samedi 5 juillet 2008

Les photons passent à côté des miroirs.

En cours d'édition
(l'image du dispositif est un scan d'une photocopie NB de la revue La recherche avril 2008)


Les adversaires de Newton sont têtus et ignorants : Ils refusent le vide absolu, le vide objectif. Ils refusent les vitesses absolues, les vitesses objectives.

Dans le dispositif de Anton Zeilinger et Markus Aspelmeyer, ni le dessin ni l'article n'indiquent la largeur des miroirs utilisés.



On retrouve l'erreur de Michelson que j'avais déjà démasquée : des petits miroirs rendent absurde sa prétendue expérience. (Idem pour Morley et Miller)



LARGEUR DES MIROIRS




Il suffit de prendre comme hypothèse de travail l'hypothèse Aïn Al Rami, de considérer que le vecteur translation objective appartient au plan de leur dispositif et on peut calculer à quelle distance du centre des miroirs auront lieu les impacts des photons.





Sur le graphique ci-dessous, on voit qu'à 85°, le graphique indique 7 centimètres.
LongA (couleur bleue sur le graphique) est la longueur entre le centre du premier miroir et le point d'impact du photon gauche.







Cela se comprend ainsi : à une vitesse objective de 5011 km/s, et un dispositif mesurant 3 mètres de côté, si ce dispositif est orienté de 85° par rapport à la translation générale, le photon de gauche heurtera le premier miroir à 7.2 centimètres du centre de ce miroir.
LongB (couleur mauve) indique que ce même photon heurtera le deuxième miroir à 6.6 centimètres du centre du deuxième miroir.
Et longD (couleur jaune) nous montre le troisième miroir être impacté à 13.8 centimètres du centre.

N'importe qui peut comprendre que l'usage de miroirs mesurant moins de 13.8 centimètres laissera passer ce photon à côté du troisième miroir.

Le deuxième graphique est identique au premier non signé : on a la valeur absolue de l'écart entre les centres des miroirs et les lieux des impacts de photons : à 200 degrés, par exemple, c'est le deuxième miroir (données en couleur mauve) qui laisse le plus passer de photons.


Toutes les conclusions philosophiques de Anton Zeilinger et Markus Aspelmeyer sont nulles et non avenues et issues d'un dispositif qui nie l'existence de ce qu'ils prétendent récuser : une "anti-tautologie" aussi absurde que les démonstrations du charlatan Cantor.
Les relativistes doivent publier leurs données brutes et cesser de reprocher à Einstein un réalisme qu'il n'affirma d'ailleurs jamais : ce crétin de Einstein croyait avoir la possibilité d'inventer librement des "lois" issues de son cerveau personnel.

Nous, matérialistes, disciples de Newton, nous trouverons les véritables lois de la matière, simples reflet des lois causales objectives de la matière en-soi.

YT 02/07/08 18:05





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