCTIVITÉ PÉDAGOGIQUE


Il est évident que la productivité dans le secteur de l'Éducation Nationale est un des facteur primordiaux de l'avenir.
L'auteur de ce texte, pour ce motif, a passé plus de 7000 heures entre 1985 et 1987 pour produire un logiciel qui était à la fois un moteur de jeux vidéo animés, un prototype de langage informatique (bien plus évolué que le LOGO de Seymour Papert), un outil de création d'histoires structurées, et la matrice de jeux vidéo destinés à l'apprentissage de l'arithmétique (depuis la retenue jusqu'aux logarithmes en passant par les puissances et les racines cubiques et quatrièmes)
Pour ces raisons de productivité pédagogique, l'auteur a participé au concours Micropresse FIL et au concours de l'Éducation Nationale en octobre 87.
Le premier concours lui donna le 2° prix et le second concours l'agrément ministériel.
Cela resta dans les cartons, le sabotage de Monory et de son directeur de cabinet Thierry Breton eut raison du plan de Chevènement.


SABOTAGE


L'escroquerie de Thomson à l'encontre de la CAMIF, de l'Éducation Nationale et des élèves de celle-ci sonnèrent le glas du progrès.
Le gagnant du premier concours (de février 87), Jean-Yves Cantoni, dû même subir les persécutions de Thierry Breton et de son inspecteur local (IDEN) (sur ordres du premier). Il finit par fuir en Arabie Saoudite - où il obtint sa mutation - pour continuer ses productions de logiciels.
Cela faisait suite à l'affolement de Jean-Hervé Lorenzi qui avait menacé les trois gagnants du concours au cas où il leur aurait pris l'idée de profiter de leurs compétences en informatique pour, devant les médias, se revendiquer de la grève du mardi précédent, grève à laquelle les trois gagnants du concours avaient participé.
Il ne faisait pas bon, en 1987, être innovateurs en pédagogie et être, dans le même temps, hostiles aux mesures anti-pédagogiques prises par ce gouvernement - qui fut celui qui assassina Malik Oussekine.


20 ANS DE RETARD


Les manœuvres de Breton, de Monory eurent raison de la pédagogie informatique en France : le principal éditeur FIL se retrouva en redressement judiciaire un an plus tard. 15 jours de plus et la liquidation fut prononcée.("bizarrement", le PDG escroc Robineau apparut encore plusieurs années dans les annuaires comme tel)
Le principal éditeur ludique, Infogrames, désespérant de voir l'Éducation Nationale soutenir la diffusion de logiciels pédagogiques, se sépara de sa branche pédagogique et la confia à sa responsable Jacqueline Carraz.
Tout le travail fait par des chercheurs et des créateurs dévoués se retrouva à la poubelle.
Le langage Bizouk se retrouvera en octobre 2000 dans les bennes du stalinien Gérard Eudes après 10 ans de grève de protestation de l'auteur. Grève qui ne parvint même pas à obtenir qu'apparaissent dans ses rapports d'inspection la simple mention de l'existence de rapports transmis régulièrement de 1985 à 1988.
Que des crétins saboteurs de droite puissent saboter pour des raisons capitalistes (l'enquête révélera QUI aura été directement corrompu par IBM pour imposer le standard PC en sabotant le développement des ordinateurs Thomson basés sur le 6809) est logique.
Mais que la société toute entière les laisse faire, cela était un mystère.


UN MYSTÈRE


L'auteur en trouva la clé en 1993 en produisant le concept de formoisie : la bourgeoisie des diplômes ne veut pas être concurrencée et donc sabote le progrès pédagogiques.
Ce que les classes moyennes prétendent vouloir pour leurs enfants (et c'est faux) elles le refusent absolument (et de plus en plus) pour les enfants de classes inférieures.
Le chercheur Meirieu a écrit un texte fameux dans Libération dénonçant cet état de fait : le refus des classes moyennes de laisser se poursuivre l'ascension sociale des enfants des pauvres.


LA FORMOISIE


Le concept de formoisie montrait comment la Chine connut des siècles et des siècles de stagnation, comment l'URSS avait suivi le même chemin.
Et, pour la France, le fait que le saboteur Breton, en détruisant l'industrie informatique pédagogique, agissait en conformité avec les besoins profonds de la classe formoise.
Seules les révolutions anticapitaliste et anti-formoisie permettront la libération des énergies.
Le marché de l'industrie pédagogique n'était pas solvable et ce furent les logiciels sanguinaires qui prirent la place (à la grande satisfaction des parents qui utilisent l'épouvante, la terreur et la magie irrationnelle comme techniques de déstabilisation des générations futures et comme moyens de les écarter de l'affection sexualisée : Wilhelm Reich avait tout dévoilé 70 ans plus tôt).
Le projet Bizouk 20 ans après est toujours d'actualité. Aucun logiciel n'est venu le concurrencer dans aucun domaine.
Il est plus que révélateur, en matière de productivité pédagogique, de constater qu'une société a freiné pendant 20 ans (de 1987 à 2008) un projet sans même produire quoi que ce soit de concurrent.
L'auteur a pu constater, il y a 15 jours, la toujours extraordinaire validité de la méthode : Nicolas 8 ans (CE2) a compris les puissances, les racines cubiques et les logarithmes (log de 25 en base 5) en moins d'une heure d'explication.
(pour faire bonne mesure l'enthousiasme l'a emmené à poursuivre une heure plus tard avec un créneau de 30 minutes lui donnant la technique pour jouer tous les accords majeurs et mineurs sur un clavier dessiné sur lequel poser ses doigts : "Pour le Em, où poser les doigts ?" avec réussite complète)


RECHERCHE THÉORIQUE, OUTILS PÉDAGOGIQUES


L'auteur de ce texte, par plus de 15 ans de recherches conceptuelles, (depuis 1991) par plus de 30 ans de conception d'outils pédagogiques divers (depuis 1975) a acquis une certaine expertise avec ce domaine.
C'est pourquoi l'évaluation par Mars & Co (la guerre évalue ?) de la productivité dans l'Éducation Nationale ne pouvait qu'être digne d'intérêt.


LA FARCE DU CRÉTIN



Hosanna !
Le critère d'évaluation dans l'Éducation Nationale est le nombre d'heures supplémentaires acceptées par le personnel de ce ministère ....

Quoi dire de plus ....
Ces pauvres abrutis ne sont même pas dignes d'entendre le fait qu'il serait envisageable d'utiliser des micro-ordinateurs portables dotés de logiciels de reconnaissance vocale, à l'intention des enfants de 2 ans, pour étudier la façon dont ils apprendront à lire tous seuls lorsqu'ils verront s'afficher sur l'écran les mots qu'ils auront prononcé.(prolongation des expérimentations Bizouk de janvier 1988)
Laisser des crétins au pouvoir revient à attendre l'an 2887 pour que les logarithmes soient enseignés en CP comme complément indispensable à la compréhension de la retenue !

Yanick Toutain
05/01/08 16:23


Les clowns diplômés professeurs de l’économie et le PIB

Toutes les données de l’économie officielle sont fausses.
Pour le prouver, c’est extraordinairement simple !



Par Yanick Toutain
21 décembre 2008 15:50

Supposons que, du jour au lendemain, l’efficacité pédagogique des crétins embauchés enseignants par les -successifs - ministres de l’Education Nationale, double !
Supposons que, du jour au lendemain, l’efficacité de leurs méthodes, l’efficacité de leur enseignement croisse dans une proportion telle que la valorisation du capital humain qui va en découler double.
Qui va s’en rendre compte ?
Quelles statistiques vont mesurer cela !
Aucune !
Les crétins sont au pouvoir : pouvoir politique, pouvoir économique, pourvoir pédagogique, pouvoir statistique.
Et pourtant - comme le relatait Lê Thành Khôi dans sa magistrale thèse (compilation) de doctorat « L’industrie de l’enseignement » - dans les années soixante les libéraux Theorodore Schulz et Denison, le stalinien Stroumiline mesuraient l’apport de l’éducation à l’économie.
Ces travaux ont été oubliés, mis aux oubliettes.
Leurs résultats dérangeaient les trois classes exploiteuses : bourgeoisie, formoisie, innovoisie.
Un an de formation augmentait la productivité de 30 % etc….
Voilà les résultats qu’annonçait le médaillé russe Stroumiline.
Il annonçait les résultats pour 4 ans, pour 7 ans, pour 9 ans, pour 13 ans et demi.
Le calcul actuel du PIB est parfaitement stupide.
Il mélange les choux et les carottes en oubliant les fraises et les pommes.
Dans ce PIB apparaissent, en vrac, les prix (non pas les valeurs - c’est encore un autre débat) des biens de consommation et des biens de production.
En vrac !!!
Du strict point de vue de l’économie bourgeoise, elle-même, c’est absurde !
Mais le plus absurde est la chose suivante.

LE FAINÉANT "PRODUCTIF" DE PIB

Si un instit cesse de préparer sa classe et qu’il arrive à l’école les mains dans les poches, le PIB ne bougera pas d’un iota.
S’il profite de sa fainéantise pour écrire des bouquins et qu’il touche des droits d’auteur, sa fainéantise pédagogique augmentera le PIB.
En effet, bien plus grave que l’anecdote usée jusqu’à la corde de l’homme qui embauche sa femme de ménage et qui fait diminuer le PIB (le travail domestique n’est pas comptabilisé), il y a un facteur qui est le véritable point aveugle de l’économie.
Pour le mettre en lumière, c’est pourtant simple : l’URSS stalinienne refusait de laisser partir ses diplômés. La formoisie russe s’arrangeait pour - de facto - faire payer l’expatriation de ses diplômés.
Et ce n’était que justice.

EXPORTATION DE DIPLÔMÉS

Regardons l’Afrique.
Le peu de diplômés qu’elle produit a le culot de partir valoriser ailleurs son niveau de productivité.
Il serait plus que justice que les médecins qui quittent l’Afrique soient contraints de rembourser la valeur de leur formation.
Et cette valeur dépasse - de beaucoup - les moyens (profs, locaux, manuels) - mis à leur disposition.
En effet, puisque mettre un trait d’égalité entre ces prix et le niveau de remboursement aurait pour sens de nier le fait que c’était un INVESTISSEMENT.

Le point aveugle = LE CAPITAL HUMAIN

Imaginons alors un pays africain dont les bacheliers quitteraient leur patrie pour aller en France.
Imaginons qu’ils remboursent les frais plus une sorte d’actualisation de l’investissement fait (on simplifie)
Ce pays verrait son PIB augmenter au fur et à mesure.
De facto, il produirait des diplômés comme l’Allemagne produit des machines-outils et les exporte.
Par sa mise en lumière du capital humain, l’ «exportation de diplômés» (exportation payante) permettrait à la science économique de faire un bon en avant gigantesque.

UNE SCIENCE DÉSINTÉRESSÉE

Mais les égalitaristes n’ont pas besoin de cela.
Notre volonté d’humanité - nous faisant renoncer aux privilèges de consommation - nous permet de garder la lucidité et de voir ces mécanismes qui sont les points aveugles des neurones des clowns de l’idéologie économique bourgeoise, comme des clowns de l’idéologie économique formoise.
Le fait que nous acceptons, par avance, d’être payés 1000 euros par mois, nous permet d’être lucide sur ce que refusent de voir les gangsters politiques des classes exploiteuses, gangsters bourgeois, gangsters formois, gangsters innovois.

Nous attendons avec impatience les clowneries de l’idéologue économique de l’innovoisie...

...Un certain Alain Souchon !




====
notes
Je découvre le wiki sur le capital humain : je le lirai hors connexion.
Idem pour le lien qui s'y trouve vers JP Simonet et ses recherches. En particulier pour le titre L’analyse en termes de classes sociales est-elle encore pertinente ? auquel j'ai déjà la réponse avant de le lire tout à l'heure.
J'aurai sans doute une réponse à rédiger (réponse dont les fidèles lecteurs égalitaristes connaissent déjà le contenu : vous aurez - bientôt - à vous prendre par la main pour les rédiger vous même. Je n'ai pas l'intention de "faire Marx". Il y a une encyclopédie entière à rédiger !

remarque : une lecture en diagonale rapide me montre
:"- De même, pour Henri Mendras (1927 -2003), il faut réfuter la vision marxiste de la lutte des classes qui suppose des conflits d’intérêt et une conscience du rôle historique de la classe ouvrière qui ne correspond plus à la réalité contemporaine. "
Une première réponse rapide : celaz ressemble plus à une compilation d'articles faits par d'autres qu'à une véritable recherche.
De plus, ce Mendras est un idiot !
La "vision marxiste de la lutte des classes" n'a jamais exigé que les esclaves aient une conscience de classe, ni a foriori, une conscience de leur "rôle historique".
Ce monsieur est un idiot ignare. Et l'auteur du blog pourrait se renseigner avant de recopier les âneries des bourricots bâtés.


on peut lire, en complément, un texte de janvier 2008 :
UN PROGRÈS DANS LA RECHERCHE ÉCONOMIQUE :Le crétinisme sarkozyste

lundi 17 novembre 2008

L'erreur économique historique de Marx concernant la formoisie, le travail complexe et les transferts de plus-value : la note 19 du chapitre VII. UNE

L'erreur économique historique de Marx concernant la formoisie, le travail complexe et les transferts de plus-value : la note 19 du chapitre VII. UNE ÉTUDE CRITIQUE SUR LE TEXTE EXACT DU CAPITAL DE KARL MARX
par Yanick Toutain 16 novembre 2008 21:11

Abstract : Plus-value, travail simple, travail complexe, skilled labour, unskilled labour, productivité, capital, capital humain, transferts de plus-value, exploitation, appropriation privée de la productivité, philosophie, dialectique en sciences humaines, transformation quantité qualité, analyse sociologique, principe du jaune d'œuf.

Marx est un géant. Mais comme tout véritable génie, sa pensée philosophique permet de contredire le reste de ses analyses.

Le niveau plus élevé des concepts philosophiques leur donne une durée de vie plus grande.

En l'occurrence, les principes philosophiques, dont Friedrich Engels fit l'exposé complet permettent de contredire l'aspect figé des propos qu'il tient concernant le travail complexe, son développement et les conséquences sociologiques et politiques de ce développement.

C'est dans la note 19 du chapitre VII de la troisième section du livre I du capital que Marx laissa la petite graine qui allait détruire la totalité de l'édifice qu'il construisait.

Cette note bâclée montre à quel point la construction scientifique ne peut pas se permettre de laisser dans l'ombre le moindre fragment du jaune de l'œuf qui grossit : ce que Marx néglige en l'évacuant, de la plus parfaite mauvaise fois, c'est ce qui va permettre la dégradation de la deuxième internationale, le ralliement cocardier des partis socialistes à leurs bourgeoisies respectives en 14 18, le sabotage de la révolution de Février 17, de mars jusqu'à octobre, les grèves formoise de 1918, l'échec des processus révolutionnaires en Allemagne, de 1918 à 1923, le sabotage des spetz jusqu'en 1921, puis leur montée en puissance à partir de janvier 1922, la victoire de Staline en 1927, le sabotage de la montée révolutionnaire de 1927 en Chine, l'alliance bourgeoisie-formoisie aux USA sous l'égide de Roosevelt, l'incapacité de Trotsky, en 1938 de comprendre que l'URSS est dirigée par une classe sociale exploiteuse, la volonté de l'URSS de maintenir les États formois de l'Est sous dictature russe en empêchant la construction de la "démocratie prolétarienne", les sabotages des révolutions anticolonialistes des années 50 et 60 par les formoisies compradores, la coexistence pacifique à partir de Kroutchev, le sabotage de la montée révolutionnaire 1963-1979, la destruction de l'URSS et la contre-révolution capitaliste, la dégénérescence mondiale actuelle dans laquelle le capitalisme détruit la Terre tandis que la formoisie et la nouvelle classe innovoise refuse de prendre en charge leur destin historique.

C'est cette mauvaise foi de Marx qui l'empêche de voir la racine de tous ces phénomènes historiques : le fait que les producteurs du travail complexe vont vouloir s'accaparer ce qu'ils vont prétendre être le fruit de leur travail, le fruit de leur accumulation de capital formation.

On va d'abord examiner le corps du texte qui va introduire la fatale note 19. On est là dans le chapitre VII, consacré à l'étude de la "production de la valeur d'usage et production de la plus-value"

On laissera, ici, de côté l'étude d'une autre erreur de Marx : l'absence d'étude quantitative de la valeur d'usage, l'étude de la valeur d'usage en tant que gain de temps par le consommateur qui utilise le bien ou le service, donc de l'évaluation de la quantité de valeur de l'objet ou du service en intégrant la quantité de temps gagné.

La deuxième partie de ce chapitre porte sur la question de la plus-value. C'est donc en conclusion de ce chapitre que Karl Marx écrit ceci :



"On le voit, la différence entre le travail utile et le travail source de valeur que nous constations au commencement de nos recherches par l'analyse de la marchandise, vient de se manifester comme différence entre les deux faces de la production marchande. Dès qu'elle se présente non plus simplement comme unité du travail utile et du travail créateur de valeur, mais encore comme unité du travail utile et du travail créateur de plus-value, la production marchande devient production capitaliste, - c'est-à-dire production marchande sous la forme capitaliste.

En examinant la production de la plus-value, nous avons supposé que le travail, approprié par le capital, est du travail simple moyen.
Là, Marx concède la globalité de sa faiblesse conceptuelle : c'est dans l'ensemble de son ouvrage - Le Capital -, dans l'ensemble de son étude, qu'il a négligé de prendre en considération ce qui est le fondement de la classe exploiteuse formoise. Ce n'est pas une négligence locale. Ce sont tous les chapitres qui portent le sceau de cette lacune fondamentale.



La supposition contraire n'y changerait rien.
Cela resterait à prouver. Chose qu'il ne fera jamais. Nulle part.


Admettons par exemple, que, comparé au travail du fileur, celui du bijoutier est du travail à une puissance supérieure, que l'un est du travail simple et l'autre du travail complexe où se manifeste une force plus difficile à former et qui rend dans le même temps plus de valeur.

Ce distinguo se trouvait déjà chez Adam Smith. A cette différence que Smith insistait sur le TEMPS nécessaire à cette formation du travail complexe.

Marx embrouille le problème en invoquant une "difficulté" à former le "travailleur complexe". Il s'agit du temps de travail nécessaire à accumuler le capital formation.

Car c'est bel et bien d'une accumulation de capital qu'il s'agit.




Mais quel que soit le degré de différence entre ces deux travaux, la portion de travail où le bijoutier produit de la plus-value pour son maître ne diffère en rien qualitativement de la portion de travail où il ne fait que remplacer la valeur de son propre salaire. Après comme avant, la plus-value ne provient que de la durée prolongée du travail, qu'il soit celui du fileur ou celui du bijoutier 19..



Il y a, là, une entourloupe : Le cher Karl profite de l'ignorance supposée de ses lecteurs. Si nous considérons - depuis 1993 - qu'il y a bel et bien ACCUMULATION d'un CAPITAL FORMATION, si nous considérons le fait que celui qui a accumulé ce capital va exiger le remboursement du TEMPS DE TRAVAIL à accumuler ce capital savoir. Si nous considérons, qu'il va, ce faisant, exigeant la REPRODUCTION de ce capital, par la formation de sa progéniture formoise.

Si nous considérons que le formois va exiger de récupérer les gains de productivité issus de ses capacités accrues, il y a là un débat fondamental sur ce qu'est RÉELLEMENT la plus-value.

Ce débat sera, comme nous le verrons, ci-dessous, (dans l'étude de la note 19) complètement embrouillé par Marx, par une manœuvre scandaleusement lamentable pour un pareil génie !


D'un autre côté, quand il s'agit de production de valeur, le travail supérieur doit toujours être réduit à la moyenne du travail social, une journée de travail complexe, par exemple, à deux journées de travail simple 20.


Cette description, simple en apparence, néglige deux faits : dans ces "deux journées", où se situent les temps de formation ? la "reproduction du capital formation" ? et donc où se trouve le temps de production de la plus-value?

Il est tout de même dommage que dans un chapitre consacré à la question de la plus-value, cet aspect là soit totalement bâclé.

De cela, la classe formoise profitera largement. Ce qui n'était qu'une lacune chez Marx permit à ces exploiteurs de prétendre se draper dans sa pensée, dans ses analyses.





Si des économistes comme il faut se sont récriés contre cette "assertion arbitraire", n'est-ce pas le cas de dire, selon le proverbe allemand, que les arbres les empêchent de voir la forêt! Ce qu'ils accusent d'être un artifice d'analyse est tout bonnement un procédé qui se pratique tous les jours dans tous les coins du monde.



Il est dommage que nous n'ayons pas plus de détail sur ces contradicteurs et sur le contenu et les motifs réels de leurs objections.


Partout les valeurs des marchandises les diverses sont indistinctement exprimées en monnaie, c'est-à-dire dans une certaine masse d'or ou d'argent. Par cela même, les différents genres de travail, représentés par ces valeurs, ont été réduits, dans des proportions différentes, à des sommes déterminées d'une seule et même espèce de travail ordinaire, le travail qui produit l'or ou l'argent.

C'est donc à la page 388 de l'édition Champs Flammarion du Capital que nous allons pouvoir étudier les arguments détaillés que Marx va prétende apporter à ce débat.


page 388

19. La distinction entre le travail complexe et le travail simple (skilled and unskilled labour) repose souvent sur de pures illusions, ou du moins sur des différences qui ne possèdent depuis longtemps aucune réalité et ne vivent que par une convention traditionnelle.


Il vient, dans le corps du texte, de nous dire exactement le contraire : il vient d'écrire, ci-dessus


"quand il s'agit de production de valeur, le travail supérieur doit toujours être réduit à la moyenne du travail social, une journée de travail complexe, par exemple, à deux journées de travail simple 20"
Il est tellement embrouillé dans sa pensée qu'il s'embrouille lui-même.


C'est aussi souvent une manière de parler qui prétend colorer le fait brutal que certains groupes de la classe ouvrière, par exemple les laboureurs, sont plus mal placés que d'autres pour arracher la valeur de leur force de travail.


D'entrée, il est ici en contradiction avec sa propre pensée : travail simple et travail complexe portent sur la valeur des objets produits et non sur ce que l'ouvrier peut en recevoir. Le distinguo simple complexe porte sur le niveau de productivité et non sur la répartition de plus value.

Le fait que les laboureurs soient bien placés ou mal placés pour arracher la valeur de leur force de travail est totalement hors sujet ici !


Des circonstances accidentelles jouent même ici un si grand rôle que l'on peut voir des travaux du même genre changer tour à tour de place.
Effectivement ! S'il était sérieux, Marx étudierait les circonstances ou c'est le cas : irruption d'un nouveau savoir rendant le précédent savoir désuet, arrivée d'une nouvelle machine remplaçant (avec des travailleurs sans qualifications les fonctions économiques de travailleurs anciennement qualifiés, ou encore arrivée de nouvelles machine réclamant une formation différente de celle que possédait les anciens formois.

De tout cela, le Capital ne parle pas.

Là où, par exemple, la constitution physique des travailleurs est affaiblie ou relativement épuisée par le régime industriel, des travaux réellement brutaux, demandant beaucoup de force musculaire, montent sur l'échelle, tandis que des travaux bien plus délicats descendent au rang de travail simple.



Une nouvelle fois, absence de sérieux ! Marx, arrivant bien après Adam Smith, est tout de même en situation de distinguer ce qui relève de la force physique et de l'accumulation de savoir : il avait à étudier les Lettrés de Chine, les scribes d'Égypte. Il pouvait étudier les formois chouchoutés par le régime de Napoléon premier, il pouvait étudier la montée des systèmes de formation.

On ne parle ici de salles de gymnastique ou de la musculation des dockers que de façon anecdotique, pour amuser la galerie et noyer le poisson ! Ce n'est absolument pas sérieux !!!


Le travail d'un maçon (bricklayer) occupe en Angleterre un rang bien plus élevé que celui d'un damassier. D'un autre côté, le travail d'un coupeur de futaine (fustian cutter) figure comme travail simple, bien qu'il exige beaucoup d'efforts corporels et de plus qu'il soit très malsain.
Là encore mauvaise foi ! Le fait qu'un travail soit ou non mauvais pour la santé est un nouveau nuage de fumée.

Certes, une étude attentive du capital humain pourrait intégrer la dégradation physique de celui-ci comme un facteur économique à étudier : mais cela n'a d'importance que pour les humains ayant PASSE DES MILLIERS D'HEURES A ÉTUDIER !

L'acceptation des systèmes d'assurance maladie par les bourgeoisies n'eut lieu que pour rentabiliser le coût des systèmes scolaires.

Les efforts corporels des coupeurs de futaines et le caractère malsain de leur travail est une négation hypocrite de l'importance de l'étude à faire !

Mais de cela, Marx est conscient. Il est assez intelligent pour savoir qu'il est de la plus parfaite mauvaise foi.

Il sait qu'il n'a pas ENVIE de réécrire les chapitres précédents. Il sait qu'il n'a pas envie d'intégrer dans son étude du capital l'existence du capital humain.

Il sait qu'il a une faiblesse conceptuelle.

Il est assez lucide pour se rendre compte que la localisation précise de la plus-value est impossible tant qu'on n'a pas intégré la question des heures de formation.

Il le sait.

Mais il va s'en sortir avec une nouvelle entourloupe : il va nous raconter que le jaune de l'œuf est tout petit.

Et qu'il ne va pas grossir.

Il va essayer de nous embrouiller en nous expliquant que la formoisie est numériquement trop faible pour devenir un facteur à étudier.

Le reste de l'Histoire lui donnera tort.

On peut même considérer que c'est ici, exactement ici, que Marx est "responsable du stalinisme".

Il est responsable du stalinisme, non pas parce que son œuvre contiendrait la dictature comme le pensaient les juges couchés, les historiens larbins, les politiciens corrompus, misérables laquais de l'impérialisme.

Non !

C'est en tant que chercheur que Marx est responsable du stalinisme.

Il en est responsable en tant qu'explorateur : il ne nous a pas averti du lieu du danger.

La responsabilité historique de Marx se situe dans le fait qu'il n'a pas poussé son enquête jusqu'a déceler la croissance inexorable d'une classe de voleurs, d'une classe d'exploiteurs, d'une classe de petits misérables venant s'accaparer ce qu'ils appelaient "les fruits de leur travail", ce qu'ils considéraient être les fruits de leur prétendue productivité supplémentaire.

C'est cela que les adversaires du stalinisme - y compris Yvan Craipeau, y compris Chliapnikov - n'ont pas vu.

C'est cela que Trotsky n'a pas vu.

C'est cela que Trotsky n'a pas eu le courage ou les outils intellectuels et émotionnels suffisant à en produire la critique corrosive.

Le reproche à faire à Marx, c'est, en économie, de ne pas nous avoir donné les outils intellectuels de son propre dépassement.

Heureusement, lui et Engels nous ont fourni les outils philosophiques.

C'est leur usage qui me permit entre 1991 et 1993 de passer de l'analyse de la pédagogie (du sabotage de la) à la critique radicale de la grille de Marx pour produire le concept révolutionnaire (scientifique) de formoisie.

C'est cela qui me contraint à la 30° thèse (éventualités d'autres classes exploiteuses suivantes) et la production en 1996 du concept d'innovoisie.

C'est cela que la formoisie LCR poursuit de sa haine :: son refus des méthodes pédagogiques nouvelles, révolutionnaires, en particuliers informatique, cachait sa volonté haineuse de réserver la détention du capital formation aux recrues cooptées de leur classe historiquement condamnée.

Les instituteurs LCR étaient les plus haineux des militants de la LCR contre le concept de formoisie parce qu'ils étaient les pires représentants de cette classe.

Une classe que Marx ne vit pas grossir.

Une classe que Marx ne vit pas, en 1882, se transformer pour passer de l'état de jaune d'œuf à l'état de poussin cocardier, de poussin anti-dreyfusard, de poussin hurleur avec Noske et Scheidemann, de poussins devenant même nazis.

Dans le Capital il en décrit la faiblesse numérique.

Poursuivons notre étude :









D'ailleurs il ne faut pas s'imaginer que le travail prétendu supérieur "skilled" occupe une large place dans le travail national.


Il va faire une confusion entre valeur productive et composition numérique.




D'après le calcul de Laing, il y avait en 1843, en Angleterre, y compris le pays de Galles, onze millions d'habitants dont l'existence reposait sur le travail simple.
C'est la classe du formariat, le véritable prolétariat.


Déduction faite d'un million d'aristocrates et d'un million correspondant de pauvres, de vagabonds, de criminels, de prostituées, etc., sur les dix-sept millions qui composaient la population au montent où il écrivait, il reste quatre millions pour la classe moyenne, y compris les petits rentiers, les employés, les écrivains, les artistes, les instituteurs, etc.

On voit ici le niveau de la confusion : rien à voir entre les rentiers -capitalistes - et les instituteurs - producteurs de formois


Pour obtenir quatre millions il compte dans la partie travailleuse de la classe moyenne, outre les banquiers, les financiers, etc., les ouvriers de fabrique les mieux payés!

Rien que cela devrait l'inciter à faire la clarté : Je lui passerai un savon si je le pouvais : comment justifier une telle liste !!!

Les maçons mélangés aux banquiers ?


Les maçons eux-mêmes figurent parmi les travailleurs élevés à la seconde puissance; il lui reste alors les onze millions susmentionnés - qui tirent leur substance de travail simple. (Laing : National distress, etc., London, London, 1844.) " La grande classe qui n'a à donner pour sa nourriture que du travail ordinaire, forme la grande masse du peuple." (James Mill, Art. Colony, supplément of the Encyclopédie Brit. 1831.)



Comment peut-il se référer, comme éléments d'argumentation à une tell "liste à la Prévert".

C'est complètement incohérent.

Même Lénine fut gêné aux entournures et vint nous raconter qu'ils bénéficiaient des miettes du pillage impérialiste.

Mais personne ne répond à "Qui touche ces miettes ? et pour quelles raisons ?"

Le pseudo concept "d'aristocratie ouvrière" ne réglera rien.

Et la science matérialiste deviendra un désastre.

Je cite la vaine note n° 20. Elle n'ajoute rien à cette catastrophe scientifique.


20 "Quand on s'en rapporte au travail pour mesurer la valeur, on entend nécessairement un travail d'une certaine espèce... dont la proportion avec les autres espèces est aisément déterminée." (Outlines of Polit. Econ. London, 1832, p. 22, 23.)
Le bilan est tragique.

L'incapacité des intellectuels de la LCR et de la 4° Internationale des années 70 à réétudier de façon critique ce bilan transforma cette LCR "enformoisée" en un ramassis de crapules néostaliniennes haineuses.

Il n'est pas remarquable que le pire d'entre eux, élu École Émancipée à vie, bureaucrate opportuniste des couloirs, voulut avoir le beurre et l'argent du beurre : Porte parole des mouvements sociaux bureaucratisés du début du 21° siècle et infâme délateurs de ses propres délires, ce musicien raté, écrivaillon pistonné de festival sponsorisés par l'UMP, ce compagnon de route éternel des magouilles de la LCR et des crapuleries des faux-trotskystes filochisés du PS, voulait à la fois les applaudissements des foules rebelles et les compliments de l'administration de l'Éducation Nationale pour sa vigilance à dénoncer les rebelles, il voulait à la fois le fric municipal pour ses lauriers d'auteur policier et la bonne réputation.

Cette crapule néostalinienne qui eut le courage - pour une fois - d'émettre ses menaces en public, devant des témoins, lors de la dernière manifestation du premier mai, est, avec son âme damnée Anne Dutilloy, le parfait représentant de la dégénérescence absolue d'une classe sociale exploiteuse : avoir été menacé d'être traîné devant les tribunaux bourgeois par une crapule telle que Dominique Delahaye est un crachat reçu qui a le statut d'une médaille.

La crapule aurait été "diffamée". La crapule tutoie et a des exigences : "tu retires ça d'Internet !".

L'imbécile incapable, l'enseignant incompétent et sclérosé, avec 27 années de retard, s'est aperçu de l'invention de l'informatique !!!

L'imbécile voulait obtenir, par ses menaces de plainte devant la justice de la bourgeoisie, l'effacement de textes que personne ne cesse plus de dupliquer (y compris pour des mobiles purement commerciaux) :

Delahaye contre les samizdats !!! Une farce !!!

Les staliniens de l'URSS s'auto-congratulaient en se décernant des médailles, des médailles dont le nombre était proportionnel au nombre de rebelles qu'ils avaient réussi à exécuter, à mettre en goulag, à faire interner en hôpitaux psychiatriques.

Leur digne successeur, Dominique Delahaye n'a pas eu le pouvoir : sa classe, incapable de faire des révolutions n'a pas eu l'occasion de parasiter une révolution réussie pour en devenir le maître. La classe de Dominique Delahaye ne possède pas ses propres hôpitaux psychiatriques formois comme leur modèles russes. Il lui fallut demander à la bourgeoisie de lui prêter ses lieux de répression.

Que cette crapule stalinienne sache bien, préventivement, que ce n'est pas dans un hôpital psychiatrique que la révolution l'internera pour le récompenser des méthodes qu'il tenta - sans succès - d'utiliser. Il aura l'occasion de goûter - légitimité rétroactive ! - les geôles des prisons égalitaristes.

Cet avertissement vaut pour lui et pour tous ceux qui, depuis 30 ans, sabotent activement les efforts de rebelles, sabotent tous les mouvements sociaux.

L'histoire montrera si le fric que Dominique Delahaye et Anne Dutilloy touchent publiquement pour leur festival bidon - dont la fonction unique consiste à augmenter leur surface médiatique et leur crédibilité sociale - est le seul fric qu'ils touchent de l'UMP et de la droite réactionnaire.

L'histoire, et l'ouverture révolutionnaire des archives, montrera si leur acharnement ne serait pas motivé par l'encaissement d'autres cadeaux de la bourgeoisie, en sus de ceux que leur verse annuellement l'exploiteur UMP, maire délocaliseur, bourreau des marocains, Rufenacht, sous le regard complice de la formoisie politicienne "de gauche".

Le temps où les hurlements formois empêcheront les révolutionnaires égalitaristes de s'exprimer dans les assemblées générales est en voie d'achèvement.

La période où la formoisie pouvait agir dans l'ombre est terminée.

Cette classe exploiteuse, qui fut le point aveugle de Marx, sera dénoncée dans toutes ses crapuleries.

Ses leaders, ses politiciens seront démasqués en tant que tels.

Ses dirigeants, ses protecteurs seront démasqués, qu'ils soient - comme Dominique Delahaye - vendus à la droite, ou qu'ils agissent gratuitement.

Toutes les crapules néostaliniennes dont Marx n'avait pas prévu l'apparition auront leurs noms et leurs crapuleries mis en lumière par Internet.

Il n'existe pas de science sans action.

La science agissante, c'est la mise en œuvre de l'égalitarisme.

Les ennemis de l'égalitarisme sont les ennemis du genre humain. Ils sont les ennemis de la révolution.

Les ennemis de l'égalitarisme finiront, tôt ou tard, en gangsters fascisants.

Ce fut le cas de Kerensky, qui complotait, à l'été 1917 avec le général tsariste Kornilov.

Il n'y a plus rien à espérer de crapules telles que ce Dominique Delahaye. Simplement de prévenir ses complices qu'ils seront tous mis en lumière, et qu'il est l'heure pour eux - sinon de changer de camp - mais de prendre leurs distances avec les pires saloperies commises par ces deux minables depuis 1987.

La révolution roulera sur ces gens comme des fétus de paille.

LES DERNIERS AJOUTS
sur La Nouvelle Etincelle

jeudi 6 novembre 2008

Productivité ancestrale, productivité historique, productivité locale, travail simple, travail complexe, capital machine, capital humain.....

Productivité ancestrale, productivité historique, productivité locale, travail simple, travail complexe, capital machine, capital humain, capital innovation, robots additionnels.


Par Yanick Toutain

05/11/08 03:05 20:17


La productivité ancestrale a été décrite, pour la première fois, dans le texte UNE DÉCOUVERTE HISTORIQUE POUR LA SCIENCE ÉCONOMIQUE :LES DROITS D'AUTEUR DE NOS ANCÊTRES, la productivité héritée de tous nos grands parents.

Pour comprendre la valeur de cette productivité ancestrale, ce nouveau texte va revenir sur les concepts de productivité historique (YT 1999-2007) et celui de productivité locale. Et cela en relation avec les concepts présents dans le marxisme originel. Mais à l'état de trace inutilisée.


LA PRODUCTIVITÉ LOCALE.


Ce que l'économie appelle productivité c'est simplement la possibilité de construire un outil, de développer une méthode ou d'accumuler un savoir permettant de gagner du temps pour produire un bien de consommation (ou un bien d'investissement), de produire un service (de consommation ou d'investissement)

Un marteau permet au constructeur de travailler plus vite.

Une division du travail épargne des pas en trop pour une équipe de travailleurs (imaginez une chaîne faisant passer des seaux d'eau : plus besoin de marcher)

Un serveur sachant lire sera plus efficace qu'un analphabète : il pourra noter la commande des clients.

Trois cas, trois occasions de gagner du temps.


Une machine fabriquant deux fois plus de marteaux qu'une autre avec le même nombre de travailleurs est un bien d'investissement qui produit des biens d'investissement. Avec une productivité double.


Un viseur électronique utilisé par un métreur sur un chantier est un bien d'investissement utilisé par un travailleur fournissant un service.

Si ce viseur permet de faire deux fois plus de mesures (sans que le métreur ait besoin d'une formation spéciale, une formation supplémentaire), ce viseur double la productivité.

Un cas différent serait celui d'un métreur utilisant son viseur habituel, mais en ayant acquis une technique nouvelle (par une formation spéciale) et qui travaillerait, lui aussi, deux fois plus vite.

Dans ce cas, ce serait du capital formation, une accumulation de capital sous forme de savoir.

Ce capital humain - qu'Adam Smith compris - permet, dans ce cas de doubler la productivité.

C'est, d'ailleurs, l'appropriation individuelle de ces gains de productivité qui définit la classe formoisie.


UNE PRODUCTIVITÉ LOCALE AVEUGLE


On remarque, dans tous les cas au-dessus, que l'on ne s'occupe que de gain de temps à produire. Mais que l'on ne s'occupe jamais de savoir ce qui est produit.

C'est une des carences principales de l'économie jusqu'à nos jours.

Que ce soit la "science" économique des libéraux ou les thèses des marxistes (les vrais), personne ne s'occupe jamais de ce qui est produit.

Si le marxisme dénonce la fabrication d'"objets de luxe", les critères qui sont les siens sont totalement absurdes.

Un avion serait consommation de luxe dans certains cas et pas d'autres.

Un opéra, une symphonie, une pièce de théâtre seraient consommations de luxe selon certains critères à géométrie variable.

Il a fallu, pour clarifier cela, définir un critère.

Ce critère permet de conceptualiser la productivité historique.


PRODUCTIVITÉ HISTORIQUE


Un jour, sur Terre, nous serons 6 milliards de créateurs, d'innovateurs, de chercheurs efficaces, d'artistes dans tous les domaines, 6 milliards d'innovants.

C'est cela qui va définir le critère.

En effet, ce jour, le jour où 6 milliards de Terriens seront innovants se produira dans X jours.

Ce X jours, personne ne le connaît.

Mais ce jour, aura effectivement lieu.

Cette date sera une date du 21° siècle !


Quand ? Hé bien, il reviendra à chacun, il reviendra à chaque Terrien de retarder ce jour ou de le rapprocher.


Si vous inventez une méthode révolutionnaire pour apprendre à lire aux enfants, pour leur apprendre à jouer tel ou tel instrument de musique, vous aurez contribué à rapprocher ce jour.

Si vous apprenez à votre voisin à écrire un poème, vous aurez contribué à rapprocher ce jour.


PRODUCTIVITÉ HISTORIQUE NÉGATIVE


Si un abruti comme Bush ou Sarkozy déclenche une guerre en Irak en Afghanistan ou n'importe où ailleurs, il aura contribué à retarder ce jour.

Si un abruti comme Vincent Bolloré (ou son fils Yannick chargé de la propagande en faveur de l'occupation) participe au massacre sanitaire de 3 millions de petits enfants d'Afrique, de petits bébés de moins de un an, si un abruti comme Vincent Bolloré contribue à l'assassinat sanitaire de 8200 bébés africains par jour, cet abruti aura contribué puissamment à éloigner ce jour à venir.

La productivité d'un abruti criminel tel que Vincent Bolloré est très grande. Elle est très grande mais négative.

Son action aura retardé de plusieurs jours, de plusieurs mois peut-être, possiblement plusieurs années, l'avènement de ce monde d'innovants.


PRODUCTIVITÉ, MORALE, ÉTHIQUE


Il peut paraître surprenant que cette productivité historique prenne, tout à coup, l'apparence d'un critère moral.

Mais cela n'a rien de surprenant : ce critère de "est-ce productif historiquement ?" peut remplacer la totalité des règles morales.

En effet, toute véritable morale - qui se transcende en éthique - a pour but de favoriser l'avènement d'êtres humains libres, créatifs, autonomes, responsables.


Des Bolloré, des Sarkozy, des Bush, et - demain - des Obama, fabriquent des cadavres et des assassins pour les produire.


Leur morale est une morale de retour vers le passé, une "morale" du retard.

Un Hitler - qui fut responsable de moins de morts que Bolloré et Sarkozy - fit perdre un temps énorme à l'humanité.

Si nous laissons le corrompu et le corrupteur continuer leurs crimes, l'Afrique jouera un rôle de plus en plus retardateur dans l'avènement du jour des 6 millions.


Concernant les armes que les pantins de ces criminels utilisent pour dominer l'Afrique.

Si une arme tue davantage de personnes - telle fut l'invention de la mitrailleuse -, elle aura une productivité locale plus grande.

Mais elle aura une productivité historique NÉGATIVE !


PRODUCTIVITÉ LOCALE POSITIVE

VS

PRODUCTIVITÉ HISTORIQUE NÉGATIVE


Si une usine fabrique deux fois plus d'armes qu'une autre usine, sa productivité locale sera double
Mais sa productivité historique sera négative.


Concernant la morale et le capital humain ou le capital innovant, chacun peut comprendre que taper un enfant - comme s'est cru autorisé de la faire la crapule Véronique Combret, directrice d'école maternelle qui tapa le petit Luciano 4 ans - est un acte contre productif.

Ce petit enfant de quatre aura, par l'acte criminel* de cette méchante fonctionnaire, perdu de son envie d'apprendre, il aura perdu de son envie d'aller à l'école, réduit sa capacité à assimiler du savoir, réduit sa capacité à vouloir connaître.


CAPITAL FORMATION, CAPITAL INNOVANT,

ET PRODUCTIVITÉ HISTORIQUE


Cette méchante femme, que la révolution chassera des structures éducatives - de la même façon qu'elle a travaillé à chasser Julie Amadis, la témoin de ses paroles criminelles, cette criminelle qui perdra ses droits civiques et qui sera interdite d'être au contact des enfants de sa propre famille, a eu un rôle gravissime quant à l'accumulation de capital innovant par le petit Luciano, qu'elle a brutalisé, quant au petit Kévin qu'elle a refusé de défendre contre son bourreau, quant au petit enfant "recousu", Jordan, brutalisé par sa propre mère.

Ces enfants ont eu leur potentiel de futurs génies gravement détérioré par cette femme criminelle.

Elle et ses complices de la hiérarchie ont retardé de quelques secondes, de quelques minutes, l'avènement de ce nouveau monde !

Leurs actes sont criminels du point de vue de la morale car contre-productifs du point de vue de l'économie.


L'ÉTHIQUE EN TANT QUE ANALYSE ÉCONOMIQUE


De tout cela découle une thèse nouvelle : l'éthique, la capacité individuelle à construire des règles morales, découle de la capacité à comprendre les conséquences économiques de ses actes.

Il est raisonnable d'analyser, dans nos rapports avec autrui, quelles seront les conséquences historiques de nos actes. Dans toute circonstances, quelles qu'elles soient, nous pouvons, nous devons nous interroger sur les conséquences à long terme de nos actes :


Dans quelle mesure rapprochons-nous ou éloignons-nous l'avènement du jour des 6 milliards d'innovants ?

Dans quelle mesure, chacun de nos actes, qu'ils soient publics, qu'ils soient sur le lieu de travail, qu'ils soient "privés", qu'ils soient mêmes intimes est-il PRODUCTIF HISTORIQUEMENT ?

C'est, pour prendre un exemple dans l'actualité récente, à cette aune qu'il faut juger Pierre Bellanger le créateur de Skyrock : cette analyse économique est à l'exact inverse des prétendues analyses des grenouilles de bénitiers qui l'ont condamné à un an de prison ferme : le critère éthique-économique consiste à examiner si son attitude envers la plaignante a oui ou non retardé sa capacité à créer, sa capacité à innover, sa capacité à agir librement, sa capacité à être un humain libre, responsable, innovant.

Il serait à parier que beaucoup de "moralistes", beaucoup de suppôts du Vatican, beaucoup de juges, beaucoup de soutiens de victimes auraient une influence bien davantage néfaste, même catastrophiquement néfaste à l'encontre de l'avenir de leurs victimes.


LES BIGOTS ET LES HARCELEURS

CONTRE LA PRODUCTIVITÉ


Le jugement contre Pierre Bellanger a toutes les caractéristiques d'une attaque réactionnaire anti-sexuelle, une attaque des bigots ! :

Quand les brutes se soutiennent contre Kévin, Luciano et le petit Jordan, quand des magistrats havrais laissent les petits enfants se faire cogner par des enseignants contre-productifs ( fessées, cheveux tirés ...), on voit leurs collègues du Tribunal correctionnel de Paris condamner à un an de prison ferme quelqu'un dont le délit ressemble bien davantage à celui d'un engraineur fréquent tel que la bourgeoisie en produit des millions chaque années.

Il faudra, bien évidemment, donner, dès le plus jeune âge, autant des cours d'économie que des cours de psychologie, autant des cours de philosophie que des cours d'éthique.

En commençant par faire pratiquer la solidarité en supprimant notes et classements !


Si Boulanger est condamné à un an de prison, à quelle peine faudrait-il condamner le prof de maths barbare dont l'attitude scandaleuse vient de franchir le seuil médiatique ?

Le jeune de 6° qui fut la victime des ses harcèlements psychologiques aura certainement des séquelles incommensurablement plus graves que celles qui nous ont été présentées de la "victime" prétendue de Pierre Bellanger.

Ce jeune élève a atterri entre les mains de la psychiatrie. Et tout cela à cause des attaques d'un partisan de la continuité, un ennemi de Puthagoras.

Ces crétins savent, au fond d'eux même, que leur prétendu savoir ne vaut rien. Il leur faut donc des victimes pour se rassurer : l'humiliation par des profs de maths est une pratique trop régulière pour ne pas être caractéristique d'une secte. Une secte méchante et pernicieuse.


LA SECTE CANTORIENNE ET SA MÉCHANCETÉ

ATTAQUES CONTRE LA PRODUCTIVITÉ


Cette secte des ennemis des nombres entiers s'est fixé pour but de ralentir au maximum le progrès humain.

Sous l'égide de leur groupe secret, de leurs gourous chefs déguisés sous le pseudo nom de Bourbaki, ces gens se sont partagé les bonnes places, ils ont réussi à infiltrer l'université, les lycées, les écoles.

Leurs partisans ont un rôle contre-productifs gigantesque tout au long du 20° siècle.

Leur messie eut pour nom Cantor, l'inventeur des petits infinis, les aleph zéro (sic !!!).


Le jeune élève de 6° n'est qu'une de leurs victimes.

Je fus, moi-même, contraint de passer mon baccalauréat en classe de première, suite aux manœuvres lamentables d'un de leurs sectateurs : Un nommé Lecoutour m'avait pris en grippe, ainsi que le fut ce jeune élève de 6°. Ce personnage pernicieux et insidieux réussit, par des manœuvres scandaleuses, à me faire redoubler ma classe de première scientifique vers une classe de première littéraire.

Je peux constater , rétrospectivement, que ma vengeance contre lui prit trois formes.

Dans les trois cas, j'ignorais que l'objectivité de mes actes était la vengeance mais cela fut tel.

Premièrement, m'inscrivant au baccalauréat individuel, j'eus la joie de venir narguer des trois complices de l'administration : De Champry, Poussard et le renégat ex-soixante-huitard devenu crapule raciste UMP, "spécialiste des sectes" "spécialiste du Temple Solaire", Jean Pierre Kleindist.

La petite bande de crapules avait exigé que je vienne "en personne"* leur annoncer mes résultats au bac. Le Canossa qu'ils s'escomptaient devint un triomphe où les lauriers étaient la serviette de plage que j'avais sous le bras, leur rendant visite sur le chemin de la plage !

Ma vengeance fut le fait de ne pas perdre une année sur le chemin de la Faculté.

Gain de temps, gain de productivité.


GAIN DE TEMPS, GAIN DE PRODUCTIVITÉ, CAPITAL FORMATION


Ma deuxième vengeance fut le fait d'un hasard : le fils de ce Lecoutour, empressé d'aller faire une partie de baby-foot, me laissa dans un bar en compagnie de ses deux enfants. J'ignorais qui il était, ni donc que leur grand-père était cette infâme crapule méchante. Pour occuper le temps, je leur appris les puissances, les racines et les logarithmes. En 20 Minutes. Ils furent les premiers "cobayes" enfants des nouvelles méthodes que je peaufinais. Ils furent les premiers à me permettre de tester les modes de représentation symbolique.

Cette vengeance fut une "vengeance. Ce partisan de la continuité m'avait empêché d'aller en terminale C (section S) pour y apprendre ce qu'étaient les logarithmes népériens : ses petits-enfants participèrent, par jeu, à la construction de la plus grande révolution calcul de tous les temps : apprendre en maternelle la totalité des opérations, y inclus ce que sont réellement les logarithmes.


LOGARITHMES A 8 ANS


La partie de baby-foot s'achevant, les parents revenant à la table, ils n'eurent pas l'occasion de découvrir les équations différentielles, les dérivées, les primitives ni les intégrales.

Si l'élève de 6°, victime de son bourreau le souhaite, il pourra en prendre connaissance, il pourra, dès le collège, assimiler ces connaissances qui figurent dans l'Olympe prétendu de son bourreau et de ses complices.

Ce faisant, accumulant, de façon accélérée un savoir qu'il devrait, soi disant, (ou lui disant) mettre cinq années à assimiler, il aura l'occasion de rattraper le temps perdu. Et plus encore, de reprendre confiance dans ses capacités à assimiler.

Car c'est cela que cherchent à casser toutes ces crapules. J'eus l'occasion de réentendre parler d'un des personnages, Kleindist, l'ex leader soixante-huitard : sa spécialité était de chouchouter les hypokhâgnes du lycée qu'il avait fini par diriger et de briser psychologiquement les élèves des classes "prolétariennes" - y compris par les larmes, y compris en bousculant délibérément des élèves dans la cours de récréation, s'infiltrant au milieu d'un cercle d'élèves, violemment, et revenant sur ses pas, exiger des excuses.

Ces gens, ces crapules, ces gangsters psychologiques cassent la productivité, ils détruisent du capital humain.

Ils détruisent du capital innovant.


Il n'y a pas à s'étonner que la drogue s'infiltre dans leurs établissements : ils sont les premiers responsables des déséquilibres psychologiques, des fragilités, des élèves consommateurs.

La violence psychologique fait pendant à l'apprentissage de la haine, la haine de classe, la haine de caste.

Dans le système scolaire, les élèves apprennent à préserver LEUR capital savoir, leur ACCUMULATION PERSONNELLE DE CAPITAL;

Et pour cela, il leur est appris à ne jamais AIDER un camarade.


ÉGOÏSME ET ACCUMULATION PERSONNELLE DE CAPITAL


C'est cet apprentissage de l'égoïsme qui est la principale fonction de l'école capitaliste, comme de l'école formoise.


Au lieu de favoriser l'accumulation de savoir - comme cela aurait été le cas, depuis 20 ans, si des imbéciles comme l'"informaticien-romancier" Thierry Breton, comme le "garagiste" René Monory, comme l'escroc larbin de Thomson François Robineau n'avaient mis en coupe réglée l'Éducation Nationale en pratiquant un vol gigantesque dont le butin atterrit certainement dans les caisses de partis politiques corrompus, gaullistes, centristes, libéraux, socialistes, dont les militants et agents actifs participèrent au grand hold-up ou fermèrent les yeux "pudiquement" ( Christian Lecaudé de la CAMIF) pour ne pas avoir à laver le linge sale de la pourriture capitaliste en public.

(L'accès prochain de la justice aux comptes de la CAMIF permettra de connaître les dessous de la mise en liquidation de la plaque tournant de l'escroquerie France Image Logiciel, les montants passés dans la "pompe à fric" selon le terme de Christian Lecaudé, et les circuits du vol. Du vol opéré sur le dos des élèves victimes)


SABOTAGE DE LA PÉDAGOGIE INFORMATIQUE EN FRANCE


Ce sabotage de l'informatique à l'école en France nous fit prendre 20 années de retard.

L'auteur de ce texte a, pour autant, la consolation amusée de constater, année après année, que les gains de productivité pédagogiques de ses méthodes, 21 ans après 1987 ont toujours la même valeur potentielle - rien, aucun logiciel, aucune méthode, n'étant venu concurrences ces découvertes datant, originellement, de l'automne 1975.


SABOTAGE PÉDAGOGIQUE SABOTAGE ÉCONOMIQUE


Ces gens sont coupables de sabotages pédagogiques et donc de sabotage économique.

Leurs comportements délictueux - dont les vols, les pratiques favoritistes et le harcèlement moral ne sont que la face visible - ont eu des conséquences dramatiques.


Quand les élèves découvrent les moteurs 3 D dans des jeux recouverts d'hémoglobines au lieu de le faire à cinq ans pour calculer une intégrale, les conséquences sont doubles : déséquilibre psychologiques entraînant problèmes de sommeil, consommation de drogue : il est évident que la violence des films, la violence des jeux vidéo ont des conséquences gigantesques en termes économiques comme en termes éthiques.

Il est évident qu'une "civilisation" de la violence entraîne des meurtres, des assassinats.

L'autre aspect est la perte de gain de productivité.


PERTE DE PRODUCTIVITÉ PÉDAGOGIQUE


La connaissance des puissances à 5 ans, ainsi que celle, au même âge, des équations différentielles serait le socle d'une société où le niveau scientifique des ingénieurs serait atteint par tous dès l'âge de 15 ans.

Les découvertes scientifiques qui en résulteraient permettraient un âge d'or dont les crétins capitalistes nous éloignent de jour en jour, à coup de catastrophes supplémentaires, de guerres supplémentaires.

Les découvertes scientifiques qui en résulteront permettront un âge d'or dont les crétins capitalistes nous auront éloigné de jour en jour.

.

Pour être complet, il faudrait que Naomi Klein se saisisse de cette recherche et intègre, dans cette analyse de la productivité, ses recherches sur l'instrumentalisation des catastrophes dont elle nous a montré l'approche dans son "La stratégie du choc".


Il reviendra au texte suivant de décrire ce que sont les robots additionnels et de quel façon la compréhension de leur rôle permet d'affiner la connaissance de ce qu'est, réellement, la productivité.








*après la révolution, seront défini comme crimes les coups portés à des enfants de moins de 7 ans : le fait d'exercer des brutalités, des violences contre des enfants ne sachant pas encore lire est un acte de criminels endurcis qu'il faudra juguler !

Et cette loi, rétroactive, sera appliquée prioritairement à l'encontre de tous ceux qui auront aggravé leur cas par des mensonges, des accusations pernicieuses, des menaces et des mesures de rétorsion à l'encontre des témoins et de leurs dénonciateurs.


** J'avais "obtenu" de ne plus aller, à partir de fin mai, au lycée, pour réviser mon bac chez moi (grâce à une fugue constructive) ? Ces crapules, un sourire baveux aux lèvres avaient exigé que je vienne "en personne" leur annoncer mes résultats au bac; "Mais, vous aurez pu les lire dans les journaux", leur avais-je rétorqué. La crapule en chef, le proviseur du lycée, le De Champry, accentua son sourire hiérarchique et insista :"Non, non, en personne, vous viendrez nous annoncer VOS résultats".

Leur contentement putride avait du mal à ne pas laisser tomber au sol la salive baveuse de réjouissance prospective !


La fête qui fut la mienne sur le trajet menant au lycée, le lendemain de l'affichage des résultats !


Ces gangsters psychologiques n'eurent même pas la défaite courtoise et m'envoyèrent proprement promener, à peine ils me virent arriver, début juillet 1971, dans le couloir de leurs bureaux du lycée Porte Océane.

Combien ces crapules firent-ils de victimes qui n'eurent pas ma force de caractère, ma combativité, que je conquis grâce à mes fées ! (Au premier rang desquelles, à cette époque et dans ce lycée, l'helléniste, à qui je fis découvrir - dès la classe latiniste de sixième - les charmes linguistiques et logorrhéiques de Achille Talon, madame Seret !!! Gloire éternelle à elle dans l'Olympe des enseignants altruistes !!! Le cumul, en classe de quatrième, des heures de latin, de grec et de français, permettait de réduire la pression insipide des fonctionnaires fatigués, fatigants et dissuadant du savoir !)


Quelle est la quantification de la productivité historique pédagogique NÉGATIVE qui est l'œuvre de ces crétins, ces Lecoutour, ces De Champry, ces Poussard, ces Kleindist ?


On quantifiera la productivité pédagogique (POSITIVE ) de madame Seret en conséquence de la productivité - aussi - de ce texte !

Le jardinier helléniste Provot ne me contredira pas sur cela !




===

DERNIERS AJOUTS

sur